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    La Région sauvage
    Note moyenne
    3,0
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    42 critiques spectateurs

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    hazelnuss
    hazelnuss

    2 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 avril 2023
    Ce film semble directement lorgner du côté de Possession avec Adjani. L'ambiance et le traitement sont identiques. Si vous aimez l'un, vous aimerez peut-être l'autre.
    Gérard Roux Perso
    Gérard Roux Perso

    2 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 mars 2023
    Je suis assez déçu par ce film, primé à Venise et qualifié par certains de Chef-d'oeuvre Certes , le machisme de la société mexicaine est bien dénoncé (ce n'est pas réellement une surprise) mais que fait-on de ça? Un conte fantastique qui traine un peu, un film qui se veut érotique alors qu'on est plutôt dans des scènes glauques. Un scénario dont on ne sait pas trop où il va.; une fin pas très compréhensible . A noter une scène que j'ai trouvé complètement ridicule : sur l'impact terrestre de l'atterissage de l'alien (arrivé sur une météorite?) se réunissent tous les animaux de la création pour copuler!
    chrischambers86
    chrischambers86

    14 060 abonnés 12 481 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 mars 2023
    Une version mexicaine de "Possession" (1981), sans les èpices et les aromates! D'ailleurs on ne peut s'empêcher de se demander pour quelles raisons Amat Escalante a rèalisè une oeuvre aussi inutile ? Non seulement ça tourne en rond et en plus on n'y comprend pas grand chose au final! Sans aucun rèsultat la projection finie, tout l'attirail de l'horreur zulawskienne qui n'effraie plus depuis trente cinq piges, est ici dèployè dans une règion sauvage du Mexique et on cerne assez vite les limites du genre èpuisè que l'auteur n'a pas eu le don de renouveler! Visiblement le père Escalante a manquè d'imagination! D'où la grosse dèsillusion malgrè l'investissement de Simone Bucio et Ruth Ramos! Jesús Meza, lui, est bien nul passant le clair de son temps à uriner ou à picoler! Quant aux scientifiques, ils sont aussi sensibles qu'une pierre! Vous l'aurez compris, ne suivez pas le beau ruisseau qui mène vers la maison en bois sinon vous pourriez en dècoudre avec la bête monstrueuse et gluante! Bouh...
    Hotinhere
    Hotinhere

    580 abonnés 5 025 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 août 2021
    Un psychodrame familial et fantastique plutôt original et intrigant, mais desservi par un scénario trop chelou.
    Uther Zendrest
    Uther Zendrest

    4 abonnés 305 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 février 2020
    Une histoire d'amour mêlé de roman noir. Une elle interprétation avec de beau seconds rôle. Le côté fantastique manque de développement.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    111 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 novembre 2019
    Remarquablement mis en scène, cet essai à l’atmosphère étrange nous raconte d’abord et surtout l’histoire d’un couple en crise, aux multiples secrets, mettant en lumière l’hypocrisie des normes sociales dans le Mexique contemporain. La partie fantastique du film, au final assez annexe, est quant à elle une semi-réussite. Si l’histoire de cette bête immonde aux talents sexuels prodigieux fascine, elle est un peu trop accessoire pour être pleinement convaincante. Captivante et envoûtante, cette région sauvage vaut néanmoins clairement le détour.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 201 abonnés 5 227 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 septembre 2019
    La partie primitive de l’homme est révélée par cette cabane où ses instincts se révèlent.
    Sexe et fantastique. Comme une sexualité non voulue mais subie. Comme le corps qui ne se maîtrise pas.
    Étrange et finalement pas si sulfureux....
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    710 abonnés 3 086 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 août 2019
    Parce qu’il échappe sans cesse à la manière de sa créature tentaculaire, La Région sauvage intrigue autant qu’il déçoit, la faute à un éclatement de la structure narrative qui perd son spectateur dans un labyrinthe de relations et de pulsions duquel il ressort pourtant indemne. Derrière une volonté d’émanciper ses personnages féminins, Escalante a l’ambition de remonter à la source-même du désir, de toucher cette partie primitive de tout être qu’il incarne à l’écran par une série d’images fortes. Très peu de plans sont brefs, et le calme dans lequel se déploie le récit équivaut à une transgression : laisser la chose venir, se produire, sans recourir aux artifices du montage ou à une quelconque censure. Nous voguons entre l’ambiance oppressante d’Under the Skin et la folie douce de La Bête signé Borowczyk. Igor Figueroa et Fernando Heftye composent une partition où grincent les violons, engendrant des textures sonores malsaines assez réussies. Pourtant, au cœur de cette cosmogonie de l’éros féminin apparaît un soin chichiteux à brouiller les pistes de la façon la plus artificielle qui soit, c’est-à-dire en jouant avec la cohérence et l’enchaînement des scènes. Le réalisateur s’amuse à perdre son spectateur dans un imbroglio de rapports et de figures qui se mélangent pour ne former qu’un amas compact de corps dans un décor d’abord fermé – les intérieurs des maisons et appartements – puis ouvert, tendu vers l’absolu. L’impression qui en découle est celle d’un manque de confiance dans le potentiel horrifique, si bien que le procédé déployé ici lasse et finit par franchement agacer. Car une fois les couches de fausse illisibilité enlevées, ne reste qu’un mystère plutôt banal, déjà vu et revu. S’il donne vie à une région marquée par l’aimantation des corps et des esprits vers un cabanon rouge-passion, La Région sauvage n’a rien de si sauvage, semble même assez sage à y regarder de plus près.
    soulman
    soulman

    93 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 août 2019
    Le début est prometteur mais ces promesses ne sont pas tenues. Si les rencontres des différents personnages avec l'indicible créent un climat trouble et presque fascinant, le reste du film est assez convenu et, malgré d'excellents interprètes, pas très passionnant. Reste un vrai personnage mystérieux, le seul qui intrigue vraiment, celui de Veronica.
    ferdinand75
    ferdinand75

    569 abonnés 3 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 août 2019
    Un bon film qui réussit à mêler des genres très différents : le drame social, le fantastique, l'érotique. L'héroine principale découvre qu'elle est trompée par son mari, avec son frère, un outing gay surprise. Et puis il y a cet Alien caché dans une cabane qui donne du plaisir aux êtres humains un plaisir très sexuel.. Des couples malheureux, des célibataires résignés , le film est assez noir ,et nous décrit un monde figé , dur , une société mexicaine sclérosée ( i.e; la belle famille de l' héroine) . mais la potion fonctionne et l'on se laisse embarquer par ce mixte très réussi.
    Fabien S.
    Fabien S.

    567 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2019
    Un tres bon film d'epouvante mexicain sur nos pulsions refoulees avec des scenes explicites reserve a un public adulte.
    Estonius
    Estonius

    3 530 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 avril 2019
    Le fait que ce film ait reçu le lion d'argent du meilleur réalisateur à la Mostra de Venise, alors que la réalisation n'est ni brillante ni originale en dit long sur les coulisses de ces festivals. Pendant la moitié du film on se demande ce que veux nous montrer le réal, on passe du coq à l'âne, certaines scènes sont inutiles et le rythme est totalement absent. Le réal n'hésite pas à nous montrer des scènes très crues mais ce n'est pas pour cela qu'elles sont érotiques (on aurait préféré). Puis quand dans la seconde partie on comprend enfin un peu ce qu'il se passe ça vire en eau de boudin et tout ça pour nous sortir une morale à quatre balles du genre le sexe c'est comme la drogue, si on en veut trop on en meurt. Tartuffe n'est pas mort !
    Marc L.
    Marc L.

    47 abonnés 1 607 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 février 2019
    Des films comme celui-ci, j’en ai vu passer des brouettes et, s’il m’est arrivé d’être agréablement surpris, le procédé me laisse quand même plus souvent sceptique. Le procédé en question, c’est quand des drames d’auteur naturalistes, qui n’hésitent paradoxalement pas à en remettre une couche dans le réalisme et la sobriété, reposent sur un argument science-fictionnel qui étaye avec plus ou moins de bonheur le propos du film et dont l’utilité visible est de lui permettre de se distinguer de ses petits camarades. Sur le papier, le procédé fonctionne puisque, si je n’avais pas entendu parler de ‘The untamed’ dans les notules d’un Mad Movies, il y aurait eu peu de chances que je m’y intéresse, l’offre en productions américaines ou européennes du même genre étant largement suffisante. Dans le cas présent, on nage en plein psychodrame familial puisque le mari, un macho latin caricatural, trompe sa femme avec le frère gay de celle-ci, tout en adoptant une attitude homophobe en public. En y ajoutant l’épouse fatiguée et humiliée, les beaux-parents paternalistes et quelques autres personnages, on obtient un âpre dossier à charge de la classe moyenne mexicaine. Rien d’inédit, donc, si le réalisateur n’y ajoutait pas cette créature lovecraftienne tapie dans une cabane à la campagne : une info qui se refile à mi-voix entre copines puisque la bestiole a pour particularité d’être l’amant ultime. Je comprends parfaitement qu’on puisse avoir envie de transgresser les limites en filmant des scènes de sexe d’autant plus crues que le gloumoute à ventouses est de couleur chair...mais je ne pige pas vraiment ce que tout cela est supposé démontrer ? Que le sexe permet de surmonter tous les obstacles ? Qu’il est le pivot de toute existence humaine ? Une nouvelle variation sur Eros et Thanatos ? Ce n’est jamais clairement exprimé et on en est réduit à appréhender cet élément comme une démarche expérimentale, comme si le réalisateur s’était donné pour mission de remettre au goût du jour le “shokushu gokan�, ce fameux “viol par tentacules� si répandu dans la pornographie nippone et déjà entr’aperçu dans ‘Possession’ de Zulawski et ‘La galaxie de la terreur’ par Roger Corman.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    772 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 février 2019
    "La Région sauvage" est un film mexicain qui possède une histoire bien étrange et qui n'est d'ailleurs pas sans rappeler le fameux Possession d'Andrzej Żuławski. Et si l'interprétation du casting est de qualité et l'ambiance assez mystérieuse, malheureusement la mise en scène d'Amat Escalante manque de générosité et d'ampleur et l'histoire tourne finalement vite en rond. Ce qui est dommage car cette oeuvre possédait un postulat de départ assez passionnant.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    117 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 janvier 2019
    Un essai parfaitement réussi d'Amat Escalante dans le fantastique. On retrouve sans surprise sa réalisation dérangeante entremêlant scènes de sexe et de violence avec des acteurs qu'il pousse aux extrêmes limites. C'est totalement hypnotisant et magnifique à voir. La créature est très bien faite entre effets spéciaux réels et images de synthèses à tel point que j'appréhende ma prochaine visite dans une maison isolée en pleine campagne près d'un cratère récent...
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