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FaRem
Avec "Wolves at the Door", John R. Leonetti et Gary Dauberman, réalisateur et scénariste de "Annabelle", ne prennent absolument aucun risque avec ce home invasion particulièrement basique et sans surprise. L'histoire de quatre amis qui se réunissent chez Sharon pour notamment fêter le départ d'Abigail et qui vont vite déchanter quand plusieurs personnes s'introduisent dans leur propriété. Le film est très court, il ne dure que 70 minutes ce qui est une bonne chose, car malheureusement, on en a vite fait le tour... Il faut dire que le réalisateur ne propose pas grand-chose avec cette histoire vachement limitée malgré qu'elle soit inspirée d'un tragique fait réel qui avait fait grand bruit à l'époque. D'ailleurs avec la scène d'ouverture, la conclusion est peut-être le moment le plus "flippant" quand on nous présente ces dégénérés... Le réalisateur privilégie l'ambiance à la violence puisque les scènes de meurtres sont presque tous hors champ et il soigne sa mise en scène qui est pas mal même si le jeu du chat et de la souris des intrus qui sont mollassons est redondant. Ça manque de rythme et d'intensité, mais c'est quand même un film sympathique, c'est juste dommage de ne pas avoir plus développé les personnages pour montrer qui ils étaient vraiment.
Voilà un film digne,qui n'est pas tombé dans les clichés outranciers. Mieux, il a une certaine pudeur qui se dégage de l'atmosphère angoissante qui règne d'une manière continue. Ici, pas de gore, pas de grossières images, mais beaucoup de retenue. Et pourtant on se prend à frissonner, notamment au début. L'histoire en elle-même a été édulcorée pour des raisons fort honorables et finalement, les scènes de tortures n'étaient pas nécessaires. La bande-son est caractéristique des années hippies avec les chansons du temps, les acteurs sont très persuasifs, et la réalisation de qualité.
Bonsoir, très mauvais film, aucune histoire, aucun attachement... cette histoire tragique n'a pas su émouvoir le monsieur derrière sa caméra. Etant une histoire vrai, il y a là aucun hommage, ni intelligence... Les tueurs sont aussi très anonyme, pourquoi etc... Le monsieur n'a pas cherché non plus, pourtant c'était simple... pour moi, un pur ratage, une honte
prenez soin de vous
karine
prenez soin de vous
karine
Xavi_de_Paris
Malgré les défauts de l'ensemble, il faut reconnaître à ce petit produit horrifique un grand sens de l'épouvante. Certes les situations sont téléphonées, mais certains passages sont sincèrement flippants, et très très bien fichus. Je suis resté scotché à mon fauteuil tout au long du film, tant l'intensité horrifique est présente du début à la fin. Je recommande aux vrais amateurs.
Aussi étrange que cela puisse paraître, je n’ai pas envie de surcharger la mule. C’est lent, c’est vrai, mais le malaise est là même s’il est peu perceptible. Je comprends que l’on puisse rester à distance comme je peux comprendre le postulat du réalisateur. Tout comme les protagonistes du récit, on ne comprend pas trop ce qui se passe. On ne comprend pas les motivations de ces assassins. C’est une violence gratuite, inexplicable, soudaine ; une violence souvent hors champs. De plus, on ne distingue pas le visage de ces monstres. Ce qui donne une dimension fantastique à ce fait divers. La démarche de ne pas montrer ces visages lesquels seront dévoilés au travers d’images d’archives prend tout son sens et renforce le point de vue du réalisateur. Je le vois comme la bonne idée. Bref, tout n’est pas à jeter dans ce petit film imparfait. A voir en V.O.
Vouloir mettre en image les événements de 69 sans une mise en scène soignée, voilà ce que l'on obtient : un loupé !
Des comportements stupides et totalement décalés avec la situation rendent le film totalement incohérent. Très orienté (copie ?) de "you're next" et/ou de "funny game", on a ici quelque chose d’insipide ! Navet 1 !!!
Des comportements stupides et totalement décalés avec la situation rendent le film totalement incohérent. Très orienté (copie ?) de "you're next" et/ou de "funny game", on a ici quelque chose d’insipide ! Navet 1 !!!
Film d'une courte durée, car il dure à peine 1H15, "Wolves at the door" relate les terribles meurtres qu'ont subit Sharon Tate et ses amis en 1969 par les disciples de Charles Manson. Et sans être transcendant, ce film d'horreur à le mérite de posséder une mise en scène qui propose pas mal de suspense durant la dernière demi-heure. Le scénario n'est par contre pas très élaborer, car elle propose peu de surprise, et le casting fait une performance assez classique en règle générale.
Vraiment inutile!
Aucun suspense. Aucune ambiance ni aucune logique.
L'histoire est à dormir dehors. Quel désastre...!
Aucun suspense. Aucune ambiance ni aucune logique.
L'histoire est à dormir dehors. Quel désastre...!
NUL. C’est juste l'histoire de Sharon Tate, ça aurait bien de le préciser lorsqu'on lit le script sur internet, ce qui n’est pas le cas ! Histoire qui ne m'intéressait pas du tout mais que j'ai regardé en pensant que c'était un film d'horreur. J'ai finalement compris quelle était réellement l'histoire au fil du film, mais bon, j'ai bien perdu mon temps.
D'autre part, film plat, 25 minutes avant qu'il ne se passe quelque chose, ils aurait vraiment pu faire plus court surtout pour ça !
Perte de temps ce film !
D'autre part, film plat, 25 minutes avant qu'il ne se passe quelque chose, ils aurait vraiment pu faire plus court surtout pour ça !
Perte de temps ce film !
Une film assez inégal, avec beaucoup d’approximations, c’est dommage car l’histoire vraie du diabolique clan de manson aurait mérité une mise en scène qui tienne la route.
Il n'y a rien d'intéressant dans ce film. Tour est tourné dans le noir. On n'y voit rien et on ne comprend rien. Ca rien à voir avec l'histoire réelle de Sharone Tate. Seule l'actrice anglaise reste une jolie femme.
Rien de bien nouveau dans ce film , je m'attendais a un huis clos plutôt pesant mais rien de cela , je me suis ennuyer pendant 50 minutes . Les 10 premières minutes vous laissent espérer un très bon film ( 1 étoile ) mais pour le reste c'est le néant faudra attendre la fin pour voir le dénouement final... la photographie mérite son étoile aussi .
Introduction :
C'est parce que j'avais envie de me faire un petit film d'épouvante, qu'il était très court et qu'il y avait au casting Katie Cassidy ainsi que Elizabeth Henstridge que je me suis mis à découvrir "Wolves at the door". Sans trop savoir à quoi m'attendre (je n'avais jamais entendu parler de ce film avant aujourd'hui), c'est seulement pendant mon visionnage que j'ai vu que cette histoire était inspiré des assassinats de Sharon Tate et de ses amis par Charles Manson et sa secte.
Le fond :
Si il n'y avait pas eu le petit côté "historique" de ce récit, je ne sais pas si le film m'aurait plus marqué que cela. En effet, on a le droit a un film d'épouvante classique qui commence bien dans la tension avant de retomber brutalement dans l'anecdotique. Si le final bouscule un peu tout ça, entre le début et la fin de ce film très court, il n'y a rien de palpitant. De plus, je ne sais pas ce qui est vrai ou non par rapport aux meurtres de Sharon Tate et de ses amis mais il y a de nombreuses réactions qui ne m'ont pas paru crédible dans la façon dont on nous les raconte (je me suis demandé quand les protagonistes allaient commencer à vraiment s'inquiéter de ce qui se passe) au point de souvent penser au sketch de Jean-Marie Bigard sur les films d'horreur...
Le casting :
Les différents acteurs sont tous très légers et peu convaincant. Si j'ai pris du plaisir à voir Katie Cassidy (Sharon Tate) et Elizabeth Henstridge (Abigail Folger), il n'y a quand même rien de fou dans leurs jeux respectifs des plus classiques. En revanche, je dois bien avouer que la distribution concernant la secte de Charles Manson a quand même de la gueule. Ce n'est pas exceptionnel mais il joue néanmoins bien sur le registre de l'horreur.
La forme :
La réalisation de John R. Leonetti a grandement sauvé mon visionnage. Le réalisateur joue habilement avec les codes du genre et il contribue à donner une ambiance pesante à son récit même lorsqu'il ne se passe rien. Dans les moments d'épouvante, la tension est très bonne et c'est vraiment dommage que le reste ne soit pas du même acabit surtout qu'on a aussi le droit a une photographie très belle. La très courte durée du film fait que de toute façon, ça passe assez vite même si je n'aurais rien eu contre plusieurs développement sur certains points de ce récit.
Conclusion :
Je ne regrette pas d'avoir vu "Wolves at the door" car il y a quand même de très bonne chose dedans en matière d'ambiance. Ce qui est vraiment dommage, c'est que le long métrage peine à captiver son auditoire en s'attardant trop sur la fête de Sharon Tate plutôt que sur le danger qui rôde autour. Résultat, on a un très bon début et un bon final mais au milieu, c'est assez creux et souvent risible dans certaines situations. Tout le potentiel de cette histoire n'a clairement pas été exploité et je comprends mieux du coup pourquoi ce film a bénéficié d'une sortie directement en VOD.
Mr Vladdy - 4 février 2019.
C'est parce que j'avais envie de me faire un petit film d'épouvante, qu'il était très court et qu'il y avait au casting Katie Cassidy ainsi que Elizabeth Henstridge que je me suis mis à découvrir "Wolves at the door". Sans trop savoir à quoi m'attendre (je n'avais jamais entendu parler de ce film avant aujourd'hui), c'est seulement pendant mon visionnage que j'ai vu que cette histoire était inspiré des assassinats de Sharon Tate et de ses amis par Charles Manson et sa secte.
Le fond :
Si il n'y avait pas eu le petit côté "historique" de ce récit, je ne sais pas si le film m'aurait plus marqué que cela. En effet, on a le droit a un film d'épouvante classique qui commence bien dans la tension avant de retomber brutalement dans l'anecdotique. Si le final bouscule un peu tout ça, entre le début et la fin de ce film très court, il n'y a rien de palpitant. De plus, je ne sais pas ce qui est vrai ou non par rapport aux meurtres de Sharon Tate et de ses amis mais il y a de nombreuses réactions qui ne m'ont pas paru crédible dans la façon dont on nous les raconte (je me suis demandé quand les protagonistes allaient commencer à vraiment s'inquiéter de ce qui se passe) au point de souvent penser au sketch de Jean-Marie Bigard sur les films d'horreur...
Le casting :
Les différents acteurs sont tous très légers et peu convaincant. Si j'ai pris du plaisir à voir Katie Cassidy (Sharon Tate) et Elizabeth Henstridge (Abigail Folger), il n'y a quand même rien de fou dans leurs jeux respectifs des plus classiques. En revanche, je dois bien avouer que la distribution concernant la secte de Charles Manson a quand même de la gueule. Ce n'est pas exceptionnel mais il joue néanmoins bien sur le registre de l'horreur.
La forme :
La réalisation de John R. Leonetti a grandement sauvé mon visionnage. Le réalisateur joue habilement avec les codes du genre et il contribue à donner une ambiance pesante à son récit même lorsqu'il ne se passe rien. Dans les moments d'épouvante, la tension est très bonne et c'est vraiment dommage que le reste ne soit pas du même acabit surtout qu'on a aussi le droit a une photographie très belle. La très courte durée du film fait que de toute façon, ça passe assez vite même si je n'aurais rien eu contre plusieurs développement sur certains points de ce récit.
Conclusion :
Je ne regrette pas d'avoir vu "Wolves at the door" car il y a quand même de très bonne chose dedans en matière d'ambiance. Ce qui est vraiment dommage, c'est que le long métrage peine à captiver son auditoire en s'attardant trop sur la fête de Sharon Tate plutôt que sur le danger qui rôde autour. Résultat, on a un très bon début et un bon final mais au milieu, c'est assez creux et souvent risible dans certaines situations. Tout le potentiel de cette histoire n'a clairement pas été exploité et je comprends mieux du coup pourquoi ce film a bénéficié d'une sortie directement en VOD.
Mr Vladdy - 4 février 2019.
La Famille Manson et les meurtres Tate-La Bianca de 1969
Bien sûr, ce n'est en aucun cas une superproduction, mais c'est un film à micro-budget très intéressant, librement inspiré des horribles meurtres Tate-La Bianca perpétrés par la secte maléfique de Manson en août 1969.
Personnellement, je suis juste surpris par le manque de résistance des victimes avant d'être assassinées – Cela reflète-t-il la réalité de l'époque, ou est-ce une faiblesse dans le scénario (faute de budget)?
Quoi qu'il en soit, le casting et le jeu sont bons et John Leonetti réalise une performance remarquable avec un si petit budget.
En conclusion, je suppose que trop de critiques de cinéma ne sont rien d’autre que des gamins gâtés et frustrés, qui n’ont jamais été des cinéastes « amateurs » ou qui n’ont même jamais vraiment travaillé du tout.
Souvenez-vous de la conclusion de « Ratatouille » (2007) et méditez-la: «À bien des égards, la tâche du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand-chose, et pourtant, nous jouissons d'une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail, à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative plaisante à écrire et à lire. Mais l'amère vérité, qu'il nous faut bien regarder en face, c'est que dans le grand ordre des choses, le mets le plus médiocre a sans doute plus de valeur que la critique qui le dénonce comme tel. […] »
4.2/5
Bien sûr, ce n'est en aucun cas une superproduction, mais c'est un film à micro-budget très intéressant, librement inspiré des horribles meurtres Tate-La Bianca perpétrés par la secte maléfique de Manson en août 1969.
Personnellement, je suis juste surpris par le manque de résistance des victimes avant d'être assassinées – Cela reflète-t-il la réalité de l'époque, ou est-ce une faiblesse dans le scénario (faute de budget)?
Quoi qu'il en soit, le casting et le jeu sont bons et John Leonetti réalise une performance remarquable avec un si petit budget.
En conclusion, je suppose que trop de critiques de cinéma ne sont rien d’autre que des gamins gâtés et frustrés, qui n’ont jamais été des cinéastes « amateurs » ou qui n’ont même jamais vraiment travaillé du tout.
Souvenez-vous de la conclusion de « Ratatouille » (2007) et méditez-la: «À bien des égards, la tâche du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand-chose, et pourtant, nous jouissons d'une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail, à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative plaisante à écrire et à lire. Mais l'amère vérité, qu'il nous faut bien regarder en face, c'est que dans le grand ordre des choses, le mets le plus médiocre a sans doute plus de valeur que la critique qui le dénonce comme tel. […] »
4.2/5
Pour commencer, si vous n'avez pas encore vu ce film, pensez qu'il faudra le regarder la nuit, ou fermer tous les volets : la luminosité étant très proche de 0 vous ne verrez rien du tout autrement.
Je m'attendais à un film plus approfondi, plus travaillé. Là on ne sait pas qui est qui, aucune explication, ..... Les dialogues sont vides et la plupart des scènes inutiles.
Du gore et c'est tout.
Je m'attendais à un film plus approfondi, plus travaillé. Là on ne sait pas qui est qui, aucune explication, ..... Les dialogues sont vides et la plupart des scènes inutiles.
Du gore et c'est tout.
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