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    Okja
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    270 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 juin 2017
    Okja n'était pas le film que je prévoyais absolument de voir. Mais la polémique autours du "film de Netflix" m'a poussé à le voir. Je suis une fan de Bong Joon Ho et notamment de The Host qui reste l'un de ses meilleurs films avec Mother. SnowPiercer est tellement hollywoodien que j'avais peur qu'Okja suive le même chemin. Mais non.
    Okja est un conte pour enfant devenu adulte et pour adulte en devenir. Parce que, comme The Host, le monstre est une création humaine. Dans ce film, le monstre est un gentil, il ne fait de mal à personne sauf dans un contexte qui lui est extraordinaire. Nous pourrions nous arrêter à cette idée vue et revue: un gentil monstre séparé de l'enfant qui l'a élevé et une quête destinée à les réunir tous les deux. Mais Okja va bien plus moins; à travers des scènes comiques et des personnages attachants les problèmes de société sont tous abordés. L'écologie, l'égoïsme humain, le capitalisme, l'idée que les animaux ont moins de valeur que nous autres les humains.

    Il faut saluer la maîtrise de Bong a exploiter des sujets graves et actuels à travers un conte comique. Parce que mettre en avant la surexploitation des animaux, leur maltraitance, notre volonté à nous en tenir à des discussions sans réellement mettre des plans d'actions en place. Okja a ce qui manque à beaucoup de films et de politiques: du courage. Sortir des sentiers battus pour nous mettre face à nos erreurs, nous envoyer dans la figure nos choix catastrophiques et l'idée qui veux que l'être humain est suprême. Tout dans ce film est à admirer: les acteurs, les plans, les dialogues, les blagues, le monstre, les sous entendus et la morale. Je trouve dommage que la polémique vis à vis de Netflix empêche à ce film de connaitre un réel public et d'accéder à une reconnaissance dépassant le cercle d'initiés.
    tixou0
    tixou0

    697 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juillet 2017
    Moi qui, l'avouant sans honte, et même avec fierté, place la cause animale au-dessus de toutes les causes, cet "Okja" me laisse en pleurs. Fable poignante sur la méchanceté humaine, sa nocivité, sa rapacité, portée par l'amour sans faille entre la petite Mija, élevée avec elle, et l'adorable truie Okja, bête hautement estimable, création génétiquement modifiée par des humains âpres au gain - vice camouflé sous de hautes justifications "humanistes" (nourrir toujours plus d'humains - démographie folle...), livrée en format super XXXL (c'est-à-dire en taille quelque part entre l'hippopotame et l'éléphant !....), ce film n'a pas que des qualités (traîne en longueur-s, montage pas toujours cohérent.... par exemple - où l'on retrouve donc nombre des défauts d'un "Memories of Murder", du même cinéaste....), mais le message porté est essentiel (quelle leçon pour les créatures soi-disant les plus achevées de la Création, les humains..... ne serait-ce que dans l'acte sublime d'amour de la pauvre mère, spoiler: poussant hors de l'enclos au moins un de ses petits, saisissant avec intelligence - les porcs sont très fins - l'opportunité de le sauver - quand Mija ayant troqué la vie de son amie Okja auprès de la plus redoutable des jumelles Mirando, alias, dans le double rôle, Tilda Swinton, le longe, avant le retour dans son Paradis).
    elriad
    elriad

    431 abonnés 1 859 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juin 2017
    Jolie fable qui derrière un traitement parfois naïf dénonce les dérives des secteurs agroalimentaires. les acteurs s'en donnent à cœur joie et font mouche, l'humour et la poésie font passer le message en douceur malgré certaines scènes difficiles qui rappellent certaines actualités sur le traitement des animaux en abattoir. "Okja" , entre "Babe le cochon" et la succulente farce politique de "la ferme des animaux", prouve que le cochon est un animal idéal pour faire passer les idées et la réflexion. Un joli moment.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 juin 2017
    C'est un très beau film sur la condition animale. Malheureusement, la société connaît les camps de concentration pour animal, mais continue à surconsommer. Le film est simple et égratigne par l'humour les défenseurs d'animaux. j'ai aimé voir Jake Gyllenhaal dans un rôle "ambigu" . il a une palette de jeu énorme. A voir et à méditer!
    @fredlvdf
    @fredlvdf

    18 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juin 2017
    C'est rare que j'écrive la critique, mais ce film est tellement bouleversant, hyper émouvant.
    Si seulement il pouvait faire prendre conscience au plus grand nombre et aux industriels, de tout ce qu'on massacre aux noms seulement de bénéfices qu'on emportera pas dans notre monde.
    De plus les acteurs et les images sont d'une rare beauté.
    cylon86
    cylon86

    2 509 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juin 2017
    Pour mieux appréhender ''Okja'', faisons comme Bong Joon-Ho et mettons tout de suite de côté la polémique Netflix qui a agité le festival de Cannes et qui fait encore parler d'elle pour se concentrer sur le film. La question n'est d'ailleurs pas de savoir si un film produit par Netflix mérite d'aller en festival et d'être projeté sur grand écran mais bel et bien pourquoi un film tel que ''Okja'' n'a pas pu se monter autrement. Qu'on apprécie ou non la politique de Netflix qui nous prive du plaisir du grand écran, on ne peut que tirer notre chapeau à leur démarche qui consiste tout simplement à donner carte blanche à certains cinéastes pour qu'ils puissent livrer le film qu'ils veulent. Avec ''Okja'', Bong Joon-Ho semble abandonner en premier lieu le pessimisme de ''Snowpiercer'' pour nous offrir le récit d'une amitié entre une jeune fille et un super cochon attachant créé par une firme agroalimentaire. Seulement très vite, la réalité rattrape leur amitié : Okja, condamnée comme ses congénères à finir dans un abattoir, risque la mort après avoir été exhibée fièrement devant un public avide de nouveautés. Dès lors, la course contre la montre commence alors qu'une organisation luttant pour la libération des animaux entre en jeu... Ce qu'il y a de toujours aussi admirable chez Bong Joon-Ho, c'est sa capacité à dynamiter nos attentes. Chez lui, on se retrouve souvent en terrain connu, du moins en apparence. Car il vient toujours dynamiter le genre qu'il explore, faisant voler nos attentes en éclats, recommençant ici lors du dernier acte du film, bouleversant, cruel et totalement anti-conformiste quand on voit ce qui se fait à Hollywood. Tout son film, rapidement touchant grâce à la bouille rondelette d'Okja, finit par devenir assez cruel et dénonce de manière virulente la société de consommation dans laquelle on vit, nous donnant envie d'être végétarien au passage sans pour autant donner l'impression de donner des leçons. Au contraire, le cinéaste se concentre sur la force de son récit, sur le pouvoir des images, sur ses choix de casting malins et inattendus (avec un Jake Gyllenhaal particulièrement survolté et un Paul Dano bienveillant) et donne toujours l'impression de maîtriser sa barque, oscillant parfois entre deux genres, se montrant tantôt décalé, tantôt bouleversant (essayez de retenir vos larmes à la fin !) mais souvent plus cruel qu'on ne l'aurait attendu, nous rappelant la force de son cinéma sans concession et son talent de conteur qui n'est définitivement plus à remettre en question, Netflix ou pas Netflix.
    Shephard69
    Shephard69

    332 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 juin 2017
    Sous la forme d'un conte ultra-réaliste, une critique puissante et émouvante de l'industrie agro-alimentaire et à plus grande échelle du capitalisme. Fort d'un casting mirifique avec la toujours aussi géniale Tilda Swinton et un Jake Gyllenhaal qui cabotine de façon truculente, un nouveau film de Bong Joon-ho qui se place d'office dans la lignée classique de la filmographie du réalisateur coréen très proche de son précédent long-métrage "The host" pour sa technique et sa mise en scène le tout dans un style que ne renierait pas Wes Anderson pour ses personnages hauts en couleurs et l'extravagance de son écriture. La célèbre photographie de Darius Khondji est encore une fois sublime. Un beau récit, une entière satisfaction.
    traversay1
    traversay1

    3 568 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juin 2017
    Okja n'est pas projeté dans les salles. Okja n'est visible que sur Netflix. C'est un gâchis quand on voit le potentiel du film de Bong Joon Ho. Et une réalité économique, aussi, il restera aux écrans de cinéma les blockbusters américains décervelés (soupir). Sans être le meilleur film du cinéaste coréen car tout de même soumis à certaines contingences commerciales qui l'emmènent parfois trop vers le divertissement familial, Okja témoigne d'une maîtrise et d'une science narrative ébouriffantes. Les ruptures de ton y sont moins marquées que dans d'autres films de Bong mais l'humour, la causticité et la créativité se relaient avec un certain bonheur dans cette fable écologiste qui s'en prend aux industries agroalimentaires et au marketing de masse sans ménagement. C'est la règle de jeu, certes binaire, que d'identifier aisément les bons et les méchants mais on peut regretter un excès caricatural quant aux derniers, surtout visible dans l'interprétation outrancière de Tilda Swinton et surtout de Jake Gyllenhaal. Mais bon, le message sur la maltraitance animale et les conditions de détention abominables passe comme une lettre à la poste. La première partie du film, celle des montagnes coréennes, est angélique et jolie comme tout mais réussit à ne pas être mièvre grâce au talent du metteur en scène et à sa créature numérique : une belle réussite que ce super-cochon, monstre aux yeux tendres. C'est finalement un sacré paradoxe que de donner la vedette à un animal génétiquement modifié alors que le film combat justement ces pratiques destinées à nourrir une population humaine affamée. Derrière les évidences thématiques d'Okja, se cachent d'ailleurs d'autres sujets comme celui de la ruralité coréenne qui comme partout a tendance à créer des citoyens méprisés car peu enclins à s'intégrer dans la machine capitaliste, quoique. Avec quelques longueurs, de menues incohérences et un soupçon de compromis, Okja reste encore très au-dessus de la majeure partie de la production déversée chaque semaine dans les salles de France et de Navarre. Au risque de se répéter, son absence dans les cinémas, c'est vraiment là que le bât blesse.
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juin 2017
    Comme nous l’apprend si bien Confucius, « quiconque a entendu les cris d’un animal qu’on tue ne peut plus jamais manger de sa chair ». Les vertus de ce film sont vraiment osées. Et au-delà du degré d’agression morale, Netflix et Joon-Ho Bong nous propose du bon cinéma. On pourrait s’inquiéter de confronter à un ton documentaire, mais il n’en est rien. Après avoir renversé le genre du thriller avec « Memories of Murder », et suite au bouleversement de notre société de consommation en plein dans le déclin avec son « Snowpiercer, Le Transperceneige », il réunit ses meilleurs codes pour s’attaquer aux saveurs l’Homme.

    La gourmandise est un péché qui pousse l’être humain à consommer davantage de viande que de légume. Le carnivore prédomine ainsi chez l’individu, inconsciemment nourrit dans l’excès. Notre société mondialise et industrialise tout à l’heure actuelle. Pour répondre à la famine, la surpopulation et aux solutions écologiques, la biochimie intervient de nouveau dans l’agroalimentaire. Les tendances OGM et malbouffe font débat au cœur d’une société qui se divise peu à peu sur le plan alimentaire. Alors que les ressources naturelles manquent en abondance, la multinationale et entreprise familiale Mirando tourne ses valeurs vers l’avenir.

    Bien que le récit voie la sensibilité augmenter au fur et à mesure que l’on avance, les propos mis en avant sur la complicité éleveur-animal reste burlesque. Sans forcément sombrer dans l’excès de mise en scène, le réalisateur adopte un ton orienté « humoristique » afin de poser son contexte. Puis, vient une saveur narrative qui prend rapidement le goût amer de la viande commerciale. Le géant Américain est donc le grand méchant de l’intrigue, composé de son PDG malfaisant, ainsi que son zoologiste star Dr. Johnny Wilcox. Ensemble, ils s’affirment dans la médiatisation de la nouvelle ressource à l’étude, portée à la controverse. Ils subissent ainsi beaucoup d’assauts moraux, où la maltraitance des animaux entre en jeu.

    Cependant, le réalisateur ne se contente pas de se moquer du camp exploitant. Les militants veillant à changer la donne sont également sous les feux des projecteurs. A travers le leader du soutien animal, on ressent une once d’absurdité. La conviction et le devoir s’entrechoquent violemment et on ne sait plus où donner de la tête. Le système bloque pour chacun et on laisse place aux images choquantes, qui parle au nom du message marketing.

    Au final, « Okja » séduit par son discours écologique. Le second plan qui illustre l’amitié certain de Mija et d’Okja est parfois délaissé au profit de la satire capitaliste. Bien que ce soit touchant, on frôle énormément le ridicule qui adoucie les émotions le moment venu. Alors que le dénouement bâcle un peu le travail d’anticipation, le récit bute sur sa nature propre qu’est la sensibilisation. Ce film présente tout de même une audace rare, basée sur l’autodérision. Il est donc intéressant de réserver un regard objectif sur la situation, vu par Hollywood et le continent asiatique, le symbole rural par excellence.
    kroston
    kroston

    4 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juin 2017
    Magnifique , profond subtil un conte très réussis en somme.
    Ce qui impressionne avec ce réalisateur , la variété de sa filmographie .
    Chaque sujet traité est un succès.
    Vraiment un grand monsieur.
    Isuldof U.
    Isuldof U.

    7 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 juin 2017
    un vrai chef-d’œuvre avec un message fort et réaliste sur la consommation de viande et l'agroalimentaire. Pourtant je suis un gros mangeur de viande mais il m'a impacté car il montre une réalité que l'on occulte beaucoup trop.
    Comment exterminer et se nourrir d'être vivants pratiquement aussi intelligents que nous, ce film le met en évidence.
    De bons acteurs, une fin pas facile, un bon scénario et un attachement certain à ces créatures.
    Ce film met en lumière les ogm et la manipulation des lobbies sur le grand publique à ce propos.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 septembre 2017
    "Okja" joue énormément sur les clichés et le contraste et s'amuse à mettre en opposition de façon outrancière trois camps: la ligue de protection des animaux dont les membres obéissent aveuglement au "credo" et prônent la non-violence, la firme transnationale caricaturée par des personnes sans cœurs et avides d'argent à l'excès (le personnage du docteur Johnny Wilcox empreint de démesure), ainsi que la famille reculée et isolée au sommet d'une montagne en dehors des valeurs de matérialisme. Une seule vocation: éveiller notre haine envers les "méchants" de l'histoire et provoquer notre désintérêt envers les "gentils" malgré les dégâts qu'ils causent.
    Les situations sont souvent grotesques et manquent de réalisme: spoiler: les membres de l'A.L.F qui arrivent à s'immiscer partout alors qu'il est mentionné plusieurs fois la haute sécurité de la firme, la compétition qui se déroule en plein air alors que des contestations évidentes circulent... L'échec de Mirando Corporation se dessine peu à peu et ne surprend plus personne lorsque le seul atout qui lui reste est le bas coût de sa viande
    . Pourtant, spoiler: si l'on reste sur la réussite de Mija à ramener Okja chez elle, c'est l'entreprise qui triomphe
    . Tous ces efforts pour rien, donc ?
    Le film ne défend pas la cause animale, mais le destin d'Okja uniquement, dont la mise en scène tend à amener le spectateur vers cette seule préoccupation. spoiler: Il est le seul (avec le petit de la fin) qui échappe à cette fin tragique
    , mais dans quel but ? Il semble juste surfer sur la vague "vegan" et appuyer les images d’abattoir qui circulent déjà depuis plusieurs mois, histoire de véhiculer une vérité déjà sous nos yeux sans y apporter de solution.
    Si Okja reste très attachante et m'a arraché plus d'une larme, et que le film propose du divertissement sans conteste avec des très belles images et de bons acteurs, il n'en reste pas moins qu'il demeure extrêmement vide.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 juillet 2017
    À mi chemin entre Spielberg et Miyazaki... Ou quelque chose comme ça. C'est ce que j'ai lu dans la presse. Un conseil : si vous avez des enfants, n'en croyez pas un mot. Ce film est d'une grande cruauté et certaines images sont choquantes. C'est traité comme une fable certes, mais c'est avant tout un pamphlet contre l'industrie agro-alimentaire. Voilà pour le petit avertissement...
    Le précédent film de Bong joon-ho, avec son casting international m'avait un peu déçu. J'ai trouvé qu'on y perdait le décalage entre les cultures coréenne et la notre, qui font qu'en plus d'être des produits extrêmement bien finis, les films coréens sont très rafraîchissants. En tant que spectateur occidental, ce cinéma nous sort de notre zone de confort. Et en regardant le Transperceneige, j'ai surtout vu un blockbuster américain, un peu moins conventionnel que d'habitude certes, mais finalement peu surprenant.
    Eh bien Okja n'est pas un blockbuster américain. Ce film ne ressemble pas du tout à E.T. En fait, ce qui s'en rapproche le plus c'est un autre film du même auteur, The Host. Mais avec des effets spéciaux réussis cette fois.
    J'ai presque tout aimé dans Okja. La petite fille est craquante, le monstre est adorable et message écolo est très efficace. Tellement que je me tâte à acheter des steaks de soja.
    C'est naïf sans être niais et le propos est beaucoup moins manichéen qu'il n'en a l'air. Une vraie réussite.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 juin 2017
    ce film est génial il réunit tellement d'émotion en même temps Okja est tellement attachante !! le film en lui même est un décalé mais fait passer aussi un message bref il a multitude d’interprétation possible de son sens qu'on se laisse porter pendant tout le long des 2h de film !!

    un film bien ficelé et bien réalisé !! je le considère déjà comme faisant partie de ma toplist

    a voir sans hésitation
    Gaspard R.
    Gaspard R.

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mars 2018
    Après avoir fait polémique pour le côté « netflixien » de son financement et sa sélection à Cannes, Okja percute par les revendications qu’il porte : On pense tout de suite aux vidéos de L214 et aux débats actuels sur la consommation de viande. Le film est bien réalisé, avec de beaux plans dans les montagnes coréennes dans la première partie et une scène de poursuite dans les hauteurs de Séoul qui m’a marqué, entre autres. Pourtant, l’enjeu est parfois difficile à saisir à cause d’un mix déroutant entre film pour enfant type Totoro de Miyazaki, film d’action et film revendicateur plus sérieux. Je n’ai pas compris les personnages joués par Tilda Swinton et Gyllenhaal, trop dans l’excès à mon goût. On notera les prouesses techniques sur l’animation de la bestiole. Il est intéressant que Netfilx soutienne des réalisateurs tels que Joon-Ho Bong.
    Mais c'est le genre de film qu'on aurait préféré voir dans une salle de ciné...
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