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justineg
59 abonnés
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0,5
Publiée le 29 septembre 2006
Je n'ai pas du tout aimé ce film, je me suis profondément ennuyée, il n'y a pas de jeu d'acteurs, pas de scénario et pendant le film on se demande : mais où veut en venir le réalisateur ?
Voici un film qui se veut complètement barré! Et il s'y réussit plutot bien. Le scénario et les personnages sont vraiment originaux. La prestation des acteurs est assez correcte. Quelques incohérences et facilités, telle que le retournement comportementale du personnage de Honey. Mais c'est de toute façon pas l'important. L'important c'est qu'on passe un bon moment avec ce film culte :)
Oui mais non ! Une comédie qui ne m'a pas fait rire, qui ne m'a jamais plu, qui ne s'élève jamais, qui se contente de peu ou de nager dans le vulgaire. Se moquer d'Hollywood est une bonne idée mais si c'est pour nous offrir une histoire si pitoyable, je n'en vois pas l'intérêt. Sans parler des personnages qui sont tous plus ridicules les uns des autres !!
Disjoncté et irrévérencieux John Waters nous livre un film totalement barré (peut être trop) et une galerie de personnage plus atteints les uns que les autres.13/20
Cecil B. Demented est une petite perle du pape du trash John Waters. Nhésitant pas à aller à fond dans le délire le plus taré possible tout en sinspirant sans aucun doute du début de sa carrière (où son cinéma ressemblait étrangement à celui dépeint par les rebelles), Cecil B. Demented est une satire grinçante et puissamment jouissive dun système hollywoodien qui pond des films dénués de toute saveur. Porté par lexcellent Stephen Dorff et la surprenante Mélanie Griffith, ce film est destiné à devenir culte, notamment avec son lot de références à un cinéma de grande classe.
Film décalé et légèrement déjanté. Il est très plaisant à voir avec de bonnes séquences satiriques. Mais au final "Cecil B. Demented" est il une critique du cinéma Hollywoodien ou de l’effervescence à overdose au début de années 90 des films indépendant ou pseudo indépendant...?
Une bonne idée de départ mais la réalisation est d'une qualité douteuse. On passe rapidement de la comédie contestataire au film juste vulgaire. C'est dommage il y avait quelques acteurs qui pouvaient relever le niveau.
4 610 abonnés
18 103 critiques
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0,5
Publiée le 15 octobre 2020
John Waters se moque des grands films à succès tout au long de son film ce qui serait amusant s'il pouvait au moins atteindre les niveaux de ces films. Mais non l'humour est absolument plat. Ses personnages utilisent des noms comme Almodóvar, Warhol, Lee dont ils ne sont pas dignes. Et pourquoi Melanie Griffith commence-t-elle à sympathiser si vite avec ces gens Il n'y a pas d'explication peut être le syndrome d'Helsinki. Les personnages sont faibles et trop nombreux. Tout ce que nous apprenons de ces personnes ce sont des commentaires pour expliquer leurs personnages. L'un d'eux pense que Satan est cool, le suivant prend de la drogue et pense que c'est super et un autre a inquiété ses parents. Il n'y a pas grand-chose de plus à eux. Même l'intrigue est ennuyeuse parce que nous pouvons la voir venir. C'est absolument dommage pour le merveilleux genre des films indépendants et j'espère vraiment qu'il ne sera pas dans cette catégorie...
Une satire trash et déjantée du cinéma conformiste hollywoodien, avec quelques scènes amusantes surtout au début, mais trop graveleux et bordélique dans l’ensemble.
Quand le réalisateur de l'hilarant "Serial Mother" s'attaque à Hollywood, on ne peut que s'attendre à une satire totalement déjantée des mœurs de la "Mecque du cinéma" (rassurez-vous c'est le cas !!!) même si John Waters oblige, l'action se déroule dans sa ville natale et chérie de Baltimore. L'ensemble ne fait pas dans la finesse mais de toute façon on ne penserait jamais à demander cela à Waters, ce serait contre sa nature. Car ce serait passer à côté d'une galerie de personnages profondément dégénérés qui ont vraiment l'air de sortir tout droit d'un asile ainsi que de situations et de répliques parfois très tordantes. Il en profite aussi pour rendre hommage à sa manière au Septième Art, et on fermera les yeux sur le paradoxe (en fait on s'en fout !!!) que pour dézinguer le cinéma hollywoodien le réalisateur n'hésite pas à en utiliser certaines caractéristiques. Et puis Melanie Griffith, dans le rôle d'une star aussi capricieuse et égocentrique que mauvaise actrice en perte de vitesse qui appuie son "prestige" que sur une nomination aux Oscars et qui va se prendre très vite au jeu de ses kidnappeurs, est excellente. Il faut surtout pas s'en cacher, "Cecil B. Demented" est un film jouissif à regarder du début jusqu'à la fin.
"Cecil.B.Demented" souffre d'un humour catastrophique et c'est bien la seule chose désolante, et qui contribue à la suppression de la moitié des points. Cependant, le film est jouissant, en effet, l'action est la plus grande qualité du long métrage de John Waters. L'équipe de Cecil est un groupe "anti-production Hollywoodienne" et est complétement barée. Le cinéma "underground" est leur objectif, un soir, lors de l'avant première du film "Some kind of happiness". Honey Whitlock se fait enlever par la petite troupe de Demented. On apprend alors que l'actrice mondialement célèbre va être contrainte de jouer dans leur film, intitulé "Beauté Fatale". L'originalité de l'oeuvre de Demented est que toutes les péripéties ainsi que les actions ne sont sans aucuns trucages et ne sont tournées qu'une seul fois. John Wathers signe un film dont l'humour en prend un coup, mais dont l' histoire, originale, tient en haleine le spéctateur, à voir.
En 2000 John Waters livrait un pamphlet punk totalement déjanté contre le système hollywoodien et ses studios spécialisés dans la livraison de soupes tièdes. Foisonnant de références aux réalisateurs trouvant grâce à ses yeux, le film est un joyeux carnage bruyant et coloré. Melanie Griffith resplendit et apporte une caution primordiale à la portée des intentions de Waters, sans elle on pourrait penser à une mascarade sympathique mais inoffensive, grâce à son talent (et un peu à sa place dans l’imaginaire du cinéma américain) la fable est un peu plus méchante, tant mieux.
Un bon gros bordel bien déjanté signé John Waters (c'est donc pas étonnant que ce soit si bordelique !) ! Ca va dans tous les sens, c'est carrément brouillon mais c'est quand même vachement marrant ! Situations, personnages et dialogues burlesques, la mise en scène est comme le scénario: on ne peut plus originale ! Beaucoup d'invraisemblances, de clichés et de stupidités mais quand on est dans le délire dès le début, on ne peut que se fendre la poire et applaudir !!! Ca fait du bien de temps en temps !!!
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3,0
Publiée le 31 juillet 2011
La grande Melanie Griffith, capricieuse star hollywoodienne (dans le film), est kidnappèe par des cinèphiles terroristes qui la forcent à tourner avec leur gourou, le cinèaste "Cecil B. Demented". De l'humour, du politiquement incorrect, un propos agressif plein de sens, bienvenue dans le monde de John Waters! Dans cette satire bourrèe de rèfèrences cinèmatographiques, le cinèaste iconoclaste et provocateur du trash "Pink Flamingos" tire ici à boulets rouges sur le tout Hollywood où tout le monde en prend un peu pour son grade! Ce film de Waters revient tout de même à un cinèma plus classique avec des scènes d'actions à la fois fèroce et burlesque...