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3,5
Publiée le 2 juin 2020
Alors ce thriller américain m’a fait penser au film japonais BATTLE ROYALE. On est ici dans le même registre de personne qui sont obligées de s’entretuer pour survivre. D’un côté, on aura celle qui préférer mourir plutôt que tuer un de ses collègues. Et de l’autre, celle dont l’instinct animal ressort et qui deviennent des bêtes sauvages assoiffée de sang. C’est sans surprise que John C. McGinley sera dans ce camp. Celui qui interprète le Docteur Cox dans SCRUBS, a un grain de folie dans son regard qui en est flippant. Par contre je n’ai pas trop aimé le casting autour de lui que ce soit John Gallagher Jr. (10 CLOVERFIELD LANE) ou encore Adria Arjona (PACIFIC RIM UPRISING). Niveau scénario, on est proche du néant. L’explication donnée à la fin n’est pas convaincante et on sent que c’est vraiment une fin histoire de nous donner quelque chose à nous mettre sous la dent. Mais le principal ne réside pas dans tout cela. Le but de ce film est clairement de s’éclater. On a un plaisir malsain à voir de pauvre innocent se démolir sauvagement et que à n’importe quel moment cela peut partir dans tous les sens. Il y a aura de l’hémoglobine à tout va et sûrement plus qu’il n’en faudrait mais cela rend le tout encore meilleur.
Impossible de bien noter ce film car il est plein de défauts mais il vaut largement le coup d’œil. The Belko Experiment est totalement déluré (spoiler: Approche, je veux pas gaspiller une balle ), original. ultra sanguinolent. La musique qui accompagne les exécutions est géniale. Cela donne une fabuleuse ambiance lyrico-dramatique au film. Les acteurs ne sont certes pas exceptionnels. Une fin bien pensée. Spécial mais rafraîchissant !
Une belle surprise. Franchement. Rarement je n'ai vu une prestation des acteurs aussi prenante. Le scénario est très intéressant, on ne s'ennuie jamais. Le gore atteint un niveau rarement égalé, aussi bien sur le fond que la forme. Finalement, ce qui casse tout, ce sont les 15 dernières minutes du film, où l'histoire part à la dérive. On frôlait le chef-d’œuvre pour un film de cette catégorie !
En quittant son cadre australien habituel pour la Colombie, le cinéma de Greg McLean s’ouvre à une autre culture marquée par la tension intestine entre une modernité technologique et la persistance des traditions locales placées sous le signe de la précarité : le film s’ouvre par une séquence dans les rues de la capitale, encombrées de véhicules et de vendeurs à la sauvette qui proposent des grigris et autres objets de confection artisanale. Des enfants ont la mort au visage, portent des masques sur lesquels est représenté un crâne. D’emblée, c’est un visage meurtri que le cinéaste propose de la société colombienne, tout entier incarné par ce grand bâtiment de l’entreprise Belko dans lequel s’active un personnel issu de minorités ethniques différentes, et dont certains employés sont en situation irrégulière. On comprend dès lors que l’entreprise fonctionne comme un corps capable d’uniformiser ses membres, un corps hiérarchisé et dirigé par une voix supérieure que l’on associe explicitement à « la voix du Christ », à « notre nouveau Dieu ». La devise de Belko est « Bringing the world together », c’est-à-dire « rassembler le monde », en adéquation avec la circulation des cerveaux qui conduit les hommes et les femmes à quitter leur pays d’origine pour réussir ailleurs, pour servir une entreprise. Et ce que met en scène McLean, c’est la radicalisation de ce processus d’appartenance et de dépendance à l’entreprise au nom de deux facteurs : le culte de la performance d’une part, la sacralité de la vie d’autre part. Les objectifs de productivité et de compétitivité se voient ainsi subordonnés à l’instinct de survie et la combativité, sinon justifiés par eux. Dit autrement, c’est parce que la nature humaine est individualiste et violente que le monde de l’entreprise exploite ses employés, les vide de toute sociabilité pour les faire agir selon ses désirs, tels des pantins qu’un marionnettiste, depuis les hauteurs, agite sans vergogne. « La nature reprend ses droits », indique Leandra à son petit-ami qui s’emparera par la suite d’un support dévidoir de scotch pour fracasser le crâne de son supérieur, rappelant l’homme des cavernes et son bloc de pierre. Par le prisme du jeu de massacre, The Belko Experiment met à nu le processus de sacralisation de l’entreprise et d’aliénation de l’individu au travail, incapable de distinguer les fictions que lui et sa communauté bureaucratique construisent autour de leur activité afin de lui donner du sens. Tout compte fait, le cinéma de Greg McLean s’expatrie mais reste fidèle à ses thématiques privilégiées : orchestrer un retour à la violence primitive d’un mythe (ici l’entreprise) pour mieux nous inviter à réfléchir sur le besoin des hommes à se construire des fictions dans lesquelles se sentir vivre et auxquelles se mesurer. En dépit d’un dernier segment moins réussi, la faute à une clausule prévisible et assez stéréotypée, le film plonge son spectateur dans un chaos bureaucratique très violent et au crescendo dramatique implacable qui n’est pas sans évoquer la conversion du pacifiste et idéaliste à la violence dans Les Chiens de paille de Sam Peckinpah.
Mauvais uniquement dans le fond car on se rend compte à la fin que des centaines d’expériences similaires sont poursuivies à travers le monde: trop gonflé et impossible à réaliser.A part ça le film est bien prenant.
Le scenario est excellent, la montée en puissance des pulsions meurtrières suffisamment progressive pour être crédible, le casting parfait, composé d’acteurs vus dans des séries ou dans des seconds roles de films, interprétant des personnages bien typés et reconnaissables. On peut regretter une fin peu crédible et un peu bâclée. Tant qu’à être dans l’ultra violence, on aurait pu rester dans le sombre jusqu’à la fin.
Ce devait être un film d'horreur avec un scénario revisité, mais cependant intéressant... Les 20 premières minutes mettent en place les personnages et l'histoire, et l'on s’attend a un bon moment de cinéma... Mais la suite, extrêmement gore, frise le ridicule. L'envie de rire, devant la multiplication des scènes sanguinolentes à outrance, jusqu'à la fin du film... Les acteurs qui n'y croient pas plus que les spectateurs... Dommage...
Pas mal ce film du réalisateur de Jungle, l'argument tient la route si l'on attend la fin du film pour comprendre le pourquoi. Et toujours merci à N...x qui permet de regarder tout en V.O. sous titrée
J'ai trouvé le scénario assez simple et déjà un peu vu sous une autre forme dans d'autres films mais pas à cette échelle ...quoique on est un peu aussi dans l'esprit Battle Royale.
Là pour une fois , on est dans une série originale US et non une adaptation de la part de américains. La réalisation est faite par James Gunn des Gardiens de la Galaxie... mais ceci n'est qu une remarque
Les acteurs jouent bien le jeu... un peu caricatural mais cela passe .. il y a un bon rythme au niveau réalisation. Moi j ai eu ce que je voulais un bon film entre saw et Battle Royale.
Et franchement quand on voit la liste des acteurs TV tous plus ou moins connus cela vaut le détour.
Un film fascinant, au scénario inattendu et bien amené. La mise en scène est crédible, sans superflu, pour un rendu cru et brutal, au rythme effréné. Le rebondissement final est réjouissant, spoiler: même s'il est difficile de se consoler d'autant de morts gratuites, sans plus d'explication. J'attends la suite !
quelques pars en amérique du sud l éntreprise belko situé dans un immeuble high tech a l abris des regards indiscrets un matin comme les autres les employés arrivent au travail dans la joie et la bonne humeur soudain une voix dans un micro se fait entendre la voix ordonne de tuer 3 personnes au hasard dans la demi heure qui suit ou 30 personnes suplémentaires mourront puis d épais rideaux d aciers condamment toutes les fenetres et les portes de l immeuble le jeux peut commencer véritable petite bombe réalisé par greg mc lean réalisateur des 2 volets de wolf creek on assiste a un jeux de massacre hautement inventif et jubilatoire les cadavres s empilent a une vitesse folle et tous ce petit monde est vraiment près a tout pour rester en vie vous ne regarderait plus vos collègues de la meme façon
âmes sensibles, s'abstenir ! pas de concession dans ce film où lon force hommes et femmes à s'entretuer pour on ne sait quelle expérience. huit clos angoissant et opressant, une jolie pépite à découvrir.
Un "battle royal" en moins bien. Aucun scénario mais ça reste efficace. On dirait que le film n'a aucun but, et qu'il est juste là pour que le réalisateur se fasse plaisir. J'adhère
L'idée de départ et le casting sont alléchants, mais le film s'enlise dans des scènes de tuerie sans réelle originalité ou rehaussement des enjeux, ce qui aura vite fait d'ennuyer le spectateur un peu exigeant.