L'histoire abracadabrant, le scénario saugrenu et les effets spéciaux donnent un ton très particulier et presque ... attachant. Les scènes d'horreur font sourire et quelques scènes d'humour sont les bienvenues.
Que ce film n'est pas bon... un très mauvais nanard.... pourtant le premier n'étais pas désagréable. beaucoup de chose rater, pas drôle, un scénario trop mauvais, et le combat des deux créature n'est pas une bonne idée, surtout au vu de k'inutilité de pteracuda...
Regarder des films comme "Sharktopus" ou son spin-off "Sharktopus vs. Pteracuda" et les prendre au premier degré relève de la débilité profonde. C'est pourquoi j'ai visionné le dernier avec des potes : nous avons ainsi pu appréhender sous un jour décontracté et moqueur la réalisation chaotique, l'histoire complètement pourrie (vu le postulat de base il était inconcevable d'envisager autre chose), le montage épileptique et bordélique, le jeu des acteurs inutile ou mauvais au possible et les merveilleux effets numériques (ou abominables devrais-je dire). Dans la droite lignée de ses prédécesseurs les nanars à requins, avec tout ce qu'ils ont pu faire de nul, "Sharktopus vs. Pteracuda" reste donc au niveau des "Sharknado" et consort, et grâce aux combats magiques qui opposent les deux bestioles avides de croquer un peu de chair humaine, le divertissement est présent même s'il se place sous les auspices de la nullité ambulante. A prendre au dixième degré, comme pour chaque production signée Asylum.
Au royaume du nanar avec grosse bestiole mutante, Sharktopus était roi... Et Sharktopus VS Pteracuda est borgne (Ou aveugle... Ou poly-handicapé). Non parce que déjà, faire un (télé) film sur un titre, c'était grand. Mais faire une suite d'un film sur un titre, peut-on dire qu'on touche au sublime ? Après, pas besoin de défoncer ces œuvres : on est là face à une auto-flagellation jouissive, 1h30 de recherches assidues de tout ce qui cloche. Reprenez donc la même typologie des personnages que dans Sharktopus mais avec des acteurs différents, rajoutez une deuxième bestiole mi-ptérodactyle mi-barracuda, enlevez toute forme de cohérence scénaristique et vous obtiendrez... Ben... Quelque chose... Retrouvez la chronique complète ici :