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Un visiteur
5,0
Publiée le 28 juillet 2020
Un film poignant, reflétant avec un tel réalisme les maltraitances animales. Utiliser la fiction pour arriver à toucher le plus grand nombre sans tomber dans la leçon de morale est un choix logique et un des meilleurs. Un film à voir au moins une fois dans sa vie.
Comme je l'ai déjà dit. Les films coréens sont d'une prouesses esthétique ! Tout ce film est axé sur ça ! Cela rend le film mignon et touchant ! Mais je dois avouer que je me suis ennuyer à certains moments à cause de certaines longueurs ! Mais cela reste très beau à voir.
Alors pour commencer les points positifs sont qu'il traite d'un sujet sensible et tabou qui n'est pas assez développé dans le cinéma, la mise en scène de certains personnage est parfaite (je pense notamment au "papi"), les acteurs correspondent parfaitement avec leur rôle, les effets spéciaux ne sont pas dégueulasses du tout, et le fait que j'ai vraiment ressenti la "patte" du réal est très agréable. J'ai aussi vachement apprécié le contraste entre les 2 univers qui se rencontrent (montagnes~pauvres et ville~riche) et certaines scènes sont pas mal (notamment la course poursuite du début et la scène de fuite de Mija avec les pièces) > Sinon quelques points négatifs (y en a beaucoup) malgré que les acteurs correspondent à leur rôle je ne trouve pas qu'ils ont un jeu exceptionnel, les relations amicales entre les 2 personnages principaux ne sont pas assez approfondies (aucune émotion à une éventuelle mort), l'histoire n'est pas vraiment prenante, les plans nous "invitent" pas à rentrer dans le film, à quelques moments le scénario n'est pas ouf (certaines scènes auraient mérité des ext-nuit pour plus de suspense ou être plus dans la vision sombre du film),etc... Et j'en passe... > Bref ce film n'est pas excellent comme beaucoup le disent mais n'est pas mauvais non plus il n'apporte rien de particulier à l'univers cinématographique de Bong Joon Ho et est très passable
Ce film est vraiment incroyable. Je suis particulièrement touché par la cause défendu par Bong Joon Ho dans cette œuvre et dans bien d'autres.
Le scénario bien que simple sur le papier nous accroche par les milles péripétie ponctuant le récit. Les personnages tous plus excentrique que les autres transpirent pourtant d'une humanité déconcertante.
Le film peut nous faire pleurer et créer des phases de joie immense, malgré la créature en image de synthèse Okja reste une créature dégagent des émotions exceptionnelle. De plus, le film nous dégoute et fait réfléchir ceux à la fois sensible à la cause animal et de surconsommation et ceux qui ne le sont pas. L'ami qui j'ai montré le film a remi en doute sa manière de consommer et aujourd'hui encore travail à l'améliorer, le point de départ est Okja.
Mention spécial à la photographie et aux lumières qui nous fait vivre la beauté des montagnes coréenne, le grandiloquent de la ville et la terreur des abattoir.
On fini le film sur un sentiment de douce amertume, car même si Okja est sauf, le reste souffre encore.
Que l'on soit sensible à cette cause ou non le film ne laissera aps de marbre.
Je ne comprends pas quel intérêt on peut porter à ce film. Les acteurs sont ridicules, les dialogues inconsistants, le scénario pour gamin de moins de 5 ans. Seuls les effets spéciaux sont de bonnes qualités. Quelle déception !!!
bon film très touchant et du bon jeux d acteur un des projets les plus sérieux de Netflix meme si on dirait une mauvaise propagande vegan abuser se qui ne m a pas fait remettre en question car c est trop forcer et sa deforme pas mal la réalité même si sa explique bien la situation avec les organisations comme la peta et les abatoir mais se film est très touchant rare film a m avoir fait pleurer dans se film c est la société qui est le méchant se qui est pas forcément originale mais c est très bien réussi j ai bcp hésiter entre 3 et 3.5 étoile mais je le finalement un 3 car se film est touchant mais le message a énormément de mal a passer
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5,0
Publiée le 11 juin 2020
Je n'aime pas le réalisateur, je ne suis pas trop cinéma coréen mais quand un film est un chef-d'œuvre je m'incline. Okja est le genre de film qui vous fera rire une minute, pleurer la suivante puis lever les sourcils. C'est tellement rafraîchissant de voir un film non conforme à des points d'intrigue faciles et s'y plier comme ce film aurait pu le faire tant de fois. Avec des risques de tonalité et d'histoire qui portent toujours leurs fruits. Cela aide à maintenir un ton satirique solide tout au long du processus. Permettant même aux personnages dysfonctionnels et répréhensibles de rester intéressants et certains même sympathiques. Les acteurs sont tous formidables en particulier Ahn Seo Hung. Elle garde la composante émotionnelle ancrée tout au long du film et offre les moments les plus résonnants. Malgré la familiarité de l'histoire, elle vous surprendra constamment avec de merveilleux moments inattendus. C'est l'exemple d'un film audacieux et beau en provenance de Corée qui est une sorte de passerelle entre l'orient et l'occident...
Je ne m'attendais à rien, et j'ai été très agréablement surpris. Evidemment, le sujet principal du film étant la maltraitance animale ainsi que les conditions des animaux dans les abattoirs qui sont des sujets important aujourd'hui. Sans entrer dans la caricature, ce film très réussi m'a ému. Des films sur une amitié homme-bête (Dragons, Dumbo, Peter et Eliott...) il y en a un paquet. Mais sans entrer dans la caricature, on a ici une histoire revisitée qui propose un contenu original. Le casting très sympa (Swinton, Gyllenhaal, Paul Dano, Yeun, Esposito) est bien choisi et ils sont tous très bons. Cela fait relativiser sur la consommation de viande et les industries qui y sont liées. Si certains verront ce film comme une offense, il s'agit simplement d'une vérité.
Une jeune fille sud-coréenne a grandi dans les montagnes aux côtés d’un porc géant transgénique qu’elle considère comme son frère. L’entreprise américaine Mirando, qui est à l’origine de la création du cochon, organise un « pignapping » pour récupérer sa créature. C’est sans compter sur la détermination de Mija de rester auprès de son mammifère, aidée dans son expédition par une association de protection des animaux aux méthodes musclées. Sur ce scénario dingue et totalement improbable, le génial Bong Joon-ho réalise un film Netflix qui tient la route, objet hybride se déroulant entre les États-Unis et la Corée, multipliant les genres et les ambiances, entre grand guignolesque et long-métrage politique, entre blockbuster et œuvre intimiste, partant dans des directions toujours plus inattendues. Quelques passages un peu moins convaincants mais un ensemble fou d’ambition, et une dénonciation en règle des sociétés occidentales ultra-consuméristes et... de l’élevage intensif.
Joli comte onirique, dépaysant et pavé de bons sentiments. Le scénario en lui-même n'est pas des plus brillants, mais la réalisation est soignée, sans être surchargée. Une production atypique à voir, ne serait-ce que par curiosité cinéphile.
Ce film est un chef-d'œuvre. Tout y est incroyable : les acteurs, l'histoire les personnages ... Aller voir Okja. Vous devez le voir. Mi drame, mi comédie, mi film fantastique, un mélange qu'on peut croire étrange, mais qui marche TELLEMENT bien ! Magnifique.
Au delà du côté sensationnel du film et de certaines facilités, Okja a le mérite de questionner en profondeur le spectateur sur son rapport à "l'industrie" de la viande. Car le film fait preuve d'un grand réalisme sur certains points, dans des domaines où le réalisme est synonyme de courage. Excellente interprétation, très joli scénario, réalisation irréprochable.
une (mauvaise) surprise totale. A la vue des commentaires on se cale en mode cocooning confinement en attendant un film émouvant.. la boite de mouchoirs à proximité. Et finalement nous assistons à une fable avec des personnages burlesques très absurde... incompréhensible ! Si le sujet est la maltraitance des animaux d'élevage... c'est raté. Quel intérêt d'inventer ce super cochon? Et puis les commentaires sur les abattoirs... écris par des personnes qui mangent à 90% de la viande c'est très ironique