Quand "GTA" rencontre "Ready Player One", une fois encore un studio d'envergure mélange plusieurs œuvres n'ayant rien à voir au départ par leur support mais qui, par leur contenu, finissent par se ressembler. Un récit de la Fox ou plutôt désormais "Century Studio" qui n'à cependant pas du tout réussit son univers visuel qui aura beaucoup été mal travailler. Mal fait sur sa qualité mais certainement pas sur son imaginaire qui lui fut au top.
Un récit d'I.A. et de jeu vidéo XXL digne des plus grandes saga du genre ou anarchie, violence et contre toute attente, bonne dose d'humour décaler se rassemblent dans un scénario en 3 parties que je n'aurai jamais vu venir. Part 1, la découverte de ce monde complètement barrer. Part 2, la rencontre de cette femme badass et la découverte de la vraie nature de notre héros. Part 3, la rébellion avec la naissance d'une romance.
Un récit ultra coloré, très référencé ou l'effet de masse visuel est évidement parfaitement respecter. Notre casting lui, porter par le désormais connu Ryan Reynold (duologie "Deadpool", "Green Lantern"...) conserve toujours son nouveau jeu humoristique sans pour autant s'égarer, un rôle artificiel qui va peu à peu réussir à évoluer pour devenir humain, sensible et même conscient de sa "vie". Jodie Corner ("Le dernier duel"...) jouant la double joueuse, réelle comme artificielle, aura limite rendu un sublime hommage à la ténébreuse Uma Thurman de la saga "Kill Bill", bien que je n'ai vu aucun volet, mais par son regard et intensité, une très belle référence rebelle.
Nos Guest Channing Tatum et Taika Waititi n'auront strictement servi à rien pour l'un, étant donner que son réel joueur aura largement prit le dessus, le second aura superbement incarné le profit, la soiffe d'argent et l'orgueil démesurer.
Le final lui aura étrangement prit inspiration sur le film de Spielberg par son envergure et sa morale d'une vérité sans nom qu'est : "Faut-il créer quelques chose pour générer des profits et engendrer des suites en supprimant les précédentes, ou pour montrer au monde sa vision, qualité narrative et visuelle tout en perpétuant avec modernité ce que les précédents ont commencer ?" Un récit gamer réussit ou la romance aura eu une très grande place pour parfaitement terminer sur cette dernière. Qui à dit qu'une I.A. ne pouvait tombée amoureuse ? Tout en prouvant aux autres que ses fonctions n'étaient pas uniquement destinées à ce que ses créateurs le lui avait donner ?