Outre ses prestations dans La petite (Louis Malle, 1978), Rendez-vous chez Max (Richard Donner, 1980), Show bus (Jerry Schatzberg, id.), Le mystère Silkwood (Mike Nichols, 1983), Diana Scarwid est apparue dans Rusty James (Francis Ford Coppola, id.) et La bible de Néon (Terence Davies, 1995).
Dirigé par Norman Jewison (Justice pour tous, 1979), John Sayles (Brother from another planet en 1984, City of hope en 1991, Lone Star en 1996), Jan de Bont (Speed en 1994, Speed 2 en 1997), Joe Morton a notamment joué dans Terminator 2 (James Cameron, 1991), Forever young (Steve Miner, 1992), Blues brothers 2000 (John Landis, 1998), Un élève doué (Bryan Singer, 1998) et Intrusion (Rand Ravich, 1999).
« Harrison est un roc. Il projette à l'écran une force sereine qui n'appartient qu'à lui. Il est pour moi le symbole suprême de la star. Michelle est exceptionnellement douée et parfaitement crédible dans le rôle de cette femme vulnérable qui dévoile au fil de ses épreuves une force insoupçonnée. Sa beauté et sa présence sont telles qu'on ne peut détacher son regard d'elle. »
Après de longues recherches en Nouvelle-Angleterre, Steve Starkey, le producteur, a choisi de prendre comme décors du film le Parc d'Etat des Filles de la Révolution du Vermont et le Lac de Champlain. Ces lieux isolés du reste du monde correspondaient tout à fait à la psychologie du personnage incarné par Harrison Ford. Comme le déclare le scénariste Clark Gregg, «c'est exactement le genre d'endroit où un homme comme Norman aurait pu grandir avant se s'y installer pour faire carrière».
« Suspense et cinéma s'accordent idéalement. Il existe, bien sûr, d'excellents romans ou pièces à suspense, mais c'est, à mon sens, le cinéma qui permet de manipuler le plus efficacement le temps, l'espace et les techniques de récit. J'ai toujours eu envie de m'essayer à cette veine et de réaliser un film qui serait réellement terrifiant et mystérieux. »
« La résidence Spencer est, à première vue, la maison parfaite d'un couple parfait, mais au fil de l'histoire, elle revêt un aspect de plus en plus inquiétant. Jim (Teegarden, l'autre chef décorateur, Ndlr) et moi en avons longuement peaufiné chaque détail. Par exemple, nous avons utilisé une nuance précise de bleu, plaisante et lumineuse mais qui pouvait aussi générer l'angoisse sous certains éclairages. »
Complice de longue date de Robert Zemeckis, il a composé les scores de A la poursuite du diamant vert, Qui veut la peau de Roger Rabbit ?, de la saga des Retour vers le futur, La mort vous va si bien (1992) et Contact (1997).
Alan Silvestri a également écrit les partitions de Predator (John McTiernan, 1987), Predator 2 (Stephen Hopkins, 1990), Bodyguard (Mick Jackson, 1992), Au revoir à jamais (Renny Harlin, 1996), Stuart Little (Rob Minkoff, 1999) et Piège fatal (John Frankenheimer, id.).
Acteur de formation, Clark Gregg a notamment participé à Parrain d'un jour (David Mamet, 1988), Les hommes de l'ombre (Roland Joffé, 1989), Danger immédiat (Phillip Noyce, 1994), Usual suspects (Bryan Singer, 1995), La prisonnière espagnole (David Mamet, 1997) et Magnolia (Paul Thomas Anderson, 1999).
Il signe avec Apparences son premier scénario.