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    Les Grands Esprits
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    titicaca120
    titicaca120

    385 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 septembre 2017
    un bon film bien interprété avec un Podalydes de gala.
    les jeunes acteurs toujours naturels donnent une excellente réplique.
    et une belle immersion dans ces collèges de banlieue où
    sincèrement je tire mon chapeau bas aux professeurs.
    elriad
    elriad

    434 abonnés 1 859 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 février 2018
    Pétri de bons sentiments, le film n'échappe à aucun piège malgré le jeu convaincant de Denis Podalydès. Nombre de films ont été faits sur le sujet avec plus d'ambition, comme "Entre les murs" ou "les héritiers" avec Ariane Ascaride, pour ne citer que ces deux là. Ici, tout est cousu de fil blanc et le scénario se déroule sans surprise. On se demande même pourquoi le prof s'entiche de ce jeune garçon qu'il a vu tricher et qui n'est ni moins bon ni meilleur que les autres. La situation dans ce genre d'établissement demande autre chose qu'un traitement à l'eau de rose. Gentil et dispensable.
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    46 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 septembre 2017
    Un très beau film sur les difficultés rencontrées par un professeur agrégé de lettres au lycée Henri II et qui va se retrouver par une rencontre à venir enseigner en banlieue pour un an dans un lycée difficile et l,aventure commence à voir absolument c'est grandiose
    Anne M.
    Anne M.

    72 abonnés 641 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 septembre 2017
    Ce film très optimiste, malgré un constat qui égratigne non sans causticité l’Education Nationale, est porté par Denis Podalydès spirituel et fin et aussi par le jeune Abdoulaye Diallo.

    François Foucault, professeur agrégé du Lycée Henri IV se trouve parachuté, suite à un quiproquo, dans un collège de quartier. Une phrase lors d’une séance de dédicace « il faudrait nommer des professeurs expérimentés dans les quartiers difficiles ». En fait c’est ce que le film démontre. Ca risque de ne pas plaire à tout le monde et aussi ce n’est peut-être pas suffisant.

    Toujours est-il que le film qui sonne très juste, souvent drôle, fin et bien vu, montre un professeur qui ne renonce ni à lui-même ni à ses principes. Il vouvoie et impose le vouvoiement et un respect réciproque. Il est très sévère avec une souplesse pleine d’esprit. Il se bat pour maintenir le savoir au centre de l’enseignement et fait honneur au chef d’oeuvre de Victor Hugo, « Les Misérables », ou emmène ses élèves à Versailles et non à Disneyland.

    Peu de profs du collège l’apprécient au final, pas davantage que l’administration, pourtant il va faire progresser ses élèves.

    Ce film pétillant délivre son message sans démagogie et donne à réfléchir.
    Mon blog : larroseurarrose.com
    Alexandre B
    Alexandre B

    2 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 septembre 2017
    Vu en avant-première ce soir sur Paris. J'ai été très agréablement surpris. Un passe de bons moments, entre rire et émotion. Un film sans prétention. Je recommande!
    Laurent M.
    Laurent M.

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 septembre 2017
    Bien documenté, un film fin, sensible et drôle (on rit beaucoup) avec un Podalydès très attachant… On est loin des clichés sur la banlieue. Une réussite, bravo !
    Aimerico
    Aimerico

    18 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 septembre 2017
    Podalydès est un génie, et drôle et parfait. Film drôle, intelligent, sympa, émouvant, juste. Tous les acteurs sont excellents. Bravo!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 septembre 2017
    Très bonne interprétation des acteurs notamment de Denis Podalydès .
    Les élèves sont naturels , attachants ce qui apporte un vrai coup de fraicheur au film et beaucoup de justesse.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 septembre 2017
    Un film juste, subtile. On rit beaucoup, on est ému et touché par cette histoire d'une rencontre entre deux mondes. Et qui ne tombe pas dans les clichés habituels réservés aux banlieues. Podalydes, incroyable d'authenticité. Incarnant un professeur, que finalement, nous aurions tous aimé avoir.
    profV
    profV

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 septembre 2017
    Un très bon film, tout en finesse et bienveillance pour les élèves et les professeurs. Il ne tombe jamais dans les clichés que l'on pouvait craindre avec ce genre de film. Au contraire. Pas de leçon de morale sur la manière d'enseigner ; juste une observation extrêmement bien documentée sur l'enseignement. Il faut dire que le scénariste-réalisateur a passé 2 ans dans un collège en immersion totale. Etant moi-même professeur, j'y ai retrouvé l'atmosphère d'un lycée, sa salle des profs, les profils des collègues, les réactions des élèves...les dialogues sont criants de vérité.
    Le film commence comme une comédie puis s'oriente vers le docu-fiction dans sa seconde partie sans jamais renoncer à l'humour. On passe du rire à l'émotion, on ne s'ennuie jamais. Le film est rythmé, les comédiens sont tous remarquables. Denis Podalydes démontre une fois de plus son immense palette de jeu. Les jeunes donnent le meilleur d'eux-mêmes. Mention spéciale pour Pauline Huruguen et Alexis Moncorgé dont on devrait à nouveau entendre parler tant ils sont formidables de naturel.
    Ce film devrait être montré en réunion pédagogique de prérentrée à tous les profs. Il donne la pêche pour reprendre le chemin de la salle de classe !
    Roberto R.
    Roberto R.

    14 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 septembre 2017
    Propos démagogue, et même délirant pour quelqu'un qui aurait, comme moi, enseigné en collège de zone difficile. Tout rapport avec la réalité serait purement fortuit... mais D.Podalydès, si talentueux par ailleurs, a voulu jouer "Les grandes âmes". Facile... et je lui souhaite surtout bon retour dans le centre de Paris !
    Henrico
    Henrico

    164 abonnés 1 327 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 octobre 2023
    Film plein de bonnes intentions, avec quelques bonnes répliques, et deux ou trois belles prestations d'acteurs, en particulier celle, toujours irréprochable, de Denis Podalydès, Léa Drucker, ou encore Emmanuel Barrouyer. Hélas, le jeu du reste des comédiens, jeunes et moins jeunes est souvent inégal, voire même parfois très médiocre. Les intentions du réalisateur Olivier Ayache-Vidal étaient bonnes dans le sens où il voulait montrer la difficulté d'être prof dans un collège dit "sensible". Il voulait aussi, montrer que les remèdes appliqués actuellement avec les élèves difficiles, pour faire régner la discipline, redonner l'autorité aux profs, et parvenir à faire passer un enseignement de qualité, étaient totalement inefficaces. Le problème est qu'Ayache-Vidal arrive après la bataille, et que presque tout l'argumentaire de son film est dépassé. Premièrement, le public actuel du Lycée Henri IV est bien plus bigarré que celui qu'il nous montre dans son film. Ensuite, les notes et les commentaires que le prof d'Henri IV distille à ses élèves, provoqueraient aujourd'hui une descente immédiate des parents, et un remontage de bretelle en règle du prof imprudent par le ou la proviseur(e). Car contrairement à ce qu'a l'air de croire Ayache-Vidal, les consignes du Rectorat en matière de bienveillance dans la notation s'applique aussi à Henri IV. En outre, l'avis des parents y est tout puissant. Deuxièmement, le réalisateur compare deux choses qui n'ont rien à voir. Le Lycée Henri IV, et un collège de banlieue. Une comparaison pertinente aurait été entre le collège Henri IV et un collège de banlieue. Ou alors, entre le Lycée Henri IV, et un lycée de banlieue. Autant comparer des chaussures et des chapeaux ou bien des choux et des carottes! Le collège Henri IV est régi par la carte scolaire, et donc, accepte tous les élèves du quartier dans lequel il y a aussi des "Kassos", certes bien moins nombreux, que dans le collège de banlieue, mais des "Kassos" tout aussi gratinés nonobstant. En réalité, le lycée Henri IV, fait une sélection d'élèves venus de collège sur quasiment toute l'Île de France. Seuls 16 % d'élèves du collège Henri IV sont acceptés au Lycée Henri IV. On autoriserait certains lycées de banlieues à opérer cette sélection drastique que leurs résultats seraient stratosphériques, et très comparables à ceux de ces lycées très sélectifs, que sont Louis Legrand, et Henri IV. D'autre part, le regard que porte Ayache-Vidal sur les collèges de banlieue manque totalement de pertinence. Il semble nous dire que les "CD", les conseils de discipline, sont appliqués avec une grande facilité. Rien n'est plus faux! Les proviseur(e)s de ces bahut rechignent à avoir recours aux "CD" , car les élèves renvoyés sont aussitôt remplacés par d'autres "cassos". Or, on connait bien ceux qu'on "perd", on ne connait pas du tout ceux qu'on "gagne", donc on a plutôt tendance à garder les cas "difficiles". En fait dans ces bahuts "sensibles", la notation bienveillante que les collègues de Foucault lui reprochent, est en réalité, encouragée par l'Education Nationale. Elle est même pratiquée par des milliers de profs depuis des années, et ce, de manière systématique pour avoir la paix sociale dans les classes. Cette absence de pertinence dans le propos d'Olivier Ayache-Vidal vient du fait qu'il n'est plus en contact avec le monde enseignant d'aujourd'hui. Un monde où les profs n'ont plus l'appui de leur hiérarchie en matière de discipline, lorsqu'il s'agit de sévir, ou de se faire respecter. Un monde où il devient de plus en plus ardu d'enseigner même avec les techniques les plus variées, les plus efficaces, et l'enthousiasme le plus débordant. Et c'est pour cela que le recrutement même de ces soldats de la connaissance est devenu si difficile.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    592 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 septembre 2017
    Depuis ‘’intouchables’’ je n’avais jamais ressenti autant d’émotion devant un film français. Si Victor Hugo qui aurait adoré le cinéma pouvait voir ce film, je crois qu’il serait fier de son oeuvre, fier que 255 ans plus tard son immense roman soit aussi utile qu’il le fut à sa sortie. Tout cela grâce à la sensibilité d’un réalisateur dont c’est le premier long métrage. Certes il y a des maladresses, des lourdeurs, des erreurs qu’il aurait été facile de corriger mais il y a tant
    de qualités qui les compensent largement qu’au final un spectateur aimant le cinéma et les enfants ne peut être que comblé. Chaque petit détail de vie observé à la loupe est empreint d’intelligence, aucun bavardage inutile, la camera se chargeant de tout faire comprendre. Passé le premier quart d’heure qui laisse brut les clichés de l’époque et même les intensifie maladroitement, tout se qui suit sera regardé avec l’indulgence et la bienveillance qui conviennent aux enfants de quatrième. Denis Podalydes n’est pas pour rien dans cette réussite, il a su en bon acteur faire passer tous les messages sur le ‘’gout d’apprendre’’ qu’aurait su faire passer dans la vraie vie un professeur digne de ce nom. Rarement un film n’aura été aussi utile en ces temps difficiles que ‘’Les grands esprits’’. Mille mercis à Olivier, Denis et à ‘’Dialo’’ et ‘’Tandia’’.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    767 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Un professeur agrégé de lettres d'un très grand lycée parisien va se retrouver au coeur d'une expérience très intéressante : aller enseigner dans un collège de banlieue classé REP (réseau d'éducation prioritaire).
    Le choc des cultures est évidemment énorme et paraît compliqué au départ, mais l'intelligence du scénario est justement de nous montrer que rien n'est impossible quand on parle d'éducation.
    Denis Podalydès joue très juste et apporte sa touche d'humanité et de subtilité pour faire avancer tous ces élèves proches de la rupture scolaire.
    En étoffant un peu plus la vie personnelle de certains collégiens, ce film aurait pu être bien plus émouvant encore, comme l'avait été "Les Héritiers" sorti fin 2014.
    Un agréable moment néanmoins.
    --> Site CINEMADOURG <--
    poet75
    poet75

    271 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 septembre 2017
    Mais pourquoi nomme-t-on systématiquement les professeurs débutants dans les établissements scolaires réputés les plus difficiles ? Ne vaudrait-il pas mieux y envoyer des enseignants expérimentés ? Qui ne s’est jamais posé ces questions ? Dans le film de Olivier Ayache-Vidal, c’est François Foucault (Denis Podalydès), un professeur qui enseigne dans un collège des plus côtés (Henri IV), qui les exprime à voix haute, sans se douter qu’il parle en présence d’une employée du Ministère de l’Éducation Nationale. Pris au mot, le voilà qui, tout dépité, se retrouve muté au collège Barbara de Stains dans la Seine-Saint-Denis. Le changement est brutal, on s’en doute, et il va falloir bien de l’ingéniosité à François Foucault, tout qualifié et aguerri qu’il soit, pour mettre au travail des élèves pour le moins indisciplinés.
    Difficile d’éviter tous les clichés quand on fait un film sur ce sujet, un sujet que le cinéma a déjà exploré maintes fois. Olivier Ayache-Vidal n’a bien sûr pas réussi à échapper à tous les lieux communs, mais peu importe. Son film n’en est pas moins remarquable pour de multiples raisons. D’abord parce qu’il a fait un choix d’acteur des plus judicieux : dans ce rôle de professeur qui lui va comme un gant, Denis Podalydès fait une prestation éblouissante. Il crève l’écran pendant toute la durée du film et l’on se délecte de chacune de ses interventions, d’autant plus qu’il n’y a que très peu de scènes exemptes de sa présence. Ensuite, parce que le réalisateur a su choisir et diriger à la perfection les jeunes acteurs qu’il a dénichés sur les lieux mêmes, au collège de Stains où il a pris le temps de s’immerger pendant plusieurs mois avant d’entreprendre le tournage du film. De ce fait, celui-ci prend une coloration semi-documentaire qui en accroît la pertinence. Tous les élèves intervenant au cours du film sont criants de vérité, avec une mention particulière pour Abdoulaye Diallo dans le rôle de Seydou.
    Enfin, même si « Les Grands Esprits » n’est pas une œuvre très innovante sur le plan de son scénario, elle offre quand même, si l’on y est attentif, des plages de subtilité. Derrière ses apparences de film quelque peu convenu sur un professeur qui, après un temps de doute, voire de découragement, trouve des moyens et une pédagogie renouvelés capables de séduire des élèves récalcitrants, entre autres en leur faisant goûter « Les Misérables » de Victor Hugo, derrière cela se révèlent des instants de finesse qui en font toute la beauté. Ainsi, quand François Foucault comprend qu’il lui est nécessaire de se mettre, en quelque sorte, à hauteur des adolescents à qui il est chargé d’enseigner le Français. Sans aucunement se rabaisser, en gardant sa stature de professeur, il parvient à trouver des moyens de se faire comprendre de ceux à qui il s’adresse, et bien sûr la relation professeur/élèves en est progressivement transformée. Et puis, à la fin du film, une séquence très réussie met en lumière la générosité et la mansuétude de ce professeur qui, s’il est un fonctionnaire, n’en fait pas moins preuve des qualités humaines les plus louables. S’opposant au directeur de l’établissement et à certains enseignants qui, au sujet d’un élève passant en conseil de discipline, n’ont que les termes de « procédure » et de « loi » à la bouche, il est celui qui remet de l’humanité là où il risque de ne plus y en avoir, quitte à prendre à leur propre piège ceux qui ne jurent que par l’autorité. Une leçon dont nous ferions bien tous de nous inspirer et qui clôt en beauté ce film à la fois plaisant et intelligent. 8/10
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