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Votre avis sur Nosferatu ?
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Lucy, Mina, Renfield, Van Helsing, Jonathan et bien sûr le Comte Dracula, ils sont tous là, mais dans une autre "version". Je m'attendais à quelque chose de plus gothique, eu égard à ce que nous avait montré le réalisateur dans The Lighthouse, et plus obscène compte tenu des critiques lues de ci de là et de la limite d'âge. Dans les faits, ce n'est certes pas un film à montrer à des enfants, mais Dracula, le roman, n'est il pas un conte pour adulte, un conte particulièrement sombre, érotique et brutal ? Donc oui, c'est noir, sanglant et angoissant mais parfaitement adapté au sujet.
J'ai été ébloui par l'interprétation de Lily-Rose Depp dans son rôle de Ellen (Lucy donc). Elle domine littéralement cette tragédie. Magnifique. Et c'est tant mieux car c'est son histoire à elle et non celle du Comte Nosferatu.
Les autres acteurs font le travail mais sans plus.
Certains chapitres du film auraient peut-être mérité d'être développés (les concubines du Comte, les vierges, le Demeter, les chiens, l'enfance de Ellen, etc) mais en deux heures il faut bien des faire des choix. L'ensemble est parfaitement cohérent et ne souffre d'aucune longueur. En tous cas je n'ai pas ressenti d'ennui.
Très bon film donc.
J'ai été ébloui par l'interprétation de Lily-Rose Depp dans son rôle de Ellen (Lucy donc). Elle domine littéralement cette tragédie. Magnifique. Et c'est tant mieux car c'est son histoire à elle et non celle du Comte Nosferatu.
Les autres acteurs font le travail mais sans plus.
Certains chapitres du film auraient peut-être mérité d'être développés (les concubines du Comte, les vierges, le Demeter, les chiens, l'enfance de Ellen, etc) mais en deux heures il faut bien des faire des choix. L'ensemble est parfaitement cohérent et ne souffre d'aucune longueur. En tous cas je n'ai pas ressenti d'ennui.
Très bon film donc.
Sympa mais un peu long… le jeu d’acteur est vraiment à la hauteur et la réalisation également toutefois le scénario est assez décevant au final. La moustache de Staline de Nosferatu n’était pas nécessaire non plus ;)
Un Véritable Uppercut. Après l’Époustouflant The Northman, Robert Eggers réussit un Coup de Maitre avec cette Relecture de Nosferatu qui s’avère plus Tétanisant et Hypnotisant que le film original. Porté par une Réalisation Immersive et Éblouissante qui nous plonge dans une méticuleuse reconstitution historique dont l'ambiance est ici Palpable et Angoissante qui se fait ressentir des les premières minutes pour ne jamais lâcher prise tout en étant accompagné d'une Bande Originale Frissonnante de Robin Carolan qui s'accorde magistralement a l’atmosphère inquiétante et singulière du long métrage. Ensuite le Scénario est Ludique et Prenant de bout en bout tout en respectant l'esprit du film éponyme de 1922 avec quelques touches de modernité et d'astuces scénaristiques qui apporte un véritable renouveau dont cette nouvelle version aborde avec Subtilité des Thématiques essentiels comme la Peur,le Pouvoir,le Désir,la Société et les Dilemmes Moreaux qui sont traiter avec justesse a travers son Rythme de Croisière impeccablement soutenu pendant 2h12. Ajouter a cela, Des Séquences Effrayantes et Suffocante qui ne manque pas de nous faire sursauter et de nous effrayer au service d'Effets Spéciaux impeccablement soignée en passant par des Séquences Chocs et Brutales qui risque de nous hanter pendant très longtemps avec en prime une bonne dose d’Érotisme,de Romance et de Poésie qui apporte énormément a cette nouvelle réadaption moderne. Enfin le Casting est Flamboyant de A a Z avec en tête d'affiche l'Inoubliable Bill Skarsgård qui incarne a la perfection dans la peau du comte Orlok qui s’avère Charismatique,Inquiétant et Complexe dont l'acteur apporte une Nuance impressionnant a ce Personnage Énigmatique et Intriguant, Face a lui la Talentueuse Lily-Rose Depp livre une prestation de haute volée dans le rôle de Ellen Hutter une jeune Femme Magnétique et Tourmenter dont cette dernière est rejointe par une poignée de Seconds Rôles au cordeau composer notamment de Nicholas Hoult,Aaron Taylor-Johnson,Willem Dafoe,Emma Corrin,Simon McBurney et Ralph Ineson qui apportent leurs contributions a cette Distribution Fantastique a l'interprétation exemplaire. En Résumer, Nosferatu est une Pure expérience de Cinéma Sensorielle dont on ressort pas indemne pendant longtemps tout en s'avérant comme l'un des Meilleurs Remakes d’Épouvante que l'on ait vus depuis un moment tout en confirmant le Talent hors du commun de Robert Eggers qui signe un Conte Gothique a la fois Effrayant,Sulfureux,Envoutant et Audacieux qui s’avère comme l'un des Films Incontournables de cette Fin D'Année a ne pas rater sous aucun prétexte.
Une bonne variante au Dracula de Francis Ford Coppola.
J’ai apprécié la réalisation et le jeu des acteurs.
J’ai apprécié la réalisation et le jeu des acteurs.
C’était incroyablement long, contemplatif et ennuyeux. (Quelqu’un s’est endormi et a ronflé à quelques rangs de moi.) Eggers devrait faire des pubs pour parfum ou de la photographie de mode, et c’est tout. Peu de cohérence dans le scénario, et un acting moyen.
Ça aurais pu être excelle mais bon je reste sur ma faim Lily rose deep est sublime très bon jeux d acteurs les costumes et décors sublime le scénario bon ça pêche un peu …. En bref ça passe 2 h
Un des meilleurs remakes que j'ai pu voir
Tout y est, histoire le jeu d'acteur, film sombre gore ect vraiment une réussite foncez si vous aimer le style
Tout y est, histoire le jeu d'acteur, film sombre gore ect vraiment une réussite foncez si vous aimer le style
C est un film qui va bcp diviser. Personnellement je suis vraiment rentré dedans. L ambiance, le jeux d acteurs, j ai été un peu déçu par la fin
Direct-actu.fr
Nosferatu 2024 : Un retour au mythe originel du vampire
Dans Nosferatu 2024, Robert Eggers revisite avec brio l'icône du vampire, loin des clichés romantiques ou scintillants. Ce film rend hommage au mythe folklorique de l’Europe de l’Est en intégrant des références aux figures légendaires comme les Striges et les Lamies, tout en explorant une noirceur psychologique et visuelle. Eggers met en scène un vampire terrifiant, incarné par Bill Skarsgård, évoquant à la fois le Nosferatu expressionniste de Murnau et les monstres mythiques. Orlok n’est plus séduisant : il est un prédateur froid, symbole du mal absolu. Lily-Rose Depp, dans son premier grand rôle, livre une performance saisissante, oscillant entre possession et hystérie, dans une lutte entre foi et rationalité.
Le film se distingue par son esthétique gothique hypnotique et son approche psychosexuelle. La relation entre Ellen et Orlok réinterprète le mythe sous l’angle du consentement, une idée rare dans les récits vampiriques. Ellen devient une héroïne sacrificielle, seule capable de vaincre Orlok par un acte volontaire, rappelant des motifs christiques. Eggers questionne la tension entre science et religion à travers des personnages complexes, notamment Willem Dafoe en professeur sceptique face à l’inexplicable. En mêlant expressionnisme et romantisme dans sa photographie et ses décors, Nosferatu 2024 transcende le simple remake pour devenir une œuvre moderne et viscérale. Ce n’est pas seulement une réinvention du mythe, mais une ode au cinéma de genre, où le spectaculaire se marie au symbolisme profond.
https://direct-actu.fr/2024/12/03/nosferatu-un-retour-aux-sources-des-premiers-mythes/
Dans Nosferatu 2024, Robert Eggers revisite avec brio l'icône du vampire, loin des clichés romantiques ou scintillants. Ce film rend hommage au mythe folklorique de l’Europe de l’Est en intégrant des références aux figures légendaires comme les Striges et les Lamies, tout en explorant une noirceur psychologique et visuelle. Eggers met en scène un vampire terrifiant, incarné par Bill Skarsgård, évoquant à la fois le Nosferatu expressionniste de Murnau et les monstres mythiques. Orlok n’est plus séduisant : il est un prédateur froid, symbole du mal absolu. Lily-Rose Depp, dans son premier grand rôle, livre une performance saisissante, oscillant entre possession et hystérie, dans une lutte entre foi et rationalité.
Le film se distingue par son esthétique gothique hypnotique et son approche psychosexuelle. La relation entre Ellen et Orlok réinterprète le mythe sous l’angle du consentement, une idée rare dans les récits vampiriques. Ellen devient une héroïne sacrificielle, seule capable de vaincre Orlok par un acte volontaire, rappelant des motifs christiques. Eggers questionne la tension entre science et religion à travers des personnages complexes, notamment Willem Dafoe en professeur sceptique face à l’inexplicable. En mêlant expressionnisme et romantisme dans sa photographie et ses décors, Nosferatu 2024 transcende le simple remake pour devenir une œuvre moderne et viscérale. Ce n’est pas seulement une réinvention du mythe, mais une ode au cinéma de genre, où le spectaculaire se marie au symbolisme profond.
https://direct-actu.fr/2024/12/03/nosferatu-un-retour-aux-sources-des-premiers-mythes/
En 2024, peut on vraiment s'attaquer à l'histoire de Dracula sans envisager les centaines de films dont il a plus ou moins déjà fait l'objet ? Eggers semble penser que oui. Sans perspective et sans point de vue, son Nosferatu, définitivement plus mort que vivant, fait l'effet d'une déambulation très dirigiste à travers un musée poussiéreux. C'est la plus impardonnable faute d'un film qui en compte bien d'autres... Les comédiens ne sont pas à la fête, sans cesse soumis à des scènes particulièrement ingrates. Et sans plus d'allant qu'un vulgaire "Conjuring", les jump scares fainéants et la bande son bruyante sont aussi de la partie. On attendait tellement mieux de la part du séduisant auteur de "The witch" et "The lighthouse".
Dans l’ensemble, le film n’est pas si mauvais. Les scènes d’horreur sont plutôt bien réalisées, avec quelques jump scares efficaces. Le vampire, quant à lui, est assez effrayant. Ce qui est intéressant, c’est que certains codes des premiers films ont été conservés, notamment les jeux d’ombres. Cependant, par moments, le film m’a semblé un peu long. Il parvient tout de même à installer une petite ambiance tout au long de l’histoire. Je reste mitigé : il y a de bons éléments, mais aussi des points moins réussis. Cela dit, le film ne m’a pas vraiment marqué
Vu en avant première au Pathé Wepler, film beaucoup plus tourné vers l’érotisme que l’horreur. Très gênant par moment.
NOSFERATU : 16,5/20
Le seigneur des vampires est de retour dans cette réinterprétation du film Nosferatu de 1922.
102 ans plus tard, est-ce que ce cher comte Orlok est toujours dans le cou ? 🧛♂️
Nosferatu se présente davantage comme une fable gothique qu’un simple film.
Par là, j’entends qu’il s’agit d’un long-métrage d’ambiance, imprégné d’une poésie sombre, plutôt qu’un véritable film d’horreur classique.
Il ne fait pas vraiment peur, mais il parvient à instaurer une atmosphère lugubre et anxiogène grâce à sa photographie ultra-maîtrisée, ses prises de vue fluides, presque aériennes, et son sens du détail.
On a souvent l’impression que la caméra plane comme un fantôme autour des personnages. Cette sensation est renforcée par un montage à la fois moderne et intelligent, tout en conservant une esthétique évoquant les films d’époque, parfaitement adaptée à l’univers de Dracula.
La musique et l’ambiance sonore accompagnent brillamment le film du début à la fin.
Petite phobie débloquée au passage : les bruits de déglutition… glaçants !
Le casting est impressionnant, et Nosferatu lui-même est une réussite visuelle. Sa présence est inquiétante, sans en faire trop : il reste dans l’ombre pendant la majeure partie du film, ce qui ne fait qu’amplifier son aura mystérieuse.
Bill Skarsgård est méconnaissable dans le rôle, et il livre une performance incroyable. Mention spéciale pour la scène finale, magistralement exécutée, et pour l’incroyable prestation de Lily-Rose Depp.
Même si je ne suis pas fan des vampires, difficile de ne pas apprécier ce Nosferatu et sa proposition singulière. Il évite les clichés du banal film d’horreur sans intérêt et nous transporte à merveille dans un fabuleux cauchemar vampirique.
Plus de notes sur insta : 22sur20
Le seigneur des vampires est de retour dans cette réinterprétation du film Nosferatu de 1922.
102 ans plus tard, est-ce que ce cher comte Orlok est toujours dans le cou ? 🧛♂️
Nosferatu se présente davantage comme une fable gothique qu’un simple film.
Par là, j’entends qu’il s’agit d’un long-métrage d’ambiance, imprégné d’une poésie sombre, plutôt qu’un véritable film d’horreur classique.
Il ne fait pas vraiment peur, mais il parvient à instaurer une atmosphère lugubre et anxiogène grâce à sa photographie ultra-maîtrisée, ses prises de vue fluides, presque aériennes, et son sens du détail.
On a souvent l’impression que la caméra plane comme un fantôme autour des personnages. Cette sensation est renforcée par un montage à la fois moderne et intelligent, tout en conservant une esthétique évoquant les films d’époque, parfaitement adaptée à l’univers de Dracula.
La musique et l’ambiance sonore accompagnent brillamment le film du début à la fin.
Petite phobie débloquée au passage : les bruits de déglutition… glaçants !
Le casting est impressionnant, et Nosferatu lui-même est une réussite visuelle. Sa présence est inquiétante, sans en faire trop : il reste dans l’ombre pendant la majeure partie du film, ce qui ne fait qu’amplifier son aura mystérieuse.
Bill Skarsgård est méconnaissable dans le rôle, et il livre une performance incroyable. Mention spéciale pour la scène finale, magistralement exécutée, et pour l’incroyable prestation de Lily-Rose Depp.
Même si je ne suis pas fan des vampires, difficile de ne pas apprécier ce Nosferatu et sa proposition singulière. Il évite les clichés du banal film d’horreur sans intérêt et nous transporte à merveille dans un fabuleux cauchemar vampirique.
Plus de notes sur insta : 22sur20
Une ambiance gothique extraordinaire, malgré les effets du tournage en studio. Le scénario est assez traditionnel. Le film est un mix de Nosferatu, Dracula, L'exorciste. L 'interprétation de la fille Depp est parfaite.
Il manque un liant à ce film.
Il y a tous les ingrédients mais le liant n'y est pas.
Par ailleurs, belle photographie très bon décors.
Jeux d'acteur honorable
Dommage
Il y a tous les ingrédients mais le liant n'y est pas.
Par ailleurs, belle photographie très bon décors.
Jeux d'acteur honorable
Dommage
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