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gerard stevenson
18 abonnés
783 critiques
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2,0
Publiée le 21 septembre 2024
Vu avant "le vieux qui ne voulait pas souhaiter son anniversaire", il est difficile de comprendre au début cette histoire d'argent dépensé. A cela s'ajoute une certaine lenteur (bon pour un personnage de 101 ans, c'est raccord). Tout cela fait qu'il est ardu d'accrocher. La fin plus mouvementée ne permet pas de hausser le niveau de ce road movie à la recherche de la formule d'un soda.
Comédie scandinave décalée, avec une qualité de réalisation indéniable. Il manque un peu de rythme pour donner plus de sel à cette comédie, mais le plaisir est entier.
après un premier opus réussi. on perd toute surprise et magie. Le scénario part d'une idée plutôt sympa. mais au fil du film, on s'ennuie. Le rythme n'y est pas et sa part dans tous les sens.....
4 511 abonnés
18 103 critiques
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0,5
Publiée le 14 juillet 2020
L'intrigue est la suivante : un an s'est écoulé et l'argent est dépensé quand une vieille bouteille d'une boisson gazeuse russe fait du bruit parce que c'est si bon ?? Déjà ici nous perdons tout intérêt et le film parle d'un gang de personnes âgées, un gang de voyous, une fille russe et la CIA. N'en jetez plus la cour est pleine, La police suédoise est après cette recette de boisson gazeuse. Est ce que la police suédoise n'a rien d'autres a faire ?? Eh bien pour faire court c'est comme de la comédie noire improbable dans le style de Forrest Gump bien que plus sombre et beaucoup plus stupide et remplie d'humains plus stupides. Les autres films concernés ici sont Fargo et Seven psychopaths. Le vieux qui ne voulait pas payer l'addition essaie d'être drôle mais ne l'est tout simplement pas. Ce qui agace énormément c'est la musique qui est vraiment de la musique de cirque balkanique et c'est extrêmement ennuyeux. Ce film est pire que le premier...
Drôle de surprise que ce film suédois complètement déjanté : entre comédie potache, satire politico-économique de la Guerre Froide, polar séduisant, on ne s’ennuie pas une seconde. C’est apparemment la suite d’un premier opus. Personnages riches et décomplexées, une belle pépite suédoise autre que les boulettes de chez Ikea.
Prolongement direct du Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, Le Vieux qui ne voulait pas payer l’addition part du principe que prendre la même recette et la reproduire suffira à composer une suite satisfaisante, à faire un film aussi. Le résultat laisse à désirer, la faute à un scénario abracadabrantesque qui adopte comme postulat de base la quête d’une recette de soda – l’idée était savoureuse – qu’il ne parvient à faire évoluer en moteur de son récit. Nous ne nous intéressons jamais à une histoire tirée par les cheveux – et des cheveux, Allan n’en a plus beaucoup – qui force l’odyssée road movie chère au premier opus, qui peine à entrelacer ses fils narratifs sans retrouver ni la spontanéité de ses sauts temporels ni leur insertion dans une structure plus vaste, à l’échelle du film cette fois. Les actions se suivent sans s’influencer, les sous-intrigues s’avèrent inutiles et fort banales. La musique recycle ses thèmes du premier volet, semble même retailler les pistes originales pour les ajuster du mieux qu’elle peut à cette suite mal ficelée et paresseuse, qui révèle a contrario la vigueur superbe de son aîné.
Le succès appelant immanquablement le succès, il y a donc eu une suite, d’abord sur papier et maintenant à l’écran, aux aventures de ce centenaire excentrique et des individus hétéroclites que le hasard a mis sur sa route lors de sa fugue loin de la maison de retraite, succès suédois de l’année 2009. Cette fois, c’est la recette d’un soda soviétique, fruit des convoitises des deux Blocs durant la Guerre froide, qui refait surface, la dite recette s’étant retrouvé, suite à un concours de circonstances rocambolesques, en possession du lunaire Alan Karlsson. Si le terrain de jeu s’étend cette fois à l’échelle de la planète, la recette n’a pas changé d’un iota : un mélange assez commun de road-movie et de tout ce que le cinéma d’action compte de sous-catégories (film d’espions, film de cambrioleurs, etc…), mâtiné d’une verve comique familiale (et nordique, donc pas forcément hilarante pour le public continental) : si ça avait été un film français, ça se serait peut-être appelé “Le (vieux) boulet�. La spécificité humoristique de cette franchise est sa manière de revisiter les grands événements du 20ème siècle en dévoilant comment le dénommé Karlsson les a influencés, le plus souvent par accident. Cette fois, la période historique est plus limitée, concentrée sur les années 70, et le film s’amuse plus du chassé-croisé entre toutes les factions désireuses de récupérer la recette pour des raisons qui leur sont propres. Si on essaye d’analyser le résultat objectivement, cette suite n’est sans doute pas beaucoup plus faible que ‘Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire’ (qui n’était déjà pas vraiment ce qu’on peut appeler un “grand moment de cinéma�) : c’est juste qu’en ce qui me concerne, une seule fois m’avait largement suffi.
Le vieux qui ne voulait pas payer l’addition est la suite directe du film Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire. On retrouve avec plaisir ce personnage d’Allan Karlsson, un personnage totalement barré et à la vie totalement folle. Malheureusement, ce second volet n’a pas la surprise du premier film. On connaît les personnages et c’est un peu trop calqué sur le premier film, ce qui fait que l’intrigue principale ou les intrigues secondaires sont assez prévisibles. C’est toujours un film très drôle et qui se regarde, mais l’on a clairement perdu un peu en qualité face au premier film.
J'ai vu un film.. qui se situe dans la suite du film "Le veux qui ne voulait pas fêter son anniversaire", et on retrouve avec plaisir les personnages un peu barrés et si particuliers. Le concept est amusant et l'intrigue nous tient en haleine pendant la durée du film. Mais la magie du précédent n'est pas vraiment au rendez-vous. De temps en temps, il y a des ralentissements qui nuisent au rythme de la narration.
Une comédie du réalisateur et scénariste Felix Herngren de Nationalité Suédoise qui avait déjà commis 3 ans au paravent " Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire". Nous retrouvons le même acteur principal Robert Gustafsson. Un film drôle avec des idées originales. Le scénario, adapté lui aussi du roman de Jonas Jonasson, nous conte une histoire délirante ou l'on croise Richard Nixon, Léonid Brejnev et Albert Einstein. Le pitch : Allan Karlsson, ancien espion, fête ses 101 ans et retrouve une bouteille de "Volk Soda". Un soda (rouge) fabriqué par les russes durant la guerre froide pour concurrencer le Coca Cola des américains. La dernière bouteille avalée, Allan va engager une folle épopée pour retrouver la formule de fabrication du soda qui va révolutionner le monde.
Une bonne histoire ("Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire") n'est pas le gage d'une suite opportune ! Simple décalque (en moins pêchu et beaucoup moins imaginatif, plus linéaire et simpliste), ce "2" (sur l'air de la véritable genèse des accords SALT 1, en 1972) ne réserve que de rares moments jubilatoires (dont ceux avec un animal, à nouveau - là, un singe farceur). Revisionner le "1", et oublier ce 2e volet inutile et pâlot (d'ailleurs non sorti en salles)....
J'ai découvert avec surprise et plaisir qu'il y avait une suite au "Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire". J'emploie le mot suite mais, en réalité, il n'est absolument pas nécessaire d'avoir regardé le premier pour voir Le vieux qui ne voulait pas payer l'addition car l'histoire est indépendante. A la rigueur, cela serait utile pour comprendre pourquoi les personnages sont à Bali, mais ce point est expliqué au début. On retrouve le même concept d'histoire en bonne partie composée de flash-back (légèrement moins que dans le premier), avec un ajout scénaristique, à savoir 3 à 4 intrigues avec d'autres personnages qui s'additionnent à la principale, sachant que tout est lié. L'humour, s'il est toujours très souvent présent et réussi, fait quand même un peu moins mouche, mais c'est compensé par un rythme assez intense du début à la fin du film. Je n'ai par contre pas trop apprécié le changement de voix française du personnage principal, seul de tous les doublages.
PS : autant le titre français du premier film a du sens ("Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire", bien qu'il n'avait rien contre fêter son anniversaire et que le titre suédois est plus approprié puisqu'il est "Le centenaire qui est sorti par la fenêtre et a disparu"), autant je n'ai pas compris d'où venait celui-ci. En suédois littéral, cela donnait "Le cent un an qui a glissé de l'addition et a disparu". Il n'y a pourtant pas d'histoire d'addition, cela ne doit pas être pris littéralement, mais même en cherchant un autre sens, je ne vois pas.