Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
Le réalisme du polar et des circonstances est distordu par quelques touches oniriques et par le caractère même du personnage de Ladji. Et c'est bon.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Fort de ses personnages intenses, tel ce héros défiant qui observe en silence une bourgeoisie arrogante et irresponsable, le film porte un regard acéré des inégalités devenues curieusement abyssales dans un contexte de faillite de l’Etat.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un thriller au constat politique implacable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Sophie Avon
Dans ce silence altier se loge la force de « Wulu », film comète de Daouda Coulibaly, réfléchissant l’état d’un pays, le Mali, sans actionner de multiples métaphores mais saisissant l’agitation des villes africaines et la violence des routes du désert où de jeunes gens se laissent happer par la nécessité de survivre.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Un véritable geste engagé, qui met à jour la corruption étatique, et son imbrication dans une société à la culture traditionnelle nourrie de rites initiatiques. Mais qui n’oublie pas ce qu’est le cinéma, en se focalisant sur un destin, pour mieux toucher à l’universalité.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Nicolas Schaller
Avec un sens efficace de la mise en scène et maints détails sur les ravages du capitalisme sauvage dans cette région d'Afrique (Ladji croise aussi bien des chefs d'entreprise français que des groupes djihadistes), Daouda Coulibaly signe un premier film fort et pertinent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
(...) Wùlu dresse l’acte d’accusation d’une société minée. Plus encore, en s’attachant au destin de ce personnage déchiré entre dignité et nécessité, le film offre une réflexion morale d’une grande force, à l’issue forcément tragique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Daouda Coulibaly signe un premier film très noir sur la situation de son pays. On pense un peu au cinéma de Jacques Audiard, en plus pessimiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
En suivant un convoyeur de cocaïne sur le trajet Dakar-Bamako, Daouda Coulibaly signe un dynamique « Scarface » malien.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gilles Renault
(...) "Wùlu" (...) maîtrise mieux l’évocation du cas particulier, que son doigt accusateur pointé sur le délitement politique brossé (faute de moyens ?) en quelques scènes expéditives.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yannick Lemarié
Il est dommage que le film perde, au fil des minutes, une partie de sa puissance initiale et finisse par appliquer le schéma trop convenu de la réussite et de la chute.
Télérama
par Cécile Mury
Thriller nerveux, dossier politique, portrait sensible et dur d'un truand malgré lui, "Wùlu" est aussi une belle chronique de la fatalité sociale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Dans l’ensemble, le défaut majeur du récit est de souvent délaisser l’action pure au profit de digressions romantiques ou mondaines, qui atténuent et presque émoussent des notations politiques et documentaires bien vues mais succinctes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film sous tension, construit comme un thriller d’action, non exempt de maladresses, mais intéressant par le regard qu’il porte sur la société de l’Afrique de l’Ouest d’aujourd’hui, sur sa jeunesse à l’horizon bouché et sur les formes qu’y prend la criminalité.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Certains décors, qui semblent bien choisis, et un background politique relativement fouillé (mais peu développé) laissent entrevoir ce que pourrait être un thriller africain plein de bruit et de fureur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Charlie Hebdo
Le réalisme du polar et des circonstances est distordu par quelques touches oniriques et par le caractère même du personnage de Ladji. Et c'est bon.
Le Journal du Dimanche
Fort de ses personnages intenses, tel ce héros défiant qui observe en silence une bourgeoisie arrogante et irresponsable, le film porte un regard acéré des inégalités devenues curieusement abyssales dans un contexte de faillite de l’Etat.
Les Fiches du Cinéma
Un thriller au constat politique implacable.
Sud Ouest
Dans ce silence altier se loge la force de « Wulu », film comète de Daouda Coulibaly, réfléchissant l’état d’un pays, le Mali, sans actionner de multiples métaphores mais saisissant l’agitation des villes africaines et la violence des routes du désert où de jeunes gens se laissent happer par la nécessité de survivre.
Bande à part
Un véritable geste engagé, qui met à jour la corruption étatique, et son imbrication dans une société à la culture traditionnelle nourrie de rites initiatiques. Mais qui n’oublie pas ce qu’est le cinéma, en se focalisant sur un destin, pour mieux toucher à l’universalité.
L'Obs
Avec un sens efficace de la mise en scène et maints détails sur les ravages du capitalisme sauvage dans cette région d'Afrique (Ladji croise aussi bien des chefs d'entreprise français que des groupes djihadistes), Daouda Coulibaly signe un premier film fort et pertinent.
La Croix
(...) Wùlu dresse l’acte d’accusation d’une société minée. Plus encore, en s’attachant au destin de ce personnage déchiré entre dignité et nécessité, le film offre une réflexion morale d’une grande force, à l’issue forcément tragique.
Le Figaro
Daouda Coulibaly signe un premier film très noir sur la situation de son pays. On pense un peu au cinéma de Jacques Audiard, en plus pessimiste.
Le Monde
En suivant un convoyeur de cocaïne sur le trajet Dakar-Bamako, Daouda Coulibaly signe un dynamique « Scarface » malien.
Libération
(...) "Wùlu" (...) maîtrise mieux l’évocation du cas particulier, que son doigt accusateur pointé sur le délitement politique brossé (faute de moyens ?) en quelques scènes expéditives.
Positif
Il est dommage que le film perde, au fil des minutes, une partie de sa puissance initiale et finisse par appliquer le schéma trop convenu de la réussite et de la chute.
Télérama
Thriller nerveux, dossier politique, portrait sensible et dur d'un truand malgré lui, "Wùlu" est aussi une belle chronique de la fatalité sociale.
L'Humanité
Dans l’ensemble, le défaut majeur du récit est de souvent délaisser l’action pure au profit de digressions romantiques ou mondaines, qui atténuent et presque émoussent des notations politiques et documentaires bien vues mais succinctes.
Le Dauphiné Libéré
Un film sous tension, construit comme un thriller d’action, non exempt de maladresses, mais intéressant par le regard qu’il porte sur la société de l’Afrique de l’Ouest d’aujourd’hui, sur sa jeunesse à l’horizon bouché et sur les formes qu’y prend la criminalité.
Les Inrockuptibles
Certains décors, qui semblent bien choisis, et un background politique relativement fouillé (mais peu développé) laissent entrevoir ce que pourrait être un thriller africain plein de bruit et de fureur.