AlloCiné
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Votre avis sur Road Trip ?
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Une comédie honnête qui assume sa bêtise. J'ai bien aimé le parti pris de faire raconter l'histoire par un narrateur complètement loufoque. Une bonne façon de légitimer les invraisemblables rebondissements et le machisme ambiant.L'ensemble bénéficie d'une bonne dynamique et si l'on n'échappe pas à quelques lourdeurs (quête d'identité de DJ Qualls, final écœurant) ce film procure une heure trente de régression agréable. Ça ne vole tout de même pas bien haut.
Je suis fan , c'est bien rythmé pour un road trip et ça change des americans pie , je dirai pas que c'est plus subtile mais c'est différent :D bon après ça mérite pas non plus quatre étoiles.
Mouais, je met une bonne note parce que la première fois, j'ai bien aimé et je voulais en savoir plus, mais ça reste une comédie lourde et graveleuse.
Le seul attrait positif de ce teen-movie réside en la force des acteur,irréprochables.C'est simpa mais quelques gags ont deja étaient vus, et c'est ce qui peu paraître comme désolant.
Si certains n'aiment pas l'humour graveleux qu'il passe leur chemin sur ce film. Pour ma part moi je me suis bien marré à regarder ce campus-road movie plein de situations burlesques. 14/20
Un bon teen movie divertissant! Il ne renouvelle cependant pas le genre des teen movie! Il reprend simplement le recettes qui marchent déjà!
Un des meilleurs teen movie ou en tout cas un des moins mauvais, ca se fete ! Bien sur tes les ingredients st reunis mais celui a qq chose de special qui le rend culte (en tout cas je l'ai jamais oublié 10 ans apres) malgre qq incoherences style les acteurs trop vieux :/
Drôle à certains moments, dans la même lignée qu' American Pie...
FaRem
"Road Trip" fait partie de ces nombreux teen-movie qui sont sortie après le grand succès d'American Pie, Todd Phillips le futur réalisateur de la trilogie "Very Bad Trip" ne réinvente pas le genre, mais il nous fait quand même passer un bon moment avec ce film qui est classique, mais efficace et plutôt drôle.
Un bon road movie avec Seann William Scott de l'époque American Pie, toujours cool de le retrouver en forme. Par contre, je ne suis pas fan de l'humour Tom Green, un peu cinglé sans être drôle. Mais il ne gâche pas le film, puisqu'il ne fait pas partie du voyage ;)
Sortie à une époque ou les college movie étaient en vogue, cet épisode ne tient pas le haut du pavé malgré quelques bonnes idées. Néanmoins parfait si on veut s'arrêter de réfléchir durant 1 heure 30.
Avec cette virée entre potes jonchée de sexe et d'alcool, Road trip s'inscrit dans la lignée d'American pie et vise un public adolescent. Avec le recul, cela reste drôle de voir cette joyeuse bande de décérébrés universitaires prêts à tout pour sauver ce qui est important à leurs yeux, en négligeant par ailleurs tout un ensemble d'autres paramètres révélant l'insouciance de leur état d'esprit.
Bonne surprise ! Dans l'esprit d'Américan Pie mais en bien mieux aussi bien côté réalisation que côté casting, on a aussi un peu plus de rafraîchissantes nudités. Le scénario tente de ressembler à quelque chose et on se prend (ce qui n'avait rien d'évident !) à s'attacher à cette bande de guignols et à suivre cette histoire rocambolesque dont les conclusions n'ont rien à voir avec le politiquement correct. Ça n'a rien d'inoubliable mais dans le genre teen-movie sans prétention on passe un bon moment
On sent que les acteurs se connaissent, ils ont déjà joué ensemble dans d'autres films, ils sont pareils. L'histoire n'est pas follement passionnante, mais peut être suivie avec beaucoup d'humour.
Je me souviens avoir vu ce film vers la fin du collège ou la 2nde pour la première fois. Il m'avait marqué car ce fut l'un des premiers teen movies que j'eus vu après la révélation qu'avait été pour moi American Pie.
Cela peut vous paraître exagéré ou un manque de goût certain mais ces films, si nazes, moyens ou bons soient-ils, ont joué un grand rôle dans mon adolescence parce qu'à chaque fois que je les regardais, ils me remplissaient d'une énergie et d'une envie d'aller croquer la vie à pleines dents. C'est simple : je savais que ce qui était à l'écran était faux mais je retenais surtout la joie de vivre que communiquaient ces films, ces histoires de potes et d'attitudes cools. Ils m'ont permis de voir les relations sociales d'un autre oeil, plus détendu et m'ont sorti (pas que ça mais ça y a contribué) de ma relative timidité.
Depuis, j'en ai vu beaucoup d'autres des teen movies. Et j'ai grandi aussi. J'ai découvert l'université donc mon regard sur ces films a forcément changé et c'est ce qui m'attriste un peu.
De films quasi-sacralisés, ils sont passés à des films simplement sympatoches sauf exceptions. C'est le cas de celui-ci que je viens de revoir.
Certes, je me suis amusé, certes j'ai eu envie d'écouter la bande-originale remplie de Hard Rock et de Pop Punk (l'une des autres choses de mon adolescence qui m'ont marqué) et certes j'ai ri parfois mais ce n'est plus le même niveau d'amusement qu'auparavant. Je décèle des défauts que je n'avais pas vu auparavant, notamment des faiblesses scénaristiques, des scènes pas forcément utiles et quelques personnages peu creusés.
Mais ce qui me rassure, c'est que je m'en rends compte et que, malgré tout, j'arrive à apprécier "Road Trip". J'ai toujours cette bienveillance pour ces petites comédies d'université et ces road trips et j'ai surtout beaucoup d'affection pour Sean William Scott, parfait comme toujours en abruti libidineux.
Quant à l'histoire, je la trouve bonne. Elle ne prétend pas révolutionner le cinéma mais offre une justification à l'existence du film ce qui me suffit pour ce type de films.
Mais là où le film est fort, c'est dans quelques personnages ou quelques scènes. Hormis le personnage de Sean William Scott, le gérant d'un hôtel cynique et ayant quelques problèmes de socialisation est délicieux et le personnage de geek oppressé par son père incarné par DJ Qualls apporte la touche humaine du film.
Alors pour résumer cette critique (assez personnelle, je m'en rends compte), je dirais simplement que la vision que l'on peut avoir de ce film varie en fonction de l'âge du spectateur (comme souvent) mais qu'il reste au minimum sympathique si l'on accepte de jouer le jeu des teen movies (à savoir poser son cerveau et se laisser porter dans l'univers fantasmé des étudiants américains).
Cela peut vous paraître exagéré ou un manque de goût certain mais ces films, si nazes, moyens ou bons soient-ils, ont joué un grand rôle dans mon adolescence parce qu'à chaque fois que je les regardais, ils me remplissaient d'une énergie et d'une envie d'aller croquer la vie à pleines dents. C'est simple : je savais que ce qui était à l'écran était faux mais je retenais surtout la joie de vivre que communiquaient ces films, ces histoires de potes et d'attitudes cools. Ils m'ont permis de voir les relations sociales d'un autre oeil, plus détendu et m'ont sorti (pas que ça mais ça y a contribué) de ma relative timidité.
Depuis, j'en ai vu beaucoup d'autres des teen movies. Et j'ai grandi aussi. J'ai découvert l'université donc mon regard sur ces films a forcément changé et c'est ce qui m'attriste un peu.
De films quasi-sacralisés, ils sont passés à des films simplement sympatoches sauf exceptions. C'est le cas de celui-ci que je viens de revoir.
Certes, je me suis amusé, certes j'ai eu envie d'écouter la bande-originale remplie de Hard Rock et de Pop Punk (l'une des autres choses de mon adolescence qui m'ont marqué) et certes j'ai ri parfois mais ce n'est plus le même niveau d'amusement qu'auparavant. Je décèle des défauts que je n'avais pas vu auparavant, notamment des faiblesses scénaristiques, des scènes pas forcément utiles et quelques personnages peu creusés.
Mais ce qui me rassure, c'est que je m'en rends compte et que, malgré tout, j'arrive à apprécier "Road Trip". J'ai toujours cette bienveillance pour ces petites comédies d'université et ces road trips et j'ai surtout beaucoup d'affection pour Sean William Scott, parfait comme toujours en abruti libidineux.
Quant à l'histoire, je la trouve bonne. Elle ne prétend pas révolutionner le cinéma mais offre une justification à l'existence du film ce qui me suffit pour ce type de films.
Mais là où le film est fort, c'est dans quelques personnages ou quelques scènes. Hormis le personnage de Sean William Scott, le gérant d'un hôtel cynique et ayant quelques problèmes de socialisation est délicieux et le personnage de geek oppressé par son père incarné par DJ Qualls apporte la touche humaine du film.
Alors pour résumer cette critique (assez personnelle, je m'en rends compte), je dirais simplement que la vision que l'on peut avoir de ce film varie en fonction de l'âge du spectateur (comme souvent) mais qu'il reste au minimum sympathique si l'on accepte de jouer le jeu des teen movies (à savoir poser son cerveau et se laisser porter dans l'univers fantasmé des étudiants américains).
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