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Halloqueen ;)
4 abonnés
120 critiques
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2,5
Publiée le 8 octobre 2024
Bien bien bien... que dire, histoire sympa, un poilou d'originalité dans un certain déroulé du film, des acteurs assez bon, un décor standard et une photographie intéressante sur certaines scènes mais rien d'exceptionnel. Les tableaux sont très bien fait par contre ^^
J'ai eu un gros problème sur la fin...spoiler: en effet, ça huuuuuuuurle sans arrêt ! Je veux bien croire que dans la vie réelle, ça serait exactement comme ça mais dans un film, c'est très très agaçant quand on en est à ce point là... le film "Hurlements" existe déjà et ça ne crie pas autant.
Un petit film style téléfilm qui se laisse regarder néanmoins, il passe plutôt bien dans l'ensemble.
spoiler: C'est l'histoire d'un film d'horreur honnête mais écrasé par les attentes que suscitent les 92% de RT
- Cette critique contient des spoilers -
Je garde de ce visionnage d'il y a quelques mois des souvenir éparses. Le malaise dégagé par Pruitt Taylor Vince La bande son Métal avec du PJ Harvey dedans Les tableaux glauques à souhait Un final longuet et quelque peu raté
Pas mal... Bien rythmée... Bande son heavy... Rentre assez rapidement dans le vif du sujet... Mise en scène efficace... En revanche l histoire reste classique dans le registre des possessions démoniaques... Le diable a faim... Il lui faut de la chaire fraîche d enfants... Ça tombe bien la petite fille du couple qui vient d emménager dans sa maison fera l affaire... Un final assez moyen...
L'atout de Devil's Candy, c'est son atmosphère, assez unique dans son genre, enrichie par un aspect visuel très soigné. Sa simplicité également, qui fait que le film ne se perd pas en bavardages et explications oiseuses, c'est donc très honnête et efficace. On pourrait avoir tendance à penser qu'il manque un petit qq chose au film, mais non, il a juste son ton bien à lui. Comme le morceau énervé d'une minute trente sur un album de métal.
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18 103 critiques
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5,0
Publiée le 20 avril 2020
J'adore ce film que j'ai vu bien des fois depuis sa sortie. The Devil's Candy un film d'horreur assez intense sur le super-héros préféré de certains: Satan. Jesse et Astrid emménagent dans une jolie vieille maison avec leur fille Zooey. Oui, bien sûr, les occupants précédents sont morts dans la maisonn. Après cette tête de métaleux, Jesse (parce que les têtes de métaleux adorent Satan on sait ça), commence à entendre des choses douces dans son oreille et il se déchaîne dans son art. Il peint, des flammes, sa fille et des enfants mort. Etc... Bande originale de Cool Metal. Choisir Pruitt Taylor Vince pour incarner un tueur d'enfants est un excellent choix. Je souhaite vraiment que Sean Byrne fasse plus de films car entre celui-ci et The Loved Ones, il est évidemment un maître. C'est juste tellement tendu et certains des personnages sont les plus réels et les plus engageants que vous pouvez voir dans un film d'horreur...
JESUS CHRIST SUPERSTAR. Quand le heavy metal rencontre Satan. Associé trop facilement, le pentacles inversé pour le satanisme sur des riffs simplistes. Je ne comprend pas ce langage. Le peintre et ses messages diaboliques sur du groove spécifique, en tierce mineure dit oeuvre mineure. Une distorsion amplifiée et une rythmique désagréable. Rendez vous au paradis.
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12 377 critiques
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0,5
Publiée le 24 juillet 2019
Un peintre qui a du mal à percer dans le mètier est possèdè par les forces sataniques après que lui, sa femme et sa fille se soient installès dans la maison de leurs rêves situèe dans une zone rurale du Texas! Voilà pour le synopsis, basique et usè jusqu'à la corde! Après le fendard "The Loved Ones", l'australien Sean Byrne persiste dans le genre barrè et chtarbè. "The Devil's Candy" est malheureusement un film d'horreur qui laisse dubitatif parce qu'il contient toutes les recettes capables de conquèrir l'aficionado de l'èpouvante religieuse et caricaturale! Pas besoin de chercher plus loin ou autre chose hormis un final visuellement luxuriant! Ethan Embry a la même tronche que Matthew McConaughey à tel point qu'on se demande si ce n'est pas l'acteur barbu de "Free State of Jones" qui joue cet artiste hippie illuminè dont la peinture rouge sur une toile blanche se transforme en effusion de sang! Une sorte de Christ aux yeux bleus, un personnage lorgnant du côtè de Charles Manson! Quant à Pruitt Taylor Vince, il fait peine à voir en guitariste de heavy metal...
Un gros délire à base de musique Metal, de démon, de tueur fou (big up à l'acteur touché par un nystagmus dans la vie réel). La réalisation est top, l'histoire un peu faiblarde surtout sur sa fin. Je m'interroge sur son interdiction au moins de 16 ans exagérée. On à un peu de gore mais rien de fou, et le film ne fait absolument pas peur. Bref: on ne s'ennuie pas mais on ne tremble pas non plus.
Si l'on occulte une bande-son saturée de Heavy Metal qui n'est pas forcément très agréable à écouter, "The Devil's Candy" est un film d'horreur qui mérite d'être visionner, notamment pour son sujet, pour sa mise en scène énergique et aussi pour sa galerie de personnages qui s'avèrent bien attachants. D'ailleurs, côté casting, je retiendrais la performance particulièrement inquiétante de Pruitt Taylor Vince qui m'avait déjà bien scotcher dans "Identity". Une très belle découverte qui a d'ailleurs été primée au Festival de Gérardmer en 2016.
Un peintre amateur de hard-rock, son épouse et leur fille ado au look aussi hard que son père, ont l’opportunité d’emménager dans une grande maison pastorale bon marché, mais très vite l’inquiétant ancien occupant s’intéresse à eux tandis qu’une force maléfique imbibant l’artiste au travers de ses créations engage une plongée collective dans le cauchemar. Ce qui parait démarrer comme un énième film de possession par une maison hantée ou par un vilain-démon-pas-beau caché quelque part, s’avère un vrai petit bijou de tension progressive. Véritable incarnation d’un chorus artistique revendiqué, le film devient la mise en images d’un formidable concert de rock métal qui durerait 1h25, enivré par le déploiement des éblouissantes peintures surréalistes sombres de Stephen Kasner. Si l’on rajoute que ledit clip a la finesse de présenter un scenario relativement cohérent, avec logique et chute, une savante plongée dans la manipulation psychopathique, un voyage dans l’oppression menée par des acteurs qui assurent, alors les amateurs de peintures abstraites psychédéliques, de rock et d’épouvante devraient en sortir tant touchées que ravis.
Une nouvelle fois, l'éditeur ESC Distribution fait preuve de flair avec THE DEVIL'S CANDY de Sean Byrne, une belle déclaration d'amour à l'univers du métal, doublée d'un témoignage glaçant sur la pugnacité du mal à l'état pur. Notre critique est en ligne sur le site Terreurvision.com
Il y a de l'idée, mais ce "The devil's candy" n'arrivera pas à surprendre, à aucun moment. Le film paraît bâclé, et peinera grandement à nous garder éveillés avec ce style désormais bien trop classique et redondant.
Le Mal s'immisce dans la vie d'un couple et de leur fille, à travers une maison, des tableaux cauchemardesques, peints par le père et une musique sombre et métal... Un film "divertissant" à défaut d'être complètement original...
Ce film aurait mérité quelques bonnes minutes de plus pour s'étoffer, 1h20, c'est un peu court, et la fin paraît expédiée. Le cadre de l'histoire avec le psychopathe qui entend le diable et tue des gens n'est certe pas original, mais c'est tout. J'ai aimé cette famille hors des clichés, Rock'n bisounours, avec le père artiste peintre tatoué, et sa fille fan de métal. La bande son qui suit les mouvements des pinceaux comme si c'était la musique qui peignait... et enfin le face à face avec le vrai diable, celui qui nous reflète notre propre vanité en nous disant qu'il faut faire des sacrifices... intéressant!
Petit thriller convenu et moraliste, où le diable s'en prend à une famille, sans trop y mettre d'énergie, par le biais d'un gros monsieur en survêtement sportif. Le père est la caricature puritaine de l'artiste peintre. C'est donc un grand flanc mou aux cheveux sals, qui peint en caleçon dans un atelier malpropre, qui incite sa femme à fumer des pétards, qui fait de sa fille une fan de métal, et qui - forcément - attire les forces maléfiques sur sa famille. Bref, un film avec du métal qui sent bon la prêche dominicale. C'est diablement éloigné d'un Rob Zombie...