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    Mobile Homes
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    3,5
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    29 critiques spectateurs

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    351 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juin 2020
    En regardant ce film, je n’ai pas pu m’empêcher de faire le parallèle avec THE FLORIDA PROJECT. La grande différence, qui est de taille, sera dans la manière d’aborder la responsabilité maternelle. Dans MOBILE HOMES, on sent que Ali ne veut pas de cet enfant. Elle le voit comme un boulet qui l’empêche d’être libre même si part moment l’instinct maternel refait surface. On voit sa chute sans fin entrainant son fils dans cette spirale infernale. Elle fera sans cesse passer son intérêt avant celui de Bone. C’est tellement dur mais aussi poignant. Surtout que Imogen Poots est une actrice de talent qui retranscrit parfaitement ces émotions. J’ai aussi apprécié le grain de folie que va rajouter Callum Turner. Mais quelle ne fut pas ma surprise de retrouver Callum Keith Rennie dans la peau d’un protecteur qui lui révèle une justesse dans son jeu que je n’avais pas décelé dans JIGSAW. J’aurai juste noté deux moments avec des facilités de scénario mais cela ne retire rien à la puissance que dégage ce film qui est, bien que tourné aux Etats-Unis et en Anglais, une production française de Madeleine Films. Si vous avez envie de vibrer, allé donc voir MOBILE HOMES.
    Fabien S.
    Fabien S.

    543 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juillet 2019
    Un très bon film canadien . Une très bonne comédie dramatique sous forme de road movie avec de très bons acteurs.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 février 2019
    Le film présente une jeune mère immature flirtant avec un homme vivant de combines et petits larcins. Le film est peu réaliste sur la pauvreté américaine, le réalisateur a du mal à aborder le fond du sujet et se contente d'une description creuse et plate de tranches de vie répétitives (préparation du coq pour les combats, resto-basket pour ne payer le restaurant) et trop longues. 2 heures d'ennui total.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 mai 2018
    J’ai vraiment apprécié ce film très prenant !
    Très bon jeu d’acteur et très réaliste !
    J’aimerais voir plus de film de ce genre au cinéma
    julamisvac
    julamisvac

    94 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mai 2018
    que dire, un film qui nous transporte, qui nous fais voir que même non désirée, une mère est prêt à tout pour son enfant.
    un film superbe à voir , même si il est uniquement en vous (car on arrive à suivre les paroles, le texte et l'image en même temps, la preuve moi qu'y n'y arrive pas abbituellement )
    traversay1
    traversay1

    3 558 abonnés 4 856 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 mai 2018
    A force de nous montrer la face "cachée" du rêve américain, son cinéma indépendant commence à nous laisser croire qu'il n'est pas d'autre sujet à traiter. On en est donc réduit à traquer l'originalité dans ces films qui se ressemblent tous un peu et Mobile Homes n'y parvient qu'en partie. Le début du film, mouvementé, est souvent agaçant d'autant que Vladimir de Fontenay se permet quelques afféteries esthétiques et que certains rebondissements peinent à rester crédibles. C'est quand ce faux road-movie calme sa course que l'on commence à l'apprécier avec la petite communauté qui vit tranquillement au sein de Mobile Homes ... immobiles. La question centrale est celle de la maison et du foyer (House/Home), choix entre lesquels l'héroïne du film et son jeune fils balancent. Force est de constater que le scénario manque d'épaisseur et plus encore pour la caractérisation des personnages, très schématiques. Autant qu'un énième film sur les exclus de la société, Mobile Homes se concentre également, mais partiellement, sur le rapport mère/fils quand l'essentiel ne peut être assuré par la première. De resto-baskets (grivèlerie en d'autres termes) en combines un peu louches, cette existence ne peut durer indéfiniment. On n'a pas besoin d'en être convaincu mais le film ne donne guère de raison d'approfondir davantage le sujet. Malgré le talent incontestable de son actrice Imogen Poots, Mobile Homes ne suscite qu'une sympathie polie.
    Jonathan M
    Jonathan M

    130 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2018
    Une errance dans l'Amérique profonde, en compagnie d'une Imogen Poots timorée qui s'enlise malgré elle dans une relation amoureuse toxique. Mais heureusement pour elle, son fils est sa raison de vivre. Bien plus qu'une bouée de sauvetage, c'est sa seule porte de sortie. Une histoire mère/fils intéressante, des enjeux dramatiques rendus fragile par un scénario qui manque d'envergure. Encourageant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 avril 2018
    Après "The Florida Project", le film "Mobile Homes" montre la dure réalité d'une vie sans réelles ressources surtout financière mais cette fois c'est par les yeux des adultes que l'on voit les coups durs.
    Beaux films, plein d'amour.
    Même si j'ai eu du mal à m'attacher à certain personnage qui m'ont juste très vite exaspéré.
    dominique P.
    dominique P.

    833 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 avril 2018
    Il s'agit d'un road movie dramatique.
    En général j'apprécie beaucoup ce style.
    J'ai bien aimé ce film là, le propos est intéressant et on suit justement avec intérêt ce qui se passe.
    Cependant, l'ensemble reste plat, terne, sans grand rebondissement, il ne se passe pas grand chose.
    Padami N.
    Padami N.

    61 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2018
    un film sur l'Amérique profonde loin des grandes villes. sur des paumės fauchés vivant de combines.
    on sent qu'un drame va arriver,au fur et à mesure la relation mère/fils s'amplifie , avec tendresse.et donc on s'attache aux personnages.
    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 avril 2018
    Dans le nord des États-Unis, en plein hiver, Ali et Evan tirent le diable par la queue. Ils dorment à la cloche de bois ; ils se nourrissent de resto-basket ; ils vivent de petits larcins : combat de coqs, deals de drogues auxquels Bone, le fils d'Ali, âgé de huit ans à peine, est de plus en plus régulièrement associé.
    Ali a un rêve inaccessible : s'acheter un toit. Après une énième dispute avec Evan, Ali et Bone trouvent refuge dans un mobile home, une maison sur roue. Ils espèrent commencer une vie plus saine.

    "Mobile Homes" est le premier film d'un jeune réalisateur français. Il est l'adaptation du court métrage qu'il avait tourné sur le même thème en 2013. L'idée du film repose sur la différence entre house et home : la maison et le foyer. Le titre se voudrait un oxymore : comment Ali et Bone réussiront-ils alors qu'ils se déplacent sans cesse à se construire un foyer stable ?

    Les white trash sont à la mode. Le cinéma de la marginalité blanche américaine devient un genre à part entière. En attendant l'excellent "Katie says Goodbye" qui sortira mercredi prochain, on a pu voir récemment "Moi, Tonya", "Lucky", The "Florida Project" ou "American Honey". Même abrutissante misère sociale, économique et intellectuelle. Mêmes paysages unanimement déprimants, sous le soleil de Floride ou le blizzard des Grands Lacs. Mêmes héros tristes aux caractères échaudés par les épreuves de la vie qui font vaillamment face.

    Sans doute Ali tient-elle honorablement son rang parmi eux. Elle est servie par l'interprétation inspirée d'Imogen Proots, déjà remarquée dans "Green Room" et "Knight of Cups". Mais le scénario de "Mobile Homes" n'est pas assez original pour le distinguer du tout venant.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 avril 2018
    Je ne comprends pas comment et pourquoi ce film est considéré si fort. Il n'y a pas de scénario! J'en ai marre des films sans scénario. L'actrice principale est fabuleuse, tous les acteurs le sont mais ils ne peuvent pas sauver le film nul. Il commence bien mais finit mal, cela tombe plat. Il n'y a ni humour, ni de sens tragique, ni musique. Ce n'est pas cuit. Le metteur en scène s'amuse avec son obsession de mobile home avec l'argent du contribuable, j'imagine. J'ai terriblement pitié des coqs, les seuls qui sont émouvants dans ce film vide de sens. Pourquoi la maison brule à la fin? Evan, il n'est venu au rendez-vous? Le policier qui met l'enfant seul dans le bus quand c'est interdit aux US! L'accident de tel ampleur et ils survivent tous les deux, avec juste un petit bobo pour elle au front et rien du tout pour lui? Vous rigolez? Il faut qu'il se remettre en question un peu, le metteur en scène.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 avril 2018
    Tension et poésie s'entremêlent en permanence dans ce film magnifique, tourné le long des routes perdues d'une Amérique qui fascine et dégoûte à la fois. Les acteurs bouleversent, l'image envoûte, on a peine à croire qu'il s'agit d'un 1er film. Bluffant.
    RedArrow
    RedArrow

    1 662 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 avril 2018
    Après "American Honey" ou "The Florida Project", "Mobile Homes" s'intéresse à nouveau à la face cachée de l'Amérique, celle des laissés-pour-compte qui tentent de subsister dans un système qui ne leur a jamais donné leur chance et préfère oublier leur existence.

    Presque ironiquement, Ali (Imogen Poots) poursuit pourtant un cliché de ce fameux rêve américain partagé par ses millions de concitoyens : avoir sa propre maison pour y vivre avec son fils Bone et son petit ami Evan (Callum Turner). Maintenue dans une illusion permanente que cela arrivera dans un futur proche par ce dernier, elle préfère mettre des oeillères sur leur mode de vie actuel constitué de petits larcins où son fils prend d'ailleurs une place de plus en plus prépondérante. Et puis, un jour, arrive le point de rupture, Ali ouvre enfin les yeux sur la chimère dans laquelle la maintient Evan afin d'utiliser l'innocence de son fils à des fins illégales et prend la fuite en s'endormant par hasard dans un mobil-home. Grâce à cet heureux concours de circonstances, elle découvre une nouvelle voie, plus honnête et surtout plus à même de lui permettre de voir son rêve se concrétiser. Mais l'ombre d'Evan rôde, prête à la faire retomber dans ses travers...

    S'il est certes plus anecdotique que les titres cités en préambule, ce premier long-métrage du français Vladimir de Fontenay (adapté d'un court de 2013) ne démérite pourtant pas dans son portrait d'une frange de l'Amérique laissée à son propre sort et impressionne surtout par sa capacité à capter la fragilité de son héroïne pris entre les feux de sa vie marginale et d'une forme de stabilité qu'elle semble prête à embrasser. En ce sens, le fameux mobil-home du titre, une maison en mouvement, est forcément une représentation parfaite de trait d'union entre ces deux formes d'existence, une sorte d'équilibre enfin trouvé pour Ali. Mais, à chaque fois que la balance se met à trop pencher d'un certain côté, que cela soit celui d'abord d'Evan ou ensuite celui de Robert (Callum Keith Rennie), le propriétaire du mobile-home incarnant une figure paternelle rassurante, Ali se retrouve plongée en plein dilemme devant ce croisement existentiel et préfère prendre la fuite.

    La force du film est d'impliquer véritablement le spectateur dans les tergiversations du personnage superbement interprétée par Imogen Poots : lui faire comprendre, dans un premier temps, son besoin d'échapper aux promesses sans avenir d'Evan, lui faire ressentir un début de bonheur devant la naissance d'une certaine normalité et, dans un deuxième temps, créer un malaise en la voyant retomber peu à peu au piège de la toile dont elle était en train de s'extirper, donner vie à l'écran à cette fuite en avant métaphorique du personnage lors d'un dernier acte ne lui laissant plus qu'une décision drastique à prendre face à son inaptitude à choisir telle ou telle voie et, enfin, le laisser sur un magnifique dernier plan synonyme d'un K.O. émotionnel assez puissant.

    On peut donc clairement parler d'un joli premier film, encore parfois hésitant entre une approche naturaliste et quelques effets clippesques un peu superflus, mais lorsqu'il s'agit de capter l'essence même de son personnage principal pour la faire partager au spectateur, "Mobile Homes" fait invariablement mouche et en devient donc forcément très prometteur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 avril 2018
    Un très beau premier film, Imogen Poots est époustouflante !
    Le film ne nous lâche pas jusqu' à la dernière seconde, "déroutante".
    Très belle surprise. Bravo.
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