Derniers Avis : Grave - Page 29

Un film franchement nauséabond sur les perversions et les déviations morbides. Le récit truffé de scènes pénibles comme les fêtes débridées ou la musique atroce servie tout au long du film n’aident vraiment pas à supporter trop longtemps ce long métrage largement dispensable.

Grave est un miracle, c'est un miracle que ce film existe, car en connaissant les producteurs français, je n'en connais pas beaucoup qui mettrait de l'argent là dedans, mais bon Grave en lui-même est un bon premier film pour Julia Ducourneau, c'est un film choc et brut, sans concession et qui accroche le spectateur et qui le serre de plus en plus, c'est original et peu vu dans le cinéma français. Les acteurs sont nouveaux et jouent bien, La photographie est très beau et quelques plans me font penser à dario argento. Grave est une réussite et qui marque. 13/20

Qu'est ce que c'est ce film ??????
quel est le scenario?
Ce film se veus subversif mais il ne l'ai pas.
Le jeu d'acteur ben?!?!?!?!,  il n'y en a pas, je ne critiquerai  pas car débutant oblige.

-Les dialogues sont pauvres, ça parle de qui a àpporté le sida. (Un singe, sodom et gomore) avec candom ou sans.

-Un film dirigé pour grosomodo 7000€
-Les cadrages sont dégueulasse,
-la photographie n'en parlons pas.
-l'ambiance y est morbide.
-La musique c'est un peu tout et à la fois rien. J'ai retenu (Je pratique le sexe après la mort ,je m'en fous du 69 je veux juste du 6 6 6 ho" ho" hooo") plutôt marrant.

Le meilleur raccord est celui du protagoniste bouffant le doigt vernis vert de sa sœur.
Bravo ...

Pas mal .
Il y'a de la reflexion mais il n'est pas trop ce que j'attendais , j'aurai aimé qu il y est plusieurs mises en scènes obscures et macabres , un peu de profondeur qui aurait plongé chaque personnage ou famille dans l'enfance .
Mais c'est pas mal et ça se laisse regarder .

Encore un film un peu trop survendu. Je n’en attendais pas spécialement des masses mais l'ensemble est un peu décevant.

Par contre pour un premier long métrage c'est plutôt pas mal même si le film est grave moyen je trouve et ne m'a pas spécialement emballé. Présenté dans la sélection de la Semaine de la critique au 69ème Festival De Cannes en 2016, où il remportera le prix FIPRESCI, pas immérité car c'est encourageant pour la suite.
Au-delà d'une certaine effervescence qui entoure ce film, le sujet du cannibalisme déjà manque de présence limite et n'est pour moi pas assez explicite c'est à dire qu'on nous vend un film gore et on l'a pas vraiment donc le côté choquant on repassera et le côté psychologique n'est pas assez exploré. Sinon comme je le disais pour un premier film d'horreur qui passe aussi par le teen movie et d'autres genres par une réalisatrice française c'est plutôt pas mal donc même si la qualité de l'ensemble de l'œuvre n'est pas exceptionnelle ce n'est pas trop grave.
Un mot sur la BO :*
Elle est atypique et apporte un certain côté malsain par moments mais manque un peu de présence.

Ce métrage, véritable « bête de festivals » nous narre la métamorphose de Justine, jeune fille surdouée un peu mal dans sa peau intégrant une école vétérinaire où se trouve déjà Alexia, sa sœur aînée très délurée. Alors certes, « Grave » parle de cannibalisme comme on a pu le lire ici et là, mais cela va plus loin, cette pratique hors du commun s’apparentant ici à une sorte d’étape-clé dans le passage à la vie d’adulte. Les amateurs de scènes chocs comme dans « Cannibal holocaust » risquent d’être déçus, car ici, même si certaines scènes risquent de heurter les plus sensibles, il s’agit avant tout d’un long-métrage de genre « Coming of age », autrement dit un film qui se concentre plus sur le passage à l’âge adulte d’un ou d’une adolescent(e) avec tous les rites et sacrifices que cela peut comprendre. C’est donc plus axé sur le côté psychologique que sur l’aspect démonstratif, même s’il faut bien « choquer le bourgeois » avec quelques séquences peu ragoûtantes ! Voilà donc un long-métrage qui mérite cette reconnaissance qui lui est faite et qui doit donc être vu car original !

Alors c'est donc ça le film d'horreur Français que tous les festivals s'arrachent? Celui dont la critique unanime ne fait que vanter le génie esthétique, la puissance narrative, la profondeur des interprètes? Et ben mon pote! j'espère que t'es bien accroché là, parce que franchement, tu ne vas pas être déçu du voyage!

Genre jusque là épargné par les nombrilistes du septième art (version oedipe mal réglé de la petite bourge déféquant sur une toile pour attirer l'attention de papa), le gore made in France, après avoir été outragé à maintes reprises par tous les geekos wannabe dont l'expression artistique se résume au pillage jusqu'à la lie des classiques qu'ils vénèrent (ces derniers officiant bien souvent en tant que pigistes dans les revues spécialisées...), voici donc venu le pendant féministe issu de tout ce que la classe Parisienne imbue d'elle même peut produire (Dont les réseaux phagocytent à peu près toute la "culture" du pays), bien décidée à révolutionner l'eau froide histoire de prouver sa capacité à pervertir un peu plus tout ce qu'elle touche, immunisée semble t-il contre un ridicule ici érigé en fausse originalité, la réalisatrice crevant sans doute de peur de n'être cataloguée au final que comme une énième cruche banale à l'obsolescence hype programmée.

Ressemblant à du Virginie Despentes sur bobine, le film de Julia Ducournau ne raconte rien, ne sert à rien, tout au plus se vautre t-il complaisamment dans l'abjecte en guise de cache misère de sa totale vacuité, illustrant un non sens permanent entre spoiler: deux plans de fesse ou de sein gratos
tout en se faisant à la fois le relai de la propagande habituelle pour flatter les uns ( spoiler: Mouvements LGBT, voir zoophile et incestueux si l'on en juge par cette séquence hallucinante d'un chien prêt à laper l'entre-jambe d'une nana se faisant épiler les poils pubien en mode missionnaire par sa propre soeur! Sans parler de la scène de douche..
) tout en crachant sur les autres (Ben les mêmes que d'habitude quoi! Soit spoiler: Les affreux mumus comme l'attestent les remarques particulièrement ironiques sur l'excision, toujours en pleine épilation vaginale entre frangines...
) histoire de rappeler quelques fondamentaux en matière de hiérarchie sociale dans la lutte contre les inégalités ( spoiler: quand intégration rime avec fellation, le rebeu de service prénommé Adrien pour faire plaisir à Eric Zézé, ouvertement gay fustigeant implicitement la pratique religieuse minimaliste consistant à ne pas manger de porc juste après une séquence le montrant se faire vidanger buccalement !
par un autre type).

Confondant allègrement effets spéciaux et effets spécieux, le métrage s'efforce par tous les moyens de choquer son public, quitte à humilier son actrice principale en bizutée docile ( spoiler: allez Garance, vas-y, donne toi à fond, oui c'est ça, mange l'escalope père dodu comme un animal! OUI, c'est bon, tu vis ton personnage, tu es ton personnage!!
) dont la propension à se soumettre à la tyrannie de la réalisatrice (disposant d'elle comme d'un jouet, l'actrice étant tout juste majeure lors du tournage...) en dit long sur le degré de folie narcissique de l'entreprise (ces gens là n'ont-ils pas de parents?).

Parce que franchement, faut quand même voir le spoiler: degré d'immondices
qu'elle fait faire à ses comédien(ne)s (bon alors écoutez, spoiler: j'ai besoin d'un plan où l'on voit une fille lécher les globes oculaires d'un mec. Oui je sais dit comme ça c'est un peu bizarre, mais croyez moi, c'est de lard tout ça et si vous ne le voyez pas, c'est uniquement parce que vous n'êtes qu'une bande d'incultes et que vous ne comprenez pas ma démarche! D'ailleurs, c'est bien pour ça que c'est moi la réalisatrice et vous les figurants! Comment ça j'ai fait une faute à de lard? Et bien non mon cher, j'ai fait exprès justement, c'est l'art du lard!
).

Mais attention, Julia Ducournau n'est pas n'importe qui comme l'atteste sa fiche wikipédia, elle a tout fait dans sa vie, tout ce qu'elle touche se transforme en or! Parce que tu comprends, elle est diplômée de l'université de Columbia! Ah oui quand même, ça calme un peu! Khâgne Hypokhâgne, le tiercé quarté quinté plus du cinéma de la haute société! En même temps, ce n'est pas parce que l'ex présentatrice préférée des enfants Dorothée est allée enregistrer un Album à Memphis que sa musique ressemble à celle du King!)

Pour le reste, dois-je vraiment aborder les non sens scénaristiques (des scènes pour rien spoiler: comme celle-du routier, l'accident de voiture, le cheval filmé au ralenti
wouah c'est profond..), où tout est fait pour aller d'un point A à un point B sans aucune cohérence (ta sœur se coupe le doigt? ben tu le manges logique!) les situations les plus aberrantes se produisant (l'ainée faisant faire le chien à la cadette, comme ça pour rien) sans que cela n'émeuve qui que ce soit outre mesure (et surtout pas une administration universitaire quasi inexistante).

Et puis ce pauvre Laurent Lucas qui semble toujours traumatisé par son Calvaire avec Fabrice du Welz également tourné en Belgique pour le coté "glauque" de l'affaire, question clichés comme tu peux le voir on est au max! (surtout pour un film financé en partie avec l'argent du contribuable Belge!!).[

Quand la vanité le dispute à la complaisance, Julia Ducournau peut se vanter d'avoir réussi à synthétiser les pires tares que la société du copinage et des réseaux peuvent produire en la matière (c'est financé par Julie Gayet les mecs, réveillez-vous!), dans le plus pur esprit des anciennes élèves de la FEMIS (on reconnait d'ailleurs la filiation cinématographique avec Céline Sciamma), dont la capacité à se relayer à la "Human centipede" m'effraiera toujours!

C'est dire à quel point l'heure est extrêmement "grave"...

Je suis un grand amateur de films gore, je peux vous dire que j'en ai vu. Je viens de terminer ce film et je ne me sens pas très bien, il en faut pour qu'un film me choque car comme n'importe quel bon amateur de ce genre de film on sait très bien faire la différence entre la réalité et la fiction. Ce film restera gravé dans ma mémoire. Je ne s'avais pas que c' étais possible que je me re trouve choqué à ce point-là en regardant un film, mais là c'est bien le cas. Néanmoins pour tout grand amateur de films GORE ou plutôt même CHOQUANT je vous conseille véritablement de voir ce film. Il rentre dans la catégorie des films français réussis comme Irréversible, à l'intérieure, haut tension,... Mais apporte véritablement sont propre style ! :

Que ça soit avec le court-métrage "Junior" (puberté, adolescence) ou avec le téléfilm "Mange" (troubles alimentaires en autre), Julia Ducournau a toujours abordé des thèmes communs ou différents de façon décalée, originale ou très explicite comme ici avec son premier film. Je ne sais pas si "Grave" est dans la continuité du court puisqu'on retrouve une nouvelle fois l'excellente Garance Marillier, également présente dans "Mange" dans le rôle d'une Justine, mais la réalisatrice utilise à nouveau certains éléments, mais à un niveau supérieur cette fois-ci et c'est d'ailleurs pour ça que le film fonctionne, car il repousse pas mal de limites. Je pensais voir une simple descente aux enfers, mais en fait, on voit plutôt la métamorphose d'une jeune femme soudainement attirée par quelque chose dont elle a toujours eu horreur. "Grave" a quelque chose d’envoûtant, une approche intéressante, une ambiance plutôt oppressante et le thème est bien traité par contre au niveau de l'histoire, ça aurait pu être mieux pas forcément parce qu'il manque des réponses, mais il y avait peut-être un autre angle à aborder comme on le remarque avec la toute dernière scène du film. C'est un excellent film, c'est violent et gore, mais rien d'extraordinaire non plus et sans aller dans la surenchère par contre, c'est vrai que je m'attendais à quelque chose d'encore plus fou et de plus choquant, mais c'est toujours le problème avec les films qui ont une telle réputation...

Portée par la presse, c’est au final une belle réussite pour Julia Ducournau qui signe son premier long-métrage avec une réalisation simple, maîtrisée et redoutablement efficace. Un thriller psychologique et franchement gore… Le cannibalisme est au rendez-vous ! Retrouvez les 5 bonnes raisons de voir "Grave" sur : mediashowbydk.com

vibrant, perturbant, saisissant, repoussant, haletant... une gifle qui vous retourne l'estomac et dont on ne peut détacher le regard

excellent film de genre. le genre de film qui marque, qui choc, qui s intensifi au fil des minutes. un film gore à la française. les 2 jeunes actrices sont remarquable. un film qui ne se censure pas. bref une belle reussite.

Au vu des critiques de ce film,on peut s'attendre à un film d'horreur exceptionnel.
Au vu de ce film, grave de part son histoire n'emballe pas.
Même si l'interprétation et la réalisation est correct.

Être hanté pendant tout le film par les expressions "les liens du sang" et "les plaisirs de la chair". Pour son premier film, Julia Ducournau parvient, avec une maestria confondante et de manière insidieuse, à introduire le vocabulaire et les codes du cinéma horrifique dans une narration typiquement française. Dès la scène d'ouverture, la réalisatrice démontre un sens de la mise en scène et surtout du cadre d'une puissance organique. Tout à la fois viscéral, sensuel, morbide, moderne, le film trouble, dérange mais émeut aussi car il fait appel au corps dans ce qu'il a de plus intime, au libre arbitre, à la sensibilité en brossant le portrait de l'émancipation et la découverte de la sexualité d'une jeune provinciale. La jeune Garance Marillier explose en nous offrant une palette de jeu multiforme et terriblement engagé accompagné par Rabah Naït Oufella, touchant de faiblesse et de force contenue. A ne pas mettre sous tous les yeux cependant.

Le film de Julia DUCOURNAU est sans intérêt. Le scénario est inexistant, les personnages sont sans relief, les scènes gore sont risibles. On ne sait jamais si on doit rire ou frémir devant certaines situations. Il y avait probablement matière à faire beaucoup mieux avec un thème pareil. "Grave" est finalement un gâchis de très mauvais goût !