Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Une merveille de film où frayent l’humain et son histoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
La réalisatrice dit d’elle-même qu’elle est conservatrice, mais on la voit doublement gardienne de ce qu’il ne faut pas oublier : de la gloire d’une ville qui fut synonyme de liberté, et d’une modernité libre dont les formes nous manquent.
Critikat.com
par Benoît Smith
Ne pouvant se résoudre à adopter une ligne de discours unique sur son sujet, Franssou Prenant tâche d'embrasser le caractère mouvant et confus de nos perceptions du passé et du présent.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Didier Péron
L’amour vache que porte Franssou Prenant à la ville et à ses métamorphoses ne l’amoindrit jamais mais l’expose en son devenir irrésolu et ses attraits hirsutes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Nathalie Dassa
"Bienvenue à Madagascar" joue astucieusement sur la temporalité. Et une certaine nostalgie s'en dégage (...).
L'Obs
par François Forestier
Quelque part entre le reportage et l’essai, le film bricole un passé recomposé, où passent tous les grands sujets de la réalité algérienne, le colonialisme, la guerre, la quête de l’avenir, l’âme de la cité. La documentariste Françoise Prenant signe ici un memory trip curieux, parfois agaçant, mais toujours singulier.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
En circulant ainsi de l’histoire aux impressions subjectives, le film ne se contente pas de constater la réalité d’Alger, mais donne de la ville une idée en mouvement, ramification d’affects et d’expériences croisés, où la rétrospection mélancolique se frotte sans cesse à l’intense appel du présent.
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Un film visuellement inabouti, mais riche en informations et en réflexions.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Peu de films ont parlé avec autant d’évidence de la sauvagerie sanglante de la guerre d’Algérie, et de ses conséquences directes ou indirectes : l’islamisme, la folie meurtrière, le terrorisme, etc. Nécessaire et fort.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jacques Morice
Très peu de commentaires, pas d'interviews, mais des voix off qui se chevauchent, celles de parents ou de proches, anciens ou jeunes. Elles témoignent, racontent le foisonnement culturel des années 1970, les changements, les interdits religieux ou politiques. Entre amour et désamour, le film laisse percer la nostalgie d'une liberté perdue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Une merveille de film où frayent l’humain et son histoire.
Cahiers du Cinéma
La réalisatrice dit d’elle-même qu’elle est conservatrice, mais on la voit doublement gardienne de ce qu’il ne faut pas oublier : de la gloire d’une ville qui fut synonyme de liberté, et d’une modernité libre dont les formes nous manquent.
Critikat.com
Ne pouvant se résoudre à adopter une ligne de discours unique sur son sujet, Franssou Prenant tâche d'embrasser le caractère mouvant et confus de nos perceptions du passé et du présent.
Libération
L’amour vache que porte Franssou Prenant à la ville et à ses métamorphoses ne l’amoindrit jamais mais l’expose en son devenir irrésolu et ses attraits hirsutes.
Transfuge
"Bienvenue à Madagascar" joue astucieusement sur la temporalité. Et une certaine nostalgie s'en dégage (...).
L'Obs
Quelque part entre le reportage et l’essai, le film bricole un passé recomposé, où passent tous les grands sujets de la réalité algérienne, le colonialisme, la guerre, la quête de l’avenir, l’âme de la cité. La documentariste Françoise Prenant signe ici un memory trip curieux, parfois agaçant, mais toujours singulier.
Le Monde
En circulant ainsi de l’histoire aux impressions subjectives, le film ne se contente pas de constater la réalité d’Alger, mais donne de la ville une idée en mouvement, ramification d’affects et d’expériences croisés, où la rétrospection mélancolique se frotte sans cesse à l’intense appel du présent.
Les Fiches du Cinéma
Un film visuellement inabouti, mais riche en informations et en réflexions.
Les Inrockuptibles
Peu de films ont parlé avec autant d’évidence de la sauvagerie sanglante de la guerre d’Algérie, et de ses conséquences directes ou indirectes : l’islamisme, la folie meurtrière, le terrorisme, etc. Nécessaire et fort.
Télérama
Très peu de commentaires, pas d'interviews, mais des voix off qui se chevauchent, celles de parents ou de proches, anciens ou jeunes. Elles témoignent, racontent le foisonnement culturel des années 1970, les changements, les interdits religieux ou politiques. Entre amour et désamour, le film laisse percer la nostalgie d'une liberté perdue.