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Max Du44
1 critique
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0,5
Publiée le 26 janvier 2023
Très peu de paroles Bande annonce avec plus de budget que le film On passe d'un thème à un autre sans pouvoir suivre Cependant on peut se piquer un roupillon Tant de questions sur les thématiques mais peu de réponse
Même pour un film qu’on voit avec le lycé j’aurai préféré faire des cours quand t’a des filles qui danse pas mais qui se ridiculise par terre je trouve que c plus un film d’humour qu’un film qui parle de la société a deux de devenir rasciste
Film incompréhensible qui n’a aucun sens on comprend rien aucune intrigue aucune fin aucun debut j’ai failli me tirer une balle tellement sa puait la merde
L'important c'est de participer Les personnages sont peu intéressants voire nuls, les dialogues sont ennuyeux et l'intrigue n'est pas présente, les filles ne font que de faire des convulsions les unes après les autres sans savoir vraiment pourquoi mais sans vouloir en savoir davantage, un vrai navet.
4 521 abonnés
18 103 critiques
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3,5
Publiée le 14 décembre 2020
À l'inverse des stéréotypes habituels la protagoniste Toni est une fille qui commence comme boxeuse à l'entraînement surtout pour que son frère boxeur puisse la surveiller pendant qu'il s'entraîne et qui décide de passer dans l'équipe de danse féminine qui s'entraîne à côté. C'est une belle histoire de passage à l'âge adulte qui raconte l'histoire d'une fille piégée dans une bulle qu'elle doit faire éclater. Toute la relation entre les filles s'est faite de manière simple et naturelle et pourtant elle envoie un message puissant sur l'amitié. C'est en regardant ces deux jeunes actrices noires à l'écran partageant des scènes ensemble que j'ai aimé The Fits. Il y avait une grande métaphore dans le film que je n'ai pas bien comprise sur les filles qui ont des crises à cause de l'eau contaminée cela a quelque chose à voir avec l'intégration je ne suis pas tout à fait sûr. Sinon j'ai absolument était émerveillé surtout par la chimie entre les deux jeunes actrices...
DÉPÊCHE: Premier long métrage indépendant new-yorkais, The Fits se présente comme un ovni. En effet, ce premier film impressionne par sa mise en scène dépouillée et son personnage principal de petite fille black en quête d’identité sexuelle. Si le film perd parfois de son ampleur à cause de son aspect acerbe, il a le mérite de son originalité et de son intelligence. Un premier film intéressant, d'une réalisatrice à surveiller désormais de près.
Voici l'histoire de Toni, 11 ans, jeune boxeuse amatrice qui va développer une passion pour une danse urbaine : le drill. Malheureusement, ses nouvelles amies sont atteintes d'étranges convulsions que personne ne peut expliquer. Ce portrait d'une jeune adolescente est à la fois rythmé par les scènes de répétition et prend aussi par instant des allures d'une séance d'hypnose. Les dialogues sont volontairement réduits au strict minimum et même si la réalisatrice confie qu'elle a voulu communiquer un message à travers la danse et les chorégraphies, j'ai eu l'impression de passer à coté de ces subtilités. La durée du film (1h12) m'a également laissé un goût d'inachevé, ne me donnant pas totalement le temps de m'imprégner de l'ambiance du film. Royalty Hightower est, elle, une vraie révélation dans ce rôle de Toni.
De très beaux plans, une jeune actrice avec du talent, c'est les seules bonnes notes à retenir de "The Fits". Scénario un peu vide et même si les dialogues sont peu nombreux, ce n'est pas cela qui dérange, les prestations d'acteurs sont bonnes. Le vrai problème de ce film, c'est qu'on ne comprend pas. Où le scénariste a t-il voulut en venir ? On aimerait voir plus de danse, comprendre un peu plus ce qu'est le drill, mais non. Il ne passe rien. Pour qu'1h12 ait parut long, il faut peut être se remettre en question. En parlant de question, parmi toutes celles qui nous trottent dans la tête à la fin du film, celle que j'ai le plus retenu c'est "Pourquoi ?". A moins qu'une bobine ait sauté et qu'il manque une heure du film, je ne vois aucune réponse possible.
Rien à sauver dans ce film esthétisant, maniéré, mysogine, profond dans le sens de creux. Les dialogues sont épouvantablement convenus et faibles. Une heure quinze qui paraissent une éternité d'ennui. D'où vient l'engouement ? La mode ? Une forme de racisme ? La démagogie ?
- Que ce film portait un regard puissant sur l'enfance et l'adolescence ?!?!
- Qu'il donnait la parole aux exclus qui voulaient s'intégrer ?!?!
C'est quelqu'un qui m'a dit que j'aimerais ce premier film...
Serait ce possible alors que je sois passée totalement à côté ?
Pourtant des 3 personnes présentes dans la salle, aucune n'a trouvé d'argument pour défendre ce film.
Pas désagréable sur la forme :
-une esthétique dépouillée, -des dialogues rares mais percutants, -des regards qui se passent de commentaire, -des chorégraphies endiablées. Le fond est tout simplement inexistant...
Et ce ne sont pas les épisodes -répétés et inexpliqués- d'épilepsie qui apporteront un début de réponse. Au contraire, ce film, au lieu de nous mettre K.O debout, nous laisse dans le chaos ;-)
Excellente approche de la part de la documentaire Anne Rose Holmer, pour son premier film silencieux, abstrait et sensible, où elle révèle la jeune Royalty Hightower. Magnifique photo, silences intenses, dissonante poésie où une petite fille lutte pour être soi-même dans un établissement, qui ne lui prête pas d'attention. Hypnotisant et magique.
Royalty Hightower illumine "The fits" par son charisme, l'ascétisme de son jeu, son côté à la fois boudeur et sensible, essayant de taire la séduction que son jeune âge tente de cacher. Et c'est bien là le sujet de ce film singulier et radical : comment quitter l'insouciance de l'enfance et pénétrer dans l'enfer de l'adolescence en essayant de se démarquer des autres sans se renier. La mise en scène exploite merveilleusement chaque coin du gymnase (couloirs, escaliers, rampes, planchers, murs de brique) et la place qu'y occupe chaque corps pour faire entendre une autre voix dans le cinéma américain assez envoûtant.