Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Brillante dissertation sur les joies et les difficultés d’être prof au sein d’une Education Nationale parfois en manque d’imagination.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
La rentrée commence bien avec Denis Podalydès, que l'on rêverait tous d'avoir comme prof.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un thème maintes fois traité et sur un canevas de comédie de banlieue pas spécialement nouveau non plus, une approche de l’école qui ne manque ni de pertinence ni de finesse.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Un pur bonheur d'humanité.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
“Les Grands esprits” flirte avec le docu-fiction et propose une réflexion intéressante sur la pédagogie auprès des élèves difficiles. L’interprétation de Denis Podalydès tire l’ensemble vers le haut.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
L'ex-interprète de Sarkozy à l'écran, dont on ne voit pas ce qu'il ne pourrait pas jouer, est magistral.
L'Express
par A.L.F.
Si le scénario n'évite pas certains clichés et pêche par quelques maladresses, on y perçoit une certaine émotion qui rend l'ensemble assez touchant.
L'Obs
par Jérôme Garcin
En somme, c’est la modestie du propos qui touche. Avec un prof Podalydès très convaincant (surtout quand il raconte "les Misérables"), une bande d’élèves assez craquants et une édifiante sortie-selfie au château de Versailles.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Nathalie Simon
Avec l'acteur en professeur dans Les Grands Esprits, Olivier Ayache-Vidal livre un premier long-métrage divertissant et juste sur le système scolaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Frédéric Strauss
Même si la démonstration est un brin convenue, on sent l’envie sincère de redonner espoir en l’éducation ! Le film ne manque pas de qualités, bien sûr. Entre les élèves et la caméra, une rencontre a lieu, qui apporte de la vérité aux sujets abordés : la discipline, la pédagogie… Quant à Denis Podalydès, enseignant « supérieur » contraint de revoir ses classiques, il trouve, avec une belle évidence, la note juste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Ça sent bon l’angélique, l’eau de rose, la guimauve. Le héros conte fleurette. La chorale finale entonne Si maman si, de France Gall et Michel Berger. La France black-blanc-beur reprend des couleurs. La petite larme est de rigueur.
Le Journal du Dimanche
par S. J.
Au-delà de la comédie, portée par l’excellent Denis Podalydès, il pointe avec justesse la résignation face à l’échec scolaire, partagée par les élèves et une partie du corps enseignant. Mais ce feel good movie sincère ne surprend guère.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Cela reste extrêmement superficiel et ne nous apprend rien sur la vie de ces enfants qui sont juste les faire- valoir du prof, nerd plus malin que ses collègues blasés. (…) Ici, ce n’est pas l’esprit qui souffle mais la démagogie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Bernard Génin
Comédie roborative donc, et optimiste mais qu'on oublie vite.
Le Monde
par Murielle Joudet
Derrière des aspects de grandmesse réconciliatrice, "Les Grands Esprits" dissimule mal le mépris inconscient qu’il éprouve pour le milieu qu’il filme.
Première
par Sylvestre Picard
"Les Grands esprits" ne fait aucun effort pour éviter tous les clichés qui découlent de ce résumé (le prof dur-mais-juste qui apprend autant à ses élèves que ceux-ci ne lui apprennent à devenir humain et sensible), et devenir un plaidoyer extrêmement attendu pour l'Ecole de la République.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
Brillante dissertation sur les joies et les difficultés d’être prof au sein d’une Education Nationale parfois en manque d’imagination.
Femme Actuelle
La rentrée commence bien avec Denis Podalydès, que l'on rêverait tous d'avoir comme prof.
Le Dauphiné Libéré
Sur un thème maintes fois traité et sur un canevas de comédie de banlieue pas spécialement nouveau non plus, une approche de l’école qui ne manque ni de pertinence ni de finesse.
Le Parisien
Un pur bonheur d'humanité.
Les Fiches du Cinéma
“Les Grands esprits” flirte avec le docu-fiction et propose une réflexion intéressante sur la pédagogie auprès des élèves difficiles. L’interprétation de Denis Podalydès tire l’ensemble vers le haut.
Studio Ciné Live
L'ex-interprète de Sarkozy à l'écran, dont on ne voit pas ce qu'il ne pourrait pas jouer, est magistral.
L'Express
Si le scénario n'évite pas certains clichés et pêche par quelques maladresses, on y perçoit une certaine émotion qui rend l'ensemble assez touchant.
L'Obs
En somme, c’est la modestie du propos qui touche. Avec un prof Podalydès très convaincant (surtout quand il raconte "les Misérables"), une bande d’élèves assez craquants et une édifiante sortie-selfie au château de Versailles.
Le Figaro
Avec l'acteur en professeur dans Les Grands Esprits, Olivier Ayache-Vidal livre un premier long-métrage divertissant et juste sur le système scolaire.
Télérama
Même si la démonstration est un brin convenue, on sent l’envie sincère de redonner espoir en l’éducation ! Le film ne manque pas de qualités, bien sûr. Entre les élèves et la caméra, une rencontre a lieu, qui apporte de la vérité aux sujets abordés : la discipline, la pédagogie… Quant à Denis Podalydès, enseignant « supérieur » contraint de revoir ses classiques, il trouve, avec une belle évidence, la note juste.
La Voix du Nord
Ça sent bon l’angélique, l’eau de rose, la guimauve. Le héros conte fleurette. La chorale finale entonne Si maman si, de France Gall et Michel Berger. La France black-blanc-beur reprend des couleurs. La petite larme est de rigueur.
Le Journal du Dimanche
Au-delà de la comédie, portée par l’excellent Denis Podalydès, il pointe avec justesse la résignation face à l’échec scolaire, partagée par les élèves et une partie du corps enseignant. Mais ce feel good movie sincère ne surprend guère.
Les Inrockuptibles
Cela reste extrêmement superficiel et ne nous apprend rien sur la vie de ces enfants qui sont juste les faire- valoir du prof, nerd plus malin que ses collègues blasés. (…) Ici, ce n’est pas l’esprit qui souffle mais la démagogie.
Positif
Comédie roborative donc, et optimiste mais qu'on oublie vite.
Le Monde
Derrière des aspects de grandmesse réconciliatrice, "Les Grands Esprits" dissimule mal le mépris inconscient qu’il éprouve pour le milieu qu’il filme.
Première
"Les Grands esprits" ne fait aucun effort pour éviter tous les clichés qui découlent de ce résumé (le prof dur-mais-juste qui apprend autant à ses élèves que ceux-ci ne lui apprennent à devenir humain et sensible), et devenir un plaidoyer extrêmement attendu pour l'Ecole de la République.