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    Instalife
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    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 537 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 septembre 2018
    Incapable de gérer le manque de la relation fusionnelle qu'elle avait avec sa mère aujourd'hui décédée, Ingrid (Aubrey Plaza) a transformé sa peine en développant une obsession maladive pour Instagram jusqu'à y passer des journées entières à suivre la vie en apparence parfaite de jeunes influenceuses aux milliers de followers. Après avoir commis l'irréparable quand une de ses contacts Instagram a seulement fait l'erreur de répondre à un de ses commentaires, Ingrid a été internée pour tenter de reprendre pied avec la réalité mais ça n'a hélas pas vraiment fonctionné. Lorsqu'elle découvre la vie californienne de rêve de Taylor (Elizabeth Olsen) à travers ses photos, c'est le début d'un nouvel engrenage obsessionnel pour la jeune femme perdue dans sa solitude et elle va s'immiscer dans l'existence de Taylor afin de partager la lumière de celle qu'elle juge être un modèle jusqu'au point de non-retour...

    Alors qu'on pouvait le prendre a priori comme un film très léger, "Instalife" va d'abord surprendre par l'intelligence de sa critique des réseaux sociaux en plaçant les personnages d'Ingrid et Taylor comme deux reflets des pires extrémités des nouvelles relations virtuelles.
    Ingrid est évidemment une jeune femme malade mentalement, enfermée dans une forme de dépression qui l'empêche d'établir une relation solide dans le monde réel et Instagram (ou tout autre réseau social d'ailleurs) nous est montré comme nourrir clairement son isolement en lui montrant jour après jour la perfection de vies qu'elle ne pourra de toute évidence jamais atteindre. La spirale de mensonges qu'elle provoque afin de se rapprocher de sa nouvelle idole est bien entendu de son propre fait mais, à l'autre extrémité de cette relation factice, le personnage de Taylor nous est aussi présenté comme partageant une part égale de culpabilité dans les évènements qui vont suivre.
    Influenceuse adulée, Taylor transmet une version tronquée de sa vie, une forme d'idéal où toutes ses photos sont prises et passées par tous les filtres possibles pour partager une existence rêvée qui n'a plus grand chose à voir avec la réalité. Le problème de cette espèce de perfection artificielle véhiculée par les médias n'est pas nouveau (Ingrid découvre d'ailleurs la célébrité de Taylor dans un magazine) mais, avec les réseaux sociaux où ces starlettes deviennent la convoitise des marques pour vendre leurs produits, elles en deviennent finalement condamnées à s'isoler elles aussi dans la superficialité d'une existence où les soirées vernissage/mode/etc s'enchaînent jusqu'à ne plus avoir aucun sens. "Instalife" appuiera encore un peu plus sur ce point en dévoilant les tourments d'artiste paumé du mari de Taylor face à la célébrité de sa femme et le passé de Taylor elle-même avant son ascension fulgurante dans les réseaux sociaux.

    Outre ce miroir critique astucieusement construit entre les deux protagonistes principaux, "Instalife" impressionne par cette ambiance de malaise permanent qui ne cesse de monter crescendo au fur et à mesure qu'Ingrid s'enfonce dans les mensonges et les manipulations les plus viles dans le but d'être au plus proche de Taylor. Jusqu'où va-t-elle aller ? Quand la vérité va-t-elle éclater ? Quelles en seront les conséquences ? Le film installe constamment ces trois questions dans l'esprit d'un spectateur à la fois fasciné et gêné par les agissements de plus en plus malsains d'Ingrid et réussit toujours à y répondre avec une vraie justesse tout en évitant la facilité comique qu'aurait pu induire ce genre de situation. Mêlant un humour terriblement grinçant à la condition dramatique de son héroïne dont le potentiel passage dans la folie la plus pure est utilisé comme une bombe à retardement inéluctable dans sa déchéance, "Instalife" surprend toujours agréablement dans ses directions prises en collant au plus près de la réalité de cette amitié pourtant virtuelle dans tous les sens du terme.

    Emmené par une brillantissime Aubrey Plaza aussi touchante que exponentiellement creepy, et une Elizabeth Olsen prenant un plaisir certain à jouer une fille aussi superficielle, le film de Matt Spicer fait aussi la part belle à d'excellents seconds rôles emportés malgré eux dans l'ouragan des agissements d'Ingrid. On citera bien entendu le voisin fan hardcore de Batman (O'Shea Jackson Jr), le mari désespéré (Wyatt Russell), le petit frère déjanté (Billy Magnussen) ou la nouvelle prétendante en tant que meilleure amie (Pom Klementieff), tous des pions essentiels à l'intrigue mise en place et utilisés avec l'intelligence qui n'a cessé de caractériser "Instalife" pendant toute sa durée.

    On n'en attendait pas autant mais force est de constater que "Instalife" nous a bluffé sur toute la ligne par son discours critique, son écriture, ses personnages, le malaise continuel qu'il instille et son interprétation. Une réussite.
    Elthib7
    Elthib7

    75 abonnés 1 287 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 août 2018
    Film oppressant mais plutôt bien écrit et bien interprété par ces jeunes acteurs, j'ai bien aimé même si c'est pas le film du siècle ! 3/5
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2021
    L’affiche très girly aux couleurs flashy, le sujet concernant les réseaux sociaux et le résumé laissent à penser que ce petit film méconnu s’apparente à une petite bluette ou à un thriller de série pour adolescents, inoffensif et générique. Et bien on aurait tort de se fier à ces premières impressions car « Ingrid goes west » est bien plus que cela. C’est même une excellente petite surprise, une œuvre qui se laisse apprivoiser – et apprécier – au fur et à mesure pour apparaître bien plus sérieuse, maligne et intéressante qu’on ne l’aurait pensé. Et Matt Spicer va parvenir à voguer d’un genre à l’autre au cours du récit de manière à ce que le film avance sans nous perdre avec une fluidité et une cohérence irréprochable. Pourtant le mélange des genres n’est pas toujours aisé mais ici cela se fait en douceur, un genre en remplaçant un autre tout en se mélangeant quelque peu au passage sans scories quelles qu’elles soient.



    Bonne nouvelle, le script du cinéaste n’oublie aucunement sa raison d’être. Ici, on parle des réseaux sociaux (Instagram surtout) et de leur côté néfaste entraînant parfois une dépendance qui peut virer au vinaigre. « Ingrid goes west » montre bien que pour des personnes faibles, seules ou un peu dérangées, l’addiction à ces applications peut entraîner de graves conséquences psychologiques ou physiques. Et c’est parfaitement rendu ici grâce au personnage d’Ingrid, jeune femme seule et sans amis, qui va s’enticher d’une influenceuse, Tanya. L’escalade néfaste qui va se jouer ici est implacable et bien vue, on y croit totalement. Ingrid et Tanya sont deux faces d’une même pièce, la première étant une sociopathe, pas mauvaise pour un sou, mais qui va perdre les pédales quand l’autre est un pur produit de notre époque, superficielle et n’accordant du crédit qu’à l’image. Aubrey Plaza et Elisabeth Olsen sont parfaites dans ces rôles et n’en font jamais trop ce qui rend leurs personnages crédibles, parfois attachants, mais aussi très pathétiques. Mais c’est également la raison qui rend cette œuvre si réaliste et réussie.



    Le début est un peu exsangue, on a un peu de mal à se mettre dedans et on se demande où tout cela va nous mener mais le script lâche ses atouts assez vite et on se captive rapidement pour cette histoire pour ne plus en décrocher. Passant de la petite chronique féminine sans accrocs à une sorte de comédie noire pour enchaîner sur un suspense qui vire au drame, « Ingrid goes west » est prenant, addictif même, comme le sont les personnages. On ne sait jamais où cette histoire va nous embarquer et comment elle va finir. Justement, le final en deux temps est surprenant. Ils sont adaptés dans les deux cas même si on aurait aimé que le film se termine sur le premier, très émouvant et qui nous laisse une morale amère en bouche. Le second semble plus futile même s’il est empli d’un cynisme qui colle bien à l’ambiance générale et au sujet. Voilà donc une œuvre plaisante, bien plus objective, pertinente et intelligente qu’elle n’en a l’air. « Ingrid goes west » est aussi léger et fun qu’il est raccord avec notre époque et malin. Ce n’est pas si souvent.



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    FaRem
    FaRem

    8 792 abonnés 9 636 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 octobre 2017
    Ingrid est une personne opportuniste et manipulatrice du moins elle l'est devenue, car sinon, c'est une fille fragile qui se sent très seule même si l'on n'a pas vraiment l'occasion de voir son vrai visage pendant le film. Elle s'invente une vie pas forcément pour être célèbre, mais pour ne plus être elle-même, pour ne plus souffrir et pour attirer l'attention afin d'être comme ces personnes célèbres uniquement sur les réseaux sociaux qui donnent l'impression que tout est parfait dans leur vie puisqu'ils ne postent que des trucs positifs. Elle rentre dans un univers superficiel sans se rendre compte que rien ou presque n'est vrai puisque tous se cachent derrière un masque et cette superficialité change peu à peu ce qu'ils sont vraiment. Un sujet sérieux pour un film qui l'est moins dans son traitement souvent superficiel avec une histoire qui manque d'enjeux par moment et dont la morale du moins comment elle est amenée est maladroite dans le sens où son acte final même s'il a des retombées positives peut la pousser vers un engrenage malsain au cas où tout ça retomberait. Une petite critique des réseaux sociaux, mais surtout un portrait léger et touchant d'une femme attachante qui n'a plus de repères. À part certains points qui sont pas assez développés ce qui est vraiment dommage, c'est une bonne comédie dramatique amusante, attendrissante et divertissante qui est portée par de bons acteurs surtout Aubrey Plaza qui sans surprise dans ce rôle de folle limite maniaque est excellente.
    Alasky
    Alasky

    359 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 avril 2022
    Vu et revu, pour moi ce film est toujours une vraie claque. Ingrid Goes West est un film dans l'air du temps, entre comédie noire et drame poignant, sur les aspérités et les dégâts des réseaux sociaux. Une oeuvre qui parlera sûrement aux moins de 30-35 ans. Excellents acteurs et super musique. Un film à découvrir.
    tifdel13
    tifdel13

    90 abonnés 491 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2017
    Si les réseaux sociaux ont artificiellement développé notre manière de communiquer avec autrui, ils sont également un dangereux système dans lequel une personne mentalement fragile peut vite se retrouver brisée et finir par déraper.
    Ingrid Goes West met en scène deux types de relation possibles avec les nouvelles technologies. D'un côté, il y a Taylor (excellente Elizabeth Olsen) à qui la chance semble...

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    Ciné2909
    Ciné2909

    72 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 avril 2021
    Vous réfléchirez à deux fois avant de laisser un commentaire sur un post Instagram ! C’est l’un des effets pervers de la diffusion des réseaux sociaux, on n’est pas à l’abri de comportements déviants comme celui de notre pote Aubrey Plaza. Un sujet qui est ici traité avec légèreté, Ingrid n’est pas vraiment quelqu’un de foncièrement mauvais et sa naïveté la rend même attachante. En dehors d’un petit tacle sur ces personnalités qui exposent leur vie et / ou affichent une identité fictive sur les réseaux, on aurait apprécié qu’Instalife se montre un peu plus mordant. Le film nous fait tout de même passer un bon moment et puis on ne peut pas se montrer trop sévère quand il y a parmi les personnages un grand fan de Batman poussant le délire assez loin !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 avril 2018
    Ce film nous montre les réseaux sociaux et l'envers du décor. Notre habitude à "Liker" ou "Follower" des profils, des vidéos, des photos, des commentaires. A s'attacher, s'identifier aux autres, et en fin de compte, d'effacer notre personnalité. De vivre à travers d'autres. Là, il semblerait qu'Ingrid Thorburn (Aubrey Plaza), n'est jamais eu aucunes amies. Et à la mort de sa mère, avec laquelle elle était très proche, le vide crée, l'enferme dans un monde imaginaire, ou elle passe ses journées à "liker" bêtement toutes les photos, commentaire. Et suivre des pages de gens qu'elle ne connait même pas. Pas mal, après faut aimer, mais cet univers de gens, qui n'existent qu'à travers leur réseau social, en fin de compte, mettre sa vie privée sur le net, et en faire profiter la terre entière. Cela devrait porter à la réflexion. De nos habitudes, réflexes de tout cela.
    jthuil
    jthuil

    15 abonnés 324 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 septembre 2020
    Ce film rythmé, à la fois drôle et inquiétant, mais toujours acide, s'avère surprenant de bout en bout et tout à fait pertinent, le tout porté par de très bons acteurs. À voir.
    Alice025
    Alice025

    1 683 abonnés 1 370 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 septembre 2017
    Sorte de drame/thriller à l'allure comique, ce film m'a bien plu, d'autant plus qu'il nous démontre tout le ridicule des réseaux sociaux, sujet de notre époque. On suit donc une fille complètement névrosée et obsédée d'une prescriptrice de mode connue via Instagram et compagnie. Elle veut s'en faire absolument une amie alors elle va s'immiscer de façon pour le moins surprenant dans sa vie. L'histoire se suit comme une lettre à la poste, et l'actrice principale incarne avec brio son personnage complexe. C'est drôle, haletant et parfois émouvant. D'une façon « Black Mirror », on dénonce aussi par là l'absurdité et la superficialité que les jeunes peuvent avoir sur les réseaux sociaux pour obtenir à tout prix un gain de popularité ; mais aussi qu'être entouré virtuellement ne veut pas forcément dire réellement. Une très bonne surprise.

    cinephile-critique.over-blog.com
    lsnico
    lsnico

    30 abonnés 891 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 septembre 2020
    Un film sur la solitude d'une fille perdu depuis la mort de sa mère et qui se retrouve "une nouvelle identité" par le biais des réseaux sociaux et de toute les perversités qui s'en suit. Glaçant.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    365 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2020
    J’ai trouvé ce film extrêmement bien fait et en phase avec notre époque. On voit la folie que peut devenir les réseaux sociaux dans une ère où certaines personnes scénarisent leur vie à travers eux. Le personnage de ma chouchoute Elizabeth Olsen en est le pur symbole. Elle jette des paillettes aux yeux de ses followers comme peuvent le faire énormément de personnes qui se sont faites connaître à travers ces outils tournants parfois aux voyeurismes. Et de l’autre côté, on a une personne faible avec l’excellente Aubrey Plaza qui montre à merveille le désespoir que peut entrainer cette vitrine sociale. Une femme qui se sent mal dans sa peau voit le « vie de rêve » de personnes qu’elle va aduler jusqu’à en perdre la tête. INSTALIFE dégage beaucoup de force tant son histoire est prenante. On arrive à se mettre dans la peau de chacune de ses deux femmes qui sont malgré elle, victime de la modernité. J’ai aussi apprécié la présence de O'Shea Jackson Jr., le fils de Ice Cube, qui est souvent à la hauteur de ses rôles comme le récent CRIMINAL SQUAD. INSTALIFE est donc d’actualité pour montrer que non, ce ne sont pas « que des réseaux sociaux
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 7 mai 2018
    On s'embête pendant plus d'une heure, avant une fin faussement déjantée tellement prévisible et tout cela pour une critique beaucoup trop évidente des réseaux sociaux !
    Une belle photo et des acteurs plutôt bons ne sauvent pas ce film, mon conseil : tenez vous en à la bande annonce...
    Shirokuromelt
    Shirokuromelt

    25 abonnés 356 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juillet 2020
    Film finalement assez subversif, critique tout du moins, ou sociologique, sur les réseaux sociaux. C'est plus un drame qu'un thriller. Si le propos ne manque pas de subtilité il porte sur un sujet qui, au fond, est évidemment aussi superficiel que les individus qui en sont la chair, mais comme le tout est porté par des acteurs très justes, et bien, cela se suit sans avoir l'impression de perdre son temps.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 708 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 juillet 2020
    J'aime généralement Aubrey Plaza mais ce film m'a laissé avec l'envie de regarder plutôt de la peinture sécher. Je ne prendrai pas la peine de poster une critique détaillée. Au lieu de cela, je mentionnerai deux choses qui se produisent dans le film dont l'une m'a donné de faux espoirs que le film pourrait commencer à devenir intéressant et l'autre qui a fourni la fin "heureuse". 1. Après une heure de fade, ennuyeux spectacle rien ne se passe. Il y a une scène de combat où un ou deux personnages peut être gravement blessés ou morts. Mais pas de chance le film revient simplement à sa dérive ennuyeuse et discrète dans une continuation de néant sans signification. 2. Le personnage d'Aubrey Plaza fait quelque chose d'horrible et de destructeur gagnant sa notoriété et peut-être une fin "heureuse" pour le film. Ironique j'en suis sûr et destiné à une fin surprenante pour le film mais malheureusement encore moins imaginatif que les 80+ minutes précédentes. Malheureusement ils auraient dû commencer le film avec cette scène. Je ne blâme pas Aubrey Plaza (ou les autres acteurs qui étaient compétents) pour cette catastrophe (sauf peut-être pour le choix de script) mais j'ai été très déçu...
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