Mon compte
    Phantom Thread
    Note moyenne
    3,8
    5709 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Phantom Thread ?

    307 critiques spectateurs

    5
    44 critiques
    4
    113 critiques
    3
    75 critiques
    2
    42 critiques
    1
    23 critiques
    0
    10 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Martin P.
    Martin P.

    50 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2018
    Un très beau film cousu de main de maître (PTA énorme patron) avec un couple dont les personnages sont ultra travaillés. C’est une histoire d’amour passionnelle avec un Daniel Day Lewis toujours aussi charismatique en tant que grand couturier complètement obsédé par son travail. Beaucoup de thèmes abordés, un film encore une fois complexe et toujours aussi soigné.
    titicaca120
    titicaca120

    384 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2018
    d'un esthétisme parfait le film nous raconte l'amour passionné et
    contradictoire entre un créateur de mode perfectionniste et sa muse
    un brin loufoque.
    bien sur le jeu de Daniel Day Lewis est parfait comme à l'accoutumée
    et le film nous montre "l'affrontement" entre le couple sous l’œil rigide
    de la sœur du créateur.
    malgré tous des longueurs subsistent.
    islander29
    islander29

    861 abonnés 2 354 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2018
    ll est bon de l'admettre quand on voit un chef d'œuvre.....PTA ne raconte pas l'histoire d'un grand couturier, il nous fascine en décrivant la relation de l'artiste et de sa muse, l'ambiguïté de toute relation amoureuse.....Car c'est d'un rapport entre deux êtres que beaucoup de choses séparent, le talent, l'âge, les désirs. Le film est magnifique par beaucoup d'aspects, la technique, cadrages, musiques, photo, par la force des dialogues et du jeu d'acteur, par la relation psychologique entre les deux personnages principaux (la scène de dispute à table est un modèle de discordance harmonieuse sur le plan psychique entre un homme et une femme, et véhicule tant de possibilités ).......Bref c'est du grand cinéma, on est chez Orson Welles, dans son meilleur, on est dans un classicisme novateur et innovant.......beaucoup de choses sont passées au crible, la relation avec la mère, le pouvoir de l'épouse, de la femme amoureuse, la santé, la famille, la solitude du créateur, et même la lucidité face aux réalités de la vie....Cela fonctionne à merveille, c'est d'une grande maturité, et l'univers de PTA s'accroit d'ombre et de lumière, pour un plus grand plaisir que celui d'un simple cinéphile. Précipitez -vous.....
    Isa
    Isa

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 août 2018
    trop trop long à démarrer . malgré de superbes robes, de bons acteurs et d une musique sympa, on s ennuie
    Corinne S.
    Corinne S.

    2 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 février 2018
    Tres Bon jeu d’acteur mais on s’ennuie franchement tout le long. Musique bof.
    Il faut peut etre connaitre la vie de ce couturier avant d’aller voir le film pour comprendre l’histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 février 2018
    Tout avait bien commencé..puis la chute glauque ....l amour trouvé et retrouvé apres chaque vomi...non vraiment ...on prend les spectateurs en otage ..une honte
    ils ont du perdre la fin du script et ont du trouver une fin improbable en regardant un champignon ..à eviter a tout prix sauf si on est fan de vomi
    Loic J.
    Loic J.

    38 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 février 2018
    La beauté et la performance des acteurs n’enlèvent rien à l’ennui profond et au néant rythmique que l’on ressent dès le premier quart d’heure et qui nous poursuit jusqu’à l’assoupissement...
    Hervé L
    Hervé L

    73 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 février 2018
    Un film qui laisse un arrière goût de malaise tant l intrigue est glauque entre deux êtres qui ne s aiment pas une relation s'adonner m'as pénible et tellement de fausse élégance
    sortit à l extérieur sans chapeau! !!!
    ATHMOS.ONER
    ATHMOS.ONER

    151 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 février 2018
    En sortant de la projection de « Phantom Thread » je pensais avoir vu un biopic et quelle ne fut pas ma surprise en apprenant que Reynolds Woodcock est en fait un personnage fictif inspirés de plusieurs grands couturiers comme Cristóbal Balenciaga…
    Le scénario est tellement excellent, rigoureux et précis que ce patron a permis de créer un habillage de personnages plus vrai que nature !
    Et si l’on considère que Paul Thomas Anderson a écrit le scénario, réalisé le film tout en étant aussi le directeur de la photographie, on peut se demander s’il ne livre pas de sa vie privée.
    Peu importe au final, ce qui compte est la beauté de son ouvrage et de son écrin magnifique et rigide à la fois qui sied totalement à l’atmosphère et à l’esthétique du film.
    Entre ses cadrages dépouillés et stricts, les éclairages ultra soignés, le timing des scènes, la précision des dialogues coupés aux ciseaux, rien n’est laissé au hasard et tout est ajusté au millimètre.
    Les somptueux costumes de Mark Bridges ainsi que les maisons utilisées pour le tournage parachèvent cette excellente et luxueuse reconstitution de l’Angleterre des années 50.
    Le trio amoureux est absolument parfait lui aussi ! Daniel Day-Lewis est superbe en dandy charmant doublé d’un vieux garçon aux habitudes tenaces et autoritaires. Vicky Krieps, peu connue jusque-là, est vraiment troublante et parvient à être troublante et sournoise tel un joli serpent. Enfin, Lesley Manville est un roc au calme Olympien.
    Rarement une intrigue amoureuse ultra névrotique et aussi follement originale n’a été portée à l’écran avec une telle pertinence. Loin d’être cousu de fil blanc, le film fini par piquer ceux qui ont oublié de porter un dé à coudre. Film d’amour de la création, film sur les rapports de force, sur les temps des couples, ce qui pouvait laisser croire à de la guimauve devient un pudding des plus copieux.
    Un film de Haute Couture, aussi élégant et froid qu’une princesse sur papier glacé et aussi vénéneux que la plus somptueuse et étrange des passions, disséquée couche par couche, tel un champignon majestueux.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    632 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 février 2018
    Qualifié de chef-d'oeuvre par les critiques, adulé par les spectateurs, je suis sorti de "Phantom Thread" séduit par cette mise en scène rigoureuse autour de cette histoire d'amour vénéneuse mais je n'ai pas trouvé l'ensemble transcendant pour autant. Certes, la réalisation, la photographie, la musique et le jeu d'acteur sont travaillés avec la même minutie qu'une couturière doit avoir pour s'atteler à la dentelle. Cet enjeu constant de perfection se répercute dans toute l'atmosphère appliquée du film. Une sérénité, une élégance ainsi qu'une certaine complaisance se dégagent de ces plans sur-maitrisés, sur-corrigés, parfaits. Au milieu de cet univers réglé au millimètre près s'immisce une histoire d'amour involontaire, imprévue et sinueuse. On assiste alors à l'implosion émotionnelle dans un monde parfaitement contrôlé, qui est celui de la haute couture. C'est dans cet imprévu que réside le génie de "Phantom Thread", dans l'accomplissement des sentiments dans ce quotidien hermétique à toute forme de plaisir. J'ai été gagné progressivement par le jeu de Vicky Krieps, bien plus que par celui de Daniel Day-Lewis, qui, dans sa maitrise parfaite du rôle n'atteint pas les sommets que touchent sa partenaire, inconnue au bataillon pour ma part. Avec ses airs de Meryl Streep jeune, elle véhicule énormément d'émotions et de pensées par sa prestance naturelle et si connectée au présent. Les scènes où elle s'impose sont fortes et témoignent parfaitement de la complexité de nos ressentis dans un amour non-réciproque. Transparente au début, elle nous hypnotise et nous touche progressivement et intensément. Face à elle se trouvent deux artistes d'envergure, Daniel Day Lewis est toujours aussi imprégné de son personnage mais ça manque pour moi d'émotion pour qu'il décroche la statuette. Il en va de même pour Lesley Manville, imperturbable et autoritaire, glaçante mais aimante, dont le jeu se résume à un visage sévère qui ne se laisse pas démonter. La musique est omniprésente, subtile et accompagne ce lieu de raffinement et de classe. Je suis rentré lentement dans cette histoire sans savoir où elle voulait en venir et l'arrivée du personnage d'Alma concentre toute l'intrigue vers des axes contraires à la rigueur de la confection perfectionniste d'une robe. C'est avec séduction mais néanmoins avec distance que j'ai regardé cette histoire d'amour tourmentée, toujours reliée à ce travail d'ombre et de perfection. Les émotions ne m'ont pas bouleversés, le scénario ne m'a pas surpris, et ceci est surement du à la monotonie de l'image, pure et travaillée, ne changeant pas face aux bouleversements intérieurs des personnages. Je vois en "Phantom Thread" un portrait d'amour en filigranes, faites de non-dit et d'actions cachées, passionnant dans ce qu'on se raconte, à contempler comme un joli tableau mais sans réussir à y rentrer totalement, car après tout, ça n'est qu'une image où tout reste à inventer...
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    75 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 février 2018
    Rarement un film ne m'a paru aussi parfait que "Phantom Thread" du grand Paul Thomas Anderson. Le cinéaste américaine garde une maîtrise constante de son film, s'appuyant sur une narration simple qu'il illustre et prolonge à merveille à travers des plans marquants qui imprègnent la rétine du spectateur. J'étais véritablement en extase devant la beauté de ce long-métrage où chaque plan jouit d'un splendide travail du cadre et de la photographie qui contribuent à le rendre marquant. Le film se développe petit à petit, posant les bases d'une relation en apparence banale qui prend finalement une tournure inattendue. Pour son dernier rôle, Daniel Day-Lewis est impérial en offrant une prestation de haute volée à l’image de l'ensemble de sa carrière. La belle surprise du film reste la jeune et épatante Vicky Krieps à qui un grand avenir semble promis tant sa performance est impressionnante. Je mentirai en disant que je ne me suis jamais ennuyé devant ce film mais paradoxalement, je pense qu'on ne peut pas lui enlever ne serait-ce qu'une seconde sans briser l'équilibre de l'oeuvre. "Phantom thread" est à ce titre un film à part, un long-métrage compliqué à aborder et qui ne pourra pas plaire à tout le monde mais qui mérite que l'on fasse l'effort de s'y plonger pour en apprécier la magie.
    Claudine G
    Claudine G

    203 abonnés 494 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 février 2018
    Dès le début du film, la musique nous plonge dans un monde inhabituel. Tout d'abord ce grand couturier Reynolds Woodcock qui ne côtoie que la grande classe londonienne et sa soeur Cyril dirigent en main de maître la marque de la haute couture. Lui, caractère bien trempé, entièrement dévoué à son travail, ne vivant que pour cela et avec à l'occasion quelques aventures féminines sans grande importance. Cyril dirige tout le personnel et même la vie privée de son frère. L'arrivée d'Alma, sortie de nulle part, va tout chambouler. Ce qui m'a le plus surpris est la tournure des sentiments de cette dernière qui voulant s'approprier totalement l'attention de son amant, n'hésite pas à le faire tomber malade pour l'affaiblir afin qu'il soit complètement à sa merci. J'avoue que cela me paraît un peu extrême comme démarche. Nonobstant le fait que ce film est très bien interprété et le scénario pour le moins original, il ne m'a pas emballé plus que cela.
     Kurosawa
    Kurosawa

    583 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 février 2018
    Cette critique dévoile des éléments importants de l'intrigue.
    "Phantom Thread" est un film multiple, dépliant des axes plus ou moins nets, plus ou moins forts. Plus qu'une immersion dans le monde de la mode, le film raconte un rapport de force qui, paradoxalement, vise moins le conflit que l'apaisement. On est habitué à ce que Paul Thomas Anderson déjoue nos attentes, minimise la grandeur de ses sujets en les resserrant autour d'une intimité étrange. Ce cinéma de la dissonance s'exerce ici au sein d'un ensemble complexe mais lisible – au contraire de "The Master", plus elliptique et opaque – qui finit par traiter du couple. Comment celui-ci va t-il vivre ?
    Comment peut-il se réguler ? Reynolds Woodcock est un couturier perfectionniste qui règne en maître sur ses modèles; Alma est une jeune serveuse a priori maladroite qui tombe amoureuse de l'artiste. Leur rencontre est un coup de foudre, c'est incontestable. En revanche, ce que PTA va contester, c'est le traitement académique du rapport de force amoureux au cinéma. Jamais dans "Phantom Thread" ne se joue clairement une relation dominant-dominé : Alma, dès la rencontre avec la sœur de Reynolds, Cyril, va opposer une résistance à l'autorité impassible du maître, et ce dernier sera poussé à l'exaspération lors d'un repas faisant office de surprise. On se dit alors que l'hésitante Alma veut prendre le pouvoir en décidant d'empoisonner son futur mari; or, si le procédé est tordu, il n'a rien de machiavélique. En affaiblissant Reynolds, Alma peut prendre soin de lui, déréguler son emploi du temps rigide et tisser entre eux un lien devenant inextricable. À travers la nourriture, qui remplace ici le sexe, Alma trouve ce dont Reynolds avait besoin mais qu'il ignorait certainement, à savoir perdre le contrôle pour prendre conscience de son amour inconditionnel. Le film raconte le trajet tortueux – une étrangeté renforcée par la musique d'abord baroque de Greenwood, qui prend des atours ouvertement romanesques dans la deuxième heure – d'un couple qui cherche le juste équilibre, quand bien même celui-ci ne serait jamais égalitaire : il faut que l'un ait toujours le dessus sur l'autre. L'union entre Reynolds et Alma ne réside donc pas forcément dans le bonheur mais dans une interdépendance poussée jusqu'à l'intuition (elle sait que son mari la cherche lors de la fête du nouvel an, quand les autres invités sont réduits à une masse difforme et abstraite; Reynolds sait qu'elle se trouve derrière lui quand il fait part de ses sentiments à Cyril). Porté en outre par les interprétations subtiles et nuancées de Daniel Day-Lewis et de la révélation Vicky Krieps, "Phantom Thread" est à ce jour le plus beau film de Paul Thomas Anderson.
    Ghighi19
    Ghighi19

    67 abonnés 1 869 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2018
    Un beau film esthétique et intéressant c est rare et c est ce qui vous attend ici . Après dix minutes un peu flou on est plongé jusqu'à la fin dans cette passion et cette étrange histoire d amour . Des superbes interprètes Daniel Day Lewis est une nouvelle intense et immense . La réalisation est fluide malgré la narration qui ne fonctionne pas tout le long du film .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 février 2018
    L’histoire d’amour que nous conte Anderson n’est pas cousue de fils blancs et ne s’incarne pas en nuances de grey. Dans les manipulations triangulaires de cet amour vénéneux Vicky Krieps devra appuyer sur le champignon pour faire rendre gorge aux apparences. Day Lewis met à jour la névrose d’un créateur dans un rôle taillé sur mesure pour les oscars. Magnifique photo qui souligne l’atmosphère élégante et glaciale. Un chef d’œuvre qui n’est pas sans périls.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top