Anecdotes du film Lake Placid

Lake Placid

Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Lake Placid" et de son tournage !

Steve Miner, réalisateur

Réalisateur de deux chapitres de la saga des Vendredi 13, Steve Miner a signé quelques films d'horreur, tels que House (1986), Warlock (1989) ou Halloween : 20 ans après (1998).

On lui doit également Soul Man (1986), Forever young (1992) et My father, ce héros (1994).

Brendan Gleeson (Sherif Hank Keough)

Révélé par The General (John Boorman, 1998), Brendan Gleeson était auparavant apparu dans deux films de Neil Jordan (Michael Collins en 1996 et The Butcher Boy en 1997).

Oliver Platt (Hector Cyr)

Débutant sa carrière dans Veuve mais pas trop (Jonathan Demme, 1988), Oliver Platt a participé à Beethoven (Brian Levant, 1992), Benny & Joon (Jeremiah S. Chechnik, 1993) et Les Trois Mousquetaires (Stephen Herek, id.).

Oliver Platt a notamment été dirigé par Adrian Lyne (Proposition indécente en 1993), Joel Schumacher (L'expérience interdite en 1990, Le droit de tuer ? en 1996) et Warren Beatty (Bullworth en 1998).

Un réservoir de 7000 mètres cubes

Le tournage de Lake Placid a nécessité la construction d'un réservoir d'une capacité de 7000 mètres cubes, soit 7.000.000 de litres. Les précipitations, particulièrement abondantes dans cette région (Colombie britannique, près de l'île Vancouver), en ont assuré le remplissage.

Trois crocodiles en un

Dans Lake Placid, il n'y a pas un mais trois crocodiles.

Conçues par Stan Winston, le père des dinosaures de Jurassic Park et du Monde perdu, les créatures avaient des fonctions spécifiques. Capable d'ouvrir la mâchoire, de battre des paupières et de bouger les yeux, le premier crocodile, surnommé «Stuffy», permettait de faire des gros plans d'un réalisme saisissant.

Le deuxième, destiné à reproduire les mouvements du monstre à la surface de l'eau, était téléguidé par un animateur.

Le troisième crocodile, équipé d'un système hydraulique de 300 chevaux, a servi aux prises de vue sous-marines. Faire évoluer une telle machinerie sous l'eau présentait un danger à la fois pour la créature, qui risquait d'être endommagée, et pour les acteurs et les techniciens, exposés à une possible électrocution.

Un méticuleux travail en images de synthèse a permis d'accentuer l'aspect terrifiant du monstre.

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