Avis : Godzilla vs Kong - Page 5

[ALERT SPOILER]
Un très bon film que j'attendais depuis extrêmement longtemps. Je ne peux pas mettre plus de 4 étoiles car j'ai été légèrement déçu sur certains points. Notamment sur le scénario qui n'a absolument aucun sens comme le fait d'aller dans la Terre Creuse pour rechercher une source d'énergie pour alimenter le Mechagodzilla. Je n'aime pas non plus comment est exploité cette Terre Creuse le fait qu'il y ai une inversion gravitationnelle ça m'a déçu. En revanche, en ce qui concerne les monstres, je trouve que Godzilla est hyper beau ainsi que Kong qui a extrêmement vieilli depuis (Kong Skull Island) qui se déroulait en 1973 c'est à dire que ce film se déroule 51 ans après car l'intrigue de ce film se déroule en 2024. Quant au Mechagodzilla, il est hyper bien refait depuis les anciens films. L'idée est intéressante d'utiliser le crâne du Ghidorah pour faire fonctionner le Mechagodzilla mais elle est mal exploitée car on ne sait pas comment Apex a réussi à avoir ce crâne car il appartenait à Alan Jonah dans la scène post-générique du précédent film (Godzilla 2 : Roi des Monstres). J'ai pas aimé aussi le fait que dans le générique du début, on nous montre que tout les titans qu'on a pu voir dans les précédents opus sont tous morts et on ne sait pas comment. Gros point positif de ce film c'est les combats de monstres. Les combats sont extrêmement bien réussis notamment celui à Hong Kong entre Godzilla et Kong. Cet affrontement entre ces deux monstres est potentiellement incroyable 59 ans après le film (King Kong contre Godzilla) en 1962. Nous avons un casting pas exceptionnel. La musique en revanche elle est excellente. Pour résumer, ce 4ème film du Monsterverse est très bon malgré ses défauts. Espérons que (Godzilla X Kong) prévu pour 2024 sera mieux que cet opus.

Bienvenue dans le centre d'expérimentation des effets spéciaux de destruction d'immeubles (en gardant des habitants à coté qui courent de partout). Que vient faire King Kong contre des créatures venant du centre de la terre, armées de rayon nucléaire ! Rien qu'en le disant, ça sent déjà le ridicule ! Et on y est bien dans le ridicule dans à peu près toutes les scènes, avec un scénario quasi vide ou sans intérêt. Le plus fort c'est qui ? la planche à billet à mon avis

Voilà le climax du Monsterverse initié par la Warner et qui réunit, cette fois et entre autres, les deux stars des monstres que sont Godzilla et King Kong dans un combat forcément titanesque. Ce duel devrait être le dernier opus de la première phase initiée par ses créateurs, sans qu’une seconde phase soit pour le moment en gestation. On a donc eu droit à un premier épisode de « Godzilla » intéressant et particulier sans être révolutionnaire puis à une suite totalement foirée dans laquelle on l’associait à d’autres créatures. Une suite qui ressemblait davantage à une bouillie visuelle fatigante qu’autre chose. Entre deux, il y a eu un « Kong, Skull Island » assez sympathique et divertissant qui se plaçait comme le plus réussi du lot, entre film d’aventures à l’ancienne démesuré et pantalonnade au second degré. Pourquoi le singe n’a eu le droit qu’un film contre deux pour le lézard ? On ne le saura pas, les voies des producteurs et des sutdios étant parfois impénétrables.



Nous voici donc devant l’affrontement tant attendu entre les deux illustres monstres et il s’avère que si les défauts évidents des autres films sont toujours présents, le combat final entre ces deux figures tutélaires du cinéma est plutôt réussi sur le versant du spectaculaire. En effet, durant près de deux heures on en prend plein les yeux. Les effets spéciaux de « Godzilla VS Kong » sont clairement époustouflants et permettent de leur faire honneur et de leur donner toute la latitude pour en mettre plein les yeux au spectateur. A ce niveau, ce blockbuster pop-corn assumé ne faillit pas et récompense l’attente des fans de grand spectacle. Les deux affrontements sont variés (en mer sur des navires de guerre et sur la terre ferme entre les buildings de Hong-Kong) tout comme les vainqueurs et le final remet admirablement les compteurs à zéro. Wingard privilégie les plans larges mettant bien en valeur ces deux stars constituées d’effets visuels dernier cri et c’est bluffant de bout en bout. Le souci du détail et le réalisme des effets visuels est tout bonnement incroyable et ne connaissent aucune limite. On notera la beauté des décors lors du passage dans la Terre creuse comme sur Skull Island ou à Hong-Kong. C’est de la destruction massive de haute qualité, loin du fatras étourdissant de la saga « Transformers » ou du côté sombre et peu lisible de « Pacific Rim ». On ne loupe rien, on en prend plein la vue et les plans sont aussi titanesques et dantesques que le combat en lui-même.



Sinon ? Et bien malheureusement pas grand-chose, faisant de cet univers un ensemble de films plutôt divertissants (hormis le second « Godzilla » éprouvant pour les sens comme on l’a dit) et respectables pour ce qu’ils sont : des blockbusters fast-food impressionnants mais pas très futés où l’intelligence est sacrifiée sur l’autel du grand spectacle. En effet, les liens entre les films sont pertinents mais le fond de l’histoire n’a ni queue ni tête. On peut sans hésiter avouer que tout cela ne vole pas bien haut et que les scénaristes auraient pu se creuser davantage la tête pour nous pondre une histoire plus crédible et moins prosaïque. Si les moments mettant en scène les monstres sont nombreux et permettent d’être relativement satisfaits, il en est d’une toute autre teneur pour ceux avec les humains. Ceux-ci sont cantonnés au rôle de faire-valoir plus que de raison. Brian Tyree Henry en est l’exemple type : agaçant, cliché et mauvais. De plus, les invraisemblances pullulent et le côté fantastique de tout cela ne les excuse pas pour autant. Bref, on finit par se contrefiche de ce qui peut bien arriver à tous ces acteurs plus ou moins célèbres venus cachetonner car ils n’ont rien. Un blockbuster de plus sacrifiant donc le fond pour la forme de manière avérée mais qui performe sur sa promesse de base : nous en mettre plein les yeux avec deux icônes qui se castagnent. Préférence notable pour King Kong, bien plus ciné génique par la force des choses et à qui un second film aurait dû être confié pour égaliser le combat sur les écrans de ces deux titans.



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Godzilla vs. Kong m'amène dans une position contradictoire. Je fais partie de ceux qui défendent mordicus le Godzilla de Gareth Edwards. J'adhérais à son approche humaine tout en admettant ses faiblesses narratives. Mais voir l'icône nippone s'élever dans la grisaille pluvieuse de San Francisco pour faire face à ses ennemis a suffit pour que mon cœur fasse boum. De son côté, Kong Skull Island se voulait nettement plus lumineux et fun, un job dont s'est plutôt bien acquitté Jordan Vogt-Roberts. Chargé d'images iconiques et d'une intrigue gentiment désuète, le film semblait assumer un versant nanar (typique des films d'aventures 70's). Un postulat auquel s'est également tenu Godzilla 2 : Roi des Monstres. Autrement dit, on gagne en spectaculaire ce qu'on perd sur tout le reste. Le souci c'est qu'on se retrouve avec des films boulimiques et mal nourris. Il n'y avait aucun secret quant à la teneur de Godzilla vs. Kong, il serait une sorte d'apothéose dans le style. Alors qu'en est-il ?
J'ai beau avoir une affection marquée pour le Godzilla de 2014, je dois reconnaître que j'ai été assez diverti par ce duel de mastodontes. Le script ne joue jamais la carte de la subtilité ou de la crédibilité : ça voyage dans tous les sens (autant que dans un Roland Emmerich) et c'est du délire de A à Z. Je me suis beaucoup amusé de cette intrigue cache-misère qui aligne un nombre invraisemblable de bêtises et de poncifs. D'où vient donc ce sentiment plaisant à l'issue de la projection ? Justement cette honnêteté dans la démarche et du dynamisme dans son exécution. À l'instar de son collègue Vogt-Roberts, Adam Wingard veut jouer la carte du film décomplexé du bulbe et il a bien assez de 1h45 (1h53 avec générique) pour étancher la soif de destruction. Les diverses séquences d'affrontement sont terriblement récréatives, aussi bruyantes que burlesques. Godzilla vs. Kong s'amuse assez bien avec ses terrains de jeu, toujours très colorés (notamment Hong-Kong et ses néons dans tous les coins) puisqu'ils posent autant d'obstacles que de "munitions" potentielles aux deux belligérants. Tout concourt à réactiver en nous l'enfant qui prenait plaisir à bastonner ses figurines chéries dans sa chambre ou dans son bain. Il n'est d'ailleurs pas anodin que les ce soient eux qui deviennent les vrais héros du film, puisque les adultes sont trop occupés à faire n'importe quoi.
Dernièrement, je saurai gré à Wingard d'avoir respecté la charte établie par les précédents films : Kong est souvent accompagné d'un tube pop, tandis que Godzilla jouit toujours d'une prestance royale. Dans les faits, le primate a les faveurs de l'intrigue et partage même quelques moments plus poétiques avec la petite Jia (une orpheline de l'île du Crane). Là où le méga-reptile se contente de ratisser à la barbare ce qui lui passe sous les paluches.
Dans l'absolu, tout cela reste d'une indigence manifeste (zéro personnage à retenir), les motivations sont aussi aberrantes que les développements ou résolutions. Et l'incursion dans la science-fiction a de quoi laisser songeur...ou rieur. Seule compte la bagarre, et elle vaut son pesant d'or. Godzilla vs. Kong n'a pas d'autre ambition que d'en mettre plein la vue. Si on peut en rire dans la foulée, j'ai envie de dire que c'est déjà pas si mal. Un plaisir coupable en somme. On est en droit d'en demander plus avec de tels montres du cinéma. Que voulez-vous, question de timing il faut croire. En ce moment, les gros blockbusters ne sont pas très friands d'originalité.

Il faudra se montrer très indulgent pour trouver plus que des qualités esthétiques à ce duel attendu entre les 2 monstres les plus célèbres du cinéma mondial. Si elle n'est pas toujours lisible, la réalisation arrive toutefois à impulser une certaine dynamique qui entretient l'intérêt du film, car au-delà comment se passionner pour un embryon de scénario aussi ridicule et chargé en clichés lourdingues? Et comment se prendre d'affection pour des personnages aussi peu attachants ou, là encore, tellement attendus qu'on frise la caricature? Un spectacle qui fait beaucoup de bruit mais sans profondeur ni surprise.

Deux ans après le très mauvais "Godzilla 2, roi des monstres", un quatrième opus du Monster Verse des studios Legendary Pictures qui repose strictement sur le même schéma scénaristique que "Batman v. Superman" avec une confrontation titanesque entre deux des créatures les plus importantes de la pop culture que sont Godzilla et King Kong, rivalité dont un individu aux techniques et financiers illimités va tenter de tirer profit à l'instar de Lex Luthor dans le film de Zach Snyder. S'il délaisse un peu le côté anthropomorphique prêtés aux kaijus du volet précédent, un long-métrage qui oublie totalement la dimension humaine et le gigantisme des deux créatures comme l'avait très bien retranscrit Gareth Edwards dans son reboot de 2014 offrant juste des combats démesurés sans s'intéresser un seul instant aux conséquences plus prosaïques. Une réflexion que je trouve nauséabonde sur le complotisme ou encore la terre creuse qui me laisse aussi dubitatif que circonspect même dans le cadre d'une oeuvre de science-fiction aussi fantaisiste qu'ici. Un casting qui a de l'allure avec des noms comme Alexander Skarsgard ou Rebecca Hall, Millie Bobby Brown, elle, m'agaçant au plus haut point, insupportablement arrogante à mon avis. Au final, un blockbuster dantesque, impressionnant visuellement grâce à une très belle photographie mais qui dégage une tenace sensation de vacuité artistique et intellectuelle. Vraiment pas terrible ou mémorable.

Avec une série de films qui ont fait leur preuves dans l'univers des mythiques monstres cinématographiques de notre enfance - Malgré Godzilla 2, cet affrontement se présentait du plus mauvais auspice de par le choix de son réalisateur. Et bien malgré tout, le spectacle est à la hauteur, surprenant non pas visuellement ni dans son process d'un Titan à la recherche d'un autre Titan, mais dans cette émotion qui transite avec Kong, qui bénéficie d'un second acte digne de Skull Island. Notre Titan préféré, car oui c'est bien lui, vieillissant et dépassé par la puissance du monstre Japonais, nous incite à poursuivre cette aventure abscons dans notre engouement irréfrénable.

Des acteurs sans intérêts avec un scénario inutile. Les effets spéciaux sont tonitruants mais ne sauvent en rien un film purement hollywoodien. Un film sans charme et saveurs. À oublier.

Avec son scénario abracadabrantesque, on en oublierait presque que cet affrontement "titanesque" en devient finalement anecdotique.

Rien à dire. Fuyez tout simplement.
Le scénario est médiocre, les personnages tout autant. Que dire que certains qui ne servent à rien ? Ils ont mis quelques acteurs à la mode pour faire venir le chaland.
Je met une étoile pour les effets spéciaux... Et je suis encore trop brave.

Comme pour « Godzilla 2 – Roi des monstres », les actions des humains sont incohérentes au possible tant ils prennent tous des risques inconsidérés, quant à leurs actions, elles sont improbables au possible ! Si on ajoute à cela qu’aucun protagoniste à part une gamine de 10 ans ne suscite de l’émotion, on se dit qu’on tient-là un film pas terrible où seul Kong est le plus expressif ! Mais on oublie qu’on est dans un blockbuster avec des effets spéciaux hallucinants et donc voir ces grands et gros monstres combattre est assez jouissif alors il faut prendre le film pour ce qu'il est : du pur divertissement avec certains défauts d'accord, mais de sacrées qualités visuelles qui nous en mettent plein les yeux !

Mais quelle daube ! Oh My God !! Moi qui m'attendait à passer 2heures de pur entertainment, j'étais déjà limite à stopper le film au bout de 3/4 d'heure tellement l'ensemble est mauvais et ridicule. Bref, comment démolir 2 mythes du cinoche que sont godzilla et King Kong, ben il suffit de regarder cette bouse immonde.

L’erreur monumentale commise par ce Godzilla vs. Kong consiste à délaisser l’humain pour mieux saisir le grandiose d’un affrontement de deux puissances titanesques, sans pour autant épouser la focalisation des monstres. C’est ne rien comprendre à l’entreprise d’un Guillermo Del Toro qui, lui avait saisi l’importance de l’humain pour mesurer le gigantisme : son Pacific Rim (2013) opposait ainsi deux échelles et en tirait une vision du chaos. Le film d’Adam Wingard – à qui l’on doit déjà Death Note en 2017 – se voit ainsi écartelé entre deux postures : celle du jeu d’arcade dans lequel un gros singe tabasse un gros lézard, faisant du spectateur un témoin minuscule ; celle d’un vaste manège à sensations fortes qui le mettent au centre du dispositif et de l’attention, les vaisseaux et autres véhicules agissant à la manière de ces chariots qui nous retournaient la tête lorsque les parcs d’attractions étaient encore ouverts. Les personnages, à la caractérisation aussi sommaire et unilatérale que l’origine des acteurs qui les campent – Alexander Skarsgård est suédois, Kyle Chandler américain, Millie Bobby Brown britannique, Brian Tyree Henry afro-américain, Shun Oguri japonais et Eiza González mexicaine –, n’ont même pas le rôle de pions sur un échiquier dont dépendrait la survie des bestioles ; ils cochent des cases politiques et meublent une intrigue à ce point lacunaire qu’elle doit creuser le sol jusqu’au centre de la Terre. Aussi le déferlement d’action, les retournements abracadabrants, les univers intégrés, tout cela s’avère-t-il stérile parce que privé d’une motivation narrative véritable. Voilà un blockbuster remplissage dont la prétendue confrontation aguiche le client davantage qu’elle n’apporte quelque chose aux deux mythes investis ou à leur représentation au cinéma. Nous sommes bien arrivés « en terre creuse », pleine de jolies couleurs néons qui figent des colosses dans des poses ringardes et bêtement anthropomorphiques. On attend la director’s cut et le hashtag correspondant (c’est à la mode, n’est-ce pas ?)…

Sacré film que ce choc des titans ! Un blockbuster au scénario basique, mais peu importe car ce n'est pas ce que l'on attend de ce genre de films. Mérite 5 étoiles pour son visuel, son travail sur les lumières et ses scènes de combats oufissimes ! Du grand spectacle ! De plus, la relation entre Kong et la petite fille est attendrissante et apporte une jolie touche d'émotion.

Un superbe film de science fiction , où les scènes d'actions , de combats , sont très spectaculaires et impressionnantes .

Il y a aussi de magnifiques paysages , et un peu d' émotions ( Mais pas beaucoup d' émotions) .