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    In My Room
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    Zeu d'Homme
    Zeu d'Homme

    15 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2019
    Film sur la libération et l’accomplissement d’un homme qui parvient enfin à se réaliser dans un contexte tout autre que celui qu’il a connu. Le contexte post-aôcalyptique n’est qu’un prétexte à cette histoire touchante et lumineuse.
    Assez lent et contemplatif, une approche qui pourra dérouter et ennuyer les personnes qui recherchent action et divertissement.
    L’acteur principal est impressionnant dans son évolution aussi bien psychologique que physique.
    J’ai trouvé le film fascinant avec quelques scènes dans la seconde partie qui viennent en miroir de celles de la première partie.
    Cinéma épuré et inspiré, différent qui envoûte aussi bien dans sa forme que dans son fond.
    Jean-Michel B.
    Jean-Michel B.

    7 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2019
    Cinq étoiles ou4,5, qu'importe. Ce film tranche tellement avec un cinéma bavard, plein de grimaces d'acteurs et conçu pour "plaire" de manière racoleuse que je n'ai pas envie de marchander mon plaisir et mon appréciation. Un film remplit d'humanité, où ce sont les images qui disent, suggèrent expriment. Des images qui par le biais des sensations disent des sentiments ouverts. On en sort léger et réconcilié avec soi-même et quelques autres. Merci.
    dominique P.
    dominique P.

    844 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 janvier 2019
    J'ai complètement adoré cette histoire.
    Un mec trentenaire, célibataire, vit dans un tout petit appartement en Allemagne, il est caméraman.
    Son boulot se passe mal, il n'a pas de compagne, il galère sentimentalement et sa grand mère est en fin de vie.
    Il déprime et un soir il se saoule.
    Quand il se réveille le matin, tout être humain a disparu, il est complètement tout seul sur terre apparemment.
    Il va se débrouiller, survivre pour finalement apprécier cette nouvelle vie.
    Ce que j'ai adoré c'est la façon dont il s'adapte à ce nouvel environnement, sa joie de vivre retrouvée.
    Le film ne donne toutefois aucune explication sur le fait que toute activité humaine a disparu.
    spoiler: Cependant, quelques animaux sont encore là, ont survécu comme lui, ainsi qu'une femme de son âge avec qui il va s'installer pendant un temps.
    Dandure
    Dandure

    173 abonnés 203 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 janvier 2019
    Attention, cet avis des spoilers tels que : spoiler: vivement la version d'1h30.
    Fable écologique ? Pourquoi essai misanthrope plutôt ? La première moitié nous montre la médiocrité d'un homme moyen de son époque. Il urine, roule en voiture, manie le fil dentaire. C'est long, c'est gris. Mais quand celui-ci se retrouve dans le fantasme narcissique de dernier homme sur terre, il se métamorphose au contact de la nature en homme meilleur. Là-bas, une campagne verdoyante, pas de pluie, pas maladie ou de blessure trop grave. Au sein de ce paradis privilégié, notre héros retrouve par enchantement tous les savoirs des mondes précédents (agronomique, mécanique, électronique) en autant de gestes qui donnent du sens à la vie, gestes dont nous priverait le monde contemporain. Il va désormais lutter...pour acquérir un petit confort de bobo hippie. Heureusement il peut compter sur un monde d'abondance. Non, pas les myriades de poissons dans les rivières ou les fruits à profusion sur les arbres. Mais les stocks gratuits des supermarchés et les réserves d'essence dont il est le seul client. Bref, le monde est beau quand on ne cultive que son jardin. Et qu'il n'y a pas trop de jardins aux alentours.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 388 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mai 2018
    Armin est un caméraman incompétent et fauché. Il ne réussit pas avec les filles, ne fait pas attention à sa ligne, vit dans un 9m² miteux, bref un looser. Sa grand-mère va mourir et il la rejoint pour son dernier souffle. « In my Room » sent le film ultra-réaliste et déprimant. Lorsque le personnage, et le spectateur par la même occasion, est au plus bas, le film change totalement de cap en présentant une ville dénuée de toute vie. Seul Armin et les animaux semblent être encore de ce monde. En une demi-heure le drame passe alors au survival movie avec un Robinson improvisé qui va devoir vivre sans eau courante ni électricité. Le film prend une tournure inimaginable avec un message presque écolo. Le comédien change d’apparence physique et semble de mieux en mieux dans sa peau. Si l’on regrette la trop bonne organisation presque sans embûche du personnage, « Im my Room » est un film prenant et minimaliste qui remet en question la société contemporaine qui surconsomme et réfléchit à l’avenir de nos enfants.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Jean-Richard R.
    Jean-Richard R.

    11 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 novembre 2018
    Film envoûtant, qui redonne au terme "fiction" tout son relief. De belles surprises, et une conclusion à la libre appréciation du (trop démuni) spectateur. Deux heures de pur bonheur !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 janvier 2019
    Film très original qui interpelle. Inspiré en partie du romam de l'auteur autrichien Thomas Glavinic "Die Arbeit der Nacht " (Le travail de la nuit) paru en 2006 et bestseller à l'époque en Allemagne.
    C'est l'histoire angoissante de Jonas qui un beau matin se retrouve tout seul au monde. Notre héros du film, Armin qui a encore rendu visite à ses parents et la grand-mère mourante la veille au soir, va connaître le même sort . Rien n'a changé dehors, la nature est comme d'habitude sauf que tous les êtres humains ont disparus. Pas de catastrophe aturelle.Tout semble abandonné par les hommes. C'est extrêmement choquant, angoissant même oppressant de ne plus trouver personne. Mais cela signifie également : une totale liberté toute aussi angoissante dont il va profiter pleinement au départ, libre accès à tout, courses au supermarché sans payer, etc. ,il va rouler à toute vitesse dans une voiture de sport de police trouvée, éviter tout juste de se tuer avec dans un tunnel...Dans la deuxième partie, différente du roman, il reconstruit un
    e sorte de nouvelle vie à la Robinson Crusoé dans son pays natal où va apparaître un beau jour une jeune femme...un film que le réalisateur a mis 7 ans à terminer et qui soulève des questions existentielles. Un film qui maintient en haleine jusqu'à la fin. A recommander.
    dejihem
    dejihem

    140 abonnés 673 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 janvier 2019
    Sur un thème vaguement survivaliste, ce film navrant voudrait montrer la naissance d’un homme. Enfin, d’un adulte. Sauf qu’en raison de plans trop longs ,d’une absence de dialogues et d’une aridité des plans, le film ne démarre vraiment qu’au bout de 40 minutes. À partir de ce moment l’homme rencontre une femme. Voilà, c’est tout. C’est bien peu.
    Laurent S
    Laurent S

    2 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2019
    Film ovni à la fois très réaliste et film fable Armin looser dans sa vie professionnelle de caméraman et sentimentale se révèle aux derniers jours de sa grand-mère et va apprendre à survivre dans un monde qui a presque perdu toute humanité.
    Les symboles feu eau électricité nature pomme jalonnent ce film incroyable et marquant.
    Benito G
    Benito G

    677 abonnés 3 162 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2019
    Voici un film qui n'est que faiblement distribué (production allemande, pas de promo…) Un drame tirant un peu sur le fantastique selon mon avis. Un homme dont toute chose et un échec (dans sa vie sentimentale, le travail..). Mais voilà qu'il se réveille et constate que l'humanité a disparue. Mais pourquoi ne fait il pas parti des gens disparus??? Bref, il voit l'occasion de redémarrer une nouvelle vie assez étrange… Le réalisateur a fait un film intéressant, mais relativement un peu long. Certaines longueurs, parfois inutile aurait pu être dispensé^^. Le film nous notre bien que le changement de vie d'un homme qui pourtant ne l'emmène pas à la solitude?Cette survie étrange met bien en parallèle l’humanité et son impact sur l’environnement et la nature reprenant ses droits, tout en interrogeant sur la notion de liberté. D’autant qu’au bout de 5 ans de solitude, un peu de changement va se faire sentir. l.
    En effet, l’histoire d’Ulrich Köhler porte aussi sur le comportement des derniers humains de la Terre n’ayant plus à obéir aux règles sociétales disparues avec leurs concitoyens. Dans son récit crépusculaire se parant des allures d’un jardin d’Eden, il ne s’agit plus vraiment de la survie de l’humanité, mais de la rencontre de deux solitudes ayant évolués chacun de leur côté et porteuses d’un passé différent.Les deux très bons comédiens, Hans Löw et Elena Radonicich, s’apprivoise leur rôle, tout en restant chacun dans leur monde.. Leur jeu crédible se dégageant entre eux participe à l’intérêt d’une intrigue dans laquelle certaines situations ou l'on connait les codes classique du genre. Ne sont pas dans le fait de nous faire visionner les codes classique.In My Room est une œuvre dégageant parfois une intimité sur la reflexion, une réflexion presque intime sur l’humanité, la liberté…) Avec tout cela on s'attendait à des moments de tristesse, mais cela n'est absolu pas le cas. Et en fin de séance en le film nous réfléchirLes acteurs sont très bon et la mise en scène nous laisse parfois pensé à une sorte de poésie avec la curiosité de l'idée de son film (même si pour certains, cela aura a moitié des heures légèrement quelques idées déjà vu dans d'autre production.
    Avec son sujet curieux, une belle poésie naturaliste, et deux très bons acteurs, ce voyage vers la fin de l’humanité n’est jamais triste. Mais laisse réfléchir sur les opportunités que l’on a et que l’on laisse passer pensant toujours avoir le temps de les saisir ultérieurement. Et même malgré quelques longueurs,, nous offre un film un peu mélancolique et une séance ou l'on ressort de la salle avec quelques réflexion. Dommage que la distribution soit très faible (mais bon, c'est Allemands, pas de tête "connu", pas de promo…).
    colombe P.
    colombe P.

    134 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 janvier 2019
    Pour moi ce film est mystérieux et fascinant et il m'a émerveillée.
    Cet homme, à bout de souffle alors qu'il n'a pas encore 40 ans, retrouve une harmonie avec lui-même et aussi avec la nature.
    Il revit, est content et paisible et se refait une petite vie bien tranquille.
    Contrairement à ce que disent certains, ce film a énormément d'intérêt et je m'en souviendrai longtemps (d'ailleurs je l'achèterai en DVD assurément).
    cortomanu
    cortomanu

    77 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 janvier 2019
    Du jour au lendemain Armin est -sans explication- le seul homme sur terre, jusqu'à ce que... À partir de ce thème de Robinson revisité le film essaie de nous montrer ce que repartir de zéro peut produire. Mais le film est trop long, trop lent, trop vide pour susciter plus qu'une attention polie du spectateur. Qu'en restera t'il dans quelques jours ? Probablement rien.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 janvier 2019
    le film décrit un nouveau monde idéal, futuriste et avant gardiste d'une possible nouvelle façon de vivre. Éblouissant
    Petitgraindesable
    Petitgraindesable

    21 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 janvier 2019
    La première partie "peuplée" réaliste, si retenue que l'émotion échoue à affleurer. La suite, particulièrement après l'arrivée de Kirsi/Eve évolue lentement vers le grotesque. La caméra est néanmoins agile, et quelques jolies scènes (la nature, les animaux, la danse devant le camion) ponctuent une histoire psychologico-creuse. Sans intérêt.
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 516 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 février 2019
    Rien ne va pour Armin (Hans Low), la trentaine. Suite à une ultime bourde, il est à deux doigts de perdre son job de caméraman à la télévision allemande. Sa vie sentimentale est un désastre. Sa grand-mère, que veille son père, est mourante.
    Un beau matin, à son réveil, Armin découvre un monde vidé de son humanité. La vie reprend pour lui sur de nouvelles bases.

    Que se passerait-il si le monde était brutalement vidé de sa population ? Que ferions-nous si nous étions les derniers hommes ? Comment survivrions-nous face aux éléments ? Céderions-nous au désespoir ? Chercherions nous désespérément d'autres survivants ?

    Le sujet a irrigué la littérature autant que le cinéma. Dans ses sources d'inspiration, le réalisateur Ulrich Köhler cite le vieux roman de Marlen Haushofer "Le Mur invisible", publié en 1963 et traduit en 1985 seulement par "Actes Sud" - qui n'était alors qu'une petite maison d'édition arlésienne. Mais récemment, on a vu sur les écrans et dans les librairies se multiplier des œuvres construites autour de cette hypothèse.

    Je ne parle pas de films de genre façon "Sans un bruit", "28 jours plus tard", "World War Z" ou "Je suis une légende" où une humanité réduite à néant doit combattre des créatures menaçantes. J'évoque ici des œuvres minimalistes où l'apocalypse n'est que le prétexte à une réflexion métaphysique sur la condition humaine. Le prix Pulitzer a consacré la meilleur d'entre elle : "La Route" de Cormac MacCarthy - remarquablement adapté à l'écran par John Hillcoat en 2009 avec Viggo Mortensen dans le rôle principal. Mais il y en a d'autres sans remonter aux ouvrages fondateurs de Barjavel ("Ravage", "Malevil"...) : le film La nuit a dévoré le monde sorti l'an passé dont l'action se déroule dans un Paris aussi désert que familier, :Le Dernier Combat", le premier film de Luc Besson, les récents romans de la française Céline Minard ("Le Grand Jeu") ou de la canadienne Emily St John Mandel ("Station Eleven"). Ajoutons à cette énumération déjà trop longue un film inédit dans les salles françaises alors qu'il a pour tête d'affiche les très bankables Margot Robbie Chris Pine et Chiwetel Ejiofor : "Z for Zachariah" (2015

    "In my room" - dont le titre inspiré d'une chanson des "Beach Boys" n'annonce pourtant rien de tel - s'inscrit dans cette longue généalogie. Il prend le parti d'être construit en deux parties nettement distinctes. La première se déroule l'hiver sous une petite pluie fine dans une Allemagne nuageuse. Le héros bedonnant y mène une vie déprimante. La seconde, sans solution de continuité, se déroule sous un soleil radieux, en pleine nature avec un héros méconnaissable qui a pris du poil et des muscles, comme si l'apocalypse loin de le détruire l'avait sauvé.

    Le sujet est un défi lancé au scénariste : comment filmer la solitude post-apocalyptique ? Si l'on veut se concentrer sur l'essentiel et éviter d'encombrer son histoire de rebondissements anecdotiques, on risque, en filmant les faits et gestes quotidiens d'un homme solitaire, de faire du surplace. C'était d'ailleurs le travers de l'adaptation cinématographique en 2012 du "Mur invisible" évoqué plus haut.

    On ne pourra rien dire de ce qu'il advient de notre héros, ni des rencontres qu'il fera - ou pas. On indiquera simplement que le rebondissement autour duquel se construit le dernier tiers du film était largement prévisible : il suffit de lire l'affiche pour le deviner. Le parti qu'en prend le scénario et la façon dont le film se termine sont en revanche assez surprenants.
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