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    Un Beau Soleil Intérieur
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    chas
    chas

    37 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 septembre 2017
    Juliette Binoche en promenade à La Souterraine, célèbre ville de la Creuse qui organise son 5° festival d’art contemporain, se révolte, exaspérée par les bavardages de ses semblables :
    « Tout vous appartient : les paysages, les oiseaux… »
    Qui n’a pas prétendu vouloir tout commenter avec bien sûr tant de juste distance ? Cette séquence en contrepoint est la plus réussie à mon goût de la comédie tellement parisienne des désordres amoureux, persillée d’une ironie perpétuelle qui effacerait les larmes, et épargnerait de la solitude.
    Faut-il rire de la recherche d’un impossible amour, trop absolu, d’une divorcée, surtout à cet âge, fut-il encore flamboyant ? Ce n’est pas si loin du dramatique, du pathétique.
    La peinture des chassés croisés est bien dialoguée, mais ce milieu bobo a été tant peint et repeint, qu’il ne reste pas grand-chose de neuf, hormis le jeu brillant des sempiternels bons acteurs interprétant d’éternels personnages, pris dans des situations déjà vues. Cette molle satire au titre pince sans rire ne serre aucun cœur, ni ne titille guère les zygomatiques.
    Agathe R.
    Agathe R.

    14 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 septembre 2017
    Film court mais ennuyeux. Les dialogues sont insipides et celui de la fin entre Juliette Binoche et Gérard Depardieu est interminable.. Un enchainement de je t'aime, moi non plus à n'en plus finir. Franchement pas terrible!!!
    traversay1
    traversay1

    3 675 abonnés 4 888 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 septembre 2017
    Pour qui connait un peu le cinéma de Claire Denis, le plus souvent abrupt, Un beau soleil intérieur est tout à fait inattendu. La coécriture avec la trop célèbre Christine Angot est à l'origine de ce projet, un film qui raconte les états amoureux d'une divorcée à la recherche d'un compagnon de longue durée. Juliette Binoche, lumineuse, incarne cette femme trop sentimentale et qui passe très vite de l'euphorie à la tristesse. L'actrice livre une excellente partition mais elle est pratiquement la seule (épargnons Katerine et Depardieu) tant la surcharge de dialogues, censés être drôles et spirituels, et qui sont loin de l'être toujours, submerge et annule le jeu de ses interprètes. On reconnaitra les mots de Angot, ce côté très parisien qui se veut critique à l'égard du parisianisme, justement, et du snobisme des milieux culturels de la Capitale. Cela sonne assez souvent creux dans une caricature gênante qui culmine dans une longue scène ridicule à la campagne. Si l'on rit parfois, c'est plus nerveusement que pour l'intelligence des répliques. De mise en scène, le point fort de Claire Denis, généralement, il n'en est pas question vu que la plupart des scènes auraient davantage leur place sur une scène de théâtre. Un beau soleil intérieur a connu un succès incontestable lors de sa présentation à la Quinzaine des réalisateurs ? Il faut vraiment se méfier de l'accueil des films à Cannes, il relève souvent du mystère insondable de l'état des festivaliers saturés d'images du matin au soir.
    Ufuk K
    Ufuk K

    527 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 octobre 2017
    " un beau soleil intérieur " présente à la quinzaine des réalisateur du festival de cannes est un film qui me laissera pas une grande trace dans mon esprit. En effet l'idée de départ une femme qui cherche le grand amour et le casting 5 étoiles m'a incite à voir ce film , hélas les dialogues, situation et personnage sonne creux et sent l'improvisation. Je me suis ennuie devant cette histoire.
    vinae
    vinae

    7 abonnés 146 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 septembre 2017
    sans intérêt malgré le casting de choix, dont depardieu juste à la fin (en même temps que le générique, comme ça au moins le public attend jusqu'au bout avant de se diriger vers la sortie!).on les voit dans une petite séquence -voyance ( car la jolie binoche en recherche de l'Amour, du vrai, ne sait plus où donner de la tête (du coeur) parmi tous ses "parigots" de mecs qui ne s'interesent qu'à leurs nombrils...paul blain , sort du lot, elle le pêche dans la creuse celui-là. défilent donc beauvois, duvauchelle,katerine,podalydès,etc etc...irréprochables acteurs mais film même pas drôle...
    cylon86
    cylon86

    2 560 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 octobre 2017
    Isabelle, la cinquantaine, est perdue dans sa vie sentimentale. Elle va d'amants en amants, cherchant l'amour mais ne trouve que des déceptions. La faute à ses rencontres (faites d'indécis, de machos et de gens trop différents d'elle) mais aussi à l'incapacité de l'être humain à communiquer convenablement. Parfois drôle, quelquefois touchant, "Un beau soleil intérieur" est également agaçant, donnant souvent l'impression de tourner en rond à l'image de son personnage principal, interprétée par une Juliette Binoche tout à fait rayonnante. L'actrice donne vie à une héroïne parfois agaçante mais en même temps tellement touchante dans son désarroi. Le film, pourtant court (1h34), finit toutefois par souffrir de terribles longueurs car les longues scènes dialoguées et hésitantes (qui sont cependant très écrites) sont inégales, parfois interprétées avec talent (Nicolas Duvauchelle, Bruno Podalydès), parfois avec mystère (Gérard Depardieu) mais aussi avec une fausseté qui saute aux yeux (Xavier Beauvois, Paul Blain). Le film, bien que délicieusement porté par Juliette Binoche, donne tout de même l'impression de ne parler pour ne rien dire et n'apporte pas grand-chose si ce n'est un certain charme.
    Sylvain P
    Sylvain P

    343 abonnés 1 361 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 octobre 2017
    Du bavardage qui fait du statu-quo, c'est rigolo pendant 5 minutes pour un sketch télévisuel, mais au cinéma, pendant 1h30, c'est lassant. Alors bien sûr, il y a de bonnes répliques (manquerait plus que ça), des portraits réels (et notamment peu flatteurs pour la gente masculine) et de bonnes interprétations (Juliette Binoche est épatante) mais c'est loin d'être suffisant pour en faire un bon film.
    PaulGe G
    PaulGe G

    113 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 septembre 2017
    parisianisme et snobisme, sont les attributs de cette chose. les états d'âme d'une bourgeoise en mal du vrai amour. le ridicule ne tue plus depuis longtemps , mais là on atteint des sommets. je t'aime, je t'aime plus, je te re-aime, etc, des non scènes, des non dialogues. et pour finir le monologue insipide et ridicule de Gérard Depardieu . C'est du grand déballage de stupidité mais ça y croit ferme. bref une belle inutilité.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 1 octobre 2017
    En un mot : insupportable. ce film suinte le parisianisme bourgeois de toute part, ce même parisianisme - nombriliste et vaniteux, d'une vacuité sidérale - qui fait agoniser le cinéma français depuis des décennies. Ce film est d'un ennui rarement rencontré au cinéma. C'est insupportable d'assister aux péroraisons masturbatoires de ces cinéastes parisiens déclinant vers la vieillesse et s'accrochant encore à des tentations infantiles. Un beau soleil intérieur ? Un vacuité intersidérale !
    bouddha5962
    bouddha5962

    62 abonnés 738 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 septembre 2017
    Un si beau casting mais un scénario pénible et ennuyeux... Lorsqu'au générique on voit le nom de la co-scénariste.... ceci explique cela.... Quel dommage car le thème abordé peut être intéressant. Malheureusement, ça ne décolle pas, c'est long et on attend avec impatience l'épilogue tout aussi imbuvable. Bref, une perte de temps incroyable...
    Caine78
    Caine78

    6 839 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 juin 2018
    Claire Denis s'essayant à la comédie (dramatique) : c'est du moins ce qui nous était vendus, à tort... Ou plutôt : autant j'ai bien vu le côté dramatique, autant l'aspect comique... Quand j'y pense, j'aurais pu le massacrer, ce « Beau soleil intérieur » (très joli titre, au passage, sans doute ce qu'il y a de plus réussi). Car pour ceux qui reprochent au cinéma français de ne s'intéresser qu'aux bobos parisiens ne se préoccupant que d'eux-mêmes, ils ont ici une véritable mine d'or. Dialogues prises de tête et prétentieux au possible, où chacun sembler chercher à aller au bout du bout de la caricature bourgeoise libidineuse (Xavier Beauvois) et des artistes intellos (Nicolas Duvauchelle). Et je ne parle même pas de l'héroïne, peintre faisant absolument tout pour gâcher sa vie mais s'étonnant que ça aille mal, aux coups de sang grotesques et passant son temps à se plaindre au point d'apparaître fort répétitive. Pourtant, je mets deux étoiles. C'est que Denis sait filmer Paris (notamment la nuit), et aussi agaçant soient-ils, ces protagonistes expriment quand même quelque chose sur le mal-être, la solitude, la difficulté de rencontrer et d'aimer quelqu'un aujourd'hui... De plus, s'il y a bien une actrice qui pouvait rendre (vaguement) supportable ce personnage principal, c'est bien Juliette Binoche : elle a la force, la présence, la sensualité nécessaire pour parvenir à un portrait presque touchant dans ses meilleurs moments, malgré l'écriture épaisse et presque déplaisante de Christine Angot, sacrifiant par ailleurs plusieurs sfigures qui auraient pu éventuellement apporter un peu de douceur au récit, même si cela peut aussi se justifier par cette « valse d'hommes » tournant autour d'Isabelle sans jamais y rester bien longtemps. D'autant que la dernière scène, très réussie dans ce qu'elle exprime comme son déroulement audacieux à tout point de vue (Gérard Depardieu éclipsant au passage tous ses homologues masculins), permet de conclure sur une note plutôt positive, excellente démonstration de ce qu'aurait pu être l'œuvre si la réalisatrice n'avait pas autant cédé aux mondanités presque déplacées polluant si souvent le cinéma français. Décevant, souvent irritant, sans être totalement raté.
    Laurent C.
    Laurent C.

    262 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 octobre 2017
    Bien sûr, c'est du Angot avant tout. Et quand on aime les saillies verbales de l'écrivain, on ne peut que se réjouir de ce flot de discussions autour d'Isabelle, aussi belle qu'elle est légère, agaçante, immature et peu certaine. Car Isabelle chercher le grand amour. Et finalement, ce beau titre ne recèle rien d'autre qu'une course effrénée à la recherche l'homme dont on espère qu'il l'accompagnera quelques années. Mais les hommes qui hantent ce film sont des sortes de caricatures d'eux-mêmes : un banquier grossier et grotesque, un acteur qui ne sait pas ce qu'il veut, etc. "Un beau soleil intérieur" rate son but. Si le sujet est une opportunité à raconter l'amour qui manque chez les femmes célibataires qui ont dépassé la quarantaine, il se perd dans une longue et fastidieuse juxtaposition de scènes qui amorcent des portraits avortés et caricaturaux. Même le personnage sanglotant d'Isabelle, interprété par une Juliette Binoche généreuse, passe à côté de lui-même. On ne voit que l'extrême beauté douteuse de l'héroïne, la minceur juvénile du corps, et un milieu social artistico-bourgeois qui se moque de lui-même. Tout y passe : la détestation des hommes, l'aristocratie parisienne, la province arriérée, dans un fatras épais de dialogues, de larmes de crocodile. On s'ennuie beaucoup dans ce "Beau Soleil Intérieur" dont on ne parvient pas à croire qu'il soit aussi ironique que Claire Denis et Christine Angot voudraient nous faire penser.
    Reverdy
    Reverdy

    22 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 octobre 2017
    Heureusement que Juliette Binoche joue dans ce film. Elle montre qu'elle est une bonne actrice. Les autres acteurs surjouent, ou en tout cas suivent une direction d'acteurs un peu lourde, qui crée des scènes un peu interminables, même si elles sont drôles à certains moments. Les hommes sont décevants et odieux dans ce film mais Gérard Depardieu nous fait rire à la fin, et même s'il n'arrive pas - comme Juliette Binoche - à totalement sauver le film, il nous récompense d'être restés jusqu'au bout. La dépression a du bon finalement. Pour finir, on ne peut pas nier qu'il y a une certaine réflexion sur la vie de couple, la recherche de l'idéal amoureux, et les déceptions amoureuses, mais cela est trop bourgeois/bohème pour être vraiment crédible et pertinent.
    L_huitre
    L_huitre

    86 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 octobre 2017
    Ce film vaut d'abord pour Juliette Binoche. Une actrice d'une sensibilité rare qui a une fâcheuse tendance à s'égarer dans des films d'auteurs très arides, peu ouverts au grand public. Quoi qu'amoureux du cinéma dans son universalité, je n'avais pas trouvé récemment de convergence entre son cinéma et le mien. Quel plaisir donc de la retrouver ! Elle est lumineuse et sait passer du rire aux larmes avec un naturel confondant. "Un beau soleil intérieur" lui donne un bon rôle de composition, celui d'une femme seule, déboussolée, vivant mal sa solitude et désespérément en quête d'amour. Un rôle touchant qui traduit bien la détresse de nombreuses femmes célibataires ou divorcées, qui après un certain âge, peinent à trouver l'âme soeur. Ce combat au quotidien méritait bien un joli film... Hélas, la réalisatrice Claire Denis traite le sujet avec des gros sabots qui nuisent à l'équilibre du film. Si la belle Juliette est magnifique dans sa détresse et son inconstance, les personnages masculins sont des caricatures grossières, des hommes calculateurs, grossiers, immatures, égoïstes ou faibles, dominés pour la plupart par leur libido. Seul l'homme de la boîte de nuit montre un peu de hauteur de vue, mais ce n'est que parce qu'il ne parle quasiment pas. Quelle misère ! Le personnage du banquier ( un banquier, vous -dis-je, ficelle un peu facile ! ) est tellement odieux qu'on se demande ce qu'elle a pu lui trouver. C'est à vrai dire très improbable !... Sauf si le propos de la réalisatrice était de dire que la femme de cinquante ans est condamnée à ne rencontrer que la lie de la société, et donc à rester seule. Message très positif comme on voit, qui saura, sans nul doute, capter l'attention des intéressées. Aussi, Claire Denis réalise une petite pirouette finale avec l'intervention de Gérard Depardieu dans un personnage de voyant prêchant pour sa propre paroisse. Malin, même si cela n'apaise pas le caractère désespéré du propos. J'ai peur qu'une fois de plus, la géniale Juliette se soit un peu fourvoyée. Le sujet méritait un traitement plus subtil. Ne serait-ce que pour les millions de célibattantes...
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    602 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 octobre 2017
    Une étoile pour Juliette Binoche et une pour le courage de Claire Denis d’avoir abordé un sujet aussi peu commercial. Le résultat est hélas bien décevant, il ne se passe rien et la mise en scène est celle d’un téléfilm encombrée de gros plans. C’est à 100% un film de femmes (l’actrice principale, la réalisatrice et la dialoguiste), de femmes compliquées en plus et qui ne font rien pour simplifier les choses. Les problèmes d’Isabelle sont inintéressants pour les spectateurs masculins et les hommes rencontrés dans le film sont logiquement incapables de les comprendre. Tout respire l’artifice, une seule séquence dégage une émotion : celle de l’entrée d’un jeune campagnard qui vient prendre Isabelle dans ses bras en ressentant et partageant sa solitude et sa détresse. Pour une seule fois la dialoguiste aura la pudeur de se servir du silence car c’est rare de voir un film aussi bavard et aussi creux intellectuellement. Même son titre, magnifique pourtant et l’intervention de Gérard Depardieu cachent de grands vides derrière de grands mots. Les adhérents d’allociné ne se sont pas trompés, leur jugement est sans appel sur un film qui vient de sortir en salles.
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