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Sebastien s
11 abonnés
352 critiques
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2,5
Publiée le 8 octobre 2019
Idée intéressante qui traite des problèmes actuel de société et de pouvoir agroalimentaire, Je n'ai pas aimé la mise en scène grossière et pseudo marrante .
J'adore ce film. Superbe histoire: touchante, dingue, loufoque... Les effets spéciaux sont fantastiques, on croit a ce "super-cochon"...une fin magnifique...je vais donc regarder Parasite ( pour dire la vérité, j'avais hésité.mais comme c'est le même réalisateur ).
Film assez surprenant qui ne paye pas de mine au premier abord mais qui se révèle être très bon. Une histoire assez classique certes mais c'est clairement le jeu des acteurs qui permet de faire la différence. Quelque part, ils subliment le film. La mise en scène est efficace. Pas mal d'émotion avec ce film.
Un film qui tente de montrer d'une façon assez disfonctionnelle, les méthodes de l'élevage avec des créatures ignoblement laides... C'est d'un ennui éprouvant...
Je pensais que c'était un film pour enfant mais pas du tout c'est un film du genre dramatique qui aborde un sujet sensible celui de l'élevage intensif de cochon. On enlève un cochon géant du nom de Okja à une petite fille qui a grandit avec l'animal depuis 10ans
Une satire un peu excessive, à l’image du jeu calamiteux de Jake Gyllenhaal, où tout le monde (capitalistes, médias, militants écolos, policiers, opinion publique) en prend pour son grade. Même si l’univers est original, le scénario reste relativement banal, un peu trop bavard dans sa première moitié et finalement peu efficace dans sa dénonciation. Même la réalisation est moyenne, malgré les moyens déployés par Netflix. Le plus mauvais Bong Joon-Ho.
Le synopsis, une multinationale lance un programme scientifique pour créer des « super-cochons » en implantant des élevages test aux 4 coins du globe. 10 ans plus tard on retrouve un super-cochon, Okja dans les montagnes coréennes qui vit la belle vie avec son amie humaine, mais un jour Okja doit être amené à New-York. L’idée de départ qu’est la maltraitance animale, et sa souffrance dans les abattoirs est intéressante et plutôt originale mais patatra tout tombe à l’eau…
Malgré une réflexion sur la maltraitance animale en abattoir, le film gâche toute sa morale avec une fin heureuse.
Le scénario se montre bourré d’incohérences spoiler: (A la fin on voit plusieurs milliers de super-cochons amenés à l’abattoir alors qu’ils sont sensé être une centaine, après tout ce n’est qu’un programme expérimental a la base) et est très premier degré qui en toile de fond amené la pseudo morale anti capitaliste de manière maladroite. On nous fait passer l’élevage d’animaux pour de camps de concentration comme si l’animal était finalement qu’un humain. Mais…. STOP ce sont des bêtes d’élevage
De plus, les personnages sont ultra caricaturaux et grotesques, les propos tenus par ces derniers sont simplistes et manichéens.
Sur le plan technique et visuel, on remarque une jolie photographie, des plans et décors vraiment sympa, par exemplespoiler: la jeune fille arrive à Séoul et fait demi-tour dans les escaliers, vêtus de sa parka rouge allant à contre-sens du reste de la population gris-bleutée , comme pour marquer son décalage avec le reste du monde.
La première partie avec toutes les scènes dans la campagne coréenne est vraiment jolie, les paysages, la beauté de la faune et de la flore. C’est très nature et ça fait du bien aux yeux avant t’entamer le reste du film avec des plans franchement très louche.
Mais ce n’est pas tout, les choix musicaux sont souvent inappropriés, parfois même hors sujet et il est très difficile de s’attacher aux différents personnages tant leur caractère, psychologie est lisse et sans aucune subtilité.
En somme, Okja aurait pu être très prometteur et très parlant aux jeunes public qui est une thématique très actuelle et universel avec s’appuyant sur la sensibilité et le cœur de la petite Mija mais la longueur du film (2 h) avec une propagande pro-végan à outrance avec des coupes publicitaires pour Apple ont rendu le résultat plutôt morose. Le film a fait parler de lui parce que Netflix était derrière.
un film émouvant et fort en émotion avec des petites touches d'humour parfois tout en passant un message fort, qui vous fera regarder votre environnement autrement. Petit bémol au niveau de certains personnages que je trouve lourd inutile et cliché comme la sœur mirando ou encore la secrétere.
Okja réaliser par Boog Joon Ho se révéle être un très bon film neflix mêlant aventure, suspense, drame et même de la SF. Le lien fusionnel entre la petite Mija et okja est extrêmement poignant et touchera quiquonque ayant un coeur. Les acteurs sont tous bon expté Jack Guillenhall doublé (en VF) par le doubleur de James mc Avoy, je trouve son personnage assez ridicule. Il faut par contre souligné le talent indégniable de Seo huin Ahn l'actrice jouant Mija qui est tres touchantes. Le film nous fait réfléchir sur plusieurs sujets actuels notamment le sujet principale: l'abattage industriel. boog joon ho nous présente une nouvelle fois des personnages opposés qui devront se faire face un moment ou un autre du film (de facon pacifique ou violente). En conclusion je vous conseil donc d'aller voire se film.
En voyant l'affiche et l'histoire je me suis dit "tiens un film à la con", puis j'ai lu les critiques et me suis dit que ça avait pas l'air si mal et ai testé, et en fait si c'est bien un navet, l'histoire est totalement absurde, les personnages à la fois insipides et caricaturaux (oui une prouesse d'avoir réussi les 2 en même temps), les scènes ne prennent pas car improbables, un peu comme dans les dessins animés ou ils résolvent des situations par des leviers abracadabrans sortis de nul part, bref je ne comprend pas du tout d'ou sortent ces 4 étoiles c'est à la croisée entre Dumbo et scoobidoo
Un film qui a fait un certain tabac à sa sortie avec son sujet et ses personnages, s’attaquant à l’agroalimentaire et aux OGM et dénonçant leurs pratiques. Enfin ça c’est la deuxième partie du film. Le début n’est pas du tout dans le même contexte et vient monter la relation entre une jeune fille et son animal domestique (super-cochon génétiquement modifié) un peu trop humanisé (scène du secours dans la montagne par exemple). Et c’est plutôt réussi avec un film coupé en deux : drame, sentiment, relation à la campagne sur la première partie, action et enquête à New York sur la seconde. Cependant ça reste très convenu, classique ; les personnages sont corrects mais les acteurs pas tant que à l’image d’une Tilda Swinton foldingue en PDG (sérieusement ?) ou d’un Jake Gyllenhaal inexistant… La critique des OGM et de l’élevage est poignante, mais en même temps il n’y a aucun contre argument dans le film. Il va exclusivement dans ce sens, sans donner d’autre solution ou de réfléchir sur le problème dans sa globalité. Du coup oui on est touché puisque c’est le but du film, mais jouer exclusivement sur cette sensibilité n’aide, en réalité, pas tant que ça, la cause animale. Enfin, on dira que visuellement c’est très réussi, en plus d’être original et que c’est divertissement, au moins le principal.
Un bon film sud-coréen (financé par les américains de Netflix, que nous pouvons remercier au passage), rempli à la fois de beaux sentiments tout en ne cachant pas la réalité de l'industrie agroalimentaire, dont il noircit à peine les traits. Il a contribué à me faire encore un peu plus apprécier le cinéma sud-coréen. Cela dit, même si j'ai passé un agréable moment à le regarder comme je viens de l'écrire, je le trouve quand même un peu surnoté. Ce n'est pas non plus le film de l'année. Okja est à recommander à tout le monde, quel que soit l'âge, malgré quelques scènes (notamment dans le laboratoire) qu'il serait bon d'éviter aux moins de dix ans.
Le dernier film de Bong Joon-Ho s’apparente à une fable écologique sur fond de critique de la société de consommation et des multinationales prêtes à tout pour s’enrichir. Si côté acteurs ça marche pas mal hormis Jake Gyllenhaal en totale roue libre et qui en fait trop, les effets spéciaux sont bien faits et il y a très peu de temps morts. Ce qui est gênant c’est ce côté comique du métrage renforcé par une sorte de musique tout droit venue des films de Kusturica et qui font passer ce plaidoyer pour une simple comédie à la limite de la farce alors que le sujet était sérieux. Reste que ça peut de fait se regarder en famille et c’est déjà pas si mal !
Pour moi, Okja échoue à faire passer son message philosophico-écologique. Il ne fait que critiquer de façon superficielle et gentillette notre société de consommation (la grosse entreprise mercantile est trop caricaturée à travers les personnages joués par Tilda Swinton ou Jake Gyllenhall) ou la souffrance animale (c'est pas parce qu'on voit spoiler: une scène avec un gros cochon fort sympathique dans un abattoir qu'on arrive à établir un point de comparaison avec les conditions de mise à mort dans les milliers d'abattoirs du monde réel). Pour moi cette réflexion sur notre monde doit être appréciable seulement des plus jeunes et à classer avec les réflexions simplistes du genre "la guerre, c'est mal" mais cela n'apportera aucune lumière à un adulte plus blasé. Reste la forme du film, une photographie intéressante, qui peut plaire....même si j'ai du mal à rejoindre ceux qui donnent une note quasi-parfaite à ce film "engagé", mais que d'un pied (de cochon).
Il y a de quoi devenir végétarien... Okja est la claque engagée dans le bien-être animal qui nous fait souvent sortir les mouchoirs, tant son "gros cochon" numérique révèle un capital sympathie très puissant. Le final est déchirant, écœurant de voir la maltraitance infligée à ces êtres vivants (malgré le côté imaginaire de ces créatures, on ne peut s'empêcher de penser à tous les vrais "Okja" du quotidien, et là, ça fait mal). La petite fille est brillante dans son rôle, les méchants de l'industrie alimentaire consumériste (Tilda Swinton et Jake Gyllenhall) donnent des envies de meurtre (bravo aux comédiens), les seconds rôles sont soignés (Paul Dano notamment, qui enchaîne décidément les bons choix de films), le film se regarde surtout en VO pour profiter pleinement des accents des acteurs venus des quatre coins du globe, et l'engagement du film ne devient jamais trop lourd ou moralisateur au point de vouloir éteindre son écran pour se sentir mieux. Au contraire, tout au long du film, on vous répètera en sous-entendus que le seul vrai acteur de ce film (que l'on souhaiterait ne jamais voir devenir une réalité mais qui l'est malheureusement déjà), c'est vous. Une très belle mise en scène, bien interprétée et au final déchirant, une prise de conscience qui vous crie : par pitié pour tous les vrais "Okja", n'achetez que du "certifié bien-être animal".