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    Le Cercle Rouge
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    254 critiques spectateurs

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    Bruno65
    Bruno65

    30 abonnés 805 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 novembre 2007
    Des dialogues minimalistes,ce qui n'est pas forcément toujours rédhibitoire,et des comédiens de grande valeur sauf Delon qui fait du...Delon,mais au bout d'un moment on a hâte que ça s'arrête.Pour beaucoup,c'est un classique du polar,mais moi,je n'ai adhéré à 100% pour rejoindre cet avis.Mais les goûts et les couleurs!
    OMTR
    OMTR

    17 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 février 2019
    Un chef-d’œuvre, grand classique du polar français du début des années 1970, avec une distribution somptueuse. Un scénario d’orfèvre, servi par la réalisation sobre, puissante et de grande classe de Melville. A voir et à revoir !
    gregbox51
    gregbox51

    37 abonnés 1 035 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 mai 2009
    C'est lent, c'est mou, c'est vieux, mais c'est la dernière fois que l'on verra Bourvil vivant.....
    Chevalier du cinéma
    Chevalier du cinéma

    253 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juillet 2013
    Le Cercle Rouge de Jean-Pierre Melville c’est un classique du polar français. Ce film me transporte à chaque fois que je le revois grâce aux incroyables interprétations des acteurs, au scénario parfait et à l’ambiance qui s’y dégage. Avant d’être libérer de prison, Corey se voit confier par un gardien une affaire: il s’agit de dévaliser une bijouterie place Vendôme. Dans les même temps, le commissaire Mattéi est chargé de transférer l’ennemi public Vogel, de Marseille à Paris. Mais celui-ci s’échappe et Mattéi met en place tous les dispositifs disponible pour arrêter le criminel. Vogel trouvera refuge dans le coffre de la voiture de Corey et se lieront d’amitié par la suite. Les deux malfrats décident alors de dévaliser la bijouterie ensemble avec l’aide de Jansen, un ex-policier radié pour cause d’alcoolisme. Sorti en 1970 ce film policier français marque la dernière apparition de Bourvil au cinéma dans un de ses rares rôles dramatique. L’acteur comique décédera peu après le tournage du film. Le Cercle Rouge est indéniablement un classique du genre, il est un polar stylé fascinant ! Le scénario est brillant malgré son classicisme mais ce classicisme se transforme en atout dans ce film aujourd’hui un chef d’œuvre du policier français. En fait ce qui l’emporte dans Le Cercle Rouge c’est son style et son ambiance. Froid, noir, quasiment sans paroles, le film est un exercice de style mené par Melville un des maîtres de ce genre de film, on pense à L’Armée des Ombres avec Lino Ventura sorti en 1969. Le réalisateur français signait ici son avant dernier film, le douzième précisément. Ensuite ce qui fascine dans le film ce sont les interprétations prodigieuses des acteurs: Alain Delon est magnétique et froid, Bourvil est fascinant et incroyable dans son personnage, Yves Montand est sublime et classe dans le rôle du flic alcoolique et pour finir Gian Maria Volonte dans le rôle du malfrat en cavale est superbe et froid comme Delon. Ce qui est encore mieux dans ce film c’est que les présences de Bourvil et Montand sont très limités, les acteurs sont moins présents que Delon et Volonte, mais grâce à cette absence cela permet aux deux monstres que sont Montand et Bourvil de dominer le film et la distribution. On pourra également retenir quelques scènes fortes comme la scène d’anthologie où Montand est face « aux habitants du placards », une scène superbe, et le casse muet d’environ vingt minutes qui est superbement bien mit en scène. Le Cercle Rouge avec son ambiance froide et âpre, ses acteurs magnifiques et son scénario parfait est un chef d’œuvre du cinéma français. Un grand classique où s’affrontent des géants du cinéma français: Alain Delon, Yves Montand et Bourvil.
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mars 2024
    « Le Cercle Rouge » de Jean-Pierre Melville est un des meilleurs polars français, qui réunit un casting exceptionnel composé d'Alain Delon, Bourvil, Yves Montand et Gian Maria Volonté. Le film se distingue par son scénario impeccable, sa mise en scène minutieuse et surtout par les performances magistrales de ses acteurs. Bourvil, habituellement connu pour ses rôles comiques, surprend dans un rôle dramatique qui est peut-être le meilleur de sa carrière. Yves Montand livre également une performance émouvante et intense. Les scènes marquantes, telles que le casse réalisé dans un silence captivant et la fin mémorable, contribuent à faire de « Le Cercle Rouge » un classique indémodable du genre. La musique de Eric Demarsan ajoute une touche mélancolique qui s'accorde parfaitement à l'atmosphère du film. Ce polar, qui n'a rien à envier aux meilleurs films américains du genre, est un incontournable pour les amateurs du genre.WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    297 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mars 2008
    Une belle vision réaliste & finalement assez fastueuse de ce monde, et d'autre part procurant un beau début parfaitement enchaîné... - chose qu'on aimerait davantage fréquente pour tant de ces réalisateurs ! -
    shmifmuf
    shmifmuf

    179 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 octobre 2012
    Avec "Le Samouraï", "Le cercle rouge" est l'autre chef-d'oeuvre de Jean-Pierre Melville.
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    11 abonnés 658 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 juillet 2023
    « Tant pis pour le rouge, je passe. »

    Il s’agit de la première phrase du film et c’est la seule qui sera prononcée durant près de 7 minutes, dans une scène de départ en train où l’on suit le commissaire Mattei (André Bourvil, le nom complet crédité au générique est d’importance) au bras duquel est menotté Vogel (Gian Maria Volonte). Dès ces premières minutes, on devine toute la palette visuelle et technique de Jean-Pierre Melville : jeu d’ombres dans la voiture qui amène les deux personnages à la gare, jeu de lumière sur les parois des wagons, travelling arrière aérien sur le train qui démarre, silence des deux acteurs dont les gestes lents et machinaux ainsi que les mimiques presque imperceptibles donnent le ton du réalisme.

    Il faut ainsi attendre la seconde scène, mettant aux prises un gardien de prison et le détenu Corey (Alain Delon), pour, après un lent travelling avant et un cadrage décentré, qu’apparaisse un vrai dialogue. Les deux scènes en intérieur sombre donnent le ton et sont suivies des deux histoires en parallèle, la traque du fugitif et le retour à la vie civile du détenu, en longues scènes alternées, aux dialogues rares ou couverts par les bruits. La musique vient parfois relever l’action.

    Enfin, après une quarantaine de minutes, l’histoire proprement dite peut commencer, comme si ce début était un résumé des épisodes précédents, dévoilant deux nouveaux personnages : le patron de boîte Santi (François Périer) et l’ex-flic Jansen (Yves Montand, exceptionnel). Le couple Vogel/Corey est interprété avec une rare précision par Volonte et Delon, comme une sorte de rédemption humaine dans un océan de noirceur.

    A rebours du cinéma français traditionnel où les dialogues sont essentiels, Melville ne réalise pas du théâtre filmé, il fait du cinéma, racontant une histoire en mouvements, et c’est à travers ceux-ci et les images que se découvre la psychologie des personnages, sombres mais aussi attachants. Certaines scènes (celle du casse notamment, interminable, angoissante et d’anthologie) sont d’ailleurs dignes du cinéma muet. Ainsi, à travers le climat de ce Cercle Rouge et quelques-unes des scènes, on comprend pourquoi et comment Melville a pu influencer toute la génération des Hollywood Brats et, plus près de nous encore, les réalisateurs·trices qui s’en sont inspiré·es à leur tour.

    Notons enfin la cohérence de l’ensemble et la vraisemblance jusque dans le plus petit détail, ce qui accroît encore le réalisme de ce chef d’oeuvre.
    Philippe Pelletier
    Philippe Pelletier

    6 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 août 2024
    Décidément je m’aperçois que j’ai parmi mes chef-d’œuvre plusieurs films avec Alain Delon. Quelle filmographie, depuis qu’il est parti, je redécouvre son œuvre, c’est encore plus émouvant et vive le cinéma qui nous fait vivre éternellement nos idoles.
    ASSRANCETOURIX
    ASSRANCETOURIX

    21 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juillet 2013
    Ça se regarde ! Il y a tous les tics de Melville, une direction d'acteur proche du zéro, avec Bourvil qu'on dirait empaillé, les longues scènes silencieuses et/ou qui ne montre strictement rien qui fasse avancer l'histoire, des montées d'escalier, des déambulations, des mouvements de voiture, un casse entièrement silencieux façon "rififi chez les hommes!" et puis la sempiternelle boite de nuit avec les huit danseuses minables qui font 4 mouvements pour faire "branché" ! C’est quand même meilleur que "un flic" (grosse panouille), au niveau du "Samouraï" mais moins bien que le Doulos ou que le « deuxième souffle » qui a pourtant de gros défauts aussi ! du Melville quoi !
    Gonnard
    Gonnard

    241 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 février 2009
    Un polar honnête mais chiant. L'action va à deux à l'heure. Il n'y a aucune ellipse temporelle, on assiste absolument à tout, voir deux bonshommes pratiquer un trou dans une vitre sans faire de bruit pendant 10 mn c'est pas bien passionnant. Non seulement le film est lent, mais en plus il multiplie les passages capillo-tractés. Par exemple, Alain Delon qui nous fait son numéro de champion du monde de billard, c'est pas réaliste. Enfin, les effets spéciaux sont redoutables. Que dire de ces araignées en plastique qui avancent telles des marionnettes pour attaquer Yves Montand ? Finissons tout de même sur une note positive, avec le casting hors classe dont bénéficie cette production. Surtout Bourvil, qui joue à la perfection un rôle inhabituel pour lui.
    Critiqueur37
    Critiqueur37

    14 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 septembre 2008
    Jeux d'acteurs très décevant, réalisation peu rythmée, musique passant inaperçue, situations improbables, du coup, il est difficile de rentrer dans le film.
    sly-stallone88
    sly-stallone88

    196 abonnés 2 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2011
    un polar sombre, différent pour Bourvil, un casting choc, pour une réussite totale !!!!
    Ti Nou
    Ti Nou

    495 abonnés 3 494 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2010
    Avec de longs silences, Melville installe le suspense mais son polar manque de rythme et finalement laisse indifférent et ce n'est pas le glacial Alain Delon, aussi bon que dans "Le samouraï", qui y change quelque chose.
    lost 4/8/15/16/23/42
    lost 4/8/15/16/23/42

    19 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 août 2010
    bon film à voir l'intrigue et les acteurs sont bon
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