eh bien j'ai un peu honte car je ne connaissais pas la franchise ! J'ai donc vu le 4 avant tous les autres. Tres bon film qui parlent en gros de racisme avec 2 arcs narratifs. Les combats sont juste excellents !! ! On dirait que John Wick s'en inspire d'ailleurs. Les doublures françaises sont moyennes il faut un temps pour s'y faire sûrement bien meilleur en.vost.
Je n'ai pas du tout aimé ce film parce qu'il a un scénario affligeant, que même un enfant de 7 ans n'oserait pas pondre, parce qu'il a un scénario nul, parce que l'histoire n'a aucun intérêt, est un brin raciste, parce qu'on connait la fin dès le début, parce que les acteurs jouent comme des pieds, parce que strictement rien dans ce film n'a le moindre intérêt à part quelques pirouettes chorégraphiques qui n'intéresseront que les spécialistes.
Normalement, un adulte ne peut pas aller au bout d'un scénario aussi affligeant sans s'endormir, exploser de rire, de pitié, allumer son téléphone et lancer un jeu vidéo, aller aux toilettes, demander le remboursement du billet, .
Très excité à l'idée d'enfin découvrir un opus de la saga Ip Man sur grand écran, je suis vite redescendu en intensité dès lors que j'ai compris quel traitement avait été réservé à ce 4ème et dernier épisode. On est ni plus ni moins sur de la Série-B alors que le premier opus avait bénéficié d'une excellente réalisation par exemple. Wilson Yip étant toujours aux commandes et Yuen Woo Ping dans le staff technique, les combats sont bien évidemment de très grande qualité, Donnie Yen est toujours aussi impressionnant et contrairement à beaucoup d'autres acteurs d'action asiatiques, il a une véritable palette de jeu. Et bien heureusement ici parce qu'il n'est pas entouré des fleurons du genre, Scott Adkins par exemple qui au delà de ses capacités sportives est un bulot lorsqu'il s'agit de jouer. Tout le métrage est comme ça avec une atmosphère presque risible parfois, on sent l'envie de rendre hommage au cinéma du genre mais le résultat n'est pas à la hauteur. Hormis D. Yen et l'acteur jouant Bruce Lee, c'est assez compliqué de trouver des qualités autres que les combats alors même que l'histoire de Ip Man est passionnante. Personnellement, je me contenterai de revoir le premier opus qui reste très bon et plutôt respectueux du personnage principal. Les suites n'auront eu de cesse de perdre en intérêt malheureusement. Un final gâché pour ma part.
Je n'ai vu que le troisième volet avant celui-ci et je dois dire que j'ai préféré celui-ci. J'ai trouvé les dialogues moins mauvais dans cet opus que dans le précédent. Le scénario par contre est mal maîtrisé ici encore. Il y a toute une trame sur l'immigration qui sert de prétexte pour avoir le fight final qui, une fois cette tâche réalisée, n'est pas conclue. Ce qui est vraiment dommage. Niveau combat, plus de duels et moins de combat à plusieurs mais ça ne m'a pas dérangé car ça permet de mieux mettre en avant certains personnages. J'ai aussi beaucoup aimé de voir enfin Bruce Lee se battre, tout en ne prenant pas la vedette à son mentor. J'ai passé un très bon moment et c'était une belle occasion de retourner au ciné.
Pas client de la saga, j’y suis rentré par ce dernier opus qui m’a totalement séduit et donné envie de découvrir les précédents épisodes en espérant qu’ils soient du même tonneau. IP MAN 4 est dans la pure tradition des films de Kung fu et parlera sans doute plus à un public mûr nourri au film de Bruce Lee et autres Van Damme qu’aux plus jeunes biberonnés aux blockbusters de Marvel. Ca sent bon le passé mais pas le dépassé ! Les thématiques sont d’actualités et la réalisation est soignée. Les plans et la photo aux tons pastels semblent tout droit sortis d’un manga, la musique est parfaite et le scénario fait la par belle à des combats très esthétiques au sein d’une histoire certes caricaturale mais typique du genre et cohérente.
une fin de saga égale au reste, Donnie Yen est comme toujours impeccable et le sosie de Bruce Lee bluffant. Un bon film d'action sur fond de racisme anti chinois dans l'Amérique des années 60. Les combats sont comme toujours réglés au millimètre et voir des Américains se prendre une raclée est plutôt agréable. Pas le meilleur de la série mais un très bon cru quand même
Quelle tristesse de voir la quadrilogie Ip Man se finir sur un tel opus. Alors oui, on retrouve un Donnie Yen campant un Ip Man bienveillant et pétris de confucianisme. On appréciera aussi la continuité narrative qui place Ip Man devant ses préoccupations familiales. C’est avec son fils cette fois, c’est subtilement mené, et ça épaissit davantage le personnage. Les combats restent dynamiques et bien chorégraphiés. Mais on regrettera la violence qu’ils mettent en scène. Ce n’est pas tant la dureté des coups, ni la gravité des blessures qui posent problème, mais la violence verbale matinée de relents racistes qui redouble la violence des coups. Et tout le problème du film est là: derrière le chant du cygne du héros, plein de délicatesse et de subtilité, nous est asséné un flot d’injures racistes (vraiment, si je les écris ici, je serai censuré) qui sert, on le comprend dans les dialogues de fin, un message propagandiste chinois: les États-Unis sont un pays raciste qui s’est construit sur le dos des damnés Chinois et qui ne leur montre aucune reconnaissance. Un pays « suprémaciste » (c’est dit ainsi dans le film) dont la terreur va prendre fin grâce à ce héros (Ip Man), métonymie de la Chine, qui va « botter les fesses [des Américains] ». Et ce n’est d’ailleurs qu’à l’aune de ce racisme que les Chinois, de prime abord divisés (Bruce Lee est rejeté par sa communauté, comme dans le film DRAGON), retrouvent une complète unité. Cette division entre les Chinois traditionnels (Chine continentale) et les Chinois occidentalisés incarnés par Bruce Lee et la fille du maître (et qui symbolisent Hong Kong) finit par laisser place à une unité retrouvée derrière la figure mythique du héros (on ne sait plus si c’est Ip Man ou Mao Tze Tung). Était-ce le lieu de livrer un tel message? À l’heure où l’actualité croit déceler les prémisses d’une seconde guerre froide, entre Chine et USA, Ip Man 4 se fait l’écho d’un message propagandiste anti-Américains. On aura, avec Ip Man 4, même pas le droit à une pause vis-à-vis de l’actualité. Dommage!
En place pour un magistral cours martial ! Quoi d'autre dans IP Man 4 ? Les sous-intrigues ne sont pas très passionnantes (maladie, transmission ...) et la lutte entre très gentils et très méchants prend des formes tellement caricaturales que le filml n'est pas loin de marquer contre son camp. Le racisme de l'Amérique blanche dans les années 60 (et encore aujourd'hui) envers les différentes communautés, ici asiatique, est un fait avéré mais le film est tellement outré dans sa vision qu'employer le terme de manichéisme se révèle un doux euphémisme. Cet aspect propagandiste mis à part, IP Man 4 se laisse voir avec bonheir, y compris pour les non initiés, grâce au charisme serein de Donnie Yen et surtout à la chorégraphie des combats, qui allie une certaine élégance à la brutalité. On en oublierait presque le côté martial pour l'aspect artistique avec une beauté intrinsèque et une fluidité parfaite. Même sans avoir suivi la saga IP Man depuis ses débuts, même sans avoir jamais vu le moindre film de kung fu ou de son altesse Bruce Lee, même sans adhérer à une idéologie sans nuances, IP Man 4 est source de plaisir d'esthète, si l'on s'en tient à la notion de divertissement pur. Cela repose la tête et ne donne pas nécessairement envie d'aller casser la tête aux fâcheux qui nous exaspèrent dans la vie réelle. Soyons zen !
tres decu histoire sans interet pas de scenario que l'injustice, en revanche le sosie de bruce lee rien a dire je ne connaissais pas l'histoire mais je trouve que les combats sont loin d'etre ceux des autres film tigre et dragon dommage
Les films de kung fu ce faisant rare sur nos écrans que ça fait du bien d'en retrouver un. Le film est tres bien réalisé dans son ensemble les combats sont bien filmé et les chorégraphies maîtrisées. J'apprécie tout particulièrement l'extrême concentration de Donnie Yen lors des combats. Quand au scénario, est ce le plus important, pour moi non. C'est basique mais pas grotesque non plus. Filez donc voir cet Ip man et comme son titre l'indique régaler vous de sa dernière scène de combat.
L’épidémie du Covid-19 a eu un effet désastreux sur l’industrie cinématographique. Cependant, l’absence de sortie hollywoodienne a permis à quelques films d’avoir une distribution plus importante qu’en temps ordinaire. C’est le cas du quatrième volet de la saga Ip man qui est le premier de cette série à avoir les honneurs du grand écran en France. Cela est une bonne nouvelle car le film de Wilson Yip peut donner des leçons à beaucoup de blockbusters américains. En effet, il bénéficie d’une histoire intéressante (qui ne pose aucun problème de compréhension quand on n’a pas vu les films précédents) traitant de différentes thématiques : la mort, la transmission entre générations, le mélange des cultures chez les enfants d’immigrés, le racisme… Ip man 4 : Le Dernier Combat possède donc un scénario très intéressant par ses thématiques. Cependant, contrairement à ce que l’on pourrait penser dans la première demi-heure, le film n’en oublie pas pour autant d’être un véritable film d’arts martiaux. En effet, une fois les enjeux bien installés, l’histoire permet d’assister à de nombreux combats (parfois filmés en plans un peu trop serrés, il faut le reconnaître) mettant en scène différents protagonistes (Donnie Yen est loin d’avoir le monopole des scènes d’action) permettant d’affronter d’opposer le kung-fu et le karaté : même sans protagoniste japonais, la rivalité entre l’Empire du Milieu et l’Empire du Soleil levant conserve encore des traces dans ce long métrage. En outre, il est difficile de ne pas éprouver du plaisir de retrouver, moins d’un an après Once upon a time… in Hollywood de Quentin Tarantino le personnage de Bruce Lee, cette fois interprété par Danny Chan (comme dans l’épisode précédent). Malgré sa célébrité internationale, le Petit Dragon est loin de prendre le devant de la scène et ne possède qu’une seule grande scène de combat. Ip man reste bel et bien le héros de son film malgré une santé déclinante que l’on découvre le début du film. Ip man 4 : Le Dernier Combat est donc un excellent film d’arts martiaux comme le public des années 80 et 90 en dévorait par dizaines dans les vidéoclubs. Espérons que la sortie de ce film sur grand écran en France permettra une plus grande distribution de ce genre de cinéma dans l’hexagone.
Insupportable de premier degré, on s'attend à une parodie de série B des années 60-70, mais rien ne vient, c'est scolaire, bas du front, un empilement de clichés sans distance et sans humour. Je suis sorti avec la nausée. Bon, les chorégraphies sont regardables.
excellent...exceptionnel... beau ! il n y a rien à dire. la boucle est bouclée. hormis le 3 qui n avait d intérêt que la relation d ip man et sa femme... celui ci est parfait ! chapeau le maître !