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    Sound of Metal
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    4,1
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    119 critiques spectateurs

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    Aaz
    Aaz

    26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mai 2022
    Les acteurs sont parfaits. Riz Ahmed est toujours très bon mais là il est exceptionnel. Le son est extrêmement immersif. Le tout fonctionne très bien. J'adore
    Hotinhere
    Hotinhere

    553 abonnés 4 961 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mai 2022
    Un drame existentiel vibrant et puissant, visuellement très séduisant, porté par une interprétation remarquable, avec notamment la performance intense de Riz Ahmed.
    JCADAM
    JCADAM

    4 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2022
    Bon film immersif, ou l'on s'attache aux personnages, de plus le travail sur le son est dingue surtout pour les acouphènes. Après je trouve dommage qu'on manque beaucoup d'explications, car c'est une pathologie à processus long et donc la gestion du temps dans le film est maladroit. Puis le scénario est beaucoup trop prévisible est donc l'histoire manque d'originalité. Si le sujet est orignal le film est lent avec un scénario à désiré. Heureusement que ce n'était pas un road trip musical, car je ne suis pas du tout fan de métal. Cependant ça reste un sujet intéressant qui a le mérite d'être traité au cinéma.
    Michael R
    Michael R

    103 abonnés 1 258 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2022
    Un batteur de rock, ancien tox, et éperdument amoureux, perd l'audition. Son univers fragile mais porté par son amour pour sa compagne dans la vie comme sur scène va être bouleversé le menant vers une communauté tenue par un Paul Raci incroyable. Riz Ahmed est d'une puissance phénoménale, sensible et torturé, le film l'accompagne dans sa détresse, toujours sur le fil du rasoir jusqu'à l'acceptation. Mais ce qui marque le plus, c'est le travail sur le son, qui transforme le film en véritable expérience sensorielle et fait partager au spectateur le trauma de son personnage. Bouleversant.
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 avril 2022
    Pour son premier long-métrage, le réalisateur américain Darius Marder frappe fort. Un peu comme le héros de son récit (l’excellent Riz Ahmed), batteur d’un groupe de metal qui fracasse sa grosse caisse avec frénésie. Jusqu’au jour où, atteint de surdité, il doit abandonner sa carrière de musicien, quitter sa femme et tenter de se reconstruire. Que ce soit sur le fond ou la forme, ce film sorti en 2019 présente une grande maîtrise. L’histoire de cet homme anéanti par son infirmité est rendue saisissante grâce à une bande-son et des effets sonores remarquables. Le spectateur comprend et surtout ressent immédiatement les enjeux d’isolement social que provoque un tel handicap. A noter la présence surprenante de Mathieu Amalric. Bref, une œuvre émouvante et totalement immersive.
    TiphaineLaReine
    TiphaineLaReine

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 avril 2022
    Réaliste, électrique, juste, beau, bien réalisé et très bien joué !
    Harumi1707
    Harumi1707

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mars 2022
    Un film intimiste sur la résilience, l'amour pur, un (des) deuil(s) à faire... J'ai été captivée de bout en bout par cette expérience sensorielle intense, et j'ai été émue aux larmes par l'histoire et surtout par la magnifique performance de Riz Ahmed (découvert dans la géniale mini-série "The Night Of").
    Cela faisait des mois qu'un film ou une série ne m'avait pas happée de la sorte, et procuré d'émotions aussi intenses.
    joevebulle
    joevebulle

    4 abonnés 515 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2022
    Malgré le titre, ce n'est pas un film musical sur le métal. C'est la première chose à dire afin de ne pas rebuter certaines personnes allergiques à ce genre de musique. Non, c'est un film sur le fait de perdre ses repères d'un coup vu à travers le problème de la surdité. Et, c'est très bien fait. L'acteur principal, Riz Ahmed, n'est pas un débutant mais là, il crève l'écran. Ses silences et ses regards nous saisissent du début à la fin. La bande sonore oscarisée (du morceau de métal du début au silence de la fin) fait le reste. On regrette peut être un peu la fin brutale et ouverte mais c'est beaucoup mieux qu'une fin simpliste à laquelle je m'attendais.
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    155 abonnés 1 196 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 janvier 2022
    spoiler: The Sound of Metal rappelle fortement La famille Bélier sauf que là, c'est un bon film. C'est l'histoire d'un métalleux qui tape comme un sourd contre ses futs avant de le devenir lui-même (sourd hein, pas fût, le rôle d'alcoolique est joué par un ancien du Vietnam).


    Un musicien perd l'audition de façon fulgurante et suit le processus classique de deuil (déni, colère, marchandage, dépression et acceptation) pendant deux heures dans lesquelles on est accroché de bout en bout.
    Le destin qui s'abat sur Ruben est violent, le travail sur le son est si bluffant qu'on a la sensation d'être dans sa tête (même s'il est impossible de savoir ce qu'entend réellement quelqu'un dans sa situation), la réalisation privilégie les gros plans et valorise l'impressionnnate performance de Riz Ahmed: on s'attache (fort) à notre héro.

    Heureusement car les autres protagonistes sont très creux à l'exception de Paul Raci, sa gueule ravagée m'a étreint, notamment dans une scène de séparation où il comprend que celui qu'il voyait comme un ami/successeur ne vois la vie de sourd que comme une sous-vie et n'a qu'une envie: retrouver celle qu'il a perdue.
    J'ai par contre eu du mal à faire des parallèles entre les problématiques d'addiction et la perte de l'ouïe. J'aurai aussi aimé que le rebondissement spoiler: (l'opération ne résout rien)
    ne soit pas traité comme une surprise mais comme un risque connu et accepté.
    spoiler: Le final reste consensuel, une fin plus ouverte ou carrément tragique m'aurait semblé plus logique au vu du déroulement du film

    Une scène : It's okay.
    Deadman
    Deadman

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    5,0
    Publiée le 22 janvier 2022
    Une immersion synésthésique et sensible incarnée par un acteur sous estimé car absolument magistral.
    Coup de coeur 2020.
    Fabien S.
    Fabien S.

    548 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 janvier 2022
    Un très bon film sur un musicien de métal qui devient sourd brillamment incarné par Riz Ahmed. Une bonne performance d'acteur.
    Melonight
    Melonight

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    4,5
    Publiée le 19 janvier 2022
    C’est neuf ans après avoir co-écrit le sublime The Place Beyond The Pines que revient Darius Marder, en réalisateur, avec une belle démonstration de douceur et de justesse. Sound of Metal est une véritable expérience sensorielle et on comprend largement ses 6 nominations aux Oscars.

    Ruben (Riz Ahmed) batteur et Lou (Olivia Cooke) chanteuse et guitariste, en couple à la vie comme à la scène, vivent dans leur camping-car une vie douce et en marge de la société rythmée par leur concerts à travers les Etat-Unis. Leur quotidien est bouleversé lorsque Ruben perd subitement son ouïe. Entre son combat contre les tentations de replonger dans la drogue et l’acceptation de sa nouvelle condition, Ruben devra apprendre à être aider mais surtout à s’aider lui-même.

    De par la puissance de chaque son mais surtout de chaque silence, Marder nous plonge en immersion dans ce film tout en sobriété à la photographie sublime. Ce n’est pas seulement Ruben qui se retrouve mis à l’écart dans un monde qu’il ne connaît et ne comprend pas, mais bien aussi le spectateur non initié à la langue des signes américaine.
    Riz Ahmed est époustouflant de sincérité dans ce rôle où chaque émotion est interprétée avec justesse.
    Mention spécial pour Paul Raci (lui-même enfant de parents sourds et interprète de la langue des signes) que l’on retrouve en directeur de foyer de désintoxication, à la fois touchant, plein de compassion et mesuré.
    Ce qu’il faut retenir de cette pépite, c’est bel et bien les silences lourds de sens qui résonnent plus forts que les mots, comme dans cette scène finale où le mixage son est maîtrisé à la perfection.

    C’est un premier long métrage prometteur pour Marder qui réussit son pari et rend un magnifique hommage à sa grand-mère sourde qui lui a inspiré ce scénario original.
    Alain D.
    Alain D.

    588 abonnés 3 282 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 décembre 2021
    Ce Drame coécrit et mis en scène par Darius Marder, se révèle techniquement très bien réalisé. La bande son retransmet parfaitement les acouphènes et les perceptions d'un malentendant ou d'une personne sourde appareillée. Le scénario émouvant et triste nous offre des scènes sensibles, des vibrations sonores étonnantes et un final à sensation.
    A la distribution, Riz Ahmed, est parfaitement convainquant dans le rôle principal de Ruben. Outre la jolie participation de Mathieu Amalric qui interprète le père de Ruben, on y retrouve également Olivia Cooke véritablement craquante dans la peau de Lou, la compagne de Ruben.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 333 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 décembre 2021
    Ce film est malin.
    Vraiment très malin je trouve…

    Ça se ressent dès les premiers plans.
    Écran noir. Guitare grinçante. Ruben apparait, torse nu, assis derrière sa batterie.
    Il est concentré. Il attend.
    Il attend le moment où il va falloir tout donner.
    Le cadre se resserre progressivement. On intériorise sa situation.
    La guitare tient alors la note. Ruben relève les yeux.
    Il est prêt.
    Sa tête se met à osciller en rythme avec les errances de la guitare.
    Il ferme les yeux. Il se perd dans l’instant.
    Contrechamp. Ruben a face à lui la chanteuse et guitariste du groupe. En flou.
    Ce n’est pas elle le sujet.
    Au fond ce n’est même pas Ruben non plus.
    Non. Le sujet c’est ce que ressent Ruben.
    Ce qu’il perçoit.
    Ces sons de métal.
    Une notion amenée à se transformer au fur et à mesure du film au point de le contenir à lui tout seul.

    Ah ça !
    Voilà ! Du cinéma. Du vrai. Du comme je l’aime !
    Cette intro tu ne peux la faire qu’en cinéma et la vivre vraiment qu’ainsi.
    Même ma description au fond ne fait qu’esquisser vaguement ce qu’elle est vraiment.
    Car cette introduction est clairement une introspection par les sens.
    Et si je la trouve si chouette c’est justement parce qu’elle est à l’image de l’ensemble de l’œuvre. Elle est un empire des sens.

    Toutes les scènes qui suivront ne seront que ça. Une exploration à travers les sens.
    Des images. Des caresses. Des gestes précis.
    Et surtout des sons.
    Des sons qui soudainement s’étouffent.
    …Et c’est à partir de là que tout un équilibre se met à vaciller.

    En allant voir ce film je n’en connaissais rien du tout.
    Je ne savais pas ce qui allait arriver. Et pourtant tout a su prendre sens dès le départ.
    Aucun plan n’est gâché. Aucune information n’est à laisser de côté.
    Tout ce qui a été vécu durant les premières minutes rentre soudainement en écho avec tout ce que l’on voit.
    Plus rien n’est pareil. Un seul sens manque et toute l’harmonie est perdue…
    Un seul sens manque et plus rien n’en a alors… De sens.

    Par bien des aspects, « Sound of Metal » ne raconte vraiment pas grand-chose d’exceptionnel.
    D’aucuns pourraient même lui reprocher de suivre un parcours au fond bien misérabiliste.
    Un musicien bohème qui perd l’ouïe devient soudain un musicien qui perd la musique, donc le plaisir, mais aussi l’argent, donc la bohème… Et la fille qui va avec.
    Tout est amené à s’écrouler. Plus rien ne semble pouvoir être comme avant.
    Il y a d’abord le déni. La colère. Puis à nouveau le déni.

    Mais ce qui fait que ce film n’est pas un Dardenne c’est qu’il fait tout transiter par les sens.
    Et bien au-delà des sons c’est aussi par les cadres que Darius Marder assure une véritable emprise par les sens.
    Cela passe par un Ruben qui chancèle avec un cadre qui le perd dans un parking bien large et bien vide quand Lou s’en va. Un parking qui n’a d’ailleurs plus rien à voir avec l’image presque charmeuse et roots des premiers temps.
    Un Ruben au regard qui se perd.
    Un Ruben bientôt contraint de parler le regard en biais…

    Il y a aussi un véritable art de la musicalité dans ce film.
    Pourtant la musique au sens littéral du terme est pratiquement absente des deux heures que durent ce « Sound of Metal ».
    C’est que la musique est ailleurs.
    Dans les silences. Les paroles brèves. Les répétitions.
    Prenez cette scène de la première discussion entre Ruben et Joe par exemple…
    Il y a dans ces échanges quelque-chose de presque magique où tout se dit dans les silences.

    spoiler: C’est le cas au début de l’échange quand Joe entame la conversation. « Comment tu vas Ruben ? » Ruben dodeline quelque peu de la tête. Peine à rester en place. « Ça va. – Tu es toxicomane ? Ruben marque un long silence. Son regard fuit. On ne sait plus si c’est pour lire l’écran ou pour fuir la réalité. – Yep. – Tu prenais quoi ? – De tout. Surtout de l’héroïne…. De l’héroïne. Le regard de Ruben se fige sur celui de Joe. – Tu as eu envie d’en prendre depuis que tu es sourd ? Ruben réfléchit. Il regarde dans tous les sens. Le silence s’étend de manière presque interminable. Il finit par répondre. – Aujourd’hui n’est pas un bon jour… » Ici, l’essentiel s’est clairement dit hors des mots. Il s’est dit dans les yeux. Dans les moments de réflexions. Dans les non-dits. Et à cela s’ajoute une musicalité qui s’exprime notamment sur la fin de l’échange. « Ça fait longtemps que t’es clean ? – Quatre ans. Ruben associe à sa parole un geste vif, avec quatre doigts tendus vers le ciel. – Quatre ? – Mouais. – Et tu as besoin d’aide là maintenant ? Ruben ne tient subitement plus en place. – Je crois que je devrais vérifier comment va Lou. – Ça fait longtemps que tu es avec elle ? Il s’arrête dans son geste. Il se rassoit. – Quatre ans. » Même geste, les doigts tendus vers le ciel. Tout un parcours et toute une situation viennent d’être dressées, juste avec ce motif des quatre ans. Juste avec ces ruptures. Ces silences. Elle est là la putain de musicalité de ce film. Et ça sonne comme une mélodie à mes oreilles.


    Malgré tout j’avoue que passé le premier tiers, l’emprise du film a commencé à se desserrer sur moi.
    On rentre dans une autre phase.
    Le commencement d’une nouvelle vie.
    L’idée qu’au fond on va désormais assister à quelque-chose d’un brin pédago.
    « Le dur apprentissage du handicap de Ruben » un peu comme un « Patients » de Grand corps malade (en plus beau néanmoins.)

    Mais il a suffi que Ruben refasse du tambourin sur le métal d’un toboggan pour que soudain les sens reprennent le dessus et surtout de l’intérêt.
    Le dernier tiers opère une sorte de synthèse de parcours.
    Il y a eu la vie d’avant. Le choc. La nouvelle vie… Et puis enfin…

    spoiler: …La tentative de retour à la vie d’avant.


    Or là, encore une fois, « Sound of Metal » revient à ses premières forces.
    Le talent pour jouer des cadres, des sons, des dissonances… Et surtout des situations où l’essentiel se trouve dans les silences et les gestes plutôt que dans ce qui est vraiment dit.

    spoiler: Moi par exemple, ce moment dans le lit entre Lou et Ruben, je l’ai trouvé une fois de plus merveilleux. Ils se sont retrouvés. Ils sont heureux. Mais ils ont beau essayer de faire comme avant, plus rien n’est justement comme avant. Ruben a ses implants. Lou est retourné à un look plus sage. Plus de van mais un lit bien douillet. Lou qui se cale bien et qui à besoin d’eau… …Et sitôt Ruben évoque la possibilité de reprendre les concerts qu’il comprend. Elle a beau lui avoir dit oui qu’il a entendu la dissonance. C’est à ce moment là qu’il comprend que le passé est mort ; qu’il est vain de revivre comme avant. Un long silence s’installe avant qu’il puisse enfin le dire… « C’est OK. Lou… » comme un renoncement. Cette scène, une fois de plus, c’est un bijou.


    La musicalité de ce film est tellement limpide que ce dernier aboutit d’ailleurs sur un final certes attendu mais qui présente au moins ce mérite d’un sentiment d’harmonie conclusive qui, moi, m’a beaucoup parlé.

    spoiler: D’un seul coup, le sens manquant qui était perçu comme le sens central et essentiel devient le sens de trop. Il devient le son de métal qui rompt l’harmonie. Et sitôt on l’ôte que tout devient plus agréable. Sans le son, un clocher reste beau à regarder ; des jeux d’enfants restent toujours aussi charmants à observer , la lumière dans les arbres a toujours la même charme envoutant…


    Alors oui. Il y a beaucoup d’évidences là-dedans.
    Mais la partition a eu ce mérite de l’élégance. Ce mérite de l’harmonie.
    Ce mérite de l’émotion.
    Et le plaisir que l’on peut prendre à un spectacle tient peut-être parfois qu’à ça.
    …A cette simple emprise des sens qu’un film est capable d’exercer sur nous.
    Santu2b
    Santu2b

    250 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 décembre 2021
    Premier long-métrage de Darius Marder, "Sound of Metal" fait figure d'incontestable réussite. Un sujet pourtant assez risqué au départ qui porte sur un batteur musical devenant peu à peu sourd. Sans aucun misérabilisme, le cinéaste construit une approche pertinente et subtile de la surdité, misant davantage sur le son lui-même. "Sound of Metal" est une plongée fascinante au sein de l'univers d'un sourd en devenir qui se traduit par un véritable festival de sensations, tour à tour tragiques et terrifiantes. Le film comporte par ailleurs de nombreuses scènes poignantes et d'autres moments chargés d'émotion. Un expérience sensorielle très intéressante et prometteuse, portée par un magnifique Riz Ahmed.
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