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    The Cured
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    2,3
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    30 critiques spectateurs

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    Djo D
    Djo D

    63 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 juin 2018
    Le synopsis me parut alléchant ( sujet sur le cannibalisme ) donc me voilà parti pour 1h30 de visionnage mais voilà qui dit sujet intriguant ne rime pas spécialement avec film intéressant le realisateur ne soucie a aucun moment de garder le téléspectateurs en haleine, donc on tombe vite dans un faux rythmes pour nous laisser sur une fin assez amer .
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    59 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 février 2019
    Sorte de dystopie se déroulant dans un univers post-apocalyptique, The Cured tente une narration hostile dans une Europe ravagée par un virus poussant les humains au cannibalisme avec une violence bestiale, à la manière d’un Lazarus Effect. Un antidote ayant été trouvé, il n’est efficace que sur 75% de la population atteinte et la question du sort des 25% restants se pose. Car si les cannibales sont redevenus humains, ils se souviennent parfaitement des actes qu’ils ont commis quand ils étaient infectés. Leur réintégration dans la société étant de ce fait mal perçue par les autres survivants, ils se retrouvent isolés dans un ghetto et projettent de se rebeller contre les autres, notamment à cause des militaires qui les surveillent de manière très rigide.

    Interprétée par Ellen Page (Free love, Tallulah, Into the forest), Abbie recueille son ancien beau-frère Senan, guéri du virus mais fortement tourmenté par ses actes passés au point de faire plusieurs cauchemars où il se voit la gueule ensanglantée auprès de son ami Conor, leader de la rébellion. Un des points les plus intéressants reste celui mettant les intellectuels et les militaires en conflit. Conor ayant été avocat avant d’être infecté et semblant contenir un certain orgueil, le leader militaire le rabaisse régulièrement en lui disant qu’il n’est plus le roi de ce monde, témoignant d’une inversion des pouvoirs selon que le monde soit en paix ou en crise.

    Sous les traits de Paula Malcomson (La ligne verte, AI intelligence artificielle, Hunger Games), le docteur Lyons a aussi un rôle à jouer dans l’examen des infectés et ne choisit réellement aucun camp, ce qui en fait un personnage un peu plus intéressant que la moyenne. Malgré de bonnes idées narratives et scénaristiques, la réalisation peine à convaincre et les personnages principaux manquent de charisme, seule Ellen Page sortant vraiment du lot. La surprise des violences soudaines des infectés est parfois bien rendue mais pas toujours hyper convaincante. Le film s’avère donc assez moyen.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 octobre 2018
    L’idée du film est originale, l’emotion est present tout au long du film mais malheureusement il manque cruellement d’action. Beaucoup trop de dialogues souvent inutiles et beaucoup trop long.
    C’est dommage on sent le manque de moyen pour ce film, de ce fait on reste sur sa faim.
    Acidus
    Acidus

    720 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 juin 2019
    Mouais.... "The Cured" n'a rien de bien palpitant à proposer. Pas que le film soit mal réalisé ou mal interprété mais le scénario brasse beaucoup de vent. L'intrigue, cousue de fil blanc, est aussi plate que les émotions qu'elle tente vainement de véhiculer. La seule véritable curiosité est la présence d'Ellen Page au casting mais cette dernoère commence à être une habituée des série B voire Z. Inutile de vous attarder devant ce long métrage.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    292 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2019
    Il faut souligner l'originalité de l'œuvre et du pitch de départ, mettant en scène des zombies "réhumanisés", et la question de leur retour à la vie "normale". Le film est finalement un questionnement sur la façon dont on traite nos pairs. Difficile de ne pas y voir un message politique. Le film est divisé en deux parties : la première est axée sur le retour et le traitement de ces zombies redevenus humains ; la seconde est plus portée sur l'action et le suspense. Pas mal du tout, même si l'ensemble manque un peu de caractère.
    Estonius
    Estonius

    3 343 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2019
    Le tour de force de ce film c'est de nous montrer du zombie au premier degré et de broder là-dessus tout une ambiance (traités, non traités, non infectés et leur rapports respectifs) C'est vraiment très intéressant mais on sent le manque de moyen (ce qu'on pardonnera) mais surtout le manque d'ambition du scénario (ce qui est plus critiquable) Il y a aussi trop de longueurs assez injustifiées, trop de rencontre fortuites (comme dans les mauvais polars) des ellipses là où il n'en faudrait pas, un montage chaotique (à ce point qu'on ne sait parfois si un personnage est mort ou vivant) et une fin peu claire. Ça fait beaucoup de casseroles, mais pourtant le film mérite une note au-dessus de la moyenne, en raison de sa critique sociale féroce sans concession ni manichéisme, et aussi à cause d'Ellen Page, resplendissante dans ce film
    eldarkstone
    eldarkstone

    219 abonnés 2 074 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2021
    Un film de " Zombies infectés " qui se veut plus humain. Pas mal, sans réelles surprises, mais reste regardable !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 juillet 2018
    Voici vraiment une variation intéressante aux films d'infectés, de zombies, de virus... L'idée du scénario est originale et implique un côté "drame" au film et nous fait prendre conscience de notre humanité... A voir...
    Pascal I
    Pascal I

    756 abonnés 4 121 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juin 2018
    Un film de par son scénario qui sort des habituels post-apocalyptiques. Ici la menace est encore là avec des choix sociétaux, là est toute l'originalité de ce thriller horrifique (soft). Le traitement est correct avec des moyens légers et une mise en scène assez réductrice dans l'espace (le film se passe dans une ville).
    Les interprétations restent assez stéréotypées mais convenables. Point fort : l'aspect psychologique. A découvrir ! 3/5 !!!
    Roub E.
    Roub E.

    952 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mars 2021
    Un film d’infectés ou plutôt et c’est la son originalité d’anciens infectés. The Cured se déroule en Irlande après une terrible pandémie, un antidote a été trouvé mais ne marche que sur 25% des infectés, ceux qui sont « guéris » ont de toute manière du mal à retrouver leur place, sont rejetés par le reste de la population et gardent en plus le souvenir de leurs actes en tant qu’infectés. The Cured est un drame d’horreur qui joue beaucoup sur l’ambiance, pas de Jump Scare ici ou de gros effets gores mais un film d’analyse de réflexion. Il souffre dans le genre d’une comparaison inévitable avec 28 jours et 28 semaines plus tard, mais s’avère être tout de même assez plaisant en se montrant déplaisant, en touchant juste dans ce qu’il raconte.
    Vinz1
    Vinz1

    179 abonnés 2 432 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 novembre 2022
    "The cured" est, par son scénario qui s’éloigne des habituels métrages post-apocalyptiques, un film singulier. Ici, la menace est encore présente avec des choix sociétaux qui s’imposent et là est donc toute l’originalité ! Le réalisateur David Freyne, malgré quelques longueurs et un manque de budget évident, se livre ainsi à une véritable critique de notre société à travers son drame horrifique et nous offre un film de zombies au propos inédit qui change des standards habituels. A découvrir pour ceux qui veulent un long-métrage plus psychologique et à hauteur d’homme plutôt que les multiples imitations du sieur Romero !
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    114 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mars 2020
    Ce film mérite davantage que la pauvre moyenne qui lui est octroyée. Le premier et principal intérêt du film est de se placer au-delà de l'infection et de prendre pour parti de raconter ce que pourraient vivre les anciens infectés et anciens zombies. Le film 28 semaines plus tard s'était placé dans la même chronologie mais uniquement pour relancer à nouveau l'action pure. The Cured semble très clairement se rapprocher de l'ambiance et de l'épure de 28 jours plus tard et 28 semaines plus tard, en plaçant son action en Europe, ici en Irlande au lieu de l'Angleterre. Il y a effectivement quelques longueurs, sans doute liées à l'attachement du réalisateur de s'ancrer au maximum dans la réalité et dans le souci de vouloir nous faire plonger dans l'abîme psychologique des survivants des deux côtés de l'infection.
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2018
    "The cured" est un film de zombie plutôt original car il privilégie la psychologie des personnages à l'horreur pure, ne négligeant pas pour autant celle-ci surtout dans la dernière partie du film. Très glauque visuellement, très noir aussi dans le fond, chaque personnage cherche sa survie et son intérêt. Intéressant cet état intermédiaire entre humain et zombie, les traités ("the cured" en version original), vision qui apporte la vraie nouveauté de ce film par rapport aux autres films de zombies. Difficile dans le rejet d'une tranche de population pour une autre de ne pas voir un parallèle avec les politiques nationalistes de plus en plus en vogue autour de nous. N'oublions pas enfin les acteurs, tous excellents, en tête Ellen Page que l'on n'avait pas vu autant inspirée depuis "Juno", rôle aux antipodes de celui-ci.
    RedArrow
    RedArrow

    1 665 abonnés 1 529 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juin 2018
    Senan est un "traité". Il fait partie de la troisième vague de personnes guéries et aptes à retrouver une vie normale selon les autorités irlandaises. Ses premiers pas d'homme libre lui font découvrir un pays divisé, presque au bord du chaos, sur la question de la réinsertion de lui et des siens.
    Il y a quelques années, le virus Maze a touché l'Europe et plus particulièrement l'Irlande, le transformant lui et une bonne partie de la population en infectés prêts à croquer quelques morceaux de son prochain. Heureusement, un antidote a été trouvé et a permis de guérir 75% des contaminés, leur rendant ainsi leur humanité mais les condamnant à affronter les souvenirs conservés de leurs agissements de cette période. Les 25% de malades restants appelés "résistants" face aux effets du vaccin sont pour l'heure cantonnés dans des zones militaires restreintes en attendant que le gouvernement se prononce sur le sort (les éradiquer ou poursuivre la recherche d'un antidote plus puissant).
    Senan et les autres "traités" sont donc relâchés dans un pays qui les considèrent désormais comme des pestiférés, tout autant incapable d'oublier les violences qu'ils ont commis lors de l'infection. Relégués à des tâches ingrates, ils restent malgré tout soudés entre eux devant l'oppression populaire permanente. Face à l'adversité, cette communauté reliée malgré elle par le souvenir de leur condition envisage de plus en plus de se révolter...
    Senan lui fait partie des chanceux qui retrouvent un logement grâce à l'hospitalité de sa belle-soeur, Abby, et de son jeune neveu. Rongé par la mémoire de ses actes en tant qu'infecté (avoir eu un régime alimentaire à base de tartares de chair humaine pendant des années est tout de même une donnée dure à digérer) et par un secret encore plus terrible, Senan doit aussi composer avec l'omniprésence de Conor, un ancien avocat revanchard lui aussi "traité" et devenu homme de ménage...
    Et dire qu'on a à peine résumé un quart d'heure du film...

    Comment ne pas avoir un mini-coup de coeur pour "The Cured" ? On aura rarement vu un premier film avoir autant pleinement conscience des ambitions qui l'habitent en s'emparant d'une variation somme toute inédite du film de zombies. En se fixant sur cette réinsertion d'ex-infectés dans un pays qui ne veut plus en entendre parler, "The Cured" s'offre un boulevard de pistes de réflexions métaphoriques originales dont il se saisit de toute la richesse pour bâtir un ensemble épatant par sa densité aussi bien émotionnelle que par les surprises scénaristiques qu'elle renferme.

    D'abord, au coeur de "The Cured", il y cet étrange trio de personnages unis par un événement douloureux encore mystérieux mais dont on comprend assez vite la teneur et que sa révélation entraînera une véritable déflagration pour l'avenir de chacun à l'intérieur de l'histoire plus grande en train de se jouer.
    Alors que Senan doit déjà lutter contre ses réminiscences intérieures et le regard extérieur que les autres lui portent, il doit aussi affronter l'emprise psychologique de Conor devenant peu à peu un leader charismatique de la résistance des "traités" et qui voudrait que Senan rejoigne ses rangs. La passionnante nature du lien profond unissant les deux hommes sera un des moteurs du film ouvrant des questionnements quasiment philosophiques sur ce qui définit la nature de l'humanité, s'il est possible oui ou non de s'en défaire totalement jusqu'à devenir autre chose qui n'aurait plus à se justifier de ses actes dans le schéma de cette infection évolutive (clin d'oeil à Romero) et, surtout, s'il est possible de la retrouver ensuite dans un monde qui ne veut plus la voir.
    En guise de trait d'union dans ce duel psychologique, il y a Abby, une jeune journaliste cherchant à dénoncer le sort des "traités" et celui, encore bien pire, que l'on réserve aux "résistants". Manipulée sciemment par Conor pour se rapprocher de Senan, elle devient peu à peu non plus une simple observatrice des événements mais celle qui en sera l'élément catalyseur en symbolisant la réaction humaine globale face à l'acceptation ou non des pires horreurs consécutives à l'épidémie.

    Évidemment, ce triangle de personnages (superbement bien campés par Ellen Page, Sam Keeley et Tom Vaughan-Lawlor) s'inscrit dans un dessein plus large, celui du destin d'une population prête à accepter d'annihiler une partie des siens qu'elle ne parvient à guérir et qui ne sait plus quoi faire de ses anciens prédateurs "traités" sinon les reléguer au rang de sous-hommes.
    Entre ces non-infectés et ces infectés perdant leur nature humaine aux extrémités opposées du spectre qui la composent, les "traités" représentent le combat de toute minorité face à une société qui n'a de cesse de les persécuter et qui devient par là même la première responsable de leur chute inévitable dans l'extrémisme violent dont elle sera la première cible. Renvoyant bien entendu à l'ADN tristement historique de l'Irlande, cette lutte violente perpétuelle pour faire entendre sa voix dans un pays qui fait tout pour la faire taire conduira inexorablement à un aveuglement terroriste où aucune des forces en présence n'en sortira indemne. "The Cured" en fera ainsi une parfaite démonstration métaphorique en mêlant habilement les strates personnelles et globales de son récit dans une dernière partie où tous en arriveront aux pires extrémités mais où l'espoir parviendra à naître de la confiance en l'autre malgré sa différence.

    Certes, "The Cured" n'est pas exempt de défauts avec ce trop-plein d'ambitions qui le conduit parfois à emprunter quelques raccourcis (la montée trop rapide dans l'extrémisme, le comportement très versatile de Senan, ...) mais, bon sang, David Freyne signe un premier film d'une telle richesse, utilisant chacune de ses ressources scénaristiques que son propos lui offre pour construire un tout qui ne cesse de surprendre par la pertinence de ses finalités et par sa capacité à faire ressortir le meilleur de chacune des pistes explorées dans la cohérence de son récit. Même l'aspect budgétaire que l'on sent maigre sert finalement à renforcer le réalisme du cadre et à nous placer à la hauteur du vécu de ces personnages à l'échelle de cette ville irlandaise.
    On sort ainsi repu de "The Cured" malgré sa courte durée (1h34), conscient d'avoir assisté à un film de zombies qui a réussi l'exploit de trouver une voie unique dans un genre pourtant si balisé en y amenant de nouveaux discours à multiples niveaux de lecture à l'intérieur d'un récit à la générosité jubilatoire.
    Si vous cherchez un film de zombies différent et intelligent, vous avez incontestablement frappé à la bonne porte !
    Yves G.
    Yves G.

    1 460 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 août 2018
    Quelques années plus tôt, le terrible virus Maze a transformé la quasi-totalité de l'humanité en zombies cannibales. Mais un vaccin a été trouvé, permettant de soigner les personnes infectées.
    Pour autant, des problèmes demeurent. Une partie des zombies est incurable. Quant à ceux revenus à la vie civile, ils peinent à se réinsérer.

    "The Cured" commence là où "World War Z" et nombre de film de zombies se terminent : un vaccin a été trouvé qui va sauver l'humanité d'une extinction cannibale. Happy end ? Pas évident nous répond ce thriller malin qui pose de stimulantes questions éthiques, sur le pardon et sur le remords.

    Il questionne d'une part le rapport des humains rescapés face aux zombies guéris. Ceux-ci pardonneront-ils à ceux-là les crimes qu'ils ont commis ?  Leur feront-ils une place dans la société ? Ou les maintiendront-ils sous surveillance, de peur d'une rechute et/ou par refus de leur pardonner ?

    Il questionne d'autre part les remords des zombies que le vaccin n'a hélas pas privés de souvenirs, condamnés à être hantés par les cauchemars des crimes monstrueux qu'ils ont commis. Parviendront-ils à se réconcilier avec eux-mêmes et avec les autres ? Ou s'enfermeront-ils dans un séparatisme radical ?

    Toutes ces questions éthiques sont traitées à travers trois personnages. Senan (Sam Keeley) a perdu son frère pendant l'infection, dans des conditions qu'on découvrira bien vite. Il est hébergé par sa belle-sœur Abbie (Ellen Page) qui élève, seule, un fils. Conor (Tom Vaughan-Lawlor) n'a pas cette chance. Sa famille l'a banni. Il en est réduit à loger dans un foyer pour anciens zombies. Brillant politicien en pleine ascension avant l'épidémie, il n'accepte pas d'être relégué dans un statut parasite et fomente une révolte. Le docteur Lyons (Paula Malcomson) cherche inlassablement un remède pour soigner sa femme qui a pour l'instant résisté à tous les traitements.

    "The Cured" a tous les ingrédients du film de genre, jump scares anxiogènes et cauchemars effrayants inclus. Mais il s'en distingue par la qualité de son interprétation (Ellen Page, qui tisse depuis "Juno" une carrière étonnante entre blockbuster - "X-Men", "Inception" - et film d'auteur) et la finesse de son scénario dont le dénouement, aussi surprenant que logique, m'a cloué sur mon siège. "The Cured" devait sortir en salles le 18 juillet. Pour des raisons qui m'échappent, son distributeur, Bac Films, a baissé les bras.  Le film est directement sorti... dans les bacs.
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