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Un visiteur
0,5
Publiée le 26 janvier 2019
assez pénible à regarder sans s'endormir, il ne se passe rien, à part des situations écoulées, vues 10 000 fois au cinéma...les comédiens aussi semblent s'endormir en débitant leurs répliques écrites sans beaucoup d'effort de dialoguiste, il faut dire... image plate, rien de nouveau sous le soleil
Ca commence pas mal, quelques scènes loufoques assez drôles et des personnages auxquels on pense pouvoir s'identifier, et puis c'est la chute, on s'ennuie ferme. Dommage car ces acteurs pas très connus ne sont pas mauvais.
" Ma vie chez James Dean" est un film modeste, mais sous cette modestie se cachent bien des choses; une comédie qui fait mouche d'abord, des clins d'oeil ou hommages aux cinéma à salle unique de nos petites villes ou de nos campagnes ( certes moins nombreuses qu'autrefois) à ces films inclassables des ciné-clubs ou art et essai qui n'attiraient pas grand monde ( qu'on se rassure) celui là n'en est pas un).Un film original aussi :les film concernant le cinéma dans lle cinéma ne sont pas rares, mais celui ci ne concerne pas un tournage, mais avant et après: l'inspiration des réalisateurs et surtout la difficile distribution en salle après parallèlement à une histoire sympathique.Enfin côté carte postale, il vous donnera envie d'aller faire un tout au Tréport, vous rappellera des bons souvenirs et pour ceux qui n'y ont jamais mis les pieds, il donnera envie d'y aller sans que cette découverte ne nuise à l'action, bien au contraire!
Ce film réalisé par Dominique Choisy que j'ai pu voir en avant-première est très bon ! Il m'a en effet beaucoup surpris car je ne m'attendais pas à ce genre de choses. C'est l'histoire d'un jeune réalisateur qui va présenter son film à Tréport mais arrivé là-bas, il découvre une ville et ses habitants tout à fait étonnants. Bon alors, le synopsis ne fais pas vraiment envie, on a l'impression que l'on va assister à un petit téléfilm TF1 du lundi après-midi mais finalement, pas du tout, au contraire, le film s'avère être bourré de surprises ! C'est certes une comédie mais nous sommes loin des films français bien lourds qui n'arrêtent pas sortir depuis ces quelques années, ici nous sommes devant quelque chose de beaucoup plus fin et soigné. Le début peut être en effet assez déstabilisant car il faut s'habituer au style mais une fois que l'on rentre dans le film et que l'on adhère à ce genre de choses, alors c'est un vrai bonheur ! Le scénario est en effet très bien écrit, nous avons toujours cette petite touche d'absurde et qui, sans tomber dans le style Quentin Dupieux, reste toujours très fine, presque inexistante. De cette manière, on croit totalement à cette histoire avec ses personnages hors-normes qui ne nous paraît alors pas du tout impossible. Bon même si on se doute un peu de la fin, la trame est assez imprévisible et nous réserve bien des surprises ! Les personnages sont quant à eux très bien écrits et on arrive à s'attacher à chacun d'eux. En ce qui concerne la réalisation, elle est très bonne, elle met bien en avant les très beaux paysages colorés de cette petite ville de Normandie. Les décors et costumes sont également très bons, de même que la B.O. Du côté des acteurs, nous avons entre autres Johnny Rasse, Mickaël Pelissier, Nathalie Richard et Juliette Damiens qui sont vraiment très bons et très justes dans leur personnage. "Ma vie avec James Dean" est donc un film très surprenant mais c'est surtout une vraie bouffée de fraicheur !
On a l’impression d’être dans un film d’Eric Rohmer avec une pointe de douce extravagance de Jacques Demy et la stabilité loufoque d’Aki Kaurismäki. « Ma vie avec James Dean », nous balade dans la commune du Tréport, au Nord de la France en Normandie. Le jeune réalisateur Géraud Champreux y est venu présenter son premier long-métrage « Ma vie avec James Dean ». Mais par manque de communication et parce que la présidente du cinéma est absente, la salle ne fera qu’une spectatrice. Noyé dans l’alcool le temps d’une soirée, c’est le projectionniste qui le raccompagnera à son hôtel. Ce dernier aura clairement un coup de foudre pour le réalisateur. « Ma vie avec James Dean » entremêle plusieurs histoires de cœur dans cette petite ville qui semble inhabitée. Il y a la réceptionniste de l’hôtel, amoureuse des livres et bientôt de l’animateur de la ville voisine. Il y a la présidente de l’association folle amoureuse d’une autre femme qui ne s’assume pas. Et ce jeune migrant qui ère le jour et la nuit sans but ultime mais avec un sentiment de sécurité. Le cinéaste filme ses acteurs et sa ville avec passion. Toutes les rencontres et situations sont réalistes et un peu rêveuses. Même si elle aurait gagné à être plus courte, « Ma vie avec James Dean » est une parenthèse loufoque, touchante et sincère. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Un climat intimiste et poétique s’installe dans cette peinture aux couleurs sucrées des côtes du nord de la France. Le réalisateur Dominique Choisy nous livre une galerie de personnages touchants et attachants, incarnés avec beaucoup de justesse, notamment par Nathalie Richard, Johnny Rasse et Mickaël Pelissier. Avec une intrigue simple et efficace, Ma vie avec James Dean met en scène un bal masqué de personnages aux prises avec leurs désirs. (lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2019/01/23/ma-vie-avec-james-dean/)
Une agréable fantaisie décalée qui parvient à surprendre malgré les conventions d’un certain cinéma d’auteur français. Sympathique et délicieusement léger, avec une Nathalie Richard irrésistible de drôlerie.
au fil des ces rencontres et des aventures imprévues de notre héros, se révèle un récit plein de fantaisie, d'humour, de tendresse et de poésie. la belle carte postale normande, quelques dialogues succulents, un scénario original et déroutant font de ce film une vraie curiosité.
joli film d'auteur romantique à souhait et très drôle. les personnages sont attachants et truculents . Amours contrariés . Amours blessés . Amoureux transis ... sans oublié les jolis paysages normands et le Tréport en particulier
Un film basé sur des rencontres, les dialogues sont efficaces, et puis la voix et la présence de Bertrand Belin finissent de faire de ce film un objet agréable à regarder.
Après un début un peu lent, cette comédie queer sans prétention nous fait suivre avec malice ses personnages aux cœurs d’artichaut pris dans des tourbillons d’amours contrariées. Et c’est avec grand plaisir que l’on suit ces amoureux dépités tenter de conquérir ou reconquérir l’objet de leur désir – souvent des personnes du même sexe. Malgré quelques maladresses, ce petit film à la tendresse certaine nous offre un moment agréable, où l’on sourit souvent et l’on rit parfois, dans le décor maritime d’une côte normande de toute beauté.
Je n’avais pas vu en Janvier dernier lors de sa sortie « Ma vie avec James Dean » de Dominique Choisy mais je viens de le voir dans le cadre d’un financement participatif pour son prochain film sur un migrant Afghan. J’avoue être surpris par les 12 critiques favorables (des amis et de la famille) ?) mais pour – comme le dit le réalisateur –pour faire un film « exigeant » il convient de ne pas faire « une comédie ou un film d’action américaine ». Alors on prend ① des « je t’aime … non … quoi que » sur le mode homosexuel (le réalisateur dans le film souvent bourré et son acteur puis le caissier du cinéma / une femme gérant à la en veux -tu en voilà 3 petites salles de cinéma (Le Tréport, Crécy en Ponthieu et Quend Plage) avec son amie) ② un couple hétéro inattendu entre la réceptionniste de l’hôtel du Tréport qui lit bien sûr « La mouette » de Tchekhov et un accompagnateur de personnes âgées pour faire des entrées cinéma ③ des poursuites nocturnes la nuit dans le Tréport dignes des Croquignols et ④ un migrant apparaissant de ci de là … qui terminera comme la star d’un film type Bollywood – « Le Maharadja et les mouettes » sic - avec en surfond l’estacade du Tréport avec des gens qui dansent … Vous mélangez tout cela et vous passez 1 h 48 pour rien ! Il y a quelques beaux plans … mais toujours sur des personnes ahuries, quelques bonnes répliques car toujours décalées par rapport à la situation, quelques effets de lumière, mais aussi des plans très lourds avec par exemple la virée en bateau de pêcheur avec un réalisateur blanc et nauséeux et le couple féminin homosexuelle réconciliée se tenant droit à la proue, façon « Titanic ». Le pire est que Dominique Choisy semble mépriser les gens du Tréport (cf. l’accueil au café, les paroles du gardien du casino, le café-crevette … » … et lors de sa présentation il ne comprend pas pourquoi son chef-d’œuvre n’a pas été projeté au Tréport ? Qu’on ne me parle pas d’humour au 3ème degré ou de film volontairement déjanté (comme le superbe « Ma loute » avec Fabrice Lucchini de Bruno Dumont en 2011) … et dernière arnaque racoleuse, oser mettre le nom de James Dean dans le titre.
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18 103 critiques
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2,0
Publiée le 6 août 2020
Lorsque son téléphone est volé par un petit enfant il se rend à son hôtel rencontre son hôte et trouver le cinéma ne sont que quelques-uns des obstacles qu'il doit rencontrer. Rasse est un personnage principal beau et intéressant (particulièrement important dans un film de ce genre) qui suit le courant sans trop d'hésitation. Le jeune Pélissier est ce chiot innocent que tout le monde aime mais son secret et ses répercussions sont balayés. Damiens et Richard sont de jolis personnages secondaires qui apportent continuellement calme et angoisse dans le monde de Géraud. Mais pour 1 heure et 48 minutes, le film est trop long et il est facile de se laisser distraire et de s'ennuyer...
A voir sans hésiter ! Quand Éric Rohmer rencontre Aki Kaurismaki cela donne cette très plaisante comédie amoureuse sur le monde du cinéma. La ville côtière du Treport, qui donne son cadre au film, est merveilleusement mise en scène.