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Stefan R
26 abonnés
224 critiques
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2,5
Publiée le 24 juin 2018
OCEAN'S 8 : un peu cliché mais ça se laisse regardé !! En effet, c'est un film de braquage classique (stéréotype du profil des braqueuses, vol de bijoux / diamant) mais sympathique (casting, réalisation) !! De plus, j'ai bien aimé les clins d’œils aux précédents OCEAN'S !
Tres bon film de braquage feminin. Sandra Bullock au top et cette esuipe de fille qui font tout pour recuperer des bijoux surtout celui de Cartier. Une aventure a travers ces femmes. Tres reussis. Une fine equipes de filles.
Alors on sent la trilogie,ocean's 9 et 10,déjà laissez océan tranquille ce film n'arrive pas à la cheville du 11,alors si le 8 ne dépasse pas le 13 arrêtez de massacrer ce que les autres ont fait,un peu comme Ghostbusters spécial je peux pas j'ai mes règles
A force de vouloir mettre du Girl Power dans les gros succès d’Hollywood, on n’en oublierait presque qu’un film de casse c’est avant tout un scénario et du suspens. G.Ross a oublié cela en filmant presque une comédie et en tombant dans le cliché de ce genre de film. La soupe de navets n’est pas loin malgré le casting prestigieux.
C'est pas mal mais je suis un peu déçue je m'attendais à mieux tout est trop travaillé cousu de fil blanc j'ai eu du mal à reconnaître Sandra Bullock et Cate Blanchett peu être le bistouri ? pas trop de suspense il faut la black l'asiatique et l'hindou de service , je ne me suis pas ennuyée pour autant mais ça ne vaut pas la série masculine et manquait un peu de suspense
Sans tomber dans le manichéisme de la revanche des sexes médiatisée à outrance, le renouvellement de la franchise par un casting 100% féminin aurait pu constituer un joli pied de nez à l’ « Homo Weinsteinus » et décrypter en filigrane la part masculine et féminine du pouvoir, leurs rapports à l’opulence et l’avidité. Au lieu de ça, Ocean’s 8 nous offre un film de braquage honnête, reposant sur une intrigue simple et efficace, sans atteindre toutefois la maestria visuelle et scenatistique de la trilogie Danny Océan, réalisée par Soderbergh. Les actrices sont impeccables, à l’exception de Rihanna qui sans être mauvaise et inutile ne dégage pas grand chose. Le gros manque vient toutefois de ce qui a été dit au-dessus : la profondeur et l’esprit critique. Là où Soderbergh restituait dans une imagerie toute personnelle sa fascination pour le clinquant et son goût du cérébral, Gary Ross reprend les mêmes effets pour n’aboutir qu’à une série d’effets stylistiques assez superficiels. Comme pour rassurer maladroitement les fans de la premières heures en assurant que nous sommes bien dans la même franchise malgré le changement de casting ou pour légitimer son existence après l échec cuisant de la version féminine de Sos fantômes. On aurait pu s’attendre à un film audacieux. En ressort un film convenu mais divertissant à regarder.
Waouh ... Déjà, le casting - exclusivement féminin - craignait avec en tête d’affiche Sandra Bullock (no comment) et une histoire complètement rincée à la lignée incertaine et très lointaine ("Ocean’s Eleven" est quand même sorti il y a 17 ans ...). Malgré quelques soubresauts finaux (mais évidemment prévisibles pour ceux qui connaissent les rouages des volets précédents), le film ne casse pas trois pattes à un canard. Extrêmement limité donc ...
Un pale remake féminin de la séries des Ocean....oui d'accord, c'est pas un remake, mais ça y ressemble fortement non?...des clins d'oeil à la première trilogie certes, mais pour le reste, c'est bien décevant! Bullock fait du Clooney, Blanchett fait du Pitt, tout ça en moins bien, bref, on s'ennuie et c'est ennuyeux!
Film Creux, actions et rebondissement déjà vus mille fois, actrices complètement refaites et trop maquillées ... pathétique ce film. Pure perte de temps. Dommage.
Avec cette production en forme de spin-off à l’illustre saga des braqueurs charmeurs initiée par « Ocean’s 11 » - et suivie de ses deux suites - on surfe clairement sur la vague de féminisation à outrance de licences cinématographiques connues, comme a pu le faire le remake au féminin de « S.O.S. Fantômes » il y a deux ans. Si on pousse l’analyse à son paroxysme, on pourrait également trouver une corrélation avec le mouvement féministe et protestataire #metoo due à l’affaire Weinstein. Mais ce n’est que supposition, dans tous les cas cet « Ocean’s 8 » est dans l’air du temps et il est toujours agréable de voir la gente féminine prendre les rênes d’une grosse production surtout avec un casting aussi alléchant. Une distribution où d’ailleurs aucune actrice ne tire trop la couverture vers elle. Même les plus connues ne vampirisent pas l’écran, laissant de l’espace aux autres. Elles minaudent juste comme il faut, s’amusent toutes et nous avec, Anne Hathaway étant la plus délicieusement drôle en fausse bécasse.
Il y a tout de même un problème de rythme au démarrage caractérisé par une intrigue qui patine un peu la première demi-heure. Mais, ensuite, le film prend son envol avec classe et ne nous lâche plus jusqu’à la dernière minute. Si tout cela est attendu et prévisible, on ne peut nier qu’on prend un plaisir certain à suivre les arnaques de ces huit femmes dans le milieu de la joaillerie, féminisation oblige. La trame d’un casse est suivie à la lettre et ne déroge pas aux règles du genre avec la présentation des personnages, la préparation dudit coup, son exécution et un petit rebondissement pour que le spectateur ait le sentiment d’en avoir pour son argent. Il est ici assez facilement décelable mais n’en demeure pas moins jouissif. Et si Gary Ross n’a pas la fougue d’un Steven Soderbergh derrière la caméra, tout cela est mis en scène avec assez de panache et de chic pour être en adéquation avec le sujet et ne pas être taxé de paresseux.
Mais « Ocean’s 8 » fait surtout oublier le très mauvais souvenir laissé par un « Ocean’s 13 » poussif, redondant et lassant. Bien sûr, il ne faudrait pas abuser de la tolérance du public en nous resservant une suite au spin-off… Mais c’est fort probable en cas de succès. Hollywood reste Hollywood avec ses voies parfois impénétrables mais souvent mercantiles. Le long-métrage remplit totalement son contrat de divertissement mainstream, parfait pour un samedi soir de détente entre ami(e)s. Et si cet opus n’apporte pas réellement de valeur ajoutée, c’est fait avec assez de savoir-faire pour ne pas nous ennuyer une seule seconde. L’apogée du long-métrage étant la scène du vol, réalisée avec soin et d’une fluidité qui confine à la perfection. Quelques notes d’humour et quelques références aux trois autres épisodes finissent de satisfaire notre exigence sans pour autant en faire un film inoubliable, on vous l’accorde. Mais on prend gentiment notre pied sans se prendre la tête et c’est déjà pas mal sachant surtout que ça aurait pu être bien pire.
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La version glamour de OCEAN avec une équipe sexy et efficace de braqueuse. Les actrices sont parfaites le scénario est bien huilé j'ai passé un agréable moment
Un divertissement léger dans la lignée de la série des Ocean’s : une intrigue tirée par les cheveux mais plutôt sympathique pour dérober un collier à la valeur inestimable, une intensité dramatique relativement faible, et au final une œuvre qui mise davantage sur son casting que sur le reste. La version tranquille du film du Dimanche soir, ni désagréable, ni inoubliable.