AlloCiné
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Récit initiatique inégal mais attachant d’une ado en pleine crise existentielle interprétée par la jeune chipie Léna Magnien.
Un film fidèle à tout ce que j'avais aimé dans le roman de Marie Desplechin. C'est frais, c'est léger et je suis sur qu'une bonne partie de cette belle brochette de très jeunes acteurs est promise à une carrière a la hauteur de leur talent.
Vinz1
« Jamais contente » est un petit film sur l'adolescence tiré d’un roman de Marie Depleschin. Sans cliché, elle évoque cette période difficile de la vie où tout se construit : les premiers amours, la relation avec la famille, l’amitié et aussi le goût pour certaines matières au collège grâce à un bon prof (Alex Lutz, ici excellent). Le tout est porté par de très bons acteurs, aussi bien chez les premiers que les seconds rôles, dont notamment l’actrice Lena Magnien incarnant Aurore, qui semble avoir un truc en plus et sera donc à suivre !
Jamais Contente est la énième histoire d'une adolescente qui n'a rien pour être heureuse mais que personne ne comprend. Mme Deleuze devrait se promener dans une organisation caritative où les bénévoles travaillent des heures supplémentaires pour se rendre compte à quel point les problèmes d'Aurore sont triviaux, égoïstes et pathétiques. Elle pourrait également se promener dans un lycée. Car les étudiants ne font aucune littérature analyse dans ses classes sans parler de "la Princesse De Clèves" de Madame De La Fayette qui est généralement réservée au lycée. Ce n'est que la deuxième année du secondaire tout de même. Cependant on doit remercier Aurore pour son bref résumé personnel du livre. Bien sûr toutes les chansons de la bande originale sont en anglais. La fille qui est chanteuse dans un groupe de rock and roll chante en anglais ce qui est tout à fait invraisemblable, le chant de Noël à la fête de Noël est en anglais. Le tout dernier air du vieux fougueux Mamy Blue est chanté en français, tout de même. Parfois le public ne veut pas être dupé à nouveau avec les malheurs d'une adolescente gâtée et il n'a pas toujours tort...
Bon film, j'ai énormément apprécié la prestation de Léna Magnien, attachante et touchante dont l'interprétation est juste exceptionnelle de justesse.
Énormément apprécié aussi ses rapports avec l'école, dont on voit à quelle point quelques simples paroles d'un prof, fut-il remplaçant, peuvent influencer la vie entière d'un enfant, dans le bon sens ou le mauvais : c'est totalement exact.
Mauvais point : la fin sans aucun qui gâche tout le film. Pire qu'une fin sans intérêt, on peut même dire qu'il n'y a pas de fin du tout. On attend désespérément qu'il se passe quelque chose, un petit rebondissement, un truc... Mais rien désespérément rien...
Ah si un truc : spoiler: Aurore se met du vernis sur les ongles, ce qui est non seulement très moche, mais en plus totalement invraisemblable étant donné que personne ne peut croire qu'un garçon trouve ça beau et propose de qu'elle en mette, encore moins de le mettre lui-même !
Cinq scénaristes, et personne qui ait la moindre idée pour terminer ce film correctement ? C'est vraiment lamentable, rien que pour ça on a envie de demander le remboursement du film...
Énormément apprécié aussi ses rapports avec l'école, dont on voit à quelle point quelques simples paroles d'un prof, fut-il remplaçant, peuvent influencer la vie entière d'un enfant, dans le bon sens ou le mauvais : c'est totalement exact.
Mauvais point : la fin sans aucun qui gâche tout le film. Pire qu'une fin sans intérêt, on peut même dire qu'il n'y a pas de fin du tout. On attend désespérément qu'il se passe quelque chose, un petit rebondissement, un truc... Mais rien désespérément rien...
Ah si un truc : spoiler: Aurore se met du vernis sur les ongles, ce qui est non seulement très moche, mais en plus totalement invraisemblable étant donné que personne ne peut croire qu'un garçon trouve ça beau et propose de qu'elle en mette, encore moins de le mettre lui-même !
Cinq scénaristes, et personne qui ait la moindre idée pour terminer ce film correctement ? C'est vraiment lamentable, rien que pour ça on a envie de demander le remboursement du film...
A CHAT PERCHE. Bienvenue dans l'âge ingrat. Le journal d'Aurore, j'accuse la rage de l'expression, la part d'ombre, muette et fâchée. Quelconque de ma part la parole ne garde mieux que le silence. C'est l'Aurore d'un beau jour, effrontée moins gracieuse que son aînée Charlotte. Le déclenchement de l'apparence et des défauts.
Encore des paroles d'adultes fantasmés dans des bouches de gamins ...Peut être pire que "Du vent dans les mollets" dans le genre ...
Joli film pour jeunes ados, mais pas que. Les acteurs sont dans l’ensemble formidables, mention à l’héroïne, à ses parents, sa grand-mère et son prof de français. Le registre est totalement différent de films tel « La Boum », c’est beaucoup plus frais.
Irritante de prime abord, cette ado mal dans sa peau devient attachante. Une comédie légère et juste qui évite les clichés, exceptés les profs du début du film. Puis l'arrivée de ce prof, parfaitement incarné par Alex Lutz, est synonyme de renaissance pour la gamine mais également pour le film qui semblait parti pour s'enliser.
Un film sympathique, dont l’héroïne principal casse un peu les clichés du genre la belle fille. C'est une fille redoublante et rock, comme en atteste ça reprise de "Beat the Devil’s Tattoo" du génial groupe: Black Rebel Motorcycle Club. Après ça reste un film pour ados, mais force est d'admettre que la jeune Léna Magnien s'en sort très bien, et surtout , Alex Lutz génial en professeur de français qui donne gout à la littérature à cette jeune Léna.
Si les acteurs/actrices ne jouent pas toujours très juste (hormis Alex Lutz) l’histoire est mignonne et on se laisse embarquer derrière la vie de cette "jamais contente" de 13 ans. Un bon moment passé devant ce film
benoitG80
"Jamais Contente" ou comment l'histoire d'une ado mal dans sa peau, peut se révéler être une petite révélation, pleine de bon sens, de vérité, en nous laissant petit à petit complètement sous son charme !
Dans sa famille, Aurore se sent ni plus ni moins le petit canard boiteux, tout en révolution et en provocation.
Et pourtant, elle est bien sûr plus qu'attachante, tout en étant peste et insupportable, rien que par la position qu'elle adopte avec son entourage, où tous sont mal et durement considérés par principe.
D'ailleurs à ce titre, un des points intéressants est l'escalade dans l'incompréhension que crée chacun de son côté et à son insu, comme si une moindre parole irréfléchie et acerbe en entraînait une autre, et ainsi de suite.
À ce jeu, Aurore est intarissable et s'enfonce doucement et presque par plaisir, dans une situation d'enlisement qui guette aussi ses parents, fatigués, dépassés, voire anéantis par le comportement incompris de leur fille à leur égard...
Plus d'un se reconnaîtra dans ces situations inextricables et horripilantes, et en même temps absurdes et drôles avec le recul du temps qui passe !
C'est ainsi un témoignage apparemment banal, d'une relation familiale et de son fonctionnement, qui sous la baguette d'Émilie Deleuze et avec le talent évident de la spontanée Léna Magnien, prend l'allure d'une révélation en devenant un film sensible, délicat, drôle le plus souvent tant les dialogues et les réparties de la petite Aurore font mouche et même bien plus !
Quant aux parents, tous deux interprétés par Patricia Mazuy et Philippe Duquesne, rien a dire sur la justesse de leurs réactions et de leur attitude désemparée comme on le serait exactement à leur place !
Et que dire de la grand-mère dont le rôle incombe à Catherine Hiegel ? C'est un sans faute sur toute la ligne, avec un jeu extrêmement naturel dans toute la complicité et la compréhension qui s'installe avec sa petite-fille !
Alex Lutz fait aussi son petit effet en tant que prof remplaçant, petit déclic bienvenu dans la vie de son élève qu'il saura comprendre et aider...
Toute la difficulté d'éduquer et d'aimer son enfant semble ici on ne peut mieux résumée et décrite, et à ce propos, on ne dira rien sur ce que s'imagine Aurore, véritable obsession dont elle se croit victime, mais qui amène des moments tendus et inattendus d'une d'une drôlerie inénarrable...
Frais, juste, enlevé et touchant ce récit de famille (ou "espèce de famille" !!), à travers la vision qu'en a Aurore est une petite friandise acidulée et même un peu piquante à laquelle on aurait tord de ne pas goûter !
Dans sa famille, Aurore se sent ni plus ni moins le petit canard boiteux, tout en révolution et en provocation.
Et pourtant, elle est bien sûr plus qu'attachante, tout en étant peste et insupportable, rien que par la position qu'elle adopte avec son entourage, où tous sont mal et durement considérés par principe.
D'ailleurs à ce titre, un des points intéressants est l'escalade dans l'incompréhension que crée chacun de son côté et à son insu, comme si une moindre parole irréfléchie et acerbe en entraînait une autre, et ainsi de suite.
À ce jeu, Aurore est intarissable et s'enfonce doucement et presque par plaisir, dans une situation d'enlisement qui guette aussi ses parents, fatigués, dépassés, voire anéantis par le comportement incompris de leur fille à leur égard...
Plus d'un se reconnaîtra dans ces situations inextricables et horripilantes, et en même temps absurdes et drôles avec le recul du temps qui passe !
C'est ainsi un témoignage apparemment banal, d'une relation familiale et de son fonctionnement, qui sous la baguette d'Émilie Deleuze et avec le talent évident de la spontanée Léna Magnien, prend l'allure d'une révélation en devenant un film sensible, délicat, drôle le plus souvent tant les dialogues et les réparties de la petite Aurore font mouche et même bien plus !
Quant aux parents, tous deux interprétés par Patricia Mazuy et Philippe Duquesne, rien a dire sur la justesse de leurs réactions et de leur attitude désemparée comme on le serait exactement à leur place !
Et que dire de la grand-mère dont le rôle incombe à Catherine Hiegel ? C'est un sans faute sur toute la ligne, avec un jeu extrêmement naturel dans toute la complicité et la compréhension qui s'installe avec sa petite-fille !
Alex Lutz fait aussi son petit effet en tant que prof remplaçant, petit déclic bienvenu dans la vie de son élève qu'il saura comprendre et aider...
Toute la difficulté d'éduquer et d'aimer son enfant semble ici on ne peut mieux résumée et décrite, et à ce propos, on ne dira rien sur ce que s'imagine Aurore, véritable obsession dont elle se croit victime, mais qui amène des moments tendus et inattendus d'une d'une drôlerie inénarrable...
Frais, juste, enlevé et touchant ce récit de famille (ou "espèce de famille" !!), à travers la vision qu'en a Aurore est une petite friandise acidulée et même un peu piquante à laquelle on aurait tord de ne pas goûter !
Le film suit les facéties d'une tête à claques d'adolescente mais attachante qui chante comme un ange du blues.
Globalement, le film ça va, si vous parlez français. La meilleure partie du film c'est que les personnages sont vrais mais la trame n'est pas bien pensée. La fin n'a pas de sens, nous sommes très déçus.
Paisen et Guillermo.
Je n'aime pas le film parce que c'est ennuyeux. Le personnage principal est incompréhensible et la trame n'a pas de sens. Il n'y a pas vraiment de fin, c'est pourquoi nous donnons 3 étoiles à ce film.
Alana et Andréa.
Je crois que le film n'est pas bien parce que tout est très faux et le film est très répétitif.
Pépé et Lorenzo.
Paisen et Guillermo.
Je n'aime pas le film parce que c'est ennuyeux. Le personnage principal est incompréhensible et la trame n'a pas de sens. Il n'y a pas vraiment de fin, c'est pourquoi nous donnons 3 étoiles à ce film.
Alana et Andréa.
Je crois que le film n'est pas bien parce que tout est très faux et le film est très répétitif.
Pépé et Lorenzo.
Cinéphiles 44
Jamais contente c’est l’histoire d’une pré-adolescente en rogne contre ses parents et qui ne vit pas merveilleusement bien sa scolarité au collège. Un jour, celle-ci va monter un groupe de rock avec des copains et se produire en public. Pour son premier rôle au cinéma, la jeune Léna Magnien s’avère transpercer l’écran. Si le scénario et la mise en image est quelques fois un peu aléatoire, le film soulève de nombreuses questions sur une période de la vie difficile. Loin des clichés, chacun peut s’identifier à cette histoire parfois drôle et souvent touchante. Remarqué dans des festivals, Jamais contente est une réelle surprise alors que nous nous attendions à un énième teen-movie sans personnalité.
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