Casablancas, l’homme qui aimait les femmes : Critique presse
Casablancas, l’homme qui aimait les femmes
Note moyenne
2,5
15 titres de presse
Elle
L'Obs
Le Parisien
CinemaTeaser
Femme Actuelle
Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
Metro
Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
Critikat.com
L'Humanité
Le Monde
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Elle
par Nathalie Dupuis
John Casablancas n’est plus là pour faire la promotion. Les images restent. Celles d’une époque bénie où les tops étaient des stars. Hubert Woroniecki nous la rappelle.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par François Forestier
Toute une époque de glamour et de charme revit ainsi, et c’est délectable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Alain Grasset
Un biopic d'autant plus réussi que le metteur en scène a eu accès aux archives personnelles inédites de Casablancas, qui se raconte en voix off comme s'il avait prémédité sa mort, ainsi qu'à de nombreux extraits d'émissions et d'interviews.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un héros à la Scorsese et un docu soigné, un peu trop respectueux.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Femme Actuelle
par La Rédaction
Consacré à la gloire de John Casablancas (1942-2013), créateur de l'agence Elite, ce documentaire dresse le portrait d'un homme controversé au destin incroyable dans un milieu de la mode plus guerrier que glamour. Une véritable industrie que se disputent les agences...
Franceinfo Culture
par Geoffrey Priol
Un récit plaisant mais auto-centré, le spectateur peut regretter l'absence d'un deuxième point de vue sur l'évolution des mannequins devenus de top models puis des super models.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L’itinéraire d’un enfant plus que gâté, qui vaut surtout par la collection de documents qu’il propose, véritable miroir d’une époque, dans sa version glamour.
Metro
par Marilyne Letertre
Le long-métrage, franchement hagiographique, expédie-t-il trop vite les scandales, notamment celui qui poussa la star des agents à prendre sa retraite en 2000.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Son seul point de vue réduit le film à une autocélébration un peu exaspérante de sa réussite, et passe sous silence les scandales et polémiques dont il a été l’objet.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Un récit s'adressant à un public de passionnés, qui passe sous silence certaines réalités.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Malheureusement, ce portrait hagiographique passe à côté de son sujet.
Critikat.com
par Estelle Bayon
À vouloir briser les clichés d’un play boy frimeur, Woroniecki ne parvient qu’à dresser le portrait ultra complaisant d’un Pygmalion érotomane… Tout ça pour ça.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Quitte à ressortir de la naphtaline le chic et choc des années 1980, on aurait pu au moins soigner la forme. Las, ce patchwork d’extraits d’émissions de télévision de l’époque donne la pénible impression de visionner un stock de VHS défraîchies.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Sur un commentaire enregistré par le fondateur de l’agence de mannequins Elite avant sa mort, en 2013, cette hagiographie assemble des images d’archives dans un ordonnancement qui rend une existence de toute façon superficielle parfaitement anodine.
Télérama
par Pierre-Julien Marest
Néant abyssal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
John Casablancas n’est plus là pour faire la promotion. Les images restent. Celles d’une époque bénie où les tops étaient des stars. Hubert Woroniecki nous la rappelle.
L'Obs
Toute une époque de glamour et de charme revit ainsi, et c’est délectable.
Le Parisien
Un biopic d'autant plus réussi que le metteur en scène a eu accès aux archives personnelles inédites de Casablancas, qui se raconte en voix off comme s'il avait prémédité sa mort, ainsi qu'à de nombreux extraits d'émissions et d'interviews.
CinemaTeaser
Un héros à la Scorsese et un docu soigné, un peu trop respectueux.
Femme Actuelle
Consacré à la gloire de John Casablancas (1942-2013), créateur de l'agence Elite, ce documentaire dresse le portrait d'un homme controversé au destin incroyable dans un milieu de la mode plus guerrier que glamour. Une véritable industrie que se disputent les agences...
Franceinfo Culture
Un récit plaisant mais auto-centré, le spectateur peut regretter l'absence d'un deuxième point de vue sur l'évolution des mannequins devenus de top models puis des super models.
Le Dauphiné Libéré
L’itinéraire d’un enfant plus que gâté, qui vaut surtout par la collection de documents qu’il propose, véritable miroir d’une époque, dans sa version glamour.
Metro
Le long-métrage, franchement hagiographique, expédie-t-il trop vite les scandales, notamment celui qui poussa la star des agents à prendre sa retraite en 2000.
Le Journal du Dimanche
Son seul point de vue réduit le film à une autocélébration un peu exaspérante de sa réussite, et passe sous silence les scandales et polémiques dont il a été l’objet.
Les Fiches du Cinéma
Un récit s'adressant à un public de passionnés, qui passe sous silence certaines réalités.
Studio Ciné Live
Malheureusement, ce portrait hagiographique passe à côté de son sujet.
Critikat.com
À vouloir briser les clichés d’un play boy frimeur, Woroniecki ne parvient qu’à dresser le portrait ultra complaisant d’un Pygmalion érotomane… Tout ça pour ça.
L'Humanité
Quitte à ressortir de la naphtaline le chic et choc des années 1980, on aurait pu au moins soigner la forme. Las, ce patchwork d’extraits d’émissions de télévision de l’époque donne la pénible impression de visionner un stock de VHS défraîchies.
Le Monde
Sur un commentaire enregistré par le fondateur de l’agence de mannequins Elite avant sa mort, en 2013, cette hagiographie assemble des images d’archives dans un ordonnancement qui rend une existence de toute façon superficielle parfaitement anodine.
Télérama
Néant abyssal.