Un très très bon triller, imaginez vous dans le plus redoutable des couvent, des sœurs qui rependent la bonne parole, servant le Christ, quiconque y entre n'y sort plus, les sœurs ont une manière bien à elle de purifier les pêchers, bien que le film semble chrétien, c'est un redoutable films d'horreurs ou, dans ce couvent il se passe des choses horribles, les adeptes sont soumis à des règles les plus perverses et sadiques dont moi mème fi choqué, soeur Anne Kreis, la nonne la plus méchante qui est la nonne principale du film, c'est elle qui va transformer Marie en Agatha.
Mal à l'aise par le trafic de femmes enceintes, répugné par la scène on on nourrit l'héroïne comme un oisillon et celle du vomi. Finalement rien à en tirer, je préfère que le réalisateur reste sur Saw.
Franchement très bon film qui aurait du s'arrêter à la vente des biiiiip....... spoiler...... le film aurait du s'arrêter la. Par contre, le film qui va jusqu'au moment où elle donne quelques billets donnés aux employés, et qu'elle arrive à faire chavirer un navire construit sur des années .. Mouai...
Thriller et non film d'horreur vraiment quelconque. Il parait durer une éternité, tellement il est ennuyeux, barbant et ne décolle à aucun moment. C'est fou le manque d'originalité et de suspense. Vous pouvez passer votre chemin sans crainte d'avoir raté un "must".
Ce n'est pas ma came, malgré au moins des acteurs qui savent jouer, ça reste assez vide et sans interet. Pas d'horreur la dedans, je me suis forcé à aller jusqu'au bout et bof non rien....
Pas de nonnes maléfiques ni possédées pour une fois, contrairement à ce que semble nous indiquer l'affiche. Une banale histoire de trafic d'enfants dans un faux couvent avec de fausses sœurs. Une certaine ambiance au départ mais très vite cela tourne en rond et l'on devine absolument tout ce qui va se passer. Mal réalisé, mal écrit, le pire restant l'interprétation. Darren Lynn Bousman a tout de même fait mieux dans la série des Saw...
Bousman : on en a fait des jeux de mots avec le nom du réal des Saw 2-3 & 4, à l'époque où il était de bon ton de cracher sur une saga de torture-porn qui, il faut quand même bien l'avouer, le méritait un peu...beaucoup. N'empêche, c'est bien Darren Lynn qui a servi le plus crado, le plus viscéral, le plus plus (le 3). Sorti des tics de mise en scène stroboscopique qui ont rendu épileptiques jusqu'à des fruits et légumes, Bousman se débrouille plutôt bien pour dresser une atmosphère délétère dans ce couvent qui ne met pas trente secondes à inspirer le malaise. A coup de décors brumeux et de couleurs infernales, et il faut bien le dire de notre expérience de la nonnesploitation récente, on se rend bien compte qu'on est pas là chez Xavier Beauvois et son Des hommes et des dieux. Un petit coup de gore assez rapide va le confirmer. Visuellement, le film tient la route, grâce à une photographie peu subtile mais soignée. Le scénario par contre ne laisse aucun suspense, et ne fait que préparer le spectateur à la prochaine horreur - avec quelques chausse-trappes - jusqu'à une dernier tiers carrément chiant alors que c'est censé être le climax. Le film ne raconte plus rien, et se repose sur son esthétique infernale. Pas très convaincant, jusqu'à sa conclusion, couillonne en diable.
Pas grand chose à tirer d’un film qui donne souvent une impression de déjà vu. Darren Lynn Bousman ne montre pas grand chose sortie du concept des Saw dont il avait réalisé les épisodes 2,3 et 4. Dans ce St Agatha les Jump Scare sont grossiers, les ficelles énormes, pas aidé par un montage calamiteux. Le film de genre supporte difficilement la médiocrité et c’est le cas ici.
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18 103 critiques
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5,0
Publiée le 13 avril 2020
Sainte-Agatha est parfait, il est dérangeant et extrêmement effrayant. Le film est étonnamment efficace pour créer une ambiance appropriée et parvient à être réaliste par son histoire folle. Le jeu des acteurs est solide et la fin satisfaisante. J'ai apprécié la reconstitution des années 1950 et tous les acteurs féminins. Cinq étoiles mais c'est un film à regarder si vous en avez le ventre...
Sainte Agatha, s’il n’est pas trop tard, priez pour Darren Lynn Bousman afin qu’il arrête de tourner des inepties ! Notre critique complète est en ligne ici : http://www.terreurvision.com/2019/11/st-agatha-20182019-dtv-de-darren-lynn.html
Ca passe. Le scénario n'est hyper hyper original; l'horreur en tant que telle se situe plutôt dans les détails gore et le huis-clos qui cherche à nous faire nous identifier aux personnages. De ce côté là, c'est pas mal. L'ensemble se laisse regarder, une seule fois.
Ce film surfe évidemment sur le succès de "la none". On assiste à un huis clos dans une maison isolée gérée par des religieuses pas très catholiques. "L'horreur" de ce film est basé sur la torture psychologique et physique. On s'attendrait (comme dans la plupart des films où la religion intervient) à du surnaturel, voire de la possession, mais ici rien de tout ça. Certaines scènes prêtent à sourire : spoiler: la scène du cordon ombilical, la nonne avec le fusil à pompe, ...
Un film qui se laisse regarder mais sans grand intérêt.
C’est moche mais Darren Lynn Bousman porte de mieux en mieux son patronyme. Intronisé dans l’antichambre de la cour des grands pour le carton des trois épisodes de ‘Saw’ qu’il a mis en boîte, le réalisateur n’est jamais parvenu à transformer l’essai, et s’est vite noyé dans la série B de genre dans ce qu’elle peut avoir de plus oubliable. Son dernier film se retrouve dans les limbes du cinéma, cet endroit mystérieux où échouent les productions pas trop mal filmées, pas trop mal mises en scène et pas trop mal écrites...et qui, pourtant, empestent la “série B’Zed” : ni volontairement marrante comme la B, ni involontairement marrante comme la Z. Le sujet envisagé, pourtant, s’est raréfié depuis l’époque bénie des années 70 : alors qu’on guette un argument fantastique qui ne viendra jamais, ‘St. Agatha’ tient simplement de la petite boutique (à bondieuseries) des horreurs, avec des filles-mères maltraitées par des nonnes sadiques dans un couvent. Une dimension sexuelle en plus, et on aurait pataugé avec bonheur dans la NunXploitation. On note une tentative de créer une atmosphère spécifique avec quelques effets baroques et chromatiques à la Argento, l’un ou l’autre effet gore à même de révulser les âmes les plus solides (un ablation de langue au ciseau de couture, ça fait toujours son petit effet…)...mais le film n’en devient pas plus intéressantt. Décousu, peu passionnant et sans véritables enjeux, on en est réduit à attendre ce genre de shock-scenes pour vibrer un peu de dégoût...mais elles sont en nombre bien trop restreint pour que ‘St. Agatha’ vaille réellement la peine d’un visionnage attentif.