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gamorreen
19 abonnés
457 critiques
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4,0
Publiée le 4 mars 2019
gros point fort du film : il est très drôle! et son gros point faible : si on n'apprécie pas ce type d'humour on doit sacrément s'ennuyer! :-) belle critique de la françafrique, parodie des films de superhéros, antihéro typique de l'auteur, j'ai trouvé tous les côtés réussis. Un film un peu plus long n'en aurait été que meilleur, il y avait de quoi développer certains aspects. Dommage, le film étant un échec on n'aura pas droit à un n°2, j'aurais volontiers vu la suite des aventures du Serpent noir.
Quand Marvel créé le premier super-héros noir avec Black panther, Thomas NGijol invente une version burlesque avec son Black snake, un vrai super-héros africain, jonglant avec tous les clichés et taclant tous les codes du genre à grands coups de dérision. C'est un mélange improbable de Mel Brooks, Austin Power et OSS117, du pur divertissement avec de gros gags et des personnages impossibles, en particulier Edouard Baer et Bernard Menez en special guests. Ce n'est pas le film du siècle mais c'est cent fois plus drôle que l'humour moisi de Chauveron ou Onteniente.
Vu ce soir, en compagnie de Thomas Ngijol et Karole Rocher (qui répondaient aux diverses questions en étant toujours aussi sympathiques et détendus) :
Black Snake est une comédie "super-héroïque" très sympa et drôle (car oui ce que bon nombre de comédies françaises ont l'air d'oublier),prenant pour canevas le cadre connu de l'origin story et de l'acceptation des responsabilités.
Etant très adepte de l'humour de NGijol ou son comparse Fabrice Eboué, on a ici tout ce qui les caractérise, à savoir un humour de sale gosse où aucune religion, ethnie, sexe est épargné, le vivre ensemble à la poubelle (sans être aussi premier degré dans le discours bien entendu) avec un petit côté OSS 117 dans son utilisation de l'époque et du contexte socio-géographique.
La mise en scène est peut-être assez fonctionnelle et méritait sans doute plus de soin, mais le tout fonctionne vraiment avec des trouvailles d'humour et même l'appropriation des codes du genre (à savoir Zorro, les films de kung fu et un chouilla de James Bond/Johnny English) en transposant le récit dans un pays d'Afrique pauvre.
Karole Rocher (compagne à la ville également) est un très bon contre-point à Ngijol et leurs scènes ensemble fonctionnent à merveille.
Bref, ça passe à une vitesse assez ahurissante, on ne s'ennuie pas et on rit (je pense notamment aux diverses scènes où le personnage principal est en décalage total avec les évènements face à lui, les scènes d'infiltration ou une scène géniale avec Jérôme le Banner
En définitive, Black Snake est une comédie sympathique
« JACKIE CHAAAN !!! » Cinq ans après son premier long-métrage en solo - Fastlife, Thomas N'Gijol est de retour à la réalisation accompagné de sa femme Karole Rocher pour une parodie de super-héros intitulée Black Snake, la légende du serpent noir. N'Gijol se moque royalement de Marvel et autres Dc Comics de ce monde spoiler: - son introduction, ses ralentis dans les scènes d'action, sa scène post-générique ainsi que cette phrase dont le super-héros reviendra - en sont des preuves formelles. Il joue avec les codes du genre avec pertinence ! Les références en sont également plaisantes spoiler: - voir l'acteur déguisé en l'apparence d'un Green Hornet - avec des dialogues se rapprochant d'un épisode de OSS 117, sans trop en atteindre l'excellence... Dans Black Snake, on suit Clotaire Sangala qui est revenu dans son pays natal en Afrique afin de voir son grand-père. Malgré un drame familial, Clotaire va devenir Black Snake « protecteur du peuple » aux yeux de la population et va devoir affronter un dictateur appelé Ezéchias. Le deuxième film du réalisateur s'avère plus appliqué et plus maîtrisé que son prédécesseur parce que le public voit un réel travail sur les costumes et décors de l'époque, en Afrique du Sud. Un univers propre tel une création de Disney/Marvel - se référant à Black Panther ! Sa distribution d'acteurs se veut sympathique avec en tête Thomas N'Gijol interprétant cet homme égoïste et séducteur (avec sa 4L) en super-héros dont il n'a aucune limite face à ses ennemis. Il y ajoute un clin d’œil à son ancien film de son partenaire Fabrice Eboué spoiler: (dont celui-ci n'offre aucun caméo...) Le Crocodile du Botswanga - parlant africain comme le président Bobo. Karole Rocher est aussi devant la caméra, rayonnante en tout point ! Edouard Baer n'est pas vraiment dans son élément ici et n'est guère hilarant dans la peau d'un vilain... L'entrée de Jérôme Le Banner alias le Gitan présageait une scène culte spoiler: mais hélas, sa scène est de courte durée d'où une légère déception (au vue de sa bande annonce)... Mais découvrir Bernard Menez en Président de la République nous réconforte ! La bande originale de Black Snake est de très bonne facture sur du spoiler: Shirazee, Dosseh, Dinos, MHD, Stromae ou encore du Orelsan, le point est à souligner ! Et, il faut bien saisir toutes les informations de l'histoire et faire aussi attention aux moindres répliques car le rythme est très rapide (sur 1h22). Donc, Black Snake, la légende du serpent noir est une parodie de super-héros française amusante qui peut conquérir à nouveau certains inconditionnels du genre.
Je ne serai pas objectif sur ce coup là : j’adore les sketches de Thomas Ngijol et j’ai toujours été impressionné par les performances d’actrice de Karole Rocher dans la série Braquo. Edouard Baer nous prouve qu’il ne fait pas que présenter des cérémonies. Un jeune et talentueux inconnu se démarque parmi tous les autres acteurs Thembaletu Ntuli. L’autre surprise vient de la bande–son signés par Skread connu notamment pour sa contribution dans le rap avec Orelsan. Question décor, nous sommes bien dans l’Afrique des années 70. Si vous avez trouvé Black Panther trop techno-aseptisé, foncez voir ce super héro qui lutte contre ses démons pour sauver les innocents et surtout les innocentes !
Running gag très très lourd Dès qu'un scène pouvant nous montrer des émotions arrive elle est direct gâcher par une blague Les scènes d'actions ne sont pas Impressionnantes
Il est rare de voir un film complètement nul. Black Snake : La Légende du serpent noir serait alors une rareté tant sa vacuité n’a d’égal que sa très grande vulgarité : les blagues tombent toutes à plat, et ne devraient d’ailleurs même pas bénéficier de l’appellation blagues, le goût du politiquement incorrect étant poussé si loin sans raison qu’il se montre complètement raciste et insultant pour les causes qu’il prétend, par l’humour, défendre. Cet objet difforme, petit tout petit kaléidoscope des grands noms, passe son temps à brasser du pseudo-cool à partir de scènes que le spectateur a honte de regarder, par haine ou par pitié. L’impression d’assister au long, très long one man show d’un élève populaire pendant la cour de récréation avant la physique-chimie. Parce qu’il aimerait conjuguer OSS 117 et Kick-Ass, Black Snake se contente d’accumuler les bêtises plus ou moins référencées sans construire un rythme burlesque, sans tisser un propos politique cohérent. Dans ce marasme créatif surnagent des acteurs parfois corrects – Édouard Bear par exemple – souvent catastrophiques, à commencer par la tête d’affiche, Thomas Ngijol. Black Snake croit que son inanité constitue un puits comique sans fond. Il suffit de considérer les dix premières minutes pour comprendre son erreur : ni puits ni fond, seulement un grand mur flou devant lequel s’anime une idée de la comédie douteuse et cinématographiquement proche du néant.
Black Snake, une comédie réalisée par l'humoriste Thomas N'gijol et son épouse Karole Rocher à prendre au degrés qui s'impose. Ce n'est pas la comédie du siècle mais le divertissement est bon, c'est drôle. Le film est bien réalisé, le travail de la photo est de qualité, les couleurs de l’Afrique sont également bien mises en valeur. Une petite comédie qui reste agréable à regarder, Edouard Baer apporte une belle contribution. Une satyre de la France-Afrique, des clins d’œil à d'autres films, dans la veine de Case départ et du Crocodile du Botswanga, auxquels Thomas N'gijol a également participé.
Inutile nanar durant lequel je me suis ennuyée d'un bout à l'autre . Heureusement il ne dure que 1h22.... Rien n'est drôle. Tout est lourd et grossier. Je n'aurais pas été avec des amis je serais partie avant la fin....
Le plus mauvais film que j'ai vu depuis bien longtemps...; Mal écrit, mal joué, mal filmé.... Rien à sauver dans ce navet! Clichés et poncifs se succèdent et rien n'est drôle.... Désolant! Mais qu'est ce qu'Edouard Baer est allé faire dans cette galère?????
Ce film n'était pas drôle, rempli de clichés et limite vulgaire. L'histoire n'avait pas vraiment de sens on aurait dit un mélange de tout. Je me suis endormie à un moment.
Fan de l'artiste sur les planches, je suis atterrée par tant de VULGARITÉ et GROSSIÈRETÉ qui comblent visiblement un manque évident de talent, par tant de superficialité, et de manque d'idées dans le scénario...comme Eric et Ramzy dans majorité de leur films...c'est un flop et c'est dommage !!!!
En one man show oui , au cinema non. Dans la lignee de ces autres films mais encore moins bien. Rien a retenir de celui la , pas de scenario , pas drole , pas de mise en scene , pas de coherence entre les scenes. Mauvais.
Un film à voir. Passez un bon moment, une ou deux scènes drôles sinon le reste fait sourire. Quelques dialogues percutants. Dans l'ensemble une bonne comédie.