Mon compte
    Le Correspondant
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Le Correspondant" et de son tournage !

    Jimmy Labeeu ?

    C'est grâce à ses vidéos sur Youtube qui ont connu un grand succès (il a tourné plusieurs fois avec Cyprien et a 790 000 abonnés au mois de juillet 2016) que Jimmy Labeeu a pu accéder au cinéma. Se définissant lui-même comme le "clown de sa famille", le personnage principal du Correspondant a lâché l'école dès lors qu'il a commencé à avoir du succès sur internet : 

    "J’ai commencé vers 12, 13 ans par enregistrer des podcasts. C’était nul. Je faisais 35 vues. Le montage était pourri, je montais ça avec Windows Movie Maker, un logiciel que je n’avais pas acheté, du coup j’avais toujours le message de rappel qui s’affichait en plein milieu de l’écran. Et puis, ça explosait il y a trois ans et depuis j’ai toutes ces choses formidables qui m’arrivent. J’étais le petit clown au lycée. Pas un aimant à meuf non. J’étais celui au fond de la classe qui faisait des conneries. En secondaire quand on me demandait de faire un sketch devant la classe, j’ai commencé à penser que je pouvais devenir populaire en faisant ça et qu’il fallait aller plus loin. Faut dire que j’ai redoublé trois fois. Quand j’avais 19 ans, j’avais des élèves de 15 ans dans ma classe. J’ai doublé et triplé et j’ai arrêté avant d’être diplômé. Je suis le clown de la famille, celui qui ne fait pas d’étude, celui qui fait n’importe quoi, mais ça marche ! J’ai un frère plus vieux que moi qui fait de l’architecture et une sœur de 18 ans qui est dans le stylisme."

    Trac

    Davantage intéressé par la scène, Jimmy Labeeu ne se voyait à l'origine pas jouer pour le cinéma. C'est après que Jean-Michel Ben Soussan l'ait repéré sur Youtube que le réalisateur a voulu le faire tourner, mais le jeune homme a d'abord décliné la proposition. Ce dernier se rappelle : 

    "J’étais stressé en voyant que j’avais le premier rôle. Passer de Vine et Instagram au cinéma, ça me faisait peur. C’était trop pour moi, puis mon agent m’a convaincu. J’ai commencé à faire les essayages de costume, puis les premières « répètes ». Et je me souviens, quand j’ai entendu « action » pour la première fois, c’était dans un couloir de lycée, j’ai dit à mon pote Léon Plazol qui tourne avec moi : « c’est ça que je veux faire toute ma vie. Je le sais. » Je n’avais pas l’habitude de jouer devant les autres mais c’est comme du théâtre privé ! Je suis quelqu’un de très stressé mais c’est du bon stress, ça me donne de la niaque. Ils m’ont mis à l’aise. Je bouffais 14 bananes par jour pour avoir plein de vitamines dans mon corps, j’avais mon pack de Chiquita juste pour moi."

    La scène du baiser

    Le jeune acteur se souvient avoir été plus à l'aise à ce moment que pour n'importe quelle autre scène du film, d'abord parce qu'il avait de l'expérience en la matière mais aussi parce qu'il n'y avait pas de texte ! Jimmy Labeeu se souvient : "J’ai fait 47 prises d’ailleurs pour le gros plan du baiser. Euh… Non ! Mais c’était chouette, on s’est bien marré. Même si je me lave les dents plusieurs fois par jour, on avait pris tous les deux une chique, un chewing gum pour qu’on sente tous les deux hyper bon. On l’a d’ailleurs fait tous les deux sans savoir que l’autre faisait ça aussi. On sentait la nature quoi. T’ouvrais la bouche, t’avais l’impression d’avoir des plantes qui sortaient de là. C’était drôle."

    2 roues c'est galère

    Les scènes les plus difficiles à tourner pour Jimmy Labeeu ont été celles avec le scooter du fait de la voiture roulant à proximité. "Tu dois rouler à 30, puis 40 et rouler à 50 pendant dix secondes. C’est galère à faire. Je pense que si on me propose un film sur une moto, je dis non ! Pour les images du générique du début aussi, c’était pénible. Une journée entière à faire de la trottinette. À la fin, j’étais vraiment très crevé. Dès que j’entendais « coupez », je me jetais par terre directement."

    Scène de la bagarre

    Le meilleur moment de tournage pour le jeune comédien était la scène de la bagarre avec le petit looser Gaëtan Golmont joué par Matthias Averlant. Jimmy Labeeu raconte avoir réellement donné un coup de poing à son partenaire qui a saigné du nez. "J’ai beaucoup ri mais pas lui ! Je devais lui mettre des pêches au sol. La première est dans le vent, la deuxième, dans le vent mais la troisième, plaf, en plein sa gueule. C’était assez drôle. Cette bagarre et l’énervement qui a suivi sont mes meilleurs instants car c’est un des seuls moments du film où j’ai pu me lâcher pendant dix secondes. Alors je l’ai fait !"

    Jimmy Labeeu sur son personnage

    "Oui c’est moi, c’est tout à fait moi. Je n’ai pas changé de pantalon, je n’ai pas retiré mes lunettes... Par contre je ne joue pas la même chose que dans mes vidéos. Je ne joue pas ce personnage hystérique, je fais des choses que je ne fais pas chez moi. Si je faisais mon personnage hystérique, les gens partiraient après dix minutes de film en ayant mal à la tête. Malo n’est pas un fou. Et je n’ai aucune impudeur à me montrer en slip. Je pense que c’est le costume que j’utilise le plus dans le film. Je n’avais aucune gêne ; j’ai juste eu un peu froid parce qu’on tournait ça à 4 heures du matin et je sentais mon kiki diminuer de taille jusqu’à totalement disparaître." 

    Les secrets de tournage des films les plus populaires lors des 30 derniers jours
    • En fanfare (2024)
    • Vaiana 2 (2024)
    • Conclave (2024)
    • La Plus Précieuse Des Marchandises (2024)
    • Leurs Enfants après eux (2024)
    • Wicked (2024)
    • Gladiator II (2024)
    • Mufasa : Le Roi Lion (2024)
    • Juré n°2 (2024)
    • L'Amour ouf (2024)
    • Vingt dieux (2024)
    • Le Seigneur des Anneaux : La Guerre des Rohirrim (2024)
    • Heretic (2024)
    • The Substance (2024)
    • Saint-Ex (2024)
    • Jamais sans mon psy (2024)
    • Kraven The Hunter (2024)
    • Monsieur Aznavour (2024)
    • Les Femmes au balcon (2024)
    • Les Boules de Noël (2024)
    Back to Top