Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
5,0
Publiée le 9 octobre 2007
j'ai adoré ce film qui est tellement le reflet de la nostalgie de l'enfance et des liens qui peuvent unir les enfants lorsqu'ils pensent vivre quelque chose qui dépasse leur entendement, une chose "extraordinaire". j'ai lu cette histoire et je vous assure que j'en ai pleuré. j'ai regardé le film en étant pratiquement certaine que toute l'émotion contenue dans le récit ne se traduirait pas à l'écran et pourtant...cela a été fantastique!
J'ai adoré ce film à l'ambiance 50' et aux musiques d'époques géniales. Les jeunes acteurs transmettent bien l'émotion, surtout à le fin lorsqu'il rentrent tous à Castle Rock'et qu'ils voient bien qu'ils ont changés.
Une adaptation géniales en tous temps, un seul mot : bravo =)
Autre bijou de Rob Reiner qui nous livre, trois ans avant le choc Misery, une fable puissante sur l'adolescence et la nostalgie. On a du mal à oublier un tel film, riche en émotions et sincère. Les quatre personnages principaux sont attachants : le héros Gordie Lachance, son meilleur ami Chris Chambers ( étonnant River Phoenix ), le téméraire Teddy Duchamp et le grassouillet Vern Tessio. Ce sont des marginaux qui partent en quête d'un corps, et qui se trouveront confrontés à bien des problèmes tout au long de leur voyage initiatique. Une réflexion intéressante sur l'amitié qui m'a touché : en effet, l'amitié est parfois éphémère mais inoubliable, forte et fragile tout à la fois. Les adolescents de Stand By Me ne sont jamais ridicules, car ils ont la noblesse de croire en leur amitié, que la vie finira par stopper. La scène où Chris se confie à son ami Gordie est authentique, l'émotion est intacte ( River Phoenix encore tout jeune, parvient à nous émouvoir ). Un conte moderne simple mais jamais simpliste, baigné dans la superbe musique très rock n' roll des années 1950 ( on retrouve les obsessions de Stephen King : son enfance dans les années 1950 ). Excellent...
D'où vient la beauté singulière de ce film ? Contrairement aux "Goonies" ou à "Maman j'ai raté l'avion", ce n'est pas un film avec des enfants pour un public puéril. Non, le bouleversement profond que suscite sa vision est dû au fait que c'est le regard d'un adulte sur son enfance, ou plutôt sur ses amis d'enfance. L'oeuvre de Rob Reiner ne raconte rien d'autre que ce moment délicat où tout est sur le point de basculer : les enfants du film ne le seront plus pour très longtemps, prêts qu'ils sont à entrer dans l'adolescence, avec toute la fragilité que leur confère cette intuition, à savoir que toutes leurs "déconnades", ils les vivent sans doute pour la dernière fois. C'est ce sentiment de perte qui anime l'écrivain lorsqu'il se remémore son enfance des années 50. C'est un sentiment que d'autres films ont tenté d'exprimer, mais Rob Reiner en 1986 était touché par la grâce. "Stand by me" est une ode douloureuse à l'enfance, que les jeunes comédiens, et en particulier le regretté River Phoenix, interprètent avec une subtilité, une authenticité, une sensibilité proprement déchirantes. D'ailleurs, l'auteur de la nouvelle "Le corps" ne s'y est pas trompé. Invité à une projection du film à peine terminé, il en est ressorti les larmes aux yeux, préférant se retirer quelques heurers avant de pouvoir confier le secret de sa nouvelle. "Le corps" donne vie à ses meilleurs amis d'enfance, dont certains depuis ont disparu. Cet écrivain, auteur de "Différentes saisons" dont est extrait "Le corps" n'est autre que Stephen King. Un chef d'oeuvre.
Le long-métrage de Rob Reiner de 1987 s'inspire d'une nouvelle de Stephen King (Rita Hayworth et la rédemption de Shawshank / La ligne verte), elle-même basée sur une expérience vécue de l'auteur. C'est pourquoi le film paraît si tendre et cruel à la fois, à l'image des sensations de jeunesse. La BO est évidemment sublime, puisque basée sur le hit de Ben E. King, "Stand by me."
Rob Reiner commet ici, comme il en a l'habitude, un film affreusement ennuyeux sur des gamins qui se posent des questions existentielles inabouties. Il ne se passe rien et les acteurs ne sont pas bons. Une mauvaise série Z.
Quel film! en le regardant, toute notre enfance, les betises qu'on a pu y faire, l'insouciance, l'innocencen, tout ça nous revient en pleine figure à acent à l'heure. Meme le récit un peu moins triste et moins dure que dans le roman de Stephen King, et les quelques raccourcis(étaient-ils vraimment nécessaire, vu que le film ne dure qu'une heure vingt?) ne réussissent pas à en faire un mauvais film. Il faut dire que cà n'était pas compliqué: il a suffit de ne pas prendre les enfants pour des abrutis...
C'est un bon film sur l'amitié et surtout sur la tolérance. "Bon dieu, n'est ton pas tous pareil?" J'ai toujours aimé l'univers de King, ici ce n'est pas glauque. Ça m'a par certains coté fait penser au film Les Goonies peut être parce qu'un y retrouve le même acteur et peut être aussi car il y a la recherche de quelque chose avec une bande de copain. En tout cas ce film m'a plu.
Superbe film que voilà! Vraiment, je n'ai pas décroché une seconde de ce film! Les acteurs sont tres bons pour leur age (snif, j'était triste quand j'ai vu que mon acteur préféré est mort) Mais franchement, ce film est vraiment trop bon!
Gentille histoire adaptée dune nouvelle de Stephen King, et due au même cinéaste qui a porté à lécran Misery. Les gamins sont attachants, dans leur curieuse quête dun cadavre, alors que cest en fait, quelques clefs de la vie quils recherchent. Ode enfantine à lamitié, dans le style Club des Cinq. Le récit est conté par la voix off de John Cusack, lun des anciens gosses devenu écrivain, lui qui racontait si bien à ses copains les histoires quil inventait, comme le concours de mangeur de pizzas