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    Zoe
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    FaRem
    FaRem

    8 647 abonnés 9 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juillet 2018
    Comme souvent avec Drake Doremus (Breathe In, Equals, Newness, etc.), son film raconte une histoire d'amour particulière presque interdite ou impossible. "Zoe" est en quelque sort un film d'anticipation qui se déroule à une époque où la plupart des relations sont créées ou orientées grâce à un logiciel qui calcule les chances qu'ont ces relations de durer. Il y a même un médicament qui est commercialisé et qui permet de simuler le sentiment d'être amoureux. Plus important encore pour cette histoire, il y a des robots que l'on ne peut reconnaître à l’œil nu et qui sont capables de de ressentir des émotions et de sympathiser avec les êtres humains. Ils sont conçus pour être les partenaires «parfaits» qui ne vous quitteront jamais ou ne vous décevront pas. Mais est-ce suffisant ? L'amour est toujours important à cette époque, mais il est beaucoup moins naturel. Le sujet en question a déjà été abordé de nombreuses fois et le réalisateur n'apporte rien de nouveau à ce dernier. La romance en question est très classique malgré les personnes que cela concerne et malgré le déroulement moins prévisible que dans la majorité des films de ce genre. Léa Seydoux est superbe néanmoins l'alchimie avec son partenaire que je ne cite volontairement pas ne saute pas aux yeux. A la limite, j'aurais préféré une relation avec spoiler: Theo James
    dont le personnage est plus intéressant et ce qui pour le coup aurait donné une histoire bien plus originale. Si l'histoire est finalement sans surprise, le film est quand même bien réalisé avec quelques scènes visuellement très jolies tandis que la bande-originale est apaisante et envoûtante. Au final, "Zoe" est un film moyen qui se laisse regarder sans plus.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 août 2018
    Un très bon film pour ma part qui se regarde facilement loin de la SF classique. En effet, j'ai rarement vu dans ce genre autant de développement des sentiments des robots ou plutôt des synthétiques. Ex machina peut aller se rhabiller ! On est plus dans une histoire d'amour qu'une dystopie. Amateurs de robot tueur à l'intelligence débridée, fuyez...à bon entendeur.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 067 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 janvier 2019
    Bon je ne sais pas pourquoi j'ai regardé ça, j'ai sans doute été attiré par la distribution, mais franchement il n'y a vraiment rien à se mettre sous la dent, c'est d'une vide et d'un conventionnel à toutes épreuves.
    Au début du film j'ai marqué sur un bout de papier Léa Seydoux est un robot et ça n'a pas manqué... alors on l'apprend beaucoup plus tôt que je ne le pensais, ce qui amène le film à devenir une sorte de Her du pauvre.

    Le film ne pousse jamais la réflexion pour savoir ce que ça fait d'aimer quelqu'un qui n'est pas réel, si ce quelqu'un qui n'est pas réel existe réellement, etc. Le film noie tout ce qui aurait dû être sa réflexion dans de la musique beaucoup trop forte et des bons sentiments, des ruptures à n'en plus finir et qui rendent le film juste agaçant tant les personnages sont chiants à se morfondre d'être malheureux alors qu'en fait ils ont juste à décider d'être heureux et de se mettre ensemble... Enfin...

    C'est juste un clavaire, parce qu'il ne se passe rien, les personnages sont insupportables et puis on voit quand même le sujet intéressant du film se vautrer dans le conformisme sentimental et le vide. Je n'en vois clairement pas l'intérêt...

    S'il voulait juste faire une histoire d'amour, pourquoi pas ? mais à ce moment là il faut que ça fonctionne, que les personnages aient de l'alchimie entre eux, là c'est juste des gens qui jouent la larme à l’œil en se morfondant d'avoir perdu l'amour de leur vie et que la vie elle est dure et que c'est dur de vivre et que... et que... tu sens que c'est pensé par un ado... ou quelqu'un qui est un ado dans sa tête...

    Personne n'affronte jamais ses problèmes, tout le monde geint et se plaint en se croyant trop d4rk... tout en parlant de suicide...

    Je passe sous silence la fin qui est d'une bêtise affolante... Franchement sur le thème on a Blade Runner 2049 qui est passé là avant, avec notamment la scène où Gosling demande à Ford si le chien est réel et où Ford lui répond de demander au chien s'il pense qu'il est réel (un truc genre), sous entendu qu'être réel n'importe pas à partir du moment où tu as des sentiments, des émotions, etc. Mais là non, on se tape un truc façon Blanche Neige absolument ridicule, mélo au possible, qui sort de nulle part, où c'est juste magique...

    Mais vu que ça ne fonctionne pas au niveau de la romance à aucun moment ça ne marche...

    C'est juste scandaleux qu'un tel projet puisse être tourné tant il n'y a juste rien...
    RedArrow
    RedArrow

    1 665 abonnés 1 529 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2018
    Après l'excellent "Newness" qui abordait le manque de communication entravant la quête de bonheur des jeunes couples modernes à cause (et en grande partie) des nouvelles technologies, Drake Doremus prolonge plus loin cette thématique en effectuant un bond dans le temps avec "Zoe".

    Nous voilà donc plongés dans une société futuriste pas si éloignée de la nôtre et hélas extrêmement pessimiste sur le devenir de nos aptitudes à partager nos sentiments avec l'être aimé. En effet, parce qu'il a lui-même été incapable de se remettre d'une rupture amoureuse, un chercheur, Cole (Ewan McGregor), s'est donné pour but de combler la solitude de ses semblables grâce à la science. Avec la "Machine" capable de calculer un taux de comptabilité relationnelle entre deux personnes, des comprimés servant à recréer l'ivresse d'une première rencontre amoureuse et, surtout, des êtres synthétiques, similaires en tout point aux êtres humains, inventés afin de partager leurs vies sans les déceptions sentimentales qu'une relation de couple peut induire, l'avenir passe donc par la voie artificielle pour régler le désordre affectif de ceux qui le peuplent. Évidemment, la complexité des émotions humaines au coeur de "Zoe" va vite nous montrer les limites d'une telle solution de facilité...

    Si vous êtes familiers des romances contrariées réalisées par Drake Doremus et qui ont fait sa bien trop discrète renommée, vous connaissez forcément cette faculté absolument sidérante que possède le metteur en scène pour capter la réalité d'une relation amoureuse à travers la mosaïque de gestes, de regards, de tendresse, de conversations futiles ou essentielles, de non-dits et de conflits qui la traverse. La bonne nouvelle, c'est que, sur point, vous serez probablement déjà en terrain conquis avec "Zoe" (si, toutefois, vous adhérez à sa vision bien entendu), le réalisateur faisant encore une fois preuve d'une maestria impressionnante pour saisir les contours de cet univers SF dans le but de les resserrer au plus près des états d'âme de ses personnages. Cette espèce d'ambiance évanescente permanente où la caméra paraît chercher la moindre manifestation physique des sentiments en scrutant les visages et les corps sera en plus magnifiée par la bande originale (la musique composée par Dan Romer et les morceaux choisis) pour atteindre ce qu'on pourra qualifier d'orgasmes émotionnels dans une unité parfaite de son et d'image lorsque le récit permettra la conjugaison réelle des sentiments entre deux protagonistes. En dehors de ces moments d'unisson, elle traduira sans peine la brume de la solitude et la confusion sentimentale dans lesquelles évoluent Cole et Zoe (Léa Seydoux).

    La première partie nous introduit au fonctionnement de cette start-up de nouvelles technologies où son créateur masque la douleur de son divorce en se focalisant dans ses recherches pendant que sa collaboratrice Zoe fait tout pour tenter de lui exprimer ses sentiments grandissants à son égard. Si, formellement, on n'a pas grand chose à redire, la route scénaristique que prend "Zoe" vers un twist terriblement prévisible ne nous rassure guère car on se souvient de "Equals", autre tentative SF de Doremus et sans doute son long-métrage le plus faible à cause d'une utilisation trop prononcée des poncifs de la dystopie. Alors que l'on commence à croire que le film va être dans la même veine avec cette idée très naïve comme seul phare, "Zoe" nous surprend heureusement en en dévoilant la teneur au bout d'à peine une demi-heure pour repartir sur un changement de perspective plus passionnant.

    Dès lors, les contradictions du personnage de Cole vont devenir la locomotive principale du film. Sa quête obsessionnelle de remplacer la vérité des sentiments par des "leurres" synthétiques de plus en plus réalistes va être mise à mal lorsque lui-même va commencer à éprouver des émotions dont il ne se pensait plus capable pour une de ses créations. Mais, devant la différence de ce nouvel être aimé pourtant si proche de lui, il ne pourra envisager d'embrasser ce bonheur qui l'appelle de toutes ses forces alors qu'il en avait fait le fer de lance de toute sa vie de chercheur. Après avoir laissé passer cette chance, il connaîtra la déchéance en usant paradoxalement de moyens encore plus artificiels pour tenter de retrouver la véracité des émotions ressenties l'espace de ces courts moments idylliques...

    Couplé au point de vue de Zoe se perdant dans un schéma similaire (par miroir) mais où les perspectives d'existence la confrontent à un destin bien plus terrible vu les questionnements internes engendrés, le film a parfois tendance à s'égarer en cours de route dans des séquences pas forcément très pertinentes (les va-et-vient au "robot-bordel" pour mettre en exergue l'utilité primaire de ces êtres synthétiques et confronter le regard des modèles obsolètes aux nouveaux, thématique de SF pas très originale même si elle sera un outil scénaristique pas si bête à quelques rebondissements) ou à simplement effleurer des interrogations passionnantes (on aurait aimé plus s'attarder sur le côté sombre de ce monde où ses habitants en viennent à plonger dans des paradis artificiels d'émotions plutôt que de rechercher à les ressentir véritablement). Néanmoins, "Zoe" fait trop souvent mouche en posant un regard rempli de justesse sur la complexité des relations humaines dans l'exploitation de son univers SF pour que l'on puisse passer à côté des qualités de son discours.

    Encore une fois, le manque de communication, cette incapacité croissante et inhérente à l'être humain de ne plus savoir comment s'ouvrir à l'autre, est mise en avant pour expliquer la solitude dans laquelle il se renferme un peu plus à chaque pas de son évolution. L'innocence des créations perfectionnées dans "Zoe" (s'incarnant d'ailleurs parfaitement dans Ash, un robot qui perd de plus en plus sa naïveté au regard de sa connaissance de l'Homme et d'un ressentiment amoureux) apparaît d'abord comme une réponse illusoire mais, finalement, leur faculté à se poser les bonnes questions sur ce qui nous régit véritablement pousse à la fois l'humain à réveiller l'expression de ses sentiments (à condition qu'il accepte toutefois d'y répondre et de se laisser gouverner par eux) et l'être synthétique à ne pas sombrer dans le désespoir de sa condition en trouvant l'être idéal avec lequel apprendre à ressentir enfin ce qui n'était auparavant qu'une illusion.
    On n'en taira la teneur mais la fin extrêmement réussie et lumineuse en sera la plus belle représentation à l'écran.

    "Zoe" n'est peut-être pas le point culminant de la filmographie de Drake Doremus mais, pour sa deuxième incursion en terrain SF après "Equals", il continue brillamment de disséquer le fonctionnement de nos sentiments avec son sens inné de leur retransmission cinématographique. Au delà des défauts de sa construction parfois trop simpliste et dissimulant mal la densité de ce qu'il cherche à délivrer, le film tape tellement souvent juste à travers une myriade de moments touchants et de merveilles de dialogues qu'il est bien difficile de ne pas succomber une nouvelle fois à la patte inaltérable de Drake Doremus. Un dernier mot pour le casting, Ewan McGregor et Léa Seydoux en tête mais aussi de très bons seconds rôles (notamment un Theo James étonnant et parfait en robot paumé), sans qui "Zoe" ne nous ferait sûrement pas autant vibrer.
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    59 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2019
    Film de science-fiction saupoudré de romance à la manière d’un Ex machina, Zoe prend place dans un laboratoire de recherche scientifique travaillant sur un moyen d’améliorer les relations entre les êtres humains en créant des androïdes appelés « êtres synthétiques », au comportement tellement proche de celui des humains qu’on en fait à peine la différence. Il propose également des pilules capables de provoquer un coup de foudre (« Vous pensez que le premier amour est un lointain souvenir ? Sachez qu’il est à portée de main. Essayez Benysol et retombez amoureux pour la première fois. »). Prototype d’une longue série interprétée par Léa Seydoux (La Belle et la Bête, Journal d’une femme de chambre, Spectre), Zoe a été conçue pour croire qu’elle était humaine et qu’elle dirigeait le laboratoire afin de mesurer comment évoluent ses relations avec les humains, et notamment avec son créateur Cole, joué par Ewan McGregor (la prélogie Star Wars, Anges et démons, Jack le chasseur de géants).

    L’existentiel est au cœur du scénario, Zoe se demandant sans cesse en quoi elle pourrait être comme les autres et pourquoi elle n’a pas la chance d’être humaine. Valorisée par Cole avec qui elle entame rapidement une relation amoureuse, elle est tout aussi rattrapée par la réalité lorsque la gérante d’une exploitation d’êtres synthétiques lui rappelle sa fragile condition (« N’est pas humain quelque chose qu’il est possible d’éteindre. »). Léa Seydoux offre une fois de plus une prestation très talentueuse à travers son personnage plein de sourires et d’inquiétudes (« Je ne suis jamais sortie avec des copines jusqu’au bout de la nuit. Je ne suis jamais restée des heures au téléphone avec un mec. Je n’ai jamais mis de parfum. »). Le scénario met évidemment en lumière une certaine critique de l’omniprésence de la science, qui s’imagine pouvoir tout expliquer et contrôler avec des tests indiquant des pourcentages de compatibilité entre deux personnes. Un très beau film malgré une fin qui aurait pu être bien plus marquante.
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    65 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 avril 2020
    Au-delà des qualités du film, je trouve la thématique abordée particulièrement passionnante! Elle a effectivement déjà été traitée auparavant, certes, et peut-être même plus adroitement, mais cela n'a aucune importance! Il s'agit d'un film d'une grande délicatesse, à l'image de ses interprètes (McGregor est parfait et s'améliore de film en film; Seydoux se montre naturelle, vulnérable et particulièrement juste). Il interroge subtilement les relations humaines et anticipe un mode de vie quasi inévitable avec beaucoup d'humanité, parvenant même à s'avérer bouleversant de façon inattendue et avec une grande simplicité.
    Marcologie
    Marcologie

    37 abonnés 247 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 janvier 2021
    Soit on est un transhumaniste et on est emballé par le message simpliste du film: oui les androïdes sont des personnes comme les autres qui méritent notre amour, soit on est réaliste et non une machine même avec une IA imitant parfaitement l'humain reste une machine et donc ce film tombe à plat. Les trois quarts du film arrivait à nous intéresser avec les hésitations du personnage principal, d'autant que les acteurs sont plutôt bons. C'est bien la première fois que je trouve Léa Seydou attachante dans un rôle. Mais le final est vraiment too much. Comme si le scénariste n'avait pas su comment finir son film et avait choisi la facilité. Ce qui est d'autant plus étrange c'est que le futur décrit par ce film est totalement effrayant, avec un logiciel nous prédisant si une personne est compatible avec une autre ou pire cette drogue destinée à faire ressentir un sentiment amoureux pour n'importe quel inconnu. C'est la même boite qui conçoit également les androïdes parfaits. Toutes les relations humaines devenant donc totalement artificielles par la technologie. Et c'est peut être ça le vrai message du film...
    Silbano S
    Silbano S

    8 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juillet 2018
    On a tous eu à faire au moins une fois dans notre vie à l'amour et c'est ce dont il est question dans ce magnifique film qu'est Zoé. C'est ce genre de film qui, pendant le visionnage, te rappel de bon moment passé avec un être aimé et la naissance d'un amour parfois perdu.
    L'histoire est vraiment touchante et c'est principalement grâce au jeu des acteurs plus que juste et convainquant mais les amateurs de SF pur passé votre chemin car vous allez vous ennuyer.
    Il y a longtemps que je ne l'ai pas vu mais ce film me fait pensé à Her que j'avais adoré. Bref, une belle histoire sentimental qui pourra rendre mélancolique les plus sensibles.
    Acidus
    Acidus

    720 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 avril 2021
    Les films de SF estampillés "Netflix" son,t rarement de bonne qualité mais "Zoe" a au moins la particularité de présenter deux grands acteurs en tête du casting : Ewan McGregor et Léa Seydoux. Pour le reste... bah c'est le quasi-néant. Le concept de l'amour entre humain et machine/IA est un sujet épuisé dans la SF et "Zoe" n'y apporte aucune nouveauté. Au contraire, le scénario et les dialogues sont d'une platitude. Bilan : on s'ennuie énormément. Sur un sujet similaire, je conseillerai davantage "Ex Machina" ou "Her".
    bsalvert
    bsalvert

    408 abonnés 3 579 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 juin 2019
    Un film de science fiction et la course à l'humanisation des android, On est impressionné par le jeu des acteurs mais l'histoire est longue et trop tournée sur la vie normale.
    PLV : quand les verra-t-on enfin?
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    315 abonnés 2 971 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 juillet 2018
    Un scénario assez peu inventif qui recycle des aspects déjà évoqués de Termintor à I Robot et où il ne se passe pas grand chose. Plat, sans émotion, sous anesthésie, cette production Netflix s'avère bien pâle que même le casting de renom ne relève pas!
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    191 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2018
    Pour les adeptes de Black Mirror comme moi, ce film est fait pour vous! Nouvelles technologies et romantisme avec un casting de premier choix. Ce genre de films a le vent en poupe car il nous fait imaginer jusqu’où on pourrait aller...
    kibruk
    kibruk

    145 abonnés 2 547 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 février 2020
    "Zoé" est une production Netlix qui attire par son casting. Malheureusement l'Image est moche et le scénario sans enjeux est totalement creux. Peut-être qu'au format 'épisode Black mirror' le résultat aurait été plus intéressant, mais là l'intérêt est proche de zéro. 
    Rodrigue B
    Rodrigue B

    20 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 mars 2019
    L'idée de départ, quoique peu originale, permettait néanmoins au spectateur d'être attiré, espérant avoir une version différente ou actualisée de ce qu'on connaît déjà (Blade Runner, Ghost in the shell, A.I. Intelligence artificielle, ...). Quelle déception malheureusement ! Le film, à défaut d'aller plus loin, ne propose même pas un divertissement digne d'intérêt ! Une musique épouvantable omniprésente qui tape sur les nerfs dès le début de l'oeuvre, des acteurs (heureusement autonomes) mais dont le jeu apparaît approximatif (NetFlix oblige...) et l'histoire, j'en ai déjà parlé : du déjà-vu fainéant. Résultat : le spectateur tombe rapidement dans l'ennui. Les rebondissements sont très attendus... En réalité, le film pourrait s'apprécier entre copines pour sa note romance (et encore il ne faut avoir trop d'attentes), mais pour le côté science-fiction : passez votre chemin !
    J'aurais peut-être dû le visionner avec ma compagne...
    Clint B
    Clint B

    50 abonnés 280 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 octobre 2022
    Encore le recyclage d'un thème usité de la SF, mais ici d'une platitude quasi affligeante. Ce n'est pas un gros budget, ce qui n'est pas du tout un problème en soi, mais une bonne partie a dû partir dans les émoluments des 2 têtes d'affiche que sont Seydoux et McGregor. Ce budget aurait été bien plus utile pour payer un dialoguiste et engager du staff pour travailler le rythme scénaristique. Bref, une prod Netflix qui fera rêver les transhumanistes invétérés, et les célibataires endurci(e)s... Long et pénible
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