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Un visiteur
5,0
Publiée le 22 décembre 2017
J'ai vu ce film sans avoir lu le livre qu'on m'avait jadis conseillé... Demain matin, sans faute, j'irai l'acheter, tant ce film m'a donné envie de le lire, de le dévorer... Courrez voir ce film magnifique empreint d'émotion vive, de poésie... Je m'incline également devant le jeu d'acteur de Pierre Niney et, surtout, de Charlotte Gainsbourg.
Scénario, réalisation, interprétation, pour ma part, décevant, médiocre. D'abord je déteste les films racontés, commentés, quand on en vient à ce genre, c'est que l'histoire est confuse, mal présentée, le scénario est mal ficelé. Charlotte Gainsbourg a passé son temps à s'égosiller, à hurler, en fin de tournage elle ne devait plus avoir de voix. Moi, cela m'a insupporté, De plus je ne l'ai pas trouvée crédible. Quant à son enfant dans le film, je pense que le directeur de casting s'est un peu mélangé les pinceaux en passant d'un âge à un autre. Bref, je n'ais pas aimé du tout ce film ! 1,5 étoiles, c'est vraiment par charité.
Cette nouvelle version de "La promesse de l'aube" est bien moins réussie que celle avec Melina Mercouri qui avait toutes les qualités pour incarner la mère de Romain Gary comme on se plait à l'imaginer. Charlotte Gainsbourg, tout au contraire, n'est tellement pas "Le rôle", qu'à chacune de ses interventions on a envie de pouffer de rire alors que ce n'est pas le but recherché. Comment pourrait-elle être crédible en mère moralisatrice et idéaliste après tout ce qu'elle a fait auparavant, depuis le "Zeste de citron" jusqu'au "Nymphomaniac 1 & 2" ?
Sentiment partagé avec un début de film lent, sombre , froid et assez ennuyeux et une deuxième partie un peu plus intéressante. Ne connaissant pas l'auteur et sa vie, l'histoire de ce film m'a plutôt ennuyée malgré une superbe interpretation de Charlotte Gainsbourg et de Pierre Niney
Le conte émouvant d’un homme qui a vécu une véritable épopée dans sa vie pour satisfaire sa mère. Une histoire quelque peu dérangeante mais qui justement fait beaucoup d’effet au public qui peut soit se laisser aller, soit porter un regard critique du fait qu’un homme passe toute sa vie à faire non pas ce qu’il aimerait en faire mais ce que sa mère veut qu’il en fasse.
Que de promesse à travers cette bande-annonce, me diriez-vous. Et vous n’avez pas tort, il y a du rythme et cela pouvait laisser présager à une aventure humaine d’un homme aux mille vies en une seule existence. Sauf que l’aube ne sait jamais lever sur le nouveau film d’Eric Barbier, réalisateur du très mauvais « Le Serpent », en 2007 et du très moyen « Le dernier diamant ». Ce film aurait pu être sauvé par sa distribution, et bien non tout le contraire, Charlotte Gainsbourg en mère hystérique, est presque insoutenable à chaque passage à l’écran. Seul répit durant le film, la présence de Pierre Niney quand il ne surjoue pas à son tour. Rien ou presque pour calmer un récit où la boîte de doliprane n’est jamais bien loin. La suite sur Boulevardducinema.com
Que dire de ce magnifique film ? Il est juste époustouflant, à couper le souffle ! J’en suis sortie bouleversée, happée par ses nombreuses émotions ! Je suis passée du rire aux larmes sans discontinuité pendant toute la durée du film ! Il est d’une puissance phénoménale ! Et mon dieu, les acteurs... ils sont faits pour cette histoire ! Bravo ! Film à aller voir de toute urgence, il est génialissimme ! :D
Certains romans devraient rester à l’état d’œuvres littéraires si l’on en constate leur adaptation. Car, pour quelqu’un n’ayant pas lu le format littéraire, on sort de la projection sans aucune envie d’aller le découvrir. Ou alors « La Promesse de l’aube » fait partie de ces textes inaptes à être correctement mis en images ou encore peut-être qu’Eric Barbier n’était pas l’homme de la situation pour cette transposition, lui qui est plutôt à l’aise dans le polar comme l’a prouvé le plutôt bon « Le Serpent ». Mais ça on ne le saura jamais. Toujours est-il qu’en l’état ce long-métrage est majoritairement raté dans les grandes largeurs et qu’on trouve les deux heures qu’ils durent bien longues. Plus le film avance et plus on se dit que ça ne remontera jamais la pente et à raison. Ce n’est pas non plus un naufrage, tout n’est pas à jeter, on pense notamment à la très belle partition musicale et une reconstitution soignée, mais c’est une maigre consolation au vu du reste.
Une telle histoire narrant la destinée d’un homme sur plusieurs années avec en principal axe narratif l’amour d’une mère pour son fils et la relation fusionnelle qu’ils entretiennent méritait plus de panache, plus de puissance émotionnelle et surtout plus de souffle romanesque. Tout ce que « La Promesse de l’aube » ne parvient quasiment jamais à restituer à son spectateur. Cet amour maternel inconditionnel qui vampirise chaque mouvement d’un fils, cette affection étouffante est pourtant bien rendue mais jamais on n’est ému voire même touché par ces rapports excessifs et quelque peu dysfonctionnels. Le long-métrage de Barbier se rêve en fresque imposante à l’ampleur romanesque à peine cachée mais jamais on ne ressent ce quelconque vent de passions qui aurait du nous étreindre durant toute la projection.
On assiste à une accumulation de séquences qui nous apparaissent décousues. Elles sont censées rendre compte de la vie de Romain Gary, de la réminiscence la plus anecdotique au souvenir le plus important sans qu’aucun ne vienne jamais vraiment nous intéresser. Le début en Pologne est triste et compassé quand la suite à Nice s’avère peut-être la partie la plus intéressante sans pour autant nous sortir de notre torpeur. Quand, enfin, arrive Pierre Niney, on se dit que le film va prendre une tournure autrement plus stimulante et moins académique mais non c’est encore pire, la suite des péripéties de l’auteur durant la guerre s’avérant molle et laborieusement contée. Le désintérêt s’avère alors de plus en plus prégnant et, las, nous en sommes réduits à suivre les incarnations ratées de Charlotte Gainsbourg et du César du meilleur acteur pour « Yves Saint-Laurent ». Car l’un des plus gros handicaps de « La Promesse de l’aube » est, plus qu’un casting raté, le manque de direction d’acteurs du metteur en scène. Le duo principal est en effet en surchauffe totale, alternant ridicule et moments en totale roue libre. Une grosse déception.
Trop long , trop cinematographique , ce qui fait que l'on ne sait pas si tous les episodes de la vie de gary sont vrais ou faux , romance ou fantasme. Reste quand meme quelques scenes réussis.
J'avoue que je n'étais pas plus chaud que ça, et pourtant, c'est un beau spectacle que nous offre Eric Barbier ici. Peut-être en fait-il un peu trop parfois, n'est pas notre plus grand réalisateur et qu'on aurait aimé être encore plus emporté par l'émotion, la grande aventure, mais sincèrement, il serait profondément injuste de ne pas saluer les belles qualités de « La Promesse de l'aube ». Si les lecteurs du roman ne s'y retrouveront peut-être pas, les autres apprécieront un beau spectacle, loin d'être dénué de lyrisme, doté de beaux personnages, le scénario se montrant étonnamment riche et ambitieux pour une production française. D'ailleurs, je n'imaginais pas un seul instant que la vie de Romain Gary avait été aussi riche, passionnante, véritable épopée dont on ressort assez admiratif. Même l'aspect « littéraire » un peu trop recherché, notamment via la voix-off, ne m'a pas dérangé outre-mesure, et c'est presque emballé que je suis sorti de la salle, d'autant que si Charlotte Gainsbourg est sans doute en léger surrégime, Pierre Niney apparaît presque presque comme l'acteur idéal pour interpréter le romancier. Du vrai, bon cinéma.
Magnifique jeu d'acteur de Pierre Niney et surtout de Charlotte Gainsbourg ! Ce film ne laisse pas indifférent et nous rappelle la beauté de l'amour simple
Un magnifique film d'amour entre une mère et son fils ! Je ne connaissais pas le livre, donc je ne juge que sur ce film. L'histoire nous conte la vie de Romain Gary, de son enfance jusqu'à sa vie adulte, une vie très remuante et diversifiée le tout porté par l'amour de sa mère. Elle qui est persuadée que son fils deviendra grand et célèbre et qui le poussera de toutes ses forces à accomplir de grandes choses. Avec beaucoup de finesse, de tendresse mais aussi de sévérité et de dureté, parfois même jusqu'au sentiment d'étouffement, l'amour de cette mère pour son fils est absolument magistral, éprouvant de beauté et de bonté. Pierre Niney est comme à son habitude incroyable, mais ma surprise vient de Charlotte Gainsbourg. Elle m'avait déçue dans « Le bonhomme de neige », elle m'a ici totalement époustouflé par son intérprêtation ! Cette œuvre est autant bouleversante qu'elle en ait déchirante, un gros coup de cœur.
Film épouvantablement vide, creux. Il ne s'en dégage aucune émotion, aucune profondeur, aucune épaisseur. Une histoire où il ne se passe rien, la même scène se reproduisant inlassablement du début à la fin, Charlotte Gainsbourg hystérique répétant à Pierre Niney qu'il doit devenir le plus grand de tous les hommes sur terre. Niney qui finalement joue que dans la deuxième partie du film, s'en sort pas trop mal en revanche Charlotte Gainsbourg surjoue tellement que ça en devient insupportable et ridicule. Pour moi un très mauvais film.