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Eggers convoque l'essence la plus frénétique et noire du romantisme, sa part baudelairienne de poésie corrompue. Son Nosferatu nous étreint sauvagement, nous laissant anéantis et exsangues, grisés par tant de noirceur et de beauté
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
"Nosferatu" n'est pas seulement un superbe film d'épouvante soutenu par une performance d'actrice sidérante mais aussi l'accomplissement du projet rêvé d'un auteur qu'on croyait avoir perdu avec "The Northman".
Loin de céder à la facilité de ce mariage naturel entre son cinéma et ce récit ancestral, Eggers parvient à se réapproprier NOSFERATU non pas en force mais en nuance. Admirable.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Conscient du poids de ses modèles, Robert Eggers n’arrive pas toujours à s’en démarquer. Cependant, sa vision de "Nosferatu" se révèle passionnante lorsqu’il embrasse sa nature de drame domestique, avec en son centre le regard qu’il porte à la Ellen de Lily-Rose Depp.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Une relecture du mythe à la hauteur de la filmographie d'Eggers, aux images sublimes, possédées et glaçantes. Avec, en prime, une très grande Lily-Rose Depp.
Une direction artistique somptueuse qui parvient à supplanter le sérieux de plomb du propos, et l’évident désir du cinéaste que son exercice de style fasse autorité. Il est désormais clair qu’il y a deux Robert Eggers : le barde de THE WITCH et THE LIGHTHOUSE, marchand de petits cauchemars à l’ironie mordante, et le chef de chantier de THE NORTHMAN et NOSFERATU, qui semble jouer sa vie à chaque plan. Cet Hollywood le mérite à peine.
Ellen constitue, certes, toujours un personnage central du long-métrage, mais jamais il n’a, dans une des versions précédentes, pris l’ampleur que lui donne une Lily-Rose Depp manifestement très investie dans son rôle. Elle constitue l’un des atouts majeurs de ce dernier film de vampires de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le talentueux Robert Eggers parvient à apporter un éclairage original grâce à une esthétique superbe, mais aussi et surtout en développant le personnage féminin.
Robert Eggers, cinéaste hanté par le refoulement, filme la sexualité féminine réprimée comme un monstre démoniaque délié de l’inconscient. Ce cauchemar entêtant réinvente le mythe cinématographique de Nosferatu à l’aune du féminisme contemporain, avec une ardeur dévastatrice.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Malgré ses nombreuses qualités techniques, le long métrage se retrouve à mi-chemin entre le film d’épouvante classique avec ses visions presque subliminales et le film d’époque un peu trop verbeux. C’est peut-être la première fois qu’on sent le jeune cinéaste Robert Eggers pas forcément en pleine possession de ses moyens, comme écrasé par le poids mythologique de sa créature et de ses pairs.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Entre blockbuster et pur film d’auteur, cet hommage au célèbre personnage de Bram Stocker part d’un postulat culotté et un peu fou : reprendre littéralement les codes du cinéma des années 20 et du premier "Nosferatu" réalisé en 1922 par F.W. Au final, le film assume et fait son effet, notamment porté par le style léché et violent d’Eggers.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Admirateur de Murnau, Robert Eggers tisse un sublime livre d’images gothique qui dépouille le vampire de ses oripeaux romantiques pour revenir à l’épouvante pure. Mais le cinéaste peine à apporter du sang neuf.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
En dépit de partis pris qui peuvent dérouter et d'une interprétation très théâtrale de Lily-Rose Depp, on est envoûté par cette fable gothique sublimée par son univers visuel [...].
Il en avait rêvé, il l’a fait : Robert Eggers fait enfin son remake du chef-d’œuvre de Murnau. Totalement respectueux de l’œuvre originale, ce "Nosferatu" 2024 est souvent magnifique, mais un peu trop timide et chiche en émotion.
Le vampire putréfié version Robert Eggers, plus barbare que ses précédentes incarnations, est un formidable monstre de cinéma dans un film qui l’est beaucoup moins, débauche de références et de scènes fumeuses.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La maestria visuelle de Robert Eggers (« The Lighthouse ») et son goût pour filmer la perversité font passer la pilule de cette relation obsessionnelle entre une jeune femme tourmentée et le sombre comte.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
[...] Robert Eggers revisite à son tour le mythe, en cochant tous les déjà-vu. Rien de neuf, donc. Le réalisateur n'en réussit pas moins un superbe cauchemar gothique [...].
Une chasse au vampire efficace, qui doit beaucoup à la beauté des images et à Lili-Rose Deep : telle une apparition, elle a l’art de cultiver l’étrange…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Tout en respectant globalement l’intrigue et son suspense géographique […] le film ne peut s’empêcher de pousser les curseurs de l’angoisse. Il se veut plus ténébreux, plus sale, plus explicitement sexuel, et pioche alors dans les codes les plus impersonnels de l’horreur contemporaine.
[La] vision [de Robert Eggers] reste à la surface de la légende du célèbre vampire, continuum d’images lisses, souvent superbes, mais toujours corsetées par le poids de l’enjeu (se hisser à la hauteur de Murnau, bigre).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
[...] comme "The Northman" était plus proche de "Conan le destructeur" que de "Andreï Roublev", c’est dans l’ordre de la vision de cinéma d’Eggers que son remake de "Nosferatu", malgré et à cause de tout le sérieux affiché, soit plus proche de "Dracula, mort et heureux de l’être" que de Murnau ou Herzog.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Eggers convoque l'essence la plus frénétique et noire du romantisme, sa part baudelairienne de poésie corrompue. Son Nosferatu nous étreint sauvagement, nous laissant anéantis et exsangues, grisés par tant de noirceur et de beauté
Mad Movies
"Nosferatu" n'est pas seulement un superbe film d'épouvante soutenu par une performance d'actrice sidérante mais aussi l'accomplissement du projet rêvé d'un auteur qu'on croyait avoir perdu avec "The Northman".
Nice-Matin
Incontournable.
Sud Ouest
Une relecture du mythe inspirée et moderne, signée Robert Eggers.
CinemaTeaser
Loin de céder à la facilité de ce mariage naturel entre son cinéma et ce récit ancestral, Eggers parvient à se réapproprier NOSFERATU non pas en force mais en nuance. Admirable.
Ecran Large
Conscient du poids de ses modèles, Robert Eggers n’arrive pas toujours à s’en démarquer. Cependant, sa vision de "Nosferatu" se révèle passionnante lorsqu’il embrasse sa nature de drame domestique, avec en son centre le regard qu’il porte à la Ellen de Lily-Rose Depp.
Elle
Fantastique, romantique, horrifique, voire gore, ce "Nosferatu" est une peinture glaçante et sombre de l'oppression masculine.
Franceinfo Culture
Le réalisateur américain Robert Eggers s’attaque à un chef-d’œuvre du cinéma avec une distribution remarquable et remporte la mise.
Konbini
Une relecture du mythe à la hauteur de la filmographie d'Eggers, aux images sublimes, possédées et glaçantes. Avec, en prime, une très grande Lily-Rose Depp.
La Septième Obsession
Une direction artistique somptueuse qui parvient à supplanter le sérieux de plomb du propos, et l’évident désir du cinéaste que son exercice de style fasse autorité. Il est désormais clair qu’il y a deux Robert Eggers : le barde de THE WITCH et THE LIGHTHOUSE, marchand de petits cauchemars à l’ironie mordante, et le chef de chantier de THE NORTHMAN et NOSFERATU, qui semble jouer sa vie à chaque plan. Cet Hollywood le mérite à peine.
Le Parisien
Ellen constitue, certes, toujours un personnage central du long-métrage, mais jamais il n’a, dans une des versions précédentes, pris l’ampleur que lui donne une Lily-Rose Depp manifestement très investie dans son rôle. Elle constitue l’un des atouts majeurs de ce dernier film de vampires de l’année.
Le Point
Robert Eggers réussit à insuffler une nouvelle puissance à des images et des archétypes que l'on croyait usés jusqu'à la corde.
Télé 2 semaines
Le talentueux Robert Eggers parvient à apporter un éclairage original grâce à une esthétique superbe, mais aussi et surtout en développant le personnage féminin.
Télé Loisirs
Fascinant.
aVoir-aLire.com
Robert Eggers, cinéaste hanté par le refoulement, filme la sexualité féminine réprimée comme un monstre démoniaque délié de l’inconscient. Ce cauchemar entêtant réinvente le mythe cinématographique de Nosferatu à l’aune du féminisme contemporain, avec une ardeur dévastatrice.
Abus de Ciné
Malgré ses nombreuses qualités techniques, le long métrage se retrouve à mi-chemin entre le film d’épouvante classique avec ses visions presque subliminales et le film d’époque un peu trop verbeux. C’est peut-être la première fois qu’on sent le jeune cinéaste Robert Eggers pas forcément en pleine possession de ses moyens, comme écrasé par le poids mythologique de sa créature et de ses pairs.
Diverto
Entre blockbuster et pur film d’auteur, cet hommage au célèbre personnage de Bram Stocker part d’un postulat culotté et un peu fou : reprendre littéralement les codes du cinéma des années 20 et du premier "Nosferatu" réalisé en 1922 par F.W. Au final, le film assume et fait son effet, notamment porté par le style léché et violent d’Eggers.
Le Figaro
Admirateur de Murnau, Robert Eggers tisse un sublime livre d’images gothique qui dépouille le vampire de ses oripeaux romantiques pour revenir à l’épouvante pure. Mais le cinéaste peine à apporter du sang neuf.
Le Journal du Dimanche
En dépit de partis pris qui peuvent dérouter et d'une interprétation très théâtrale de Lily-Rose Depp, on est envoûté par cette fable gothique sublimée par son univers visuel [...].
Le Monde
Tout à ses images ultraléchées, Eggers ne laisse pas la place aux vides, aux gouffres, propres à susciter de l'effroi [...].
Les Fiches du Cinéma
Il en avait rêvé, il l’a fait : Robert Eggers fait enfin son remake du chef-d’œuvre de Murnau. Totalement respectueux de l’œuvre originale, ce "Nosferatu" 2024 est souvent magnifique, mais un peu trop timide et chiche en émotion.
Libération
Le vampire putréfié version Robert Eggers, plus barbare que ses précédentes incarnations, est un formidable monstre de cinéma dans un film qui l’est beaucoup moins, débauche de références et de scènes fumeuses.
Marie Claire
Décors ciselés (et lugubres à souhait), casting (presque trop) impeccable, [cet] exercice de style dégage une maîtrise indiscutable.
Paris Match
La maestria visuelle de Robert Eggers (« The Lighthouse ») et son goût pour filmer la perversité font passer la pilule de cette relation obsessionnelle entre une jeune femme tourmentée et le sombre comte.
Télé 7 Jours
[...] Robert Eggers revisite à son tour le mythe, en cochant tous les déjà-vu. Rien de neuf, donc. Le réalisateur n'en réussit pas moins un superbe cauchemar gothique [...].
Télérama
Une chasse au vampire efficace, qui doit beaucoup à la beauté des images et à Lili-Rose Deep : telle une apparition, elle a l’art de cultiver l’étrange…
Cahiers du Cinéma
Tout en respectant globalement l’intrigue et son suspense géographique […] le film ne peut s’empêcher de pousser les curseurs de l’angoisse. Il se veut plus ténébreux, plus sale, plus explicitement sexuel, et pioche alors dans les codes les plus impersonnels de l’horreur contemporaine.
Critikat.com
Si Eggers reste fidèle au scénario d’origine, il transforme le chef-d'œuvre de Murnau en un livre d’images figées et pompeuses.
L'Obs
[La] vision [de Robert Eggers] reste à la surface de la légende du célèbre vampire, continuum d’images lisses, souvent superbes, mais toujours corsetées par le poids de l’enjeu (se hisser à la hauteur de Murnau, bigre).
Première
[...] comme "The Northman" était plus proche de "Conan le destructeur" que de "Andreï Roublev", c’est dans l’ordre de la vision de cinéma d’Eggers que son remake de "Nosferatu", malgré et à cause de tout le sérieux affiché, soit plus proche de "Dracula, mort et heureux de l’être" que de Murnau ou Herzog.
Les Inrockuptibles
Comme son vampire, son film semble redouter de cramer en plein cagnard, apeuré par le moindre faux pli.
Marianne
Sommet de grandiloquence et de prétention, "Nosferatu" n’arrive pas à la cheville de ses prédécesseurs. À éviter.