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    Un Eté 42
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    4,0
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    bladgik
    bladgik

    92 abonnés 538 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 août 2023
    Un film sur l'adolescence d'une autre époque . Une belle musique de Michel Legrand un peu répétitive, de la nostalgie de l'insouciance, un peu d'humour et d'amour des longueurs surtout la fin = un été 42
    guillebotis
    guillebotis

    3 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 décembre 2022
    Le jeu des jeunes est très vieilli. Heureusement, le film est sauvé par la scène de la consolation qui, encore aujourd'hui, pleine de pudeur et de sensibilité, demeure en mémoire après le film. La fraîcheur des deux interprètes principaux, la beauté de cette côte de Nouvelle Angleterre, probablement Block Island au large de Cape Cod, qui rappelle les plages de la Bretagne sud du Morbihan (en Bretagne le sable est néanmoins beaucoup plus clair et lumineux, sans chauvinisme !) la ganivelle (clôture en bois typique des dunes), tout ça, on s'en souvient, le flot des vagues est admirablement filmé mais il est vrai... tellement photogénique ! Un film qui sonne très 70' mais que l'on peut encore regarder.
    Pascal
    Pascal

    165 abonnés 1 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2022
    Un jeune adolescent passe ses vacances sur l'île de Nantuket ( Massachusetts) située Nord Est des états-unis pendant l'été 1942
    Il tombe amoureux d'une jeune mariée, restée seule après que son mari soie appelle à combattre. Grand succès public lors de sa sortie en 1971, le film fut réalisé par Robert Mulligan alors que sa collaboration avec Pakula ait pris fin. Si Mulligan est un metteur en scène qui a une bonne réputation auprès de la critique, notamment en raison du " silence et des ombres" son chef d'oeuvre, le reste de sa filmographie est peu accessible au grand public. Ce n'est pas le cas d'"un été 42" dont le succès en a fait auprès de la critique un film un peu facile sur l'histoire d'un dépucelage, ou l'auteur avait abandonné sa rigueur thématique pour faire un succès ( qu'il obtint d'ailleurs dans ces proportions uniquement avec ce film). Il faut connaître certains éléments de la conception d'"un été.." pour voir les choses un peu différemment. En effet, c'est un film autobiographique tiré d'un moment de la vie du scénariste qui voulu en l'écrivant rendre hommage à son camarade de jeux Oscar, ( incarné dans le film) qui mourut pendant la guerre de Coree ( soit environ une décennie après ce que raconte le film). Il faut admettre qu' " un été 42" possède un charme exceptionnel. L'interprétation, le décor naturel en font un lieu de paradis, malgré la tragédie historique qui les entoure, mais presque totalement absente de la narration. C'est un film particulièrement sensible et émouvant que j'aime beaucoup. Les commentaires en voix off sont dits par Mulligan lui-même. Pour la petite histoire, l'interprete féminin d'un été
    42, Jennifer O neil, mannequin célèbre.qui se lança dans le cinéma connu un succès considérable avec ce film, même s'il ne dura pas très longtemps. Pour la petite histoire, elle fût mariée neuf fois, ce qui lui valu quelques désagréments documentés les plateaux de tournage, avec certains de ses collègues qui en tiraient une déduction rapide et hors de propos. L'interprétation du jeune homme est vraiment formidable ( il en fut d'ailleurs récompensé), cependant sa carrière dura peu, même si on le retrouve un peu plus tard, encore jeune, interprétant un second rôle dans un western dirigé par Richard Fleisher.
    foxmulderlemartien aussiekiwi
    foxmulderlemartien aussiekiwi

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    5,0
    Publiée le 17 janvier 2022
    Ce film est d'une tendresse et d'une douceur incomparable, j'aimerais revivre un été 42 chaque jour qui passe.Quand je vois la vie de tous les jours qui n'est faite que de dureté et de méchanceté, ce film apporte réconfort et douceur. Ce film me fait complètement rêver, je suis déjà ému quand j'entends parler du film. Jennifer O Neill est complètement radieuse, lumineuse et pleine de douceur et de tendresse c'est un bonheur absolu de la voir dans son rôle de Dorothee. Quand à la musique de Michel Legrand elle est si émouvante et saisissante qu'elle prend à l'âme. Quand je regarde le film je veux que Hernie et Dorothee ne se quitte plus, je voudrais que leur rencontre ne soit pas éphémère mais qu'ils continuent de se voir. Jennifer O Neill et la musique de Michel Legrand resteront à jamais inoubliables. J'aimerais tellement revivre un été 42 peut être dans une autre vie....
    bobmorane63
    bobmorane63

    197 abonnés 1 982 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2020
    Un film sur l'adolescence et les premiers émois amoureux raconté comme il faut par le cinéaste Robert Mulligan !! Herbert traine avec ses copains sur une plage ou il tombe sous le charme d'une femme dont le mari est parti en guerre "Un été 42" comme le titre l'indique. On y parle entre copains de sexualité, de filles et comment les aborder comme tout garçon de cette age et Herbert fait connaissance avec l'héroine qui s'appelle Dorothée, une belle femme, qui sympathisent jusqu'à tomber amoureux. Ce long métrage a pas mal de qualités comme la mise en scène avec des plans superbes (surtout la fin traité avec pudeur), des dialogues avec des ados vu par des ados, la musique mélodieuse et mélancolique de Michel Legrand et puis le personnage principal joué par Gary Grimes excellent et la très belle Jennifer O'neill qui a un role plus secondaire mais surement mis en avant pour vendre le film plus la narration bien raconté. Un très beau film que je conseille de voir a tout age.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 février 2020
    Trois adolescents passent leur été 42 sur l’ile de Nantucket
    Hermie est bouleversé par une jeune femme Dorothy qui habite la maison sur la dune
    alors que son mari militaire part au front en France.
    Jennifer O'Neill est radieuse dans ce rôle de Dorothy
    et illumine tout le film
    On pense que c'est une bluette ou un film d'adolescent
    Ce n'est pas du tout cela
    Robert Mulligan savait comme personne comment filmer l'enfance
    Vous allez rire dans une épicerie et votre gorge et votre cœur va se serrer dans la maison sur la dune
    Je ne sais pas pourquoi son film me touche autant
    Je l'ai vu une première fois ce film il y a une trentaines d'années et
    je la regarde avec toujours autant de plaisir
    La scène de fin est bouleversante et belle
    On va l'impression qu'il y a deux Jennifer O'Neill
    Celle qui est solaire et tellement heureuse de vivre tout au long de ce film et la seconde
    Je n'ai que deux bémols :
    Cette actrice n'était pas que belle et n'a pas eu la carrière qu'elle méritait
    ....Et j'ai pris un gros coup de vieux sans trop savoir pourquoi
    La nostalgie de l'enfance peut être
    Et l'histoire est vrai
    et Dorothy était un peu plus âgée

    https://yesterdaysisland.com/herman-raucher/
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    325 abonnés 3 003 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 janvier 2020
    Un drame romantique au charme naïf d'une certaine époque, notamment dans son approche et dans la réalisation. Une évocation nostalgique du souvenir, du 1er amour, du passage à l'âge adulte sur la douce mélodie de M. Legrand. Pour autant, il y a de nombreuses lenteurs, le récit aurait pu être davantage développé sous certains aspects ainsi que le côté psychologique.
    Catherine V.
    Catherine V.

    57 abonnés 610 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2018
    Un film qui a quelque chose d'envoutant... La musique y est pour beaucoup, bien sûr, mais l'histoire en elle même nous rappelle à tous, du moins je le pense, un moment de notre vie , peu ou prou tout au moins... Un film élégant et délicat qui me procure à chaque fois que je le revois une irrépressible nostalgie.
    Tietie008
    Tietie008

    25 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 août 2021
    Il y a Jennifer O'Neil et la musique de Michel Legrand, sublime, pour cette chronique adolescente pleine d'émotions.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    400 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 avril 2016
    Il reste toujours dans nos souvenirs quelque chose de flou et à la fois marquant, quelque chose qui demeure et qui se détériore, quelque chose qui passé l’âge de raison ne nous sert qu’à simplement faire oublier l’ordinaire tellement cette insouciance était belle, les petits plaisirs simples de notre jeunesse, ces moments que nous ne revivrons plus jamais, gravés dans le marbre de notre mémoire s’effritant malgré tout. Heureusement il reste le cinéma, celui qui "fabrique les souvenirs" comme Godard le disait si bien, le cinéma peut aussi les faire vivre et les projeter en nous par le prisme de l’écran cathartique, machine à rêve, bien qu’éphémère instant.

    Hermie se souvient de cet été 1942 sur l’île américaine du Nantucket, de ses 15 ans, le temps de l’innocence loin de la réalité qui frappe l’Europe de l’autre côté de l’Atlantique, il se rappelle de ses deux inséparables amis Oscy et Benjie sur la plage et surtout du visage angélique de cette femme mariée à un soldat, le coup de foudre, l’amour impossible. Il se met alors à rêver de l’aborder sous les moqueries puériles de ses camarades tout aussi maladroits avec les filles de leur âge, rien qu’une attention, un sourire; la croisant par hasard devant le drugstore du village il se propose pour porter ses paquets et la raccompagner jusqu’à son habitation au bord de mer, un premier pas; Oscy lui a déjà conçu un plan par écrit pour enfin passer à la seconde étape, Hermie se retrouvera alors entre son désir empli de prude sincérité et cette course malhabile au dépucelage.

    Le film s’ouvre sur un diaporama nostalgique des recoins de l’île sous les notes du piano de Michel Legrand, comme des fragments de mémoire mélancoliques et idéalisés, le soleil se lève sur la plage pour voir surgir des figures en aval des dunes, trois jeunes adolescents accourent puis se cachent dans les bordures creusées par la mer pour épier un couple, c’est là que Hermie fera connaissance avec l’amour, la voix off adulte de ce dernier nous transposera dans son propre regard, l’identification est d’ors et déjà faite. Cette première séquence est je trouve d’une grande intensité, autant par la réalisation de Robert Mulligan offrant d’admirables cadres au grain nébuleux que par l’importance de la musique appuyant la grâce des ralentis sur le visage et les gestes de la sublime Jennifer O’Neill, actrice au regard m’ayant déjà fait fondre dans L’emmurée vivante de Lucio Fulci, ici elle est encore plus radieuse, c’est dire à quel point je n’ai eu aucun mal à comprendre la subjugation de Hermie, impossible de ne pas être insensible face à tant de beauté.

    Mais cette histoire n’est pas faite que d’amour, il y a aussi évidemment l’amitié qui elle est davantage ouverte à la candeur et l’infantilité, d’une crédulité quasi totale face aux sentiments émergeant de la puberté, que faire du temps imparti lorsque l’on est un groupe de garçons adolescents l'été venu ? Les filles bien sûr, répondre au bouillonnement hormonal pour sonder le sexe opposé, le plus difficile étant de savoir comment s’y prendre. Et c’est leur maladresse qui est touchante (cependant, et c’est l’unique petit défaut du long métrage, certains échanges manquent quelque peu de naturel, de même pour une baston dans le sable pas nécessairement utile) car nous sommes à peu près tous passé par là, du feuilletage "théorique" de magazines à la pratique des rencontres forcées, la séquence du cinéma montre très bien cela car il y a deux cas de figures, deux tentatives d’approche tout en étant confronté à la projection d’une romance en noir et blanc. L’âge d’or d’Hollywood fait de classe envoutante et de mots gracieusement posés contraste avec cette jeunesse qui n’a pas de temps à accorder aux sentiments et au dialogue, les gestes sont tout autant brusques que lancinants, la fierté étant de toucher le sein de leur voisine, j’ai trouvé la mise en scène absolument superbe.

    En parallèle il y a donc la rencontre avec cette femme représentant son plus pur désir, Dorothy; on voit Hermie se risquer naïvement à jouer les gentlemen, prenant cette fois le temps de briser son appréhension pour converser, elle semble lui répondre en toute obligeance, éludant toute tentative impromptue de séduction. Jusqu’à ce qu’il lui déclare tout énamouré et yeux écarquillés ses sentiments, la récompense d’un baiser sur le front fera figure de trophée auprès de ses camarades, encore une fois l’instant est superbement bien capté, d’ailleurs le jeune acteur est formidable. Il y a évidemment ce côté tabou de l’ambiguïté sexuelle entre un adolescent et une femme adulte, mais l’aspect prétendument sulfureux du film est désamorcé du fait que nous voyons cette liaison à travers le regard de Hermie, avec toute l’innocence qu’on y accorde et qui est sous-tendu, le sexe est d’ailleurs décrit comme un apprentissage, une quête encore inexplorée. Ce qui accouche d’une scène très drôle lors de l’achat de préservatifs au drugstore en prévision du feu de camp avec Oscy et leurs conquêtes respectives, ce genre d’instant un peu honteux qui forge la jeunesse et qui nous reste en mémoire.

    Mais ce qui caractérise réellement cette histoire c’est son profond romantisme, celui d’une époque révolue retranscrite à travers cette réminiscence du fantasme, Hermie nous fait partager son souvenir pour mieux l’exorciser (à savoir si il y a une part de vécu chez Mulligan je l’ignore) comme la parenthèse fondatrice du passage à la maturité. La dernière demie heure va faire figure d’apothéose lors de ce rendez-vous dans un crépuscule vaporeux au bord de mer, d’une absolue beauté, tout n’est que silence, douceur, sensualité, érotisme, simplement le chant de la houle et le bruit sourd d’un vinyle tournant à vide. La séquence parait pourtant curieuse tellement elle repose sur une spontanéité presque improbable chez Dorothy, se passant de mots, détachée, ils ne seront que délivrés par écrit …
    spoiler: Suite à l’annonce du décès de son mari elle s’offre à Hermie dans un acte égoïste et désincarné pour d’une certaine manière faire l’amour une ultime fois avec le souvenir de sa défunte moitié, se servant de cet adolescent comme simple objet sexuel, avant de partir pour ne plus jamais le revoir. D’ailleurs je trouve le jeu de Jennifer O’Neill lors de sa dernière apparition à l’écran incroyablement juste, on ose à peine comprendre la situation, elle tourne le dos à Hermie pour scruter honteusement le large, le laissant totalement hagard, avant la révélation de la lettre qui sonne comme une tragédie.


    … pour signer la mort de son enfance.

    Summer of 42 est le genre de film bouleversant auquel je ne m’attentais pas, il est assez rare que le cinéma me procure de telles émotions, au point de lâcher quelques chaudes larmes à la fin, je pense que chacun sera ému ou non selon sa sensibilité et son expérience puisqu’on touche à notre plus profonde extériorisation traumatique, en l’occurrence la fin de l’insouciance. Et j’aime le temps d’un film me retrouver captivé par la grâce de l’instant, de (re)vivre quelque chose, ça ne manque également pas d’espièglerie, notamment en ce qui concerne la gaucherie potache des premiers soubresauts pré-pubères, à la fois drôle et triste donc, la vie est ainsi faite.
    Il n’y a pas de doute, cet été 1942 est intemporel ...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 janvier 2015
    Robert Mulligan s'est inspiré du récit autobiographique d'Herman Raucher (à qui il a confié le scénario) avec une rare subtilité. Ce film nous renvoie à nos premiers émois et s'inscrit de façon sublime dans notre vie ensuite, tous autant que nous sommes, des décennies plus tard ... Au delà de l'image (superbe) et au son d'une musique somptueusement romantique de Michel Legrand, l'histoire nous parle du temps qui a passé depuis la première perception de l'amour, de la guerre, de la mort, de la vie, tout en gardant une "présence", somme toute universelle. Superbe scène finale d'une sincérité inoubliable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 février 2014
    Quel film... Un rêve d'enfant d'adolescent et de cinéphile... Comment oublier la douce musique de Michel legradn qui convient si bien à cette nostalgie de la jeunesse perdue... Les non-dits, la scène d'amour toute de silence...
    Bien que souffrant de quelques longueurs et d'une réalisation parfois maladroite ce film est un classique, un rêve dans la brume, l'expression de nostalgie que toute personne a déjà ressenti ("Chacun a eu dans sa vie un été 42")
    A voir absolument, un soir, pour regoûter à la douce nostalgie
    Andrepollen
    Andrepollen

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2013
    j'ai bien vu ? je ne rêve pas ? au minimum, 99 € le DVD .... ?????
    SCHWARTZ P.
    SCHWARTZ P.

    9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 avril 2013
    j'ai rarement vu un film aussi romantique et bouleversant ... la mer, l'insouciance, les premiers désirs, l'extraordinaire musique de Michel Legrand et Jennifer O'Neil, modèle de beauté et de féminité, le
    fantasme tendre de mon adolescence ...
    ER  9395
    ER 9395

    87 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 février 2013
    Tout en tendresse et en délicatesse , un film bouleversant .
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