Derniers Avis : Paddington 2 - Page 3

Paddington a une famille merveilleuse et s'est fait des amis un peu partout là où qu'il aille! En 2017, il revient dans une nouvelle aventure! Affronter le monde du travail pour payer un livre très spècial à sa tante Lucy centenaire n'est pas chose facile pour cet ours portant un chapeau rouge! Un malentendu et voilà notre pauvre Paddington derrière les barreaux pour le vol d'un livre qu'il n'a pas commis [...] La marmelade n'attend pas et l'ours est toujours aussi rusè et craquant! On n'est en terrain connu mais on se laisse prendre à cette touchante comèdie policière pour petits et grands qui alterne le premier et le second degrè! Brendan Gleeson qui ne fait rien pour personne pour rien est aussi amusant que Hugh Grant en odieux acteur sur le retour! De toute èvidence, cette suite de "Paddington" s'imposait avec un choix constant d'inventions et de couleurs! Vraiment bien...

ayant détester le premier (films pour gosse, aucun messages et gage sur gage avec un ours agaçant et des personnages nul). j'ai été énormément surprit de sa suite. certes il y a toujours ces moment lourd mais le films se rattrape avec des scène touchante (notamment dans la prison, la fin et la scène dans le magasin). le films est très jolie, apportant certain scène bien faites. dommage que le films est un peu trop de scène nunuche fait pour les gosse. bref la plus grosse surprise moi qui m'attendait à la même chose que le premier. j'ai passer un bon moment note : 13/20

L'ourson préféré des enfants revient dans un second volet, toujours aussi savoureux ! Le casting original est toujours au bon niveau, Hugh Bonneville est parfait, Hugh Grant irrésistible dans son rôle de méchant. Guillaume Galienne n'est jamais aussi bon que lorsqu'il double l'ourson (en vo c'est Ben Whishaw) il y a de l'humour, de l'action (plus que dans le premier), de l'émotion, de nouveaux personnages amusants, non sincèrement Paul King une suite jubilatoire et réussit ainsi le même exploit que lors de la sortie du premier film ! Les fans de l'ourson seront conquis.

Au même niveau que le premier volet, ce qui est assez rare pour le faire remarquer.
Paddington continue son apprentissage de la vie des humains et découvre les bons et surtout les mauvais côtés.
Le côté pédagogique du film est palpable sans pour autant envahir tout le film.
A noter la présence d'Hugh Grant absolument délicieuse et hilarante.

Un excellent film pour toute la famille. Une bouffée d'air frais avec un petit ourson attachant et rempli d'énergie mais sans tomber dans le côté gnangnan.
Un seul conseil : foncez sans hésiter !

Ce film est sympathique. Les images sont jolies et l'histoire ne manque pas de fantaisie et de bonne humeur. On passe un bon moment en famille.

Excellent film ,très bien réalisé avec de belles musiques.Je le conseille vraiment pour les petits et les grands!!

Je veux l'écouter
😊s'il vous plait 😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😐😐😁😁😁😐😁😁😂😂😂😂😂😂😂😂😊😉😊😉😊😊😊😊😊😊😊😉😉😮😊😉😊😉😊😉😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😄😊😄😄😄😄😄😊😄😊😄😊😊😊😊😊😊😀😀😀😀😀😀😀😀😀:-) :-) :-) :-) :-) :-) :-) :-) :-) :-) :-) :-) :-) :-) :-) :-) :-) :-) :-) 😃😃😃😃😃😃😃😃😃😃😃😃😁😁😁😁😁😊😊😄😄😄😄😄😄😄😄😄😄😄😄😄😄😄😊😊😄😄😊😊😊😊😊😊😊😊 spoiler:

Le premier « Paddington » dégageait une candeur et une innocence rafraîchissante qui touchait petits et grands. Cette suite place la barre encore plus haut avec une mise en scène inventive et poétique. Il suffit d’une balade en plan séquence dans un livre d’images pour se retrouver transporté dans un film que ne renierait pas Wes Anderson de par sa photographie élégante et lumineuse. C’est un véritable festin artistique pour les yeux des plus petits comme des plus grands. On notera en passant que l’animation de Paddington est toujours aussi réussie et arrive à s’intégrer dans un Londres filmé avec autant d’amour que l’on ne peut s’empêcher de vouloir (re)visiter la ville.
L’intrigue, simple au départ, se suit avec le plus grand des amusements et fonctionne autant dans son orientation humoristique que dramatique. Tout en appelant à une plus grande tolérance et compréhension envers les gens, le film accumule des instants hilarants le tout sans appui forcé tel que certaines personnes aiment le faire dans des films familiaux à la qualité aussi basse que leur ambition. Le tout profite d’un premier degré assumé dans l’écriture de ses personnages, sur le fil de la parodie mais ne l’atteignant jamais, faisant marcher au mieux leurs interactions. Ce choix de direction d’acteur se retrouve en Hugh Grant, que l’on n’avait plus vu aussi dynamique et drôle depuis un moment, toujours proche du surjeu mais conférant assez d’épaisseur à son rôle pour éviter de tomber dans la bouffonerie de bas étage.

Nouvelle preuve du merveilleux que peuvent atteindre les productions familiales, « Paddington 2 » est une sucrerie british qu’il est impossible de ne pas aimer. Encore plus qualitative que son prédécesseur, cette suite fait partie de ces longs-métrages qui donnent le sourire et l’envie de les revoir encore et encore sans en être fatigué. À découvrir absolument avec un regard d’enfant pour retrouver une candeur nécessaire en ces temps de cynisme et de défaitisme social permanent…

Je préfère ce Paddington 2 qu'au premier car l' humour y est plus au rendez-vous est ces ce que j'aime

Ce dessin animé, plein d'humour et de poésie donne un sacré coup de fraîcheur, l'humour british en plus ! Pas mal du tout !

Une suite digne du premier épisode, pleine de poésie et de grâce naïve, aussi bien par son scénario que par sa jolie mise en scène. Après le thème de l’intégration, c’est plutôt celui des préjugés et du rejet qui est traité ici, enfonçant le clou d’une métaphore de l’immigration plutôt subtile, entre lucidité et optimisme entêté. Le dernier tiers est un peu trop survolté et poussif pour un public adulte, mais ne gâche rien au plaisir que procure cette petite fable inoffensive et intemporelle, dans un Londres de carte postale (ou plutôt de pop-up book).

J’ai l’impression que pour certains films - pour la majorité d’entre eux, en fait - une suite ne s’imposait absolument pas, que sa seule utilité est de grappiller quelques billets supplémentaires en capitalisant sur la sympathie accumulée par le premier film ; qu’il ne fait que reprendre, sans l’émerveillement de la découverte, les ficelles de son prédécesseur : ces suites qui tirent sur la corde finissent par endommager la bonne impression que j’avais d’un projet, alors que j’aurais conservé un souvenir ému d’un one-shot. Tout cela est ridicule, évidemment : on ne tire pas plus la corde avec Paddington qu’on ne la tire avec n’importe quel Avenger, ou avec n’importe quel franchise d’animation américaine : on la tirerait même moins, vu qu’on en est tout de même pas encore au stade du spin-off sur le chien de la famille Brown ou du préquel avec l’oncle Pastuzo et la tante Lucy. C’est même d’autant plus ridicule que ‘Paddington 2’ est indiscutablement une suite de bonne qualité : moins naïf dans sa découverte des merveilles de Londres, l’ourson conserve quand même son côté gaffeur et ingénu, y compris en prison où il se concilie les bonnes grâces des taulards en les initiant à la marmelade d’orange. Les acteurs s’en donnent à coeur joie : en dehors des têtes connues, on découvre Brendan Gleeson en brute au grand coeur ou Hugh Grant en acteur minable et vindicatif, il y a de jolies idées de mise en scène, comme la découverte de Londres à travers un pop-up book et quelques clins d’oeil cinéphiles pour adultes...sans oublier que Paddington et ses aventures restent foncièrement attendrissants sans souffrir d’imbuvables excès de “mignonitude”. Alors oui, pour une raison ou pour une autre, j’aurais quand même préféré que Paddington demeure un phénomène unique, une petite perle égarée au milieu d’un océan de productions familiales lénifiantes et énervantes. C’est donc une note de raison que je me sens obligé d’attribuer au petit ours, qui n’a vraiment rien à se reprocher : après tout, ce n’est pas comme si Paul King et son équipe avaient imaginé les péripéties, les gags et les prises de vue en pensant à moi.

quel plaisir de retrouver cet ours adorable.
un deuxième opus encore mieux réussi avec une bonne histoire.
Pour les petits et grands

Paddington, s’il a eu du mal à s’intégrer chez les Brown (et notamment par le père de famille), et dans le voisinage du quartier où ils résident à Londres, est désormais un ours heureux en Angleterre, n’oubliant pas pour autant sa brave tante Lucy, restée au Pérou.

Fort de sa nouvelle expérience de vie, il souhaite désormais s’émanciper et gagner sa vie en travaillant, notamment afin d’offrir à Lucy un beau cadeau pour son anniversaire : un magnifique livre pop-up animé de Londres, elle qui n’a jamais pu voyager et visiter la capitale britannique. Une des scènes du début, notamment, est très réussie lorsque Paddington feuillette le pop-up, et où il imagine sa tante Lucy, en escapade à Londres auprès de lui.

Dès lors, Paddington enchaine les petits boulots : coiffeur, laveur de vitres… Désireux de bien faire, mais maladroit, il finit avec sa naïveté touchante d’ours, par se faire, malgré lui, des ennuis, en étant accusé, à tort, d’avoir volé le livre pop-up chez l’antiquaire… spoiler: Car, si l’ours a eu bien du mal à se faire accepter des humains, il n’a pour autant pas besoin d’être « leur semblable » en ce qui concerne le fait d’être jugé et d’être emprisonné, alors même qu’il est innocent…


Mais Paddington, comme à son habitude depuis son arrivée à Londres, va finir par s’intégrer et devenir indispensable en prison, grâce à sa gentillesse, à son amabilité et à sa générosité : l’ours a insufflé un peu de joie et d’humanité, parmi les prisonniers.
Ce deuxième opus, alternant tendresse, émotion, aventure et comédie, ne cesse de retranscrire les différentes émotions traversant Paddington : nostalgique, il écrit, à chaque moment de blues, à sa tante Lucy, comme si une part de lui, une partie de son cœur, était restée en Amérique du sud. Ce malgré son intégration désormais réussie à Londres et au sein de la famille Brown, tous les efforts de cette derrière pour faire de lui un membre de la famille à part entière, et l’attachement profond de Paddington envers sa famille adoptive. Drôle aussi, souvent bien malgré lui, donnant des scènes cocasses et hilarantes, lors de ses essais chez le coiffeur ou comme laveur de vitres.

Lorsque la famille Brown « rate » la visite de Paddington en prison, ce dernier, se sentant « abandonné », nous donne droit à une scène poignante lorsqu’une de ses larmes fait pousser des plantes et où il s’imagine au Pérou avec sa tante Lucy. La nostalgie et la sensation de déracinement reviennent à chaque sentiment d’abandon et de tristesse passagère que ressent l’ours.

Si la série des « Paddington » est parfois moquée, décriée de par sa « simplicité » prétendument évidente, il n’empêche que ce deuxième opus est loin de se contenter des facilités du genre : si tout semble si facile pour Paddington, aujourd’hui apparemment heureux en Angleterre, les moments de nostalgie, de vague à l’âme ne sont pas rares, et le moindre sentiment d’abandon, même minime, suffit à rouvrir la plaie béante provoquée par la séparation d’avec sa tante et le manque de son pays d’origine. Le besoin d’un retour aux sources, de retrouver ses origines se fera-t-il sentir pour notre brave ours, et cela sera-t-il le propos du troisième volet de « Paddington » attendu en 2020 ? À suivre…

Mon analyse complète sur mon blog : reves-animes.com