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Jake S.
83 abonnés
231 critiques
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2,5
Publiée le 1 août 2018
Rien de bien mémorable... Cette nouvelle pseudo-comédie de Franck Dubosc se voudrait-elle plus touchante ou plus drôle ? Une chose est sûre, on n'a ni l'un ni l'autre au final selon moi. Les acteurs ne sont pas mauvais en soi, on retrouve même une Alexandra Lamy sincère dans son jeu, mais l'histoire me laisse perplexe et je n'y trouve rien d'exceptionnel. Je m'attendais à rire davantage et certains passages supposés comiques tombent bien souvent à plat. C'est une petite déception.
Franck Dubosc a donc décidé de passer derrière la caméra, et il y a mis tout son cœur. Son film n’est évidemment pas exempt de maladresses, mais il respire la sincérité, et on reconnait aisément la patte de son auteur. Son long métrage souffre principalement de longueurs : ces moments qu’il aurait fallu couper au montage, mais que le néo réalisateur a malgré tout conservé. C’est dommage, parce qu’avec ces quelques séquences qui nuisent au rythme de l’ensemble ou qui s’avèrent parfois gênantes (on pense notamment à la virée à Lourdes) en moins, le film aurait eu une toute autre allure. Là où Dany Boon a appris, avec l’expérience, à maîtriser à la perfection le savant mélange d’émotion avec de bons éclats de rires, Franck Dubosc tâtonne un peu et reste dans un entre-deux insatisfaisant. Reste que Dany Boon a su convaincre l’excellente Alexandra Lamy de le rejoindre dans cette histoire, et elle s’avère, comme toujours, bluffante d’authenticité. Mention spéciale aussi à Elsa Zylberstein, pour laquelle l’humoriste a écrit un personnage hilarant. C’est globalement par son casting féminin que Tout le Monde Debout parvient à dégager une fraîcheur sympathique. Franck Dubosc est lui comme toujours très bon dans ce personnage mythomane et pathétique, mais un peu moins convaincant dans la romance. Quelques défauts de jeunesse ne font pas de Tout le Monde Debout une mauvaise comédie, mais on reste malgré tout un peu sur notre faim. Reste que le potentiel est là, derrière la caméra et au scénario, pour un des humoristes préférés des français.
D’après les très bonnes critiques je m’attendais à beaucoup mieux. C’est très humain et plein de bonnes intentions mais il y a beaucoup de gag très lourds.Alexandra Lamy est sublime. Un grand encouragement à Franck Dubosc, qu’il continue dans ce sens.
Je ne suis pas une grande fan de Dubosc ni de Lamy. Toutes les blagues sont sous la ceinture mais j'avoue avoir ri. Quelques moments émouvants ponctuent cette comédie. Parfait pour un samedi soir de déprime.
Suite à une bande-annonce prometteuse et avec le risque d'aborder un sujet sensible sur le ton de la comédie, "Tout le monde debout" n'aurait du que m'enchanter mais je suis sorti de la salle perplexe et franchement peu convaincu. Avant tout, il faut savoir que j'adore Franck Dubosc depuis ses débuts et c'était avec envie que je suis allé découvrir son premier long-métrage. Les premières scènes m'ont fait sourire mais au lieu d'aller crescendo vers le rire, c'est plutôt aller decrescendo vers l'indifférence et la déception. J'ai trouvé les blagues mauvaises, vaseuses et mal calculées, s'enchainant une par une, sans rythme ni surprises tout en dédramatisant le thème du handicap pour créer une comédie romantique avec Alexandra Lamy. Cette dernière, cela dit, est le réel atout qui a su préserver mon intérêt pour cette comédie plate. Je ne l'ai pas trouvé si juste et touchante depuis "Un gars, une fille" et dans ce rôle de femme handicapée et énergique, elle scintille en permanence ! Son investissement pour ce très beau rôle est conséquent (apprendre le violon et faire du tennis en fauteuil, chapeau !) et fait ainsi honneur à l'engagement actif des handicapés, refusant d'être exclu de la société. Face à elle, Franck Dubosc, sans doute influencé par la double casquette, m'a beaucoup moins convaincu, même si le rôle du crâneur imbu de lui-même lui colle à la peau d'habitude, je l'ai trouvé ici fragilisé, mal-à-l'aise (en tant qu'acteur, pas son personnage) et donc pas drôle. Elsa Zylberstein, Gérard Darmon et Caroline Anglade sont de bons acteurs mais leurs personnages sont si stéréotypés et sans nuances qu'on ne s'y attache pas vraiment et leur manque de présence les range à un second plan presque anecdotique (surtout Gérard Darmon et Elsa Zylberstein qui auraient pu n'être qu'une seule personne). Pour ce qui est du sujet, il est traité avec simplicité et en profondeur sans jamais faire du handicap une fatalité. Ce qui me pose plus problème, ces sont les critiques ultra-positives qui affirment que "Tout le monde debout" est une comédie agile et cocasse, car honnêtement, loin d'être un pince-sans-rire d'habitude et préparé à passer un bon moment, l'humour est pour moi absent et mal agencé ! Le scénario est détenteur de bonnes idées et se tient grosso modo sur ce mensonge énorme à partir d'un quiproquo original et tout l'interêt se tend vers cette fameuse scène de révélation qui se révèle décevante dans l'idée, en plus d'un énorme faux-raccord qui ne semble choqué que moi... On a connu bien plus drôle, franchement !
Vulgaire au début, le film se bonifie au fur et à mesure et devient touchant, offrant même de belles scènes, avant de sombrer sur la fin. Prometteur mais raté.
Pas très original, peu de rebondissements et des personnages sans relief. Sans être une purge, ce film ne mérite pas de passer au cinéma. J'avais plutôt l'impression de voir un film du lundi soir sur TF1, avec un scénario écrit d'avance et sans surprise.
Sympa et cocasse par moment le film brille par la prestation naturelle et incroyable de Lamy et la beauté de Anglade Le reste est un peu fade et déjà vu
Franck Dubosc se risque à la réalisation après plusieurs contributions en tant que scénariste. La comédie qui en résulte, pur produit TF1 ne risque pas de révolutionner l'histoire du cinéma ni de désigner son réalisateur comme un auteur profondément original. Celui-ci déploie un format prêt à porter déjà vu depuis la nuit des tentes (de camping ha ha). Le film démarre avec quelques scènes plus forcées que drôles et des dialogues artificiels. On ne rit pas souvent. Cela s'arrange lorsque notre bellâtre tombe réellement amoureux et que le courant passe entre Alexandra Lamy qui a du enfiler un cintre dans la bouche et Franck qui ne sait plus comment lui dire la vérité. Tout repose sur ce suspens et le dénouement est relativement bien amené. Les seconds rôles (Darmont, Zylberstein, Caroline Anglade, Brasseur) sont distrayants.
Amateur de bon cinéma passez votre chemin.Il y a tellement de belles choses autres à voir.
Pour sa première mise en scène, Franck Dubosc ne sort guère du créneau qui est le sien depuis ses débuts dans le one man show dans les années 1990. Celui du dragueur lourdingue, persuadé de son irrésistible séduction qui finit par lasser tout son monde avant de montrer ses fêlures pour remporter définitivement l'affaire. Le personnage étant toujours le même, il faut lui trouver un contexte différent pour continuer d'amuser le spectateur. Ici, PDG d'une marque de vêtements sportifs (parce qu'il le vaut bien !), il se donne le challenge d'être à chaque fois un autre pour assouvir sa soif de séduction auprès de tout ce qui porte un jupon. Ce petit jeu parfois limite, l'amène à séduire par mégarde une jeune femme handicapée qui le croit comme elle condamné au fauteuil roulant. Pourquoi pas ? Le problème étant comme presque à chaque fois dans le cinéma comique français de s'imaginer qu'il faut multiplier les gags pour faire mouche, quitte à mener les acteurs jusqu'à la caricature. A ce jeu-là, Franck Dubosc n'est pas le dernier, jamais avare d'en faire des tonnes. Heureusement, Gérard Darmon, Alexandra Lamy et Claudine Anglade sobres à sa place permettent à cette première réalisation de ne pas sombrer dans le ridicule où son auteur risquait de la précipiter. N'est pas Jerry Lewis qui veut ! Tout ceci n'est pas très grave, plus de deux millions de spectateurs ayant adhéré au concept. Il est vrai que depuis que "Les Tuches" sévissent sur nos écrans, une comédie comme "Tout le monde debout" peut passer pour un modèle de nuances et de sobriété.
Dubosc nous gratifie d'un long sketch limite franchouillard et à l'humour parfois vraiment lourdingue (première moitié du film). Et il peine à nous proposer une fin qui fait sens avec le terrain miné de l'imposture et de la trahison sur lequel il nous a baladés auparavant. Attention Signore Dubosc ! Votre humour semble en voie de se faner ...
Oui, c'est bien joué, la réalisation n'est pas mal, on a envie de croire à cette histoire, la psychologie des personnages fonctionne bien et la scène de la piscine est vraiment belle. Dès les toutes premières scènes, j'ai commencé à rire, avant de trouver une blague un chouia raciste, puis, de voir des plans sur le décolté et les fesses d'une jeune femme qui joue l'idiote...et ça m'a complètement refroidi. Dans ce film on rigole de tous les clichés qu'on voit dans la plupart des comédies françaises : le handicap, le racisme, les "blondes", les gays (on avait failli y échapper hin !!)... Ce n'est même pas une question de bonne blague ou non, mais c'est juste ultra cliché, ça transcrit un gros manque de créativité : les comédiens sont supers, Dubosc n'a pas besoin de blagues lourdes pour être drôle !
Petit film français, il passera très bien à la télévision. Avec tous les noms que nous voyons dans les génériques, il y a une grosse belle équipe et personne n entends les fautes de dialogues et les couleurs de chemises entre deux prises qui ne sont plus de la même couleur. C est vraiment dommage.
film mi figue-mi raisin . Sans être franchement une réussite le film n’est pas déplaisant pour autant si on fait abstraction des invraisemblances du senario . Le jeu des acteurs est plutot réussi.