Derniers Avis sur Une suite qui dérange : le temps de l'action

On suit Al Gore continuer à tenter de convaincre la planète au sujet du réchauffement climatique. Et on voit que c'est dur face aux intérêts économiques.
Il y a beau y avoir une note d'optimisme sur l'augmentation de production d'électricité solaire on voit qu'on va de toute façon continuer à piller la planète d'énergies fossiles avant de changer de cap...
C'est vraiment centré sur Al Gore...c'est vraiment pas le documentaire qui nous apprendra un maximum sur le climat mais bon...

Voici dix ans, le documentaire ‘Une vérité qui dérange’ avait suivi l’ancien vice-président Al Gore dans ses démarches pour alerter l’opinion publique sur l’urgence de prendre des mesures fortes pour enrayer le réchauffement climatique. Acclamé et jugé d’utilité publique par les uns (surtout en Europe), dénoncé comme catastrophiste et opportuniste par les autres (surtout aux Etats-unis), le documentaire avait suscité une bonne dose de controverse mais du point de vue de Gore, au moins parlait-on à présent d’écologie à visage découvert. Dix ans plus tard, nombre de faits d’actualité semblent donner raison au discours qu’il tenait à l’époque, ce que le politicien “repenti� ne manque jamais de souligner lors des grand’messes qu’il organise à présent afin de former de futurs “ambassadeurs du climat� dans tous les pays du monde. Si le constat est sombre, si l’élection de Donald Trump et le retrait des Etats-Unis de l’accord de Paris ont porté un coup sévère à la lutte contre le réchauffement climatique, Gore refuse de baisser les bras : à l’aide de quelques exemples choisis, il tente de montrer que la prise de conscience politique et la mise en oeuvre d’actions environnementales sont un phénomène inéluctable, qui transcende les clivages politiques. Il rejoint en cela l’optimisme mesuré d’un documentaire comme “Demain�, tout en conservant son format “à l’américaine�, conçu pour convaincre un public américain (même si on peut douter qu’il soit vu par d’autres spectateurs que les convaincus), et dont Al Gore sort évidemment grandi. Ceci dit, vu l’énergie déployée par ce septuagénaire, qui parcourt inlassablement le monde pour prêcher la bonne parole et se livre à un impressionnant travail de lobbying en coulisses pour amener ses interlocuteurs à rejoindre ses vues, il a largement le droit de se faire mousser un peu !

Al Gore fait ce qu'il peut à son échelle qui est plus grande que celle de nombreux citoyens du Monde; alors c'est sûr il fait un peu "Superman" à certains moments du film mais à le voir et à l'écouter on voit aussi qu'il est très humble et qu'il prend sa "mission" à cœur. On ne peut que se demander ce qui ce serait passé si il avait été élu président? Aurait-il pris un autre chemin ou aurait-il appliqué ce qu'il propose dans ses deux films aux Etats-Unis, ce qui leur aurait fait gagner beaucoup de temps ainsi qu'à la planète.
Son film permet d'apprendre ou de revoir des choses et surtout de mieux comprendre ces dérèglements climatiques. Quelque soit les leaders des pays, chacun doit prendre en compte la question du climat et le monde entier doit faire un effort collectif, cela en limitant les barrières financières pour les pays les plus pauvres. Avec toutes les preuves que l'on a depuis des années, être climatosceptique c'est faire preuve d'une grande mauvaise foi, d'être un crétin, un égoïste ou un capitaliste qui ne sait/ne peut plus s'arrêter.
Cette COP21 a été un succès en théorie, voyons à présent si ce sera aussi un succès en pratique, à priori, pour l'instant, sans les Etats-Unis, ça risque d'être malheureusement difficile.

Film nul à chieeerr !!!! Film inutile, si vous avez deja conscience du rechauffement climatique ne le regardez pas ! 0/5 je le déconseille fortement il est tres long et ernuyeux

Pas une énorme plus value par rapport au 1er excellent film/documentaire mettant en scène d'Al Gore, l'un des lanceurs d'alerte les plus médiatiques au monde sur
le réchauffement climatique.Quelques beaux moments, moins illustratif que le 1er mais rempli bien son rôle : une piqûre de rappel qui ne fait pas de mal.
Trump (et beaucoup d'autres) devrait se passer en boucle "Une vérité qui dérange", et "Une suite qui dérange".

Ce film ne vous apprendra rien sur le réchauffement climatique. Si vous y croyez, vous resterez béni. Si vous êtes sceptique, vous le resterez. Le début commence par un lèche Gore, que dis-je un suce Gore. Mal parti mais ça s'arrange ensuite. Disons-le avec franchise, le film utilise des amalgames honteux et une manipulation éhontée pour vous faire adhérer. Mais c'est très bien fait. C'est donc un "bon" film. Vous êtes donc manipulé avec ferveur mais cela n'entamera pas vos convictions. Gore et ses assistants utilisent des ordinateurs Apple. C'est suffisamment montré à l'écran pour que vous ne puissiez pas les rater. Les conférences de Gore sont donc calquées sur du Steeve Jobs. beaucoup de bla bla, beaucoup d'effets whauou mais aucun support scientifique. Car Gore est un prêcheur. Il fait des sermons, il fait des prêches, des préchi-précha plus exactement. Pourtant, l'intérêt du film est ailleurs
Il s'attache à suivre ce Vice Président qui n'est ni Vice ni Président mais un homme qui se bat, plus ou moins seul, pour faire admettre sa foi. Il en est pathétique et c'est bien là où on peut s'identifier au héros même si on ne partage pas sa croyance.
Pourtant Gore n'est pas seulement un être humain. C'est un américain, a fucking yankee, avec ce côté benêt du bien (de son côté) et du mal (de l'autre). Ce qui le rend attendrissant. En effet, comment l'Amérique, gardienne des valeurs, centre du monde de la terre de l'espace et de tous les univers peut-elle se fourvoyer dans les énergies fossiles. Le discours en est réduit à une simplification caricaturale. Les méchants pollueurs d'un côté, les béni oui oui renouvelables de l'autre. Aucun mot sur les nouveaux équilibres géo stratégiques, le pillage des métaux rares, le transfert de savoir faire que va engendrer les énergies ventesques ou solariumesques.
L'humanité veut le bien et le bien c'est l'Amérique renouvelable. On en rirait presque.
Et pourtant, bien qu'agnostique sur cette croyance, je dois dire que j'ai été porté par la ferveur qui se dégage de certaines séquences. Ce film est excellemment porté par une bande son parfaitement maitrisée sur les canaux dolby. Musique, bruitages, vous êtes au centre du monde pendant que le discours s'égrène sur le canal central.
En conclusion donc, belle ouvrage mais le message bof.

Avec finalement une grande angoisse. Et si le réchauffement climatique n'était pas dû aux activités humaines, si ces braves COP et Giec avaient tort. Si tous ces flons flons et la réduction des dégagements de CO2 ne servaioent à rien car la cause est ailleurs. On serait bien dans la ....

Mais bon là autant poser la question et si Dieu n'existait pas...

“Une suite qui dérange : le temps de l’action” est le deuxième volet d’un documentaire qui retrace le parcours d’Al Gore (ex-vice président des états unis) dans sa lutte pour former une armée de défenseurs du climat à travers le monde et son influence sur la politique climatique internationale.

La suite ici : https://coupdecine.blogspot.fr/2017/10/une-suite-qui-derange-le-temps-de.html

“Une suite qui dérange : le temps de l’action” est le deuxième volet d’un documentaire qui retrace le parcours d’Al Gore (ex-vice président des états unis) dans sa lutte pour former une armée de défenseurs du climat à travers le monde et son influence sur la politique climatique internationale.

La suite ici : https://coupdecine.blogspot.fr/2017/10/une-suite-qui-derange-le-temps-de.html

Ce documentaire devrait être vu par tout le monde ! Le sujet est tellement important et surtout nous sommes tous concerné mais malheureusement trop de personnes ferment les yeux là dessus. Je l'ai vu en VOST j'avais un peu peur de suivre difficilement et finalement, nickel !! Merci Al Gore pour ce que vous faites, le monde a besoin de gens comme vous...

Excellent documentaire : le meilleur depuis que je suis mère de mes enfants et je pèse mes mots : ce documentaire a su me faire pleurer puis rire aux larmes et là je peux dire que cela permet parfaitement de comprendre cette citation du “grand” Gandhi : « Sois le changement que tu veux voir dans le monde »
A travers ce film, mes valeurs profondes s’y sont retrouvées et j’ai bien compris que mes actions au quotidien, plus vos actions, plus ceux des autres nous emmèneront dans un chemin qui enfin sera plus respectueuse de l’environnement et ça c’est grâce à l’addition de toutes nos actions, si petite soit-elle !
En tous cas, ce documentaire est d’autant plus excellent qu’il nous permet de suivre AL GORE dans son quotidien !!! Allez vite et battez-vous pour aller le voir car vous remarquerez qu’il est peu disponible dans la plupart des cinémas type “ gros” cinémas, bizarre, non ?
(PS: la dernière question est un euphémisme bien sûr) !!!
Une dernière : le changement vient d’en haut mais peut aussi, en cas d’urgence, venir d’en bas ! Donc MOBILISONS NOUS pour aller le voir et agir à notre niveau

en tant que personne soucieuse du réchauffement climatique, j'avais peur de voir ce film, je le pensais trop moralisateur et au final, que de bonnes surprises, je le vous recommande chaudement.

Le film est parfois maladroit, Al Gore règle un peu ses comptes, inclut les attentats de Paris diluant ainsi son message principal. Malgré ces petits défauts, ce film est indispensable et, plus encore, les actions à entreprendre pour réagir et limiter la casse pour nos enfants. Allez-y, parlez-en.

Des faits scientifiques expliqués de manière simple et accompagnés d'images fortes de tristes événements qui se produisent de nos jours . Grâce à ce documentaire nous comprenons pourquoi il y a de plus en plus de catastrophes naturelles dues au climat.
La narration est vivante, on ne s'ennuie pas. À voir de toute urgence !!!!!

N'ayant pas vu "une vérité qui dérange", je ne connaissais pas le style Al Gore et la déception est grande. Le film convient peut être à ceux qui n'ont aucune conscience du changement climatique et qui découvriraient le phénomène. Mais pour toute personne avertie, on s'ennuie pas mal et le film ne fait que rappeler ce que l'on sait déjà à base de graphiques et tableaux certes parlants mais déjà connus. Al Gore est encore surtout bloqué dans l'obsession de la prise de conscience - ce qui peut se comprendre vu le climatoscepticisme qui règne aux USA (ah ce cher Donald !) - mais vu d'Europe, on a l'impression qu'il a un train de retard. Il aborde finalement peu les solutions concrètes pour lutter ou s'adapter au changement si ce n'est pour faire une apologie générale de l'énergie solaire. Et les coulisses de ses discussions avec les grands acteurs de ce monde sont trop partielles pour être intéressantes (à l'exception de celle avec le ministre indien de l'énergie qui résume bien l'opposition pays développés/en développement sur le sujet). Enfin, il faut dire que la mise en scène du "superhéros" Al Gore, à base de conférences à foison, est un peu usante. A moins de rentrer dans le concret des solutions, un troisième opus ne sera donc pas utile.

Ce film ne risque que de prêcher des convaincus de la cause du changement climatique, mais il est toujours bon d'avoir un film qui fait un rappel général, et les piqûres de ce rappel en ce domaine ne sont jamais de trop.
Les 1h40 passent très vite, et le film ne baisse jamais de rythme. Petit privilège d'être un film avec Al Gore qui a été un acteur incontournable du traité de Paris, il nous permet de voir les coulisses du traité, et tout l'art du compromis qui a été nécessaire pour parvenir à cet accord historique.
Si la lutte contre le réchauffement climatique est une cause qui vous tient à coeur, n'hésitez pas un seul instant et allez donc voir la suite de Une vérité qui dérange.