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    Okja
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    3,9
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    270 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 juillet 2017
    Okja est un excellent film qui nous plonge avec Mija qui fera tout son possible pour sauver Okja des mains de la société Mirando . Le film est très bien écrit et nous laisse avec une belle morale qui devrait servir à plus d'un . Un beau coup de coeur de l'année . Je recommande vivement.
    Pascal I
    Pascal I

    758 abonnés 4 121 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 juillet 2017
    Un autre support pour dénoncer la "dérive" de nos comportements économiques, caricaturant à l'extrême (trop ?) l'excès de tout et par tous les moyens.
    Ce traitement social reste discutable sur la forme, le fond est réussi.
    De bons acteurs dans leurs rôles déjantés (trop ?) et le message humaniste en fil rouge est un peu gnangnan !
    Les FX sont réussies. Au final, pour ma part, un film moyen et excessif ! 2.5/5 !!!
    tifdel13
    tifdel13

    87 abonnés 491 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juillet 2017
    Avec six films en 17 ans dont Snowpiercer et Memories of Murder, Bong Joon-Ho sait se faire rare pour mieux se faire entendre. Pas de cinéma pour Okja mais un aller direct pour la télé sur la plateforme Netflix, ce qui n’a pas empêché le film d’être en sélection officielle au dernier festival de Cannes. Pour sa défense, Okja est certainement le type de film qui atteindra davantage les gens grâce au petit écran qu’au grand.
    Avec Okja, le réalisateur sud-coréen est de retour avec un nouveau pamphlet. Après la lutte des classes avec Snowpiercer, il s’attaque à la défense des animaux. Si la plupart des cinéastes évite tout manichéisme, Bong Joon-Ho ne fait pas dans la demi...

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    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 335 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 juillet 2017
    Voir « Okja »… Ah ça ! Difficile de faire moins anodin pour qui se tient informé de l’actualité du cinéma ! Voir « Okja » c’en est presque devenu un acte politique en cette année 2017, voire même un acte militant tellement ce long-métrage a été au cœur d’une polémique assez incroyable quand on prend un peu le temps d’y penser… Mais bon… Au-delà de tout ça, « Okja » n’en reste pas moins qu’un film ; un film qu’on regarde dans l’espoir de passer un bon moment. Or moi, autant je rejoins tous ceux qui se sont ulcérés du sort réservé au film de Bong Joon-ho, autant je prendrais mes distances à l’égard de tous ceux qui le qualifieraient de chef d’œuvre méprisé. Non, « Okja » n’est pas un chef d’œuvre à mes yeux. Pire même, je trouve que pour le coup c’est un film vraiment regrettable, dans le sens où il procure beaucoup de regrets. Certes, il y avait de l’audace dans ce début d’intrigue et une belle part laissée à une jolie folie, ce qui garantissait un spectacle un peu hors-norme. Seulement voilà, ça tient aléatoirement au départ, pour ne plus tenir du tout par la suite. Et franchement, sur la première moitié, j’étais prêt à passer outre. Alors certes il y avait des scènes qui me laissaient vraiment perplexe ( spoiler: comme celle où Okja sauve Mija en sautant dans le vide, voire même tous les moments où Okja est au centre de l’attention
    ), autant il y avait pleins de bons petits moments qui savaient compenser tant ils étaient des régals de décalage, d’absurde et de savoir-faire. Le passage à Séoul fut notamment un vrai régal pour moi ( spoiler: et je pense entre autres à la course-poursuite qui est un festival de plans formidables et de plans que j’ai trouvé désopilants. Il se dégage de ce moment une atmosphère qu’Emir Kuzturica n’aurait pas renié
    ). Avec ce passage séoulien d’ailleurs, j’ai même cru que le film allait décoller et passer un cap dans cette logique gentiment fofolle. Et là – BAM ! – l’arrivée à New-York marque le début d’un naufrage aussi incroyable qu’inexplicable. Arrivé à New-York, le film s’enlise dans un humour lourdingue extrêmement surappuyé. Les scènes s’étalent inutilement. Elles se perdent en minutes interminables d’exposition. Quand aux acteurs, ils se mettent à virer au surjeu, quand ce n’est pas à la clownerie des plus grotesques. Et quand j’insiste sur le grostesque, en fait je pense à un acteur en particulier : Jack Gyllenhaal. Sa prestation est juste… ridicule et extrêmement pénalisante pour le film. Là, on n’est plus dans la surenchère, on est clairement dans l’HYPERenchère. C’est vraiment navrant et, de l’absurde, on bascule soudainement au gavant. Et alors que l’humour opère donc ce virage assez incompréhensible, l’intrigue elle s’en désolidarise soudainement pour plonger dans un sérieux et un premier dégré là aussi assez consternants. De la petite farce absurde et gentilette, on se retrouve soudainement face à un film au propos militant primaire, martelé avec la subtilité d’un marteau piqueur, et conduisant le film vers une conclusion tire-larme assez affligeante. Et le pire, c’est que dans ce passage new-yorkais, il n’y a quasiment plus de cinéma, alors que ce n’était clairement pas le cas quand le film se déroulait en Corée. Alors ceux qui n’ont pas vu le film me diront que j’ai l’air de bien m’attarder sur un seul passage pour descendre tout un film. Mais le problème c’est que ce passage new-yorkais représente clairement toute la deuxième MOITIE du film. Et au regard de ce qui avait été entrepris dans la première partie, ce deuxième pan de l’intrigue relèverait presque de l’erreur professionnelle. Que ce soit dans la forme ou bien que ce soit dans le fond, cette rupture n’a absolument aucun lieu d’être. Abandonner l’audace formelle au profit de cette réalisation plan-plan et illustrative, c’est une rupture qui est, je trouve, incompréhensible et injustifiée. Abandonner le ton de la petite farce absurde au profit d’une vieille intrigue sensationnaliste très bas du front avec, pour asseoir le tout, un militantisme des plus primaires, ça aussi je trouve que c’est une rupture incompréhensible et injustifiée. En fait je trouve ça idiot. Pire, je trouve ça même presque lâche. A force d’écrire d’ailleurs, je me rend compte que le sentiment qui domine concernant cet « Okja » ce n’est pas finalement le regret, c’est presque davantage de la colère. Non pas que, étant donné le contexte de sa (non)-sortie, je voulais que le film soit à la hauteur de la fougue qu’il a déchaînée. Non. En fait c’est plus à l’égard de Bong Joon-ho que je suis en colère. Le gars bénéficie d’une véritable carte blanche de la part de Netflix, et ce gars, il fait… ça. Pour le coup j’ai l’impression que la seule liberté qu’ait pris cet auteur c’est celle d’être laxiste. Venant d’un gars comme lui je trouve ça assez honteux. Il peut faire mieux. Il sait faire mieux. Et au final il se contente juste de faire crier un Jack Gyllenhaal en short et en soquette et de nous faire du tire-larme en faveur d’une grosse bouillie numérique mal dégrossie. Eh bah non. Moi je dis non. Autant je valide le début – malgré le tri qu’il faille y faire – autant je trouve la deuxième partie assez scandaleuse. Donc non, pour moi « Okja » n’est malheureusement pas à la hauteur de ce qu’il aurait du être, non pas parce qu’il fut au cœur de la polémique que l’on sait, mais juste parce qu’il est un film d’un des meilleurs réalisateurs coréen de son temps. Ah ça ! Rien que pour ça, j’enrage…
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 7 juillet 2017
    Bon on aime ou on aime pas.
    C'est une niaiserie. Alors soit on adhère soit on se rend compte qu'on perd son temps. Personnages falots, scénario ultra prévisible, personnages sans épaisseur, aucun "twist"... on est à des années lumières du talent de Disney et ses personnages facétieux et inventifs.
    Le style est un peu moins "coréen" que dans The Host (dont on parle dans ces critiques) qui lui est alors la... insupportable (tenu 20mn).
    Dans vingt ans John Ho... Bong (pas le John Who qui a du talent, l'autre) saura peut-être raconter une histoire.
    gregbutton
    gregbutton

    27 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2017
    Un film nécessaire. Nécessaire d'avoir aussi l'esprit ouvert pour le voir et ne pas rester sur le postulat du "ils nous embêtent à vouloir modifier nos modes de vies". Nécessaire socialement, écologiquement, éthiquement, logiquement, économiquement. Et c'est un consommateur de viande qui écrit. Outre cette nécessité le film est bon sur bien des aspects même s'il m'a parfois donné une impression de déjà vu. Une belle découverte.
    ip kai man
    ip kai man

    10 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juillet 2017
    Un film étonnament niais et manichéen pour un réalisateur de talent (qui nous a servi entre autre Memories of Murder). Ce qui fait que ce n'est pas un film pourri c'est que la narration et le rythme sont plutot bon et que meme si il est niais les gentils du film sont un peu des losers. De meme la fin n'est pas aussi cliché qu'elle aurait pu l'etre. Donc conclusion pas terrible terrible, c'est dommage.
    Alfredibut
    Alfredibut

    21 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 avril 2019
    Ce film est un navet dégoulinant de bons sentiments, mal joué, aux répliques et scènes plus gênantes les unes que les autres et au scénario cousu de fil blanc. Un genre de fable écologiste à la Avatar avec des gros sabots, qui saute allégrement et a pieds joints dans tous les clichés les plus ridicules. La grosse société qui représente de façon à peine voilée un géant de l'agroalimentaire du genre Monsanto, qui a l'air gentille mais dont on sent que c'est des méchants, et la petite fille héroïne, très gentille, remplie d'humanité, qui va s'opposer à la grosse société, car c'est des méchants, et c'est elle la gentille, car elle a compris le sens de l'amour... On ajoute à ça une volée de personnages tous plus surjoués et peu convaincants les uns que les autres : la PDG de l'entreprise agroalimentaire, dans un style un peu "Cruella d'Enfer", le présentateur TV qui fait le foldingue, en imitant des attitudes et des répliques à la Rocky Horror Picture Show ou Phantom of The Paradise (sauf que c'est raté et tout simplement gênant) et surtout, la bande d'écolos genre "L214" ou "Animal Liberation Front" en version édulcorée. Tous les clichés sur l'écologie, la protection de la nature, le militantisme, le végétarisme... Un film extrêmement décevant, j'attendais quelque chose de beaucoup plus subtil... Mais finalement, rien d'étonnant pour un film Netflix, les rois des films de série B (voire de série C, voire Z...). Bien sur, on notera l'absence totale de 2nd degré, d'humour un peu subtil et de réflexion un peu approfondie... Bref, un film qui risque d'en décevoir plus d'un !
    Sebastien B
    Sebastien B

    3 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 juillet 2017
    Quelques bonne idées de mise en scène, du second degré et un casting de luxe ne peuvent faire oublier la bêtise hallucinante du récit. Des effets spéciaux médiocres. Trop sage pour les grands, trop bizarre pour les petits, personne n’y trouvera son compte. La bienveillance des critiques pour ce film est incompréhensible…
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 juillet 2017
    4 ans après "Snowpiercer" que j'avais bien aimé, Joon-Ho Bong revient avec "Okja" dont je pense tout le monde a entendu parlé si on suit le festival de Cannes ainsi qu'InThePanda qui en a beaucoup parlé! J'étais assez curieux dû au fait que ce film fasse autant parlé de lui en positif à ce point!
    Ce film est surtout beaucoup aimé de par ses messages qui sont assez peut exprimé dans le cinéma je pense, que ce soit la critique de ce côté de la société, la maltraitance animal, l'amitié, la famille et la folie humaine, en fait j'aime bien les messages du film, mais le problème c'est que pendant les 3/4 du film, j'étais pas vraiment plongé dedans, j'avais pas un grand intérêt à suivre l'histoire et la façon dont se déroulait l'histoire ne m'a pas intrigué plus que ça... le problème également c'est que le film n'a pas réussit à me toucher, je ne me suis pas spécialement attaché à la fille ni à Okja, et Okja étant un mélange entre un Hippopotame, un éléphant et un chien, je ne savais pas si je devais l'identifier comme un animal normal ou une créature fantastique, c'était très bizarre, du coup j'avais pas ce sentiment d'avoir cet ami qu'on ne veut surtout pas perdre! Pareil, j'ai pas compris le délire de faire de Jake Gyllenhall un Lex Luthor à la BvS...
    Bref, j'aime bien les messages du film, même si en soit (à part un peu la fin) le film ne m'a pas touché, à part une scène, je n'ai rien vu de vraiment violent et qui tape l'esprit et qui me fait dire "putain, c'est choquant la vache", mais ça en choquera beaucoup malgré tout, chacun sa sensibilité sur ce sujet dramatique, perso ce film ne m'a pas plus parlé qu'un autre, mai s'il peut en faire réagir certain(s) et faire passer un lourd message, c'est le principal
    Acidus
    Acidus

    721 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2017
    On se rappelle tous de "The Host" qui a fait connaître (plus que "Memories of Murder") Bong Joon-Ho à l'international et est devenu aujourd'hui un incontournable de la Nouvelle vague coréenne. Avec Okja, le cinéaste récidive avec un nouveau film de monstre mais cette fois, la créature y est gentille, adorable et attachante. Si il y a bien des monstres dans cette histoire, ils présentent surtout un visage humain. Encore une fois, Bong Joon-Ho ne déçoit pas et réussit à faire d'"Okja" un film grand spectacle qui conserve une intelligence dans son propos et son scénario. Si ce dernier peut paraître formaté par instants, il sait aussi surprendre notamment dans la dureté de son ton et de certaines images, loin des blockbusters hollywoodiens actuels, toujours lisses et insipides. A travers "'Okja", Bong Joon-Ho nous parle d'écologie et du traitement des animaux dans l'industrie agroalimentaire. Son discours est engagé et cela donne lieu à des scènes "chocs" comme celle de l'abattoir qui n'est pas sans rappeler un camp d'extermination de la Seconde Guerre mondiale. Magnifique mis en scène et très bien interprété, "Okja" concilie émotions, intelligence et divertissement. Une réussite signée Bong Joon-Ho.
    Dee D
    Dee D

    10 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juillet 2017
    bon sujet et bon film... traitant un sujet actuel sur la surconsommation, l'humanité et les abattoirs... de façon "comique", douce et à la fin plus réaliste... mais je n'irai pas au delà de 3/5... on devinait tout du film et de sa fin, les personnages beaucoup trop caricaturaux... que ça en est fatiguant... pour finir, quelques musiques sympa accompagnent le film...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 juillet 2017
    Une vrai critique de notre société sur l'abominable industrie de la viande , juste bravo , excellent
    selenie
    selenie

    6 256 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2017
    Le héros est donc bel et bien un gros cochon, ou plutôt une nouvelle sorte de pachyderme inventé par une multinationale qu'on devine être un pastiche du nauséabond Monsanto, et qui doit être le nouvel eldorado des supermarchés pour les citoyens moutons du monde. Si le film oscille entre comédie et drame le propos est toujours d'un sérieux de fond assumé et assuré pour en faire d'abord une satire anti-capitaliste assez violente qui fera de plus plaisir aux végétariens de tous poils. A voir et à conseiller !
    Site : Selenie
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 juillet 2017
    Magnifique film qui reflète malheureusement le monde de l'industrie alimentaire actuelle. A regarder !
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