Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Libération
par Luc Chessel
"Peace to Us in Our Dreams" est sincère, et inconsolable. C’est dire s’il est beau. Sa sincérité n’est pas une vertu, mais un scandale. On entend les sièges qui claquent. Qu’ils claquent ! Après le film, se lever ne sera plus jamais pareil.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un beau film austère, qui illustre la manière unique d’un cinéaste tarkovskien de la nature, du rêve, du silence.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ténébreux et contemplatif, plastiquement somptueux.
Les Fiches du Cinéma
par Delphine Cazus
À partir d'un argument narratif minimaliste, Sharunas Bartas sonde le silence et la solitude de ses personnages et signe une œuvre singulière, sensible et habitée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Ce qui fait la beauté singulière et la puissance irréductible de ce film, c’est sa nature de travail de deuil, de chant d’amour laconique à l’être manquant. Bartas prend ici au pied de la lettre l’idée du cinéma comme art spectral.
Télérama
par Jacques Morice
Une séquence sublime parmi d'autres : la compagne du père rend visite à la voisine, une fermière colérique. Les deux trinquent, se parlent sans s'écouter. Ellipse. Retour sur la jeune femme, dans le crépuscule, pétrifiée, visage de zombie renversé en arrière. Est-elle morte ? Juste ivre morte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Il y a de belles choses, tenant du meilleur Bartas, dans des plans contemplatifs de la forêt, du corps de l’épouse, de la vie de la fille ; il y a aussi une part plus fade. Il faut bien admettre que le film émeut surtout quand on est déjà intime du cinéma de Bartas.
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Une expérience intime tout à la fois picturale, sensorielle, existentielle et poétique, au sens profond du terme.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Première
par Eric Vernay
On n’est clairement pas là pour s’amuser, d’autant que le film est autobiographique : Bartas évoque ici la disparition de son épouse, se filmant lui-même et sa fille. Pourtant, son cinéma n’est pas pesant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Le réalisateur filme sa fille dans ce film - trop long - très autobiographique, où une famille peine à trouver l'harmonie au coeur d'une nature magnifiée par la mise en scène.
TF1 News
par Romain Le Vern
Sharunas Bartas investit un genre, élague les us et coutumes, suspend le temps comme dans un rêve éveillé et questionne le sens profond de la communication. C'est souvent beau mais réservé à un public averti.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Critikat.com
par Marie Gueden
Entre fausses pistes générant une tension et esthétisme anesthésiant, les rencontres entre personnages donnent lieu à des échanges souvent inconsistants où s’exprime notamment la nostalgie de l’enfance.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
"Peace to Us in Our Dreams" est sincère, et inconsolable. C’est dire s’il est beau. Sa sincérité n’est pas une vertu, mais un scandale. On entend les sièges qui claquent. Qu’ils claquent ! Après le film, se lever ne sera plus jamais pareil.
Le Dauphiné Libéré
Un beau film austère, qui illustre la manière unique d’un cinéaste tarkovskien de la nature, du rêve, du silence.
Le Monde
Ténébreux et contemplatif, plastiquement somptueux.
Les Fiches du Cinéma
À partir d'un argument narratif minimaliste, Sharunas Bartas sonde le silence et la solitude de ses personnages et signe une œuvre singulière, sensible et habitée.
Les Inrockuptibles
Ce qui fait la beauté singulière et la puissance irréductible de ce film, c’est sa nature de travail de deuil, de chant d’amour laconique à l’être manquant. Bartas prend ici au pied de la lettre l’idée du cinéma comme art spectral.
Télérama
Une séquence sublime parmi d'autres : la compagne du père rend visite à la voisine, une fermière colérique. Les deux trinquent, se parlent sans s'écouter. Ellipse. Retour sur la jeune femme, dans le crépuscule, pétrifiée, visage de zombie renversé en arrière. Est-elle morte ? Juste ivre morte.
Cahiers du Cinéma
Il y a de belles choses, tenant du meilleur Bartas, dans des plans contemplatifs de la forêt, du corps de l’épouse, de la vie de la fille ; il y a aussi une part plus fade. Il faut bien admettre que le film émeut surtout quand on est déjà intime du cinéma de Bartas.
Culturopoing.com
Une expérience intime tout à la fois picturale, sensorielle, existentielle et poétique, au sens profond du terme.
Première
On n’est clairement pas là pour s’amuser, d’autant que le film est autobiographique : Bartas évoque ici la disparition de son épouse, se filmant lui-même et sa fille. Pourtant, son cinéma n’est pas pesant.
Studio Ciné Live
Le réalisateur filme sa fille dans ce film - trop long - très autobiographique, où une famille peine à trouver l'harmonie au coeur d'une nature magnifiée par la mise en scène.
TF1 News
Sharunas Bartas investit un genre, élague les us et coutumes, suspend le temps comme dans un rêve éveillé et questionne le sens profond de la communication. C'est souvent beau mais réservé à un public averti.
Critikat.com
Entre fausses pistes générant une tension et esthétisme anesthésiant, les rencontres entre personnages donnent lieu à des échanges souvent inconsistants où s’exprime notamment la nostalgie de l’enfance.