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    Un Beau Soleil Intérieur
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    219 critiques spectateurs

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    Daniel C.
    Daniel C.

    152 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 octobre 2017
    C'est avant tout Juliette Binoche, qui m'a conduit vers ce film. Mais, j'espère oublier ce personnage, qui m'a fait la trouver insupportable. Qu'il est dur d'être une femme artiste, qui veut exister dans le monde, qui aspire à la reconnaissance, mais aussi à l'amour d'un homme. Quelle est la nature de cet amour ? Une quête éperdue d'un objet comblant et aimant, une mère ? Sitôt la rencontre, elle attend tout de l'homme, qui surgit. C'est une véritable plongée vers le fusionnel, qui peut provoquer la fuite de ses partenaires. La critique du milieu de l'art contemporain est intense : snob, élitiste, porté par l'argent. On pense au reportage sur France Inter de Daniel Mermet avec Franck Lepage à la FIAC, qui parlait de "l'art content (ou comptant) pour rien". Le personnage incarné par Juliette Binoche est désespéré et désespérant dans sa recherche d'amour, dans l'illusion à chaque fois renouvelée, mais tellement hâtive et inconsistante. Plutôt que de recourir à la voyance, une psychanalyse serait sans doute la démarche adaptée pour se désillusionner, prendre le risque de traverser un désert affectif sans perspective et s'ouvrir à la possibilité d'une vraie rencontre. Le discours du voyant, s'il n'avait la prétention divinatoire, pourrait offrir des perspectives, il n'offre hélas que de l'illusion... Je crois que je n'aime pas cette conception de l'amour au féminin. J'ai découvert après coup que Christine Angot avait participé au scénario, je ne sais si sa lucidité, sa quête de vérité a servi le propos.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    639 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 octobre 2017
    "Un beau soleil intérieur" raconte la quête sentimentale complexe et pleine d'embuches d'une cinquantenaire esseulée. Elle a connu une histoire d'amour, elle a eu un enfant et se retrouve seule et tente de se reconstruire sentimentalement. J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire qui est avant toute chose servie par des dialogues longs et tortueux où la complexité des désirs et des pulsions en est le coeur. Ca papote, ça tourne en rond, ça se cherche, ça hésite, ça parle pour ne rien dire, ça reformule, ça ne va pas à l'essentiel et ça nous perd, nous spectateur, dans les méandres de ce que l'amour produit en nous. Juliette Binoche est désirable et voluptueuse mais se décompose à la vue de chaque homme qu'elle rencontre. Ses émotions sont vives et fortes, peut-être trop intérieures pour que ça nous parvienne. J'ai été un peu énervé de voir tout ce beau monde autour d'elle. Quel intérêt ? Faire le buzz pour remplir les salles ? Je peux comprendre la présence d'une grande actrice comme Juliette Binoche pour jouer un tel rôle mais y-avait-t-il vraiment besoin de toutes ces têtes connues pour jouer les petits rôles ? Josiane Balasko, Philippe Katerine, Nicolas Duvauchelle et pour le clou du spectacle Gérard Depardieu ? Ce qui aurait pu être un beau film d'auteur se transforme en blockbuster à la française et c'est bien dommage. D'autant plus que je n'ai pas trouvé le film drôle comme le mentionnent certaines critiques, et il m'a été difficile de suivre avec exactitude le parcours sentimental du personnage qui traverse une période d'incertitude, voire même de crise. Je ne sais pas si c'est le fait d'être encore jeune et de ne pas avoir l'expérience sentimentale nécessaire pour m'identifier au film, mais j'ai trouvé les scènes longues et répétitives la plupart du temps et les rapports demeurent flous à chaque fois. On arrive pas à cerner le personnage et ses attentes et c'est sans doute là le but, mais on la voit passer d'homme en homme très rapidement, sans mentionner de possibles ellipses. Et avec un titre aussi lumineux, c'est assez contradictoire, on pourrait du coup comprendre que c'est épanouissant de coucher à droite à gauche... Pour ce qui est de la fin avec Gégé, elle n'apporte rien d'autre que du trouble : est-ce une critique pour dire que les voyants disent toujours n'importe quoi ou est-ce pour nous dire que tout ce qu'on a vu ne sert à rien ? Dans tous les cas, cette façon de papillonner avec les hommes et les mots ne m'a pas touché. Le film tente, en vain, et à mon avis, de transmettre un état complexe de manque et de tristesse relatif à chacun et donc très délicat à représenter.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 octobre 2017
    J'adore Juliette Binoche, mais que fait elle dans cette galère... ? Le film est ennuyeux, c'est trop souvent le cas dans les films français. Et pourtant j'adore le cinéma français mais il semble que l'on soit un peu trop nombriliste...Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 octobre 2017
    Je mets une note moyenne car je m'attendais pas à ça! je m'attendais à voir l'apologie de l'amour et c'est un drame qui se joue-là (et d'ailleurs, j'avais reconnu aussi la patte d'Angot avant de savoir qu'elle était cosénariste) Il y a pour moi son sujet préféré: ceux qui mangent et ceux qui se font manger (et on voit d'ailleurs une illustration du thème dans la galerie au milieu du film). Pourquoi Isabelle pense-t-elle qu'elle doit trouver l'amour qui la rendra heureuse? elle se laisse manger et par moment elle semble en être consciente. Pourquoi? l'arbre cache la forêt. on ne parle pas ici de la crise de la cinquantaine ou de caricature d'un milieu soit-disant privilégié. Il y a dans ce film des contrastes entre petits ruisseaux et marécages. j'en sors avec un sentiment de malaise...
    chrischambers86
    chrischambers86

    14 069 abonnés 12 481 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 août 2020
    Pas si mal ce nouveau film de Claire Denis, d'après un scènario de Christine Angot. "Un beau soleil intèrieur", celui de Juliette Binoche cherchant l'amour! Une actrice lumineuse dans sa quête d'intèrieur qui a envie d'un amour...d'un vrai amour! Son personnage est en pleine crise sentimentale mais vit ça lègèrement en attendant autre chose! L'envie d'être heureuse dans sa vie, de vivre un truc qui change, de ne pas s'impliquer! Isabelle est une femme qui tombe facilement amoureuse mais ne veut pas être utilisèe! Elle essaye de trouver « un beau soleil intèrieur » [...] Curieux de la part de Denis (la comèdie romantique douce-amère), mais souvent et contre toute attente, assez agrèable! Le meilleur de cette oeuvre solaire et bavarde se trouve dans le final avec un monologue surrèaliste de Gèrard Depardieu, surpassant au passage une brochette d'acteurs de renom qui ne dèmèrite pas! On se demande quand même ce que vient faire Josiane Balasko chez Claire Denis! Quel dommage que Sandrine Dumas & Paul Blain ne soient pas plus exploitès...
    DarioFulci
    DarioFulci

    107 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 août 2019
    Entre étonnement et déception, difficile de trouver des qualités à ce film. L'histoire se traîne avec nonchalance dans un marasme verbeux parfaitement ennuyeux. Il n'y a finalement très peu d'intérêts à suivre les pérégrinations intérieures d'une femme lorsque tout est abscons. Heureusement que Juliette Binoche se démène, toujours investie, pour tenir un semblant d'attention. Elle est l'énergie qui empêche le spectateur de sombrer.
    didbail
    didbail

    31 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 octobre 2019
    Un film sans grand intérêt, suite de scènes accolées sans grand souci de fluidité. On passe d'une liaison à une autre. Juliette Binoche passe son temps à pleurer. Son inconstance agace. Et la fin est proche du ridicule. Un tel casting pour un si piètre résultat, quel gâchis !
    VOSTTL
    VOSTTL

    100 abonnés 1 965 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 septembre 2019
    Comment dire ? Force est de constater que je me suis ennuyé. C’était répétitif, ça tournait en rond et surtout je n’ai jamais été à l’aise avec le ton du film. J’ai eu comme la désagréable impression que tout sonnait faux. La faute à des dialogues creux sans doute. De Xavier Beauvois à Nicolas Duvauchelle en passant par Philippe Katerine lequel me semblait être un cheveu dans une soupe et Paul Blain ! J’extrais Juliette Binoche (Isabelle) du lot, la séquence avec Bruno Podalydès (Fabrice) et évidemment l’échange entre Isabelle et le voyant interprété par Gérard Depardieu. J’étais loin d’imaginer que cette scène concluait le film car pour le coup, je suis enfin sorti de ma torpeur… mais il était trop tard. La bonne idée, c’est d’avoir laissé continuer l’échange pendant le générique de fin. Un film qui m’aura intéressé qu’une dizaine de minutes. Et encore, elles ne sont pas inoubliables ! Mention à Juliette Binoche pour s’être mise à nue. La cinquantaine toujours aussi séduisante. Oui, c’est elle le soleil de ce film bien pâlichon.
    labadens
    labadens

    19 abonnés 250 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 août 2020
    Un beau soleil intérieur raconte la quête sentimentale complexe et pleine d'embuches d'une cinquantenaire esseulée. Elle a connu une histoire d'amour, elle a eu un enfant et se retrouve seule et tente de se reconstruire sentimentalement.
    J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire qui est avant toute chose servie par des dialogues longs et tortueux où la complexité des désirs et des pulsions en est le coeur. Ca papote, ça tourne en rond, ça se cherche, ça hésite, ça parle pour ne rien dire, ça reformule, ça ne va pas à l'essentiel et ça nous perd, nous spectateur, dans les méandres de ce que l'amour produit en nous.
    Juliette Binoche est désirable et voluptueuse mais se vautre à la vue de chaque homme qu'elle rencontre. Ses émotions sont vives et fortes, peut-être trop intérieures pour que çela nous parvienne. J'ai été un peu énervé de voir tout ce beau monde autour d'elle. Quel intérêt ? Faire le buzz pour remplir les salles ?
    Je peux comprendre la présence d'une grande actrice comme Juliette Binoche pour jouer un tel rôle mais y-avait-t-il vraiment besoin de toutes ces têtes connues pour jouer les petits rôles ? Josiane Balasko, Philippe Katerine, Nicolas Duvauchelle et - pour le clou du spectacle - Gérard Depardieu ?
    Cela aurait pu être un beau film d'auteur , et c'est bien dommage. d'autant que je n'ai pas trouvé le film drôle - comme le mentionnent certaines critiques - et il m'a été difficile de suivre avec exactitude le parcours sentimental du personnage qui traverse une période d'incertitude, voire de crise.
    J'ai trouvé certaines scènes longues ; la plupart du temps les rapports demeurent flous.Nous la voyons voit passer d'homme en homme rapidement, . Et avec un titre aussi lumineux, c'est assez contradictoire, on pourrait du coup comprendre que c'est épanouissant de coucher à droite à gauche...
    Pour ce qui est de la fin avec Gégé, elle n'apporte rien d'autre que du trouble : est-ce une critique pour dire que les voyants disent toujours n'importe quoi , ou est-ce pour nous dire que tout ce qu'on a vu ne sert à rien ?
    Quoiqu' il en soit, cette façon de papillonner avec les hommes et les mots ne m'a pas touché. Le film tente, en vain, à mon avis, de transmettre un état complexe de manque et de tristesse relatif à chacun et donc si délicat à représenter.
    Un film de bobos pour bobos .
    Bernard S
    Bernard S

    3 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 juillet 2018
    Il y a dix-sept ans, la réalisatrice nous avait donné, avec "Trouble every day" une démonstration d'ennui dans l'observation de pathologies humaines. Avec un titre lumineux comme celui de sa nouvelle œuvre, il était possible d'espérer une volte-face positive et constructive. Mais, déjà, le simple nom de Christine Angot à la conception du scénario sème le doute. Et celui-ci n'est malheureusement jamais levé au cours de cette errance sentimentale aussi épuisante pour la malheureuse Isabelle que pour le spectateur.

    Ce qui est paradoxal, c'est que, si l'on isole quelques plans fugitifs, dont celui qui illustre l'affiche du film, nous avons effectivement devant les yeux une jeune femme rayonnante, qui semble faire jaillir dans l'espace la lumière de son être intérieur. Mais dès que les rencontres commencent, que les tirades s'enfilent, que les réactions s'enchaînent, tout sombre dans la pathologie d'autant plus gravissime qu'elle semble insoluble. Totalement soumise aux éléments extérieurs et aux êtres qui l'entourent, incapable de fonder son parcours de vie sur une intériorité mature et stable solidement ancrée, en permanente demande et masturbation intellectuelle, assénant tout et son contraire, tournant en rond dans son errance intérieure, Isabelle recèle certainement un 'beau soleil intérieur', ce qui est le cas de chacun d'entre nous, mais en l'occurrence totalement occulté par une couche de cumulus qui ne semblent pas près de se désagréger.

    Comme nous l'avions noté dans le commentaire sur "Trouble every day", ce n'est pas tant l'atteinte pathologique des protagonistes qui pose problème. Nombre d’œuvres de styles très divers ( "Faux-semblants", "La vie d'Adèle", "37°2 le matin"... ), nous ont accrochés, interpellés, bouleversés grâce à la plongée dans des déviances ou traumatismes profonds. Ce qui déconcerte ici, irrite, et, au bout du compte, ennuie, c'est l'approche qui est faite de cette personnalité fluctuante, inconsistante, à travers des séquences fondées sur des extrêmes qui ne quittent jamais la superficialité. Telle une girouette ballottée au gré du vent, Isabelle passe sans cesse de la soumission falote à la domination brutale, de l'ouverture aux inconnus à la fermeture morbide, habitant à grand peine des scènes languides qui n'avancent guère ou, la minute d'après, des ruptures explosives. N'ayant jamais lu d’œuvre de Christine Angot, j'ignore quelle est sa conception de l'amour, mais, au vu de cette histoire, il ne semble pas que ce soit un état d'harmonie ou d'union. Et lorsqu'elle se rend chez Denis, le voyant (Gérard Depardieu), qui déverse un verbiage dans lequel se noierait n'importe quel champion de natation, on a envie de lui crier qu'il serait nettement plus judicieux et constructif d'aller consulter une escouade de psys. Et quelle étrange idée d'installer au milieu de son discours un générique qui perturbe le peu d'attention restant chez le spectateur.

    Juliette Binoche a bien du mérite de parvenir à habiter ce parcours maladif, mais elle ne peut maintenir constamment à flot cette barque sans gouvernail et à l'émotion préfabriquée, qui nous conduit vers une rive aussi nébuleuse qu'indétectable.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 17 octobre 2017
    Ennuyant !Mais qu est ce que Binoche est allée faire dans cette galère ! Bavard et banal !
    Heureusement les intermèdes avec Philippe Katerine mettent du piment !
    asonipse
    asonipse

    3 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 septembre 2023
    Pas le meilleur Juliette Binoche. Ses déboires amoureux sont ennuyants à souhait. Difficile de regarder le film jusqu'au bout.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 juin 2018
    Très déçue ! C'est d'une lenteur.... C'est mou, c'est figé, c'est mièvre. Aucun intérêt !! Que dire d'autre ? Je me suis demandé si ses seins étaient refaits ? Non parce qu'elle étale son décolleté en V tout le long du film... Mouai !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 novembre 2018
    problématique intéressante mais qu'est-ce qu'on s'ennuie!!!! et la fin avec gérard dépardieu....une logorée pour enfin rejoindre le titre. pfffff
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