Note moyenne
3,3
32 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

32 critiques presse

Culturopoing.com

par Olivier Rossignot

Eggers convoque l'essence la plus frénétique et noire du romantisme, sa part baudelairienne de poésie corrompue. Son Nosferatu nous étreint sauvagement, nous laissant anéantis et exsangues, grisés par tant de noirceur et de beauté

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Mad Movies

par Cédric Delelée

"Nosferatu" n'est pas seulement un superbe film d'épouvante soutenu par une performance d'actrice sidérante mais aussi l'accomplissement du projet rêvé d'un auteur qu'on croyait avoir perdu avec "The Northman".

Nice-Matin

par Cédric Coppola

Incontournable.

Sud Ouest

par Cédric Coppola

Une relecture du mythe inspirée et moderne, signée Robert Eggers.

CinemaTeaser

par Emmanuelle Spadacenta

Loin de céder à la facilité de ce mariage naturel entre son cinéma et ce récit ancestral, Eggers parvient à se réapproprier NOSFERATU non pas en force mais en nuance. Admirable.

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Ecran Large

par Antoine Desrues

Conscient du poids de ses modèles, Robert Eggers n’arrive pas toujours à s’en démarquer. Cependant, sa vision de "Nosferatu" se révèle passionnante lorsqu’il embrasse sa nature de drame domestique, avec en son centre le regard qu’il porte à la Ellen de Lily-Rose Depp.

La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

Elle

par Françoise Delbecq

Fantastique, romantique, horrifique, voire gore, ce "Nosferatu" est une peinture glaçante et sombre de l'oppression masculine.

Franceinfo Culture

par Jacky Bornet

Le réalisateur américain Robert Eggers s’attaque à un chef-d’œuvre du cinéma avec une distribution remarquable et remporte la mise.

La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

Konbini

par Arthur Cios

Une relecture du mythe à la hauteur de la filmographie d'Eggers, aux images sublimes, possédées et glaçantes. Avec, en prime, une très grande Lily-Rose Depp.

La Septième Obsession

par Jérémie Oro

Une direction artistique somptueuse qui parvient à supplanter le sérieux de plomb du propos, et l’évident désir du cinéaste que son exercice de style fasse autorité. Il est désormais clair qu’il y a deux Robert Eggers : le barde de THE WITCH et THE LIGHTHOUSE, marchand de petits cauchemars à l’ironie mordante, et le chef de chantier de THE NORTHMAN et NOSFERATU, qui semble jouer sa vie à chaque plan. Cet Hollywood le mérite à peine.

Le Parisien

par Michel Valentin

Ellen constitue, certes, toujours un personnage central du long-métrage, mais jamais il n’a, dans une des versions précédentes, pris l’ampleur que lui donne une Lily-Rose Depp manifestement très investie dans son rôle. Elle constitue l’un des atouts majeurs de ce dernier film de vampires de l’année.

La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

Le Point

par Florence Colombani

Robert Eggers réussit à insuffler une nouvelle puissance à des images et des archétypes que l'on croyait usés jusqu'à la corde.

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Télé 2 semaines

par Camille Brun

Le talentueux Robert Eggers parvient à apporter un éclairage original grâce à une esthétique superbe, mais aussi et surtout en développant le personnage féminin.

Télé Loisirs

par Camille Brun

Fascinant.

aVoir-aLire.com

par Julien Rocher

Robert Eggers, cinéaste hanté par le refoulement, filme la sexualité féminine réprimée comme un monstre démoniaque délié de l’inconscient. Ce cauchemar entêtant réinvente le mythe cinématographique de Nosferatu à l’aune du féminisme contemporain, avec une ardeur dévastatrice.

La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

Abus de Ciné

par Germain Brévot

Malgré ses nombreuses qualités techniques, le long métrage se retrouve à mi-chemin entre le film d’épouvante classique avec ses visions presque subliminales et le film d’époque un peu trop verbeux. C’est peut-être la première fois qu’on sent le jeune cinéaste Robert Eggers pas forcément en pleine possession de ses moyens, comme écrasé par le poids mythologique de sa créature et de ses pairs.

La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné

Diverto

par La rédaction de Diverto

Entre blockbuster et pur film d’auteur, cet hommage au célèbre personnage de Bram Stocker part d’un postulat culotté et un peu fou : reprendre littéralement les codes du cinéma des années 20 et du premier "Nosferatu" réalisé en 1922 par F.W. Au final, le film assume et fait son effet, notamment porté par le style léché et violent d’Eggers.

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Le Figaro

par Constance Jamet

Admirateur de Murnau, Robert Eggers tisse un sublime livre d’images gothique qui dépouille le vampire de ses oripeaux romantiques pour revenir à l’épouvante pure. Mais le cinéaste peine à apporter du sang neuf.

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Le Journal du Dimanche

par Stéphanie Belpêche

En dépit de partis pris qui peuvent dérouter et d'une interprétation très théâtrale de Lily-Rose Depp, on est envoûté par cette fable gothique sublimée par son univers visuel [...].

Le Monde

par Mathieu Macheret

Tout à ses images ultraléchées, Eggers ne laisse pas la place aux vides, aux gouffres, propres à susciter de l'effroi [...].

Les Fiches du Cinéma

par Michael Ghennam

Il en avait rêvé, il l’a fait : Robert Eggers fait enfin son remake du chef-d’œuvre de Murnau. Totalement respectueux de l’œuvre originale, ce "Nosferatu" 2024 est souvent magnifique, mais un peu trop timide et chiche en émotion.

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Libération

par Olivier Lamm

Le vampire putréfié version Robert Eggers, plus barbare que ses précédentes incarnations, est un formidable monstre de cinéma dans un film qui l’est beaucoup moins, débauche de références et de scènes fumeuses.

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Marie Claire

par Emily Barnett

Décors ciselés (et lugubres à souhait), casting (presque trop) impeccable, [cet] exercice de style dégage une maîtrise indiscutable.

Paris Match

par Yannick Vely

La maestria visuelle de Robert Eggers (« The Lighthouse ») et son goût pour filmer la perversité font passer la pilule de cette relation obsessionnelle entre une jeune femme tourmentée et le sombre comte.

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Télé 7 Jours

par Isabelle Magnier

[...] Robert Eggers revisite à son tour le mythe, en cochant tous les déjà-vu. Rien de neuf, donc. Le réalisateur n'en réussit pas moins un superbe cauchemar gothique [...].

Télérama

par Frédéric Strauss

Une chasse au vampire efficace, qui doit beaucoup à la beauté des images et à Lili-Rose Deep : telle une apparition, elle a l’art de cultiver l’étrange…

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Cahiers du Cinéma

par Élie Raufaste

Tout en respectant globalement l’intrigue et son suspense géographique […] le film ne peut s’empêcher de pousser les curseurs de l’angoisse. Il se veut plus ténébreux, plus sale, plus explicitement sexuel, et pioche alors dans les codes les plus impersonnels de l’horreur contemporaine.

Critikat.com

par Pierre-Jean Delvolvé

Si Eggers reste fidèle au scénario d’origine, il transforme le chef-d'œuvre de Murnau en un livre d’images figées et pompeuses.

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L'Obs

par Guillaume Loison

[La] vision [de Robert Eggers] reste à la surface de la légende du célèbre vampire, continuum d’images lisses, souvent superbes, mais toujours corsetées par le poids de l’enjeu (se hisser à la hauteur de Murnau, bigre).

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Première

par Sylvestre Picard

[...] comme "The Northman" était plus proche de "Conan le destructeur" que de "Andreï Roublev", c’est dans l’ordre de la vision de cinéma d’Eggers que son remake de "Nosferatu", malgré et à cause de tout le sérieux affiché, soit plus proche de "Dracula, mort et heureux de l’être" que de Murnau ou Herzog.

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Les Inrockuptibles

par Arnaud Hallet

Comme son vampire, son film semble redouter de cramer en plein cagnard, apeuré par le moindre faux pli.

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Marianne

par Olivier De Bruyn

Sommet de grandiloquence et de prétention, "Nosferatu" n’arrive pas à la cheville de ses prédécesseurs. À éviter.

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