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𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈
145 abonnés
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1,5
Publiée le 21 janvier 2021
Un film particulièrement mauvais. Un beau casting féminin à l'affiche, Emma Roberts à l'entête qui incarne assez bien son personnage. Un visuel IN-CROY-ABLE, c'est vraiment magnifique. Mais à part cela, le reste est pas terrible. C'est long, je vois pas où la réalisatrice a vous voulu nous emmener, le scénario est tellement pas clair qu'on a du mal à suivre. Dommage car il y a un côté originial qui aurait pu me plaire si il avait était exploité dans d'autres circonstances. Je vais faire court. Passez votre chemin.
Un film d'anticipation dystopique où la condition de la femme aurait régressée, à savoir un monde divisé entre êtres supérieurs et inférieurs et où la réussite sociale repose sur un bon mariage à la mode aristocrate. A chaque instant on a la très désagréable sensation d'avoir déjà vu le film. Malheureusement, le huis clos péninsulaire rend plus ou moins caduque ce paramètre dystopique dont on ne perçoit jamais la réalité outre certains dialogues. Malheureusement, arrive ensuite à un "twist" qui nous laisse bouche bée tant on change de genre et de registre aussi soudainement que peu intelligible au vu des sujets abordés jusqu'ici. Du thriller dystopique d'anticipation on tombe nettement dans un SF fantastique qui tient du simple hors sujet, où d'une partie qui aurait été prélevée d'un autre film. Un film qui ne fera pas date. Site : Selenie
un incroyable film d'horreur et de démon. un centre de princesse forcée par ses parents. ça, c'est sur le papier mais en vérité il s'agit d'une organisation maléfique qui exploite ses jeunes filles. de l'action, du suspense de l'inattendu. chaque scène a ses mystères. ont ressent parfaitement le malaise dans chaque situation. et une lutte pour sa survie.
Des familles aisées envoient leurs filles dans un centre sur une île pour qu'elles deviennent parfaites. Elles reçoivent des cours et des traitements en tout genre pour régler tous leurs problèmes physiques ou émotionnels, mais aussi à devenir des femmes plus raisonnables. Uma est envoyée là-bas pour qu'elle change d'avis et accepte de se marier avec le garçon que ses parents ont choisi. Il y a Amarna, une chanteuse qui veut donner une autre direction à sa carrière, Yu qui doit apprendre à se comporter d'une manière qui convienne à sa classe sociale et Chloé qui est ici pour perdre des kilos. "Paradise Hills" est un film intrigant qui est riche visuellement, mais aussi au niveau du scénario. On ne sait pas quoi attendre de ce film se déroulant dans un univers aussi beau que mystérieux. Le cadre et les costumes sont superbes tandis que l'histoire réserve quelques surprises. Sous ses airs de fable féministe, ce premier long-métrage de Alice Waddington est un thriller de science-fiction qui raconte une histoire ancrée dans un univers dystopique. Une histoire avec une intrigue fil rouge et plusieurs sous-intrigues qui sont cependant peu développées. Un sacré programme pour un film qui est divertissant, mais qui n'est peut-être pas à la hauteur de son potentiel. Ça peut tellement partir dans tous les sens que quand j'ai découvert ce qui se passe réellement sur cette île je dois dire que je suis un peu resté sur ma faim. Ce n'est pas décevant pour autant, car la deuxième partie est haletante et divertissante, mais je m'attendais à quelque chose de plus original. Malgré tout, c'est pas mal même si le fond n'est pas toujours au niveau de la forme.
Une nullité sans nom. Le réalisateur mise tout sur l'esthétique. On se croirait dans une version cheap d'Alice au pays des merveilles. Emma Roberts joue aussi mal que dans toutes ses précédentes productions. Elle serait restée dans l'ombre si elle n'avait pas été "fille de" et surtout "nièce de"... Quant à Milla jovovich, la pauvre doit être vraiment ruinée pour jouer dans un film si médiocre
De prime abord, cette petite co-production entre le Royaume-Uni et l’Espagne un peu sortie de nulle part intrigue. Par son affiche colorée qui ressemble à la pub pour le défilé d’une grande marque, par son sujet qui installe une nouvelle dystopie plutôt originale et par son casting mêlant jeunes actrices prometteuses ou à la mode à la reine de la série B : Milla Jovovich. C’est en outre un premier film mis en scène par la très jeune Alice Waddington. Si tout cela semblait amusant, original et prometteur, on se rend vite compte que « Paradise Hills » ne sera jamais rien d’autre qu’un petit film de science-fiction basique, oubliable et gentillet. C’est comme si les producteurs avaient tenté de créer une œuvre du genre à destination des adolescentes. Ni plus, ni moins. Avec ce que cela comporte de qualités (un propos féministe un peu dépassé mais probant) et de défauts (tout cela est un peu mièvre et trop sucré).
Le résultat est donc bien trop light au vu des promesses initiales. Si l’on s’attendait à un suspense à couper le souffle, à une réflexion poussée sur la place de la femme dans la société ou à une tragédie qui prend aux tripes, dans tous ces cas, on repassera. « Paradise Hills » se suit comme un long-métrage pour demoiselles en fleurs à cela près que le côté science-fiction permet à Waddington de laisser aller son imagination visuelle dans la représentation de cette magnifique île où l’on souhaite reconditionner les femmes. Le décorum du film est d’ailleurs son principal atout. Si vous ne faites pas une aversion aux délires rococo et baroques, aux excès de couleurs acidulées et aux accessoires et costumes aussi originaux que ridicules, vous allez adorer. Fortement inspiré des contes et en particulier de « Alice au pays des merveilles », le film en met plein la vue en ce qui concerne la direction artistique et il est dommage que la mise en scène de la débutante Waddington ne les mette pas plus en valeur.
Le récit se suit avec plaisir et un retournement de situation fait son petit effet à mi-parcours mais « Paradise Hills » se préoccupe trop de son cœur de cible en préférant la bluette et le superficiel plutôt que d’affronter les possibilités infinies et passionnantes de son postulat initial. Les développements sont prévisibles et certaines séquences censées être dramatiques prêteraient presque à rire tellement elles flirtent avec le ridicule. On pense notamment au duel final entre une Jovovich qui se caricature elle-même et Emma Roberts plutôt correcte. Objet rare, cette œuvre gentiment féministe et trop adolescente et rose bonbon se laisse regarder mais elle s’apparente à du gâchis. Tant d’efforts formels pour une histoire si simpliste relève de l’anomalie. En revanche n’importe quel décorateur ou costumier tombera en pamoison devant le film et l’originalité de ses costumes, accessoires et décors entre le spa de luxe, le conte et certaines illustres îles de la mer Méditerranée.
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Un film jolie mais complètement nul dans sa réalisation et son scénario très mal exploité. Un mélange de fantastique et science fiction qui ne va pas du tout.
De base, "Paradise Hills" n'a pas un scénario révolutionnaire, des filles sur une île isolée qui se rendent rapidement compte qu'elles sont contrôlées par une femme et son armée dans un but bien précis. Les péripéties sont vraiment classiques : découverte du complot, recherche d'un moyen de transport pour s'échapper… Là où le film surprend, c'est dans sa fin. Agréable surprise ? Pas vraiment. spoiler: Une méchante en mode "Poison Ivy" et une héroïne égoïste qui préfère s'échapper avec son double que de tenter de sauver ses soi-disant amies. L'interprétation sauve un peu le tout et peut-être que l'histoire passe mieux sur le papier mais à l'écran ça ne rend pas très bien.
"Paradise Hills" nous présente un futur bien sombre pour les femmes. Toutes les luttes féministes de notre temps ont visiblement échoué et ont conduit la société à un rétropédalage très inquiétant où l'avenir de la plupart des jeunes filles se résume à remplir le rôle de bonne épouse entièrement dévouée à un mari qu'elles n'ont pas forcément choisi. Et, si jamais l'une d'entre elles a une trop grande soif de liberté, sa famille a tout le loisir de l'envoyer dans un institut qui réfrénera ses désirs d'émancipation et la rendra très docile pour satisfaire son mari désigné. C'est exactement ce qui arrive à la pauvre Uma (Emma Roberts), jeune femme voulant échapper à ce triste sort mais qui se réveille à "Paradise Hills", un établissement de ce type, perdu sur une île au milieu de l'océan et chargé de dompter les fortes personnalités de ses patientes ... Pour peu que vous ayez vu quelques images de "Paradise Hills", vous avez forcément dû le constater : un mécène a apparemment vidé son compte épargne pour faire un don gargantuesque au budget alloué notamment aux décors et costumes de ce film espagnol réalisé par Alice Waddington ! L'étalage permanent de cette richesse folle afin d'habiller cet institut d'un décorum ostensiblement abondant et ses résidents de parures vestimentaires dignes de princesses Disney futuristes ne peut qu'attirer l'oeil par l'opulence de couleurs et de cadres différents ainsi proposés, c'est d'ailleurs tout cet apparat visuel qui fait instantanément le charme et la singularité de ce "Paradise Hills" diablement bien nommé pour rendre justice à sa créativité en ce domaine...
Seulement, si tous ces efforts ne sont pas récompensés par une réalisation sachant véritablement les mettre en valeur alors à quoi bon ? À part une atmosphère vaguement vaporeuse cherchant à renforcer le côté faussement idyllique des lieux, la platitude de la mise en scène d'Alice Waddington ne sublime en effet jamais vraiment le travail impressionnant fourni par ses équipes. "Paradise Hills" souffre constamment de son manque cruel d'énergie derrière la caméra, enchaînant les tableaux certes très riches esthétiquement parlant mais hélas dépourvus d'une vraie vision pour les aborder et emmener le film vers une audace visuelle susceptible de retranscrire toute la déviance de cet avenir pessimiste. Faute de cela, l'imagerie de conte merveilleux et l'ambiance voulant sans doute évoquer celle d'un mix SF entre "Pique-Nique à Hanging Rock" et "Suspiria" ressemblent la plupart du temps à un DTV luxueux sur lequel une grosse meringue un brin steampunkée s'est écrasée. Durant les deux tiers de sa durée, "Paradise Hills" ne peut pas non plus compter sur l'originalité de son intrigue pour se démarquer. Hormis ses comédiennes qui parviennent à aller au-delà de leurs personnages stéréotypés pour apporter un peu de vie et de crédibilité à leur amitié (Emma Roberts et Awkwafina en tête), il est difficile d'affirmer que le mystère sur la possible face obscure de l'institut soit entretenu de la manière la plus captivante. Entre ces jeunes femmes voulant évidemment tout faire pour continuer à s'affirmer et les transformations radicales de certaines à la sortie, il est clair qu'un phénomène glauque à la "Stepford Wives" est à l'oeuvre et, avant d'en révéler la nature, "Paradise Hills" se contente surtout de s'étaler autour des petits déboires de ses héroïnes captives afin de mieux les définir dans cet environnement étrange (tentatives d'évasion, jalousie amoureuse, éveil à sa véritable identité sexuelle, etc), seules les rencontres avec l'étrange directrice (Milla Jovovich) maintiennent une suspicion sur la réalité de ce que s'y déroule. C'est d'ailleurs une fois la teneur de l'énigme dévoilée que le film offre ses plus belles idées, les ingrédients enfin surprenants de sa résolution lui permettent même d'annexer les dérives des inégalités sociales à son discours résolument féministe pendant que l'imaginaire de son ultime affrontement démontre la plénitude de sa vocation à embrasser les codes d'un conte de fée moderne. Alors, oui, l'exécution de ce dernier acte n'est pas encore à la hauteur à cause de la mollesse de la réalisation mais toute sa palette esthétique semble quand même mettre les bouchées doubles dans le but de rendre justice à la qualité des ambitions de la conclusion de cette histoire. Ce ne sera pas assez pour faire oublier le statut de projet semi-loupé qui colle à la peau de "Paradise Hills" tout au long de son visionnage mais ça permettra au moins au film de s'achever sur son versant le plus semi-réussi.
Un assez bon film de SF, qui lorgne du coté des épouses de stepford pour le début de l'histoire. Le casting est convaincant , la photo est très belle (avec les FX, il y a a de très belles images), reste un rythme un peu haché, et on se pose encore un peu de questions (comme spoiler: qu'était finalement Mila ? )
Malgrés la réalisation alléchante au décors paradisiaque et au magnifique créature féminine qu'est Emma roberts et Milla Jovovich. L'idée de départ était prometteur mais le scénario est trop confus et un peu tiré par les cheveux. On sombre dans l'ennuie, car le mystère est plombé trop rapidement. Le dénouement ceci dit est plutôt bon. J'en attendais beaucoup mieux !
C'est à croire que Milla Jovovich fait tout pour tourner dans des nanards... Paradise Hills n'échappe malheureusement pas à la règle. Scénario complètement alambiqué, direction d'acteurs inexistante , le tout saupoudré d'un twist en carton... A éviter absolument !
La première heure est bonne. Le film ne transcende rien, l'image est très belle mais les décors et costumes restent convenues. C'est très beau mais rien de nouveau.
Passé cette première heure, c'est la catastrophe. Cela decient littéralement n"importe quoi. Le scénario s"ecrase comme une tonne de briques. La cohérence en prend un méchant coup.
Le spoiler est énorme, ne pas lire si vous compter voir ce film
spoiler: Toutes les filles sont mises aux memes niveaux. La fille en surpoids, celle qui peine à s'adapter, celle qui se rebelle, toutes sont pressentis à être echanger... Paradise investie donc des sommes colossales pour remplacer de petit soucis... c'est l'équivalent de tuer une mouche à l'aide d'une bombe nucléaire. Temps de formation, chirurgie plastique, etc
Et je fait l'impasse sur "Poison Ivy"...
L’île de Paradise Hills, dirigée par la Duchesse, accueille des jeunes filles riches, en détresse émotionnelle ou physique pour suivre une thérapie les rendant plus acceptables. Le centre, en apparence paradisiaque, accueille Uma, une jeune femme anticonformiste refusant de se marier avec le jeune homme que sa famille lui a choisi. Uma tentera par tous les moyens possibles de fuir cet enfer grâce à l’aide d’Amarna une chanteuse alcoolique, Chloe, au physique ingrat, et Yu une asiatique rebelle. Pas grand-chose à sauver dans ce navet absolu, même l’esthétique fait « carton-pâte » et sent le petit budget qui essaye de se la raconter. Un pur naufrage qui vous fera perdre 1h35 de votre vie. A fuir…
Alors si il n'y avait pas eu le petit côté fantastique inutile, j'aurais certainement donné une meilleure note. L'histoire est intéressante, même si elle manque un peu plus de profondeur, les actrices sont biens dans leur rôle, le côté prison-doré aux penchants "Alice au pays des merveilles" aussi... Au final, malgré quelques petits défauts, on passe un bon moment devant ce film.